COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Fin de la saison II (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Fin de la saison II (6/6)
• Tu m’entends petite fiente, bas des cils si tu comprends ce que je te dis.
Je suis dans l’impossibilité de voir s’il lui répond, j’attends le coup de grâce.
J’arrive bien jeune au bout de ma vie.
Dire que suivant la réponse des yeux de mon mari, elle va m’abattre alors que j’ai une envie farouche de vivre malgré tout ce que Marie ma tortionnaire me fait subir.
J’ai envie de lui dire, non de lui crier, que tout le restant de nos jours elle pourra me flageller matin midi ou soir sans que jamais elle entende la moindre plainte de ma part.
Mais ma bouche est sèche et il m’est impossible d’émettre le moindre son.
Autant fermer les yeux advienne que pourra, inutile de me rebeller.
La détermination affichée par Marie de nous faire passer de vie à trépas semble si forte que je sais prendre une balle entre les yeux moi aussi si je tente la moindre chose.
« Ploum ».
C’est moi ou lui, j’ai eu un peu mal, mais là elle a dû me toucher, car un froid glacial m’envahit.
• Reste là, Sophie, j’ai visé le gras de ton bras, je veux que tu assistes à la touche finale de ma vengeance.
Il me reste 10 balles, je pensais vider mon chargeur dans vos tripes, mais ce serait du sadisme et je suis loin d’être sadique, je souhaite seulement venger la mort de mon frère.
Sophie, si tu es encore en vie, c’est parce que ma décision est prise, tu vas le rester.
Cette petite merde qui te servait de mari à tout de même eut pitié de toi et m’a fait un signe pour que je t’épargne.
Cette dixième balle, c’est pour la police, si tu veux ma peau, tu leur raconteras toute mon histoire qui est un peu la tienne.
Si tu as du sentiment pour moi, tu leur confirmeras que c’est un homme qui vous a agressé cherchant à ce que vous disiez où l'argent était caché.
Il a achevé ta lopette et est parti en te tirant une balle qui par chance t’a touché seulement dans le gras du bras.
Donne-moi quinze minutes avant de téléphoner à la police, tu leur diras que la balle t’a fait tomber dans les pommes.
Adieu.
« Ploum » » « ploum »
Je sens de la matière visqueuse venir sur moi.
Quand Marie range sa fausse verge dans son pantalon et qu’elle se réajuste avant de sortir, je reste sans bouger, j’ignore le nombre de balles qu’il lui reste.
Le temps de me remettre de ce qui vient de se passer, je me redresse difficilement, j’ai mal au bras.
Sylvain, son frère, avait pris une balle en plein front, elle, c’est une balle dans chaque œil qu’elle lui a mis.
Voulait-elle que dans l’au-delà, il soit aveugle et continue à souffrir après ce qu’il avait fait à son jumeau ?
Je regarde mon bras, j’ai mal, mais la balle a dû aller se perdre dans le matelas.
Elle m’a épargnée, je respecte ce qu’elle m’a demandé et récupérant mon portable, j’attends une demi-heure et j’appelle la police.
En moins de temps, j’entends les sirènes de la police.
Marie a dû laisser ouvert, car le premier homme qui franchit la porte de ma chambre est en uniforme.
Je l’ai déjà vu patrouiller avec une collègue dans sa voiture de service sans jamais leur avoir parlé.
Il entre, arme en main une lampe torche se fixant sur moi.
Je le vois parler dans un talkie, placé dans sa main.
• Deux personnes, une femme et un homme, nue tous les deux, la femme est vivante et l’homme semble mort, il a reçu plusieurs balles dont deux dans les yeux.
Ça sent le règlement de comptes.
Madame, vous saignez au bras, avez-vous reçu d’autres balles ?
Je vais vous quitter, je suis forte, mais je m’étais assise sur mon lit, je me sens partir et...
• Madame, réveillez-vous, les pompiers vous ont amené à l’hôpital des hospices.
Une balle vous a blessé au bras, nous allons vous soigner, vous avez perdu conscience, c’est normal après ce que vous avez subi.
Un inspecteur venu de Dijon va vous interroger, mais avant reposez-vous.
Nous vous avons installé dans cette chambre, mais dès que la police le décidera, vous pourrez sortir.
J’aurais pu feindre un malaise, mais j’ai réellement perdu connaissance.
Un médecin m’ausculte et une infirmière du même âge que moi me désinfecte le bras et me pose un pansement.
Marie a-t-elle bien visé, la balle m’a simplement effleuré et j’aurai une simple trace.
Je dors quand on me secoue.
• Inspecteur Dubois, je suis chargé de recueillir votre témoignage sur l’attaque que vous avez subie.
