COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Début de la saison III (7/9)
Ouf, l’inspecteur chargé de suivre l’affaire du meurtre de mon mari dans notre chambre dès la première nuit de sa sortie après six ans de prison me rassure sur mon implication.
J’arrive à taire le fait que Marie travestie en hommes est celle qui est venue se venger de la mort de son jumeau.
Elle a pris des risques en me laissant en vie, même si je pense que notre relation va en pâtir surtout que plus l’interrogatoire avançait plus je sentais un sentiment d’amour pour celle qui avait su se venger.
Je quitte le commissariat.
Comme je l’ai dit à Gratien, je regarde des vidéos et je sais qu’il me faut être prudente.
Les flics même s’ils manquent de moyens savent vous suivre de temps en temps pour voir vos relations et si vous êtes vraiment blanche comme neige.
Si Marie reste éloignée, je respecterai sa volonté afin d’éviter de nous mettre en danger.
• Bonjour, inspecteur Dubois à l’appareil, vous pouvez commencer à faire les démarches afin d’enterrer votre mari, nos enquêtes sont terminées.
• Merci, je m’en occupe.
Dès ma chambre à l’hôpital, l’inspecteur je l’ai trouvé beau gosse.
Au téléphone sa voix pourrait me faire craquer, mais bon on est au téléphone.
Je fais les démarches auprès des pompes funèbres qui s’occupent de récupérer le corps afin de le préparer à la crémation.
Le jour est venu de dire adieu à celui qui, quand j’y regarde bien, aura été l’homme avec qui j’aurais eu très peu de rapport pendant les six années où j’ai eu sa bague aux doigts.
Dépucelage au début de notre affaire, branlette dans lors de parloirs et quelques petits coups avant sa mort.
Je suis devenue veuve avant d’avoir le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait.
C’est ce vendredi que j’incinère Gratien.
Je suis au crématorium seule avec ma patronne qui a fermé la boutique pour la matinée et cette circonstance.
J’entends du bruit quelqu’un est entré et semble s’être installé au dernier rang dans cette salle vide ou une sono joue de la musique adaptée.
Moment simple, car sans aucune fioriture.
Un cercueil, le moins cher que l’on m’a proposé, un four qui s’ouvre et une petite urne, voici en quelques minutes celui qui m’a dépucelée réduit en cendres.
La jeune responsable de la cérémonie m’apporte l’urne.
Est-ce possible de penser au sexe dans de telles circonstances quand elle me regarde de ses grands yeux bleue.
Dans son tailleur strict noir, elle est bandante.
Je ferme les yeux lorsqu’elle me présente ses condoléances.
Nous serions au club, je serais peut-être tentée de faire des infidélités à Marie, avec Catherine H, nom qui est sur le revert de sa veste de tailleur.
• Monsieur, si vous voulez présenter vos condoléances à ses dames et au défunt vous pouvez avancer.
Un bruit de pas remontant l’allée et l’inspecteur Dubois m’apparaît.
Ouf ! Quand Catherine a dit, « monsieur » j’ai eu peur que Marie ait pris le risque de venir savourer la fin de sa vengeance en venant voir Gratien réduit en cendres.
• Mes condoléances Madame Sophie, même si je suis ici en service.
Il me serre la main, je suis peut-être devenue une lesbienne, mais moi la fille attendant sagement la sortie de prison de son mari, je le regarde d’un œil différent.
J’ai parlé de sa voix au téléphone, mais même de près, je me sens toute chamboulée.
Je l’aurais rencontré dans d’autres circonstances, avant mon mariage bien sûr, je serais devenue madame Dubois.
Mais il me salue et retourne au fond de la salle.
Nous la quittons et c’est dans le cimetière de Beaune, que Catherine nous conduit.
Il y a un jardin des souvenirs où se terminent définitivement les cendres de Gratien.
Il rejoint les milliers d’anonymes que leurs proches ont laissés là sans pierre ni tombe.
Nous sommes nés poussières et...
Nous connaissons la suite.
Je me recueille quelques minutes quand je la vois, non, pardon la remarque.
Marie avec un blouson noir en fourrure et en pantalon avec mantille elle aussi noire cachant une partie de son visage et Gladys, noire dans un manteau rouge.