• Nous étions couchés quand la lumière s’est allumée...
Je raconte ce qui s’est passé, il m’interrompt.
• Êtes-vous sûre que c’était un homme !
• Pourquoi une telle question ?
• Si vous répondez par l'affirmative, ça élimine la moitié de la population qui aurait pu en vouloir à votre mari.
Nous savons qu’il vient d’être libéré de la prison de Varennes après le meurtre d’un de mes collègues à Manosque.
• Je comprends votre question, oui c’était un homme.
Pour commencer à sa voix, elle était grave, mais avec comment dire un accent.
• Du sud de la France.
• Oui, c’est ça, du sud, vous avez raison.
En plus, il s’est approché et je voyais très bien le paquet qu’il avait entre les jambes.
Excusez mon audace dans ces circonstances, il aurait été difficile à un homme d’être plus homme.
• Le paquet ?
Ses couilles, sa verge, vous comprenez.
• Vous parlez de sa bite, elle était imposante, je comprends, c’est moi qui m’excuse.
Vous a-t-il semblé que Gratien votre mari avait peur de votre agresseur ?
• Il est vrai qu’au début quand il a interrogé Gratien sur le fric, j’ai bien vu que c’était une vieille connaissance.
Je pense que c’est pour cela qu’il gardait sa casquette et sa moustache, elle était fausse, mais voulait se cacher de moi.
À oui, je me souviens, il venait d’achever Gratien, lorsqu’un bruit est venu de la rue, il est parti tirant rapidement dans ma direction.
J’ai senti que j’étais touchée et j’ai honte de dire que je suis tombée dans les pommes.
• Inutile de vous excuser, lors d’une intervention, un braqueur a tiré dans ma direction me touchant dans le gras de la jambe.
Moi aussi j’ai tourné de l’œil.
On a vu qu’il avait tiré de nombreuses balles, lui parlait-il en le tutoyant !
J’aurais dû faire actrice, je donne le change sans problème.
• Avez-vous un avocat, pour moi, vous avez subi les conneries de votre mari en cheville avec les milieux marseillais.
Dans son dossier avant sa mise en prison, les liens avec ces milieux avaient été établis.
Comme l’arme qui avait récupéré dans les quartiers et qui a tué ce jeune policier.
Je réponds en faisant attention à bien protéger Marie.
Elle a su m’épargner alors qu’elle ait bien assez de balles, même si elle m’a tirée dessus.
Ce qui est drôle, grâce au calmant que l’on me donne pour mon bras, c’est que j’ai moins mal au cul défoncé pour la première fois avec sa bite si proéminente sous son pantalon.
À cette évocation, je suis à deux doigts d’éclater de rire, mais je réussis à rester stoïque jusqu’au départ du beau gosse.
Je dois dire que si dans ma vie, je l’avais rencontré avant Gratien, ma virginité c’est lui qui me l’aurait pris.
Je finis par sortir et c’est ma patronne qui m’installe dans sa chambre d’amis le temps que je sois autorisée à retrouver le logement étant devenu une scène de crime qui est interdit d’y entrer.
Il va sans dire que nous avons coupé les ponts avec Marie même si l’envie de rejoindre le club me taraude.
Ce matin, je suis convoquée au commissariat près du Palais des Congrès.
L’inspecteur Dubois est là.
• Je vous ai convoqué madame Sophie, pour que je puisse clore mon enquête.
Elle vous est favorable, grâce à votre témoignage et aussi aux bandes vidéo que nous avons récupérées de la caméra de surveillance placée au coin de votre rue et de la place Carnot.
Nous avons repéré au moins quatre fois un homme identique à celui que nous avons vu entrer et sortir de chez vous la nuit de votre agression.
En comparant les dates et les images, nous avons mis en évidence que votre mari aurait dû être assassiné le week-end où il est sorti pour rencontrer son futur patron.
Une voiture l’a suivi, nous avons pu voir sa plaque 13, mais la voiture avait été volée il y a plus d’un mois à Aix.
Chaque fois que la caméra du coin nous l’a montré, nous l’avons reconnu à sa, son, ses, heu !!!
• Testicules !
• C’est ça, quand il est venu vous agresser, il faisait nuit et ça, heu !!!
• Bistouquette !
• C’est ça, sa bite comme on dit est invisible sur les images de nuit, mais bien visible lorsqu’il vous a suivi cette première fois ainsi que les deux autres fois lorsque vous étiez seule.
Hélas, il savait dissimuler son visage sachant certainement que la caméra était là et risquait de le trahir.
Marie avait bien préparé sa vengeance, anticipant tout ce qui aurait pu la trahir lors de l’enquête.