Est-ce voulu, Gladys, affichant sa beauté africaine afin que les deux policiers se promenant entre les petites tombes chacun de leur côté, remarque seulement la beauté de cette femme laissant Marie dans l’ombre.
Deux policiers, plus l’inspecteur que je vois appuyer sur le toit de sa voiture de police.
C’est normal, chez les flics, les enquêtes sanglantes sans criminel arrêté sont ouvertes en permanence.
Je vois les deux femmes se rapprocher en parlant entre elles, bras dessus bras dessous.
Elles passent à quelques mètres de nous.
• Condoléances mesdames.
C’est gonflé, mais c’est touchant, elle a pris le risque de se faire repérer bien qu’il y ait loin entre notre agresseur et cette jeune femme plein de sel qui vient de nous saluer.
Surtout quand je regarde son pantalon, plat cachant cette chatte que j’aurais envie de lécher jusqu’à explosion.
Je prends ma patronne par le bras et ayant refermé l’urne, je remonte l’allée entre ces petites tombes.
Sans avoir l’air de regarder chacune d’entre elles, nous arrivons sur la tombe où les deux femmes se recueillaient.
« Radia L. 1998 – 2018 »Qui est cette Radia morte à 20 ans, peut-être le saurais-je un jour ?
Elles ont déposé un bouquet sur la petite dalle de marbre sous laquelle se trouve la jeune femme elle aussi dans son urne.
« À notre amie »C’est une plaque posée dessus, à côté des fleurs, qui me donne cette information.
Nous reprenons notre marche, à la sortie du cimetière, il y a une grande poubelle pour que les personnes puissent y mettre leurs déchets en nettoyant leurs tombes.
Je l’ouvre et la soulevant, je fais tomber l’urne sachant qu’une partie de ma vie va se terminer dans une décharge publique.
J’ai compris que celui que j’avais aimé était une merde.
La merde retourne toujours vers la merde.
Nous rejoignons la voiture de ma patronne et nous retournons vers le centre de Beaune.
Une seule fois dans l’année, je vois Marie devant la boutique de ma patronne où je travaille, il faut bien vivre.
Elle entre et je lui vends une paire de chaussures dont le modèle est en vitrine.
Par chance ou était-ce voulu, je suis seule dans la boutique, ma patronne m’a quittée pour faire des démarches administratives.
Elle me demande si des clientes essayent de me draguer.
C’est elle qui assise s’arrange pour que je voie sa toison sans me regarder expressément.
Je fais simplement mon travail de vendeuse, mais j’interprète cela comme.
« Je suis là, je pense à toi. »
Plus tard, un soir, je veux voir si son club est toujours ouvert.
Il commence à faire beau et sortant du nouveau logement que j’ai trouvé retrouvant mon autonomie, je fais du lèche-vitrines.
Sans donner l’impression de passer au bout de son impasse, je peux voir l’enseigne « club privé » allumé.
C’est bien ouvert, mais est-ce toujours elle qui le tient ?
Tous les soirs j’ai repris mes habitudes avec mon gode à me donner du plaisir bien fade en rapport de ceux que savait me procurer Marie dans nos jeux un peu vicieux.
Un petit détail, j’ai changé son nom, de masculin, il est devenu féminin.
« MARIE »Marie qui entre en moi, même dans mon anus quand je le place sur le sol et que je m’emmanche dessus.
Un an qu’elle a vengé son frère en m’épargnant.
Ce soir, je veux donner le change comme elle la fait en venant à l’enterrement de celui qu’elle a tué.
Si Marie tient un club pour lesbienne, j’évolue au début je disais gouine, c’est dans un club, plutôt « bar à vins» où je m’apprête à entrer.
Ici aucun Juda, c’est open bar, je m’assieds au comptoir sur un haut tabouret.
Depuis mes aventures, je m’habile plus en rapport avec mon âge.
Un homme est à côté de moi, je l’ignore.
Je suis entrée, voulant simplement donner le change avec la police si je suis encore surveillée.
Je sais, je dois être devenue parano, mais je reste prudente.
• Vous habitez cette jolie ville de Beaune !
• Pourquoi ?
• Je suis de Dijon et je suis venu voir un client, mais je suis obligé de rester cette nuit dans un hôtel voisin.
• Vous êtes marié !
Je trouve osée de lui poser cette question, je suis entrée simplement pour donner le change.
• J’ai une alliance, comment la cacher.
Je dois reconnaître que j’ai essayé de l’enlever, mais depuis dix ans que ma femme me la passée, je l’ai remis, car la marque était indélébile.
Vous aussi vous avez une alliance à ce que je vois !
• Je suis veuve, mon mari est décédé d’un accident de la route.
• Ça c’est dur, c’est arrivé à un ami, il a du mal à s’en remettre.
Dieu que c’est difficile d’avoir des pensées contradictoires, c’est vrai, j’ai gardé mon alliance, certainement ma parano.
J’étais sortie pour me convaincre que Marie était toujours près de moi et je regarde en coin un homme qui plus est marié.
La quarantaine, cheveu grisonnant poivre et sel, tempes commençant à se dégarnir et un bronzage montrant qu’il sait s’entretenir.
En un mot, cet homme est séduisant.
Est-ce le temps qui passe depuis la dernière fois où j’ai eu la verge de Gratien en moi ou les lèvres de Marie me léchant la chatte, mais j’ai envie de m’abandonner dans des bras.
Il m’offre un verre, me parle de sa femme qui après 20 ans de mariage a tendance à s’éloigner de lui.
De ses vacances qu’ils prennent en Corse chez ses beaux-parents.
La seule chose où il est discret, c’est s’il a des enfants.
Un homme marié, un peu délaissé par sa femme, s’il avait amené des enfants dans la conversation, je suis sûr que je me serais sauvé en courant.
• Veux-tu que l’on aille dans ton hôtel ?
Réveillez-moi, c’est bien moi qui ai prononcé ces mots.
Ça doit l’être, car il m’aide à descendre de mon tabouret.
La vie est drôle et pleine de surprise.
Je suis dans l’ascenseur de l’hôtel voisin sachant ce que nous allons faire sans que nous ayons échangé nos patronymes.
La porte de la chambre s’ouvre, il me fait entrer...
J’arrive à taire le fait que Marie travestie en hommes est celle qui est venue se venger de la mort de son jumeau.
Elle a pris des risques en me laissant en vie, même si je pense que notre relation va en pâtir surtout que plus l’interrogatoire avançait plus je sentais un sentiment d’amour pour celle qui avait su se venger.
Je quitte le commissariat.
Comme je l’ai dit à Gratien, je regarde des vidéos et je sais qu’il me faut être prudente.
Les flics même s’ils manquent de moyens savent vous suivre de temps en temps pour voir vos relations et si vous êtes vraiment blanche comme neige.
Si Marie reste éloignée, je respecterai sa volonté afin d’éviter de nous mettre en danger.
• Bonjour, inspecteur Dubois à l’appareil, vous pouvez commencer à faire les démarches afin d’enterrer votre mari, nos enquêtes sont terminées.
• Merci, je m’en occupe.
Dès ma chambre à l’hôpital, l’inspecteur je l’ai trouvé beau gosse.
Au téléphone sa voix pourrait me faire craquer, mais bon on est au téléphone.
Je fais les démarches auprès des pompes funèbres qui s’occupent de récupérer le corps afin de le préparer à la crémation.
Le jour est venu de dire adieu à celui qui, quand j’y regarde bien, aura été l’homme avec qui j’aurais eu très peu de rapport pendant les six années où j’ai eu sa bague aux doigts.
Dépucelage au début de notre affaire, branlette dans lors de parloirs et quelques petits coups avant sa mort.
Je suis devenue veuve avant d’avoir le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait.
C’est ce vendredi que j’incinère Gratien.
Je suis au crématorium seule avec ma patronne qui a fermé la boutique pour la matinée et cette circonstance.
J’entends du bruit quelqu’un est entré et semble s’être installé au dernier rang dans cette salle vide ou une sono joue de la musique adaptée.
Moment simple, car sans aucune fioriture.