• Bref, je pense que le procureur qui nous a confié ce travail classera votre dossier par un non-lieu en votre faveur, vous serez blanchi de tout soupçon.
C’est un pro du crime qui a dû venir exécuter votre mari.
Ils avaient eu des renseignements sur sa sortie et aussi celle pour une permission.
Je crois que mes collègues dans le sud devront clore leur dossier de leur côté.
L’argent sera certainement perdu pour longtemps sauf si la version du sac tombé dans sa fuite et ramassé par un inconnu a permis à celui-ci de se payer une belle vie.
Celui ou celle qui l’a récupéré, a fait mieux que de gagner au loto.
De toute façon, nous ignorons comment votre mari a su le jour où il fallait faire ce braquage, malgré une enquête poussée.
Ce jour-là, les billets venaient d’être déposés par une grosse société voisine et encore hors du coffre de ce crédit agricole.
Aucun billet marqué, aucun numéro relevé donc impossible à retrouver.
Vous pouvez y aller, j’ai votre numéro de portable dans mon dossier.
Je vous préviendrai quand vous pourrez récupérer le corps de votre mari afin de lui donner sa dernière sépulture...
Sophie, va-elle retrouver Marie qui semble l’avoir épargnée, cette troisième saison nous le dira certainement.
Je suis dans l’impossibilité de voir s’il lui répond, j’attends le coup de grâce.
J’arrive bien jeune au bout de ma vie.
Dire que suivant la réponse des yeux de mon mari, elle va m’abattre alors que j’ai une envie farouche de vivre malgré tout ce que Marie ma tortionnaire me fait subir.
J’ai envie de lui dire, non de lui crier, que tout le restant de nos jours elle pourra me flageller matin midi ou soir sans que jamais elle entende la moindre plainte de ma part.
Mais ma bouche est sèche et il m’est impossible d’émettre le moindre son.
Autant fermer les yeux advienne que pourra, inutile de me rebeller.
La détermination affichée par Marie de nous faire passer de vie à trépas semble si forte que je sais prendre une balle entre les yeux moi aussi si je tente la moindre chose.
« Ploum ».
C’est moi ou lui, j’ai eu un peu mal, mais là elle a dû me toucher, car un froid glacial m’envahit.
• Reste là, Sophie, j’ai visé le gras de ton bras, je veux que tu assistes à la touche finale de ma vengeance.
Il me reste 10 balles, je pensais vider mon chargeur dans vos tripes, mais ce serait du sadisme et je suis loin d’être sadique, je souhaite seulement venger la mort de mon frère.
Sophie, si tu es encore en vie, c’est parce que ma décision est prise, tu vas le rester.
Cette petite merde qui te servait de mari à tout de même eut pitié de toi et m’a fait un signe pour que je t’épargne.
Cette dixième balle, c’est pour la police, si tu veux ma peau, tu leur raconteras toute mon histoire qui est un peu la tienne.
Si tu as du sentiment pour moi, tu leur confirmeras que c’est un homme qui vous a agressé cherchant à ce que vous disiez où l'argent était caché.
Il a achevé ta lopette et est parti en te tirant une balle qui par chance t’a touché seulement dans le gras du bras.
Donne-moi quinze minutes avant de téléphoner à la police, tu leur diras que la balle t’a fait tomber dans les pommes.
Adieu.
« Ploum » » « ploum »
Je sens de la matière visqueuse venir sur moi.
Quand Marie range sa fausse verge dans son pantalon et qu’elle se réajuste avant de sortir, je reste sans bouger, j’ignore le nombre de balles qu’il lui reste.
Le temps de me remettre de ce qui vient de se passer, je me redresse difficilement, j’ai mal au bras.
Sylvain, son frère, avait pris une balle en plein front, elle, c’est une balle dans chaque œil qu’elle lui a mis.
Voulait-elle que dans l’au-delà, il soit aveugle et continue à souffrir après ce qu’il avait fait à son jumeau ?
Je regarde mon bras, j’ai mal, mais la balle a dû aller se perdre dans le matelas.
Elle m’a épargnée, je respecte ce qu’elle m’a demandé et récupérant mon portable, j’attends une demi-heure et j’appelle la police.
En moins de temps, j’entends les sirènes de la police.
Marie a dû laisser ouvert, car le premier homme qui franchit la porte de ma chambre est en uniforme.
Je l’ai déjà vu patrouiller avec une collègue dans sa voiture de service sans jamais leur avoir parlé.
Il entre, arme en main une lampe torche se fixant sur moi.
Je le vois parler dans un talkie, placé dans sa main.
• Deux personnes, une femme et un homme, nue tous les deux, la femme est vivante et l’homme semble mort, il a reçu plusieurs balles dont deux dans les yeux.
Ça sent le règlement de comptes