Un cercueil, le moins cher que l’on m’a proposé, un four qui s’ouvre et une petite urne, voici en quelques minutes celui qui m’a dépucelée réduit en cendres.
La jeune responsable de la cérémonie m’apporte l’urne.
Est-ce possible de penser au sexe dans de telles circonstances quand elle me regarde de ses grands yeux bleue.
Dans son tailleur strict noir, elle est bandante.
Je ferme les yeux lorsqu’elle me présente ses condoléances.
Nous serions au club, je serais peut-être tentée de faire des infidélités à Marie, avec Catherine H, nom qui est sur le revert de sa veste de tailleur.
• Monsieur, si vous voulez présenter vos condoléances à ses dames et au défunt vous pouvez avancer.
Un bruit de pas remontant l’allée et l’inspecteur Dubois m’apparaît.
Ouf ! Quand Catherine a dit, « monsieur » j’ai eu peur que Marie ait pris le risque de venir savourer la fin de sa vengeance en venant voir Gratien réduit en cendres.
• Mes condoléances Madame Sophie, même si je suis ici en service.
Il me serre la main, je suis peut-être devenue une lesbienne, mais moi la fille attendant sagement la sortie de prison de son mari, je le regarde d’un œil différent.
J’ai parlé de sa voix au téléphone, mais même de près, je me sens toute chamboulée.
Je l’aurais rencontré dans d’autres circonstances, avant mon mariage bien sûr, je serais devenue madame Dubois.
Mais il me salue et retourne au fond de la salle.
Nous la quittons et c’est dans le cimetière de Beaune, que Catherine nous conduit.
Il y a un jardin des souvenirs où se terminent définitivement les cendres de Gratien.
Il rejoint les milliers d’anonymes que leurs proches ont laissés là sans pierre ni tombe.
Nous sommes nés poussières et...
Nous connaissons la suite.
Je me recueille quelques minutes quand je la vois, non, pardon la remarque.
Marie avec un blouson noir en fourrure et en pantalon avec mantille elle aussi noire cachant une partie de son visage et Gladys, noire dans un manteau rouge.
Est-ce voulu, Gladys, affichant sa beauté africaine afin que les deux policiers se promenant entre les petites tombes chacun de leur côté, remarque seulement la beauté de cette femme laissant Marie dans l’ombre.
Deux policiers, plus l’inspecteur que je vois appuyer sur le toit de sa voiture de police.
C’est normal, chez les flics, les enquêtes sanglantes sans criminel arrêté sont ouvertes en permanence.
Je vois les deux femmes se rapprocher en parlant entre elles, bras dessus bras dessous.
Elles passent à quelques mètres de nous.
• Condoléances mesdames.
C’est gonflé, mais c’est touchant, elle a pris le risque de se faire repérer bien qu’il y ait loin entre notre agresseur et cette jeune femme plein de sel qui vient de nous saluer.
Surtout quand je regarde son pantalon, plat cachant cette chatte que j’aurais envie de lécher jusqu’à explosion.
Je prends ma patronne par le bras et ayant refermé l’urne, je remonte l’allée entre ces petites tombes.
Sans avoir l’air de regarder chacune d’entre elles, nous arrivons sur la tombe où les deux femmes se recueillaient.
« Radia L. 1998 – 2018 »Qui est cette Radia morte à 20 ans, peut-être le saurais-je un jour ?
Elles ont déposé un bouquet sur la petite dalle de marbre sous laquelle se trouve la jeune femme elle aussi dans son urne.
« À notre amie »C’est une plaque posée dessus, à côté des fleurs, qui me donne cette information.
Nous reprenons notre marche, à la sortie du cimetière, il y a une grande poubelle pour que les personnes puissent y mettre leurs déchets en nettoyant leurs tombes.
Je l’ouvre et la soulevant, je fais tomber l’urne sachant qu’une partie de ma vie va se terminer dans une décharge publique.
J’ai compris que celui que j’avais aimé était une merde.
La merde retourne toujours vers la merde.
Nous rejoignons la voiture de ma patronne et nous retournons vers le centre de Beaune.
Une seule fois dans l’année, je vois Marie devant la boutique de ma patronne où je travaille, il faut bien vivre.
Elle entre et je lui vends une paire de chaussures dont le modèle est en vitrine.
Par chance ou était-ce voulu, je suis seule dans la boutique, ma patronne m’a quittée pour faire des démarches administratives.
Elle me demande si des clientes essayent de me draguer.
C’est elle qui assise s’arrange pour que je voie sa toison sans me regarder expressément.
Je fais simplement mon travail de vendeuse, mais j’interprète cela comme.
« Je suis là, je pense à toi. »
Plus tard, un soir, je veux voir si son club est toujours ouvert.
Il commence à faire beau et sortant du nouveau logement que j’ai trouvé retrouvant mon autonomie, je fais du lèche-vitrines.
Sans donner l’impression de passer au bout de son impasse, je peux voir l’enseigne « club privé » allumé.
C’est bien ouvert, mais est-ce toujours elle qui le tient ?
Tous les soirs j’ai repris mes habitudes avec mon gode à me donner du plaisir bien fade en rapport de ceux que savait me procurer Marie dans nos jeux un peu vicieux.
Un petit détail, j’ai changé son nom, de masculin, il est devenu féminin.
« MARIE »Marie qui entre en moi, même dans mon anus quand je le place sur le sol et que je m’emmanche dessus.
Un an qu’elle a vengé son frère en m’épargnant.
Ce soir, je veux donner le change comme elle la fait en venant à l’enterrement de celui qu’elle a tué.
Si Marie tient un club pour lesbienne, j’évolue au début je disais gouine, c’est dans un club, plutôt « bar à vins» où je m’apprête à entrer.
Ici aucun Juda, c’est open bar, je m’assieds au comptoir sur un haut tabouret.
Depuis mes aventures, je m’habile plus en rapport avec mon âge.
Un homme est à côté de moi, je l’ignore.
Je suis entrée, voulant simplement donner le change avec la police si je suis encore surveillée.
Je sais, je dois être devenue parano, mais je reste prudente.
• Vous habitez cette jolie ville de Beaune !
• Pourquoi ?
• Je suis de Dijon et je suis venu voir un client, mais je suis obligé de rester cette nuit dans un hôtel voisin.
• Vous êtes marié !
Je trouve osée de lui poser cette question, je suis entrée simplement pour donner le change.
• J’ai une alliance, comment la cacher.
Je dois reconnaître que j’ai essayé de l’enlever, mais depuis dix ans que ma femme me la passée, je l’ai remis, car la marque était indélébile.
Vous aussi vous avez une alliance à ce que je vois !
• Je suis veuve, mon mari est décédé d’un accident de la route.
• Ça c’est dur, c’est arrivé à un ami, il a du mal à s’en remettre.
Dieu que c’est difficile d’avoir des pensées contradictoires, c’est vrai, j’ai gardé mon alliance, certainement ma parano.
J’étais sortie pour me convaincre que Marie était toujours près de moi et je regarde en coin un homme qui plus est marié.
La quarantaine, cheveu grisonnant poivre et sel, tempes commençant à se dégarnir et un bronzage montrant qu’il sait s’entretenir.
En un mot, cet homme est séduisant.
Est-ce le temps qui passe depuis la dernière fois où j’ai eu la verge de Gratien en moi ou les lèvres de Marie me léchant la chatte, mais j’ai envie de m’abandonner dans des bras.
Il m’offre un verre, me parle de sa femme qui après 20 ans de mariage a tendance à s’éloigner de lui.
De ses vacances qu’ils prennent en Corse chez ses beaux-parents.
La seule chose où il est discret, c’est s’il a des enfants.
Un homme marié, un peu délaissé par sa femme, s’il avait amené des enfants dans la conversation, je suis sûr que je me serais sauvé en courant.
• Veux-tu que l’on aille dans ton hôtel ?
Réveillez-moi, c’est bien moi qui ai prononcé ces mots.
Ça doit l’être, car il m’aide à descendre de mon tabouret.
La vie est drôle et pleine de surprise.
Je suis dans l’ascenseur de l’hôtel voisin sachant ce que nous allons faire sans que nous ayons échangé nos patronymes.
La porte de la chambre s’ouvre, il me fait entrer...
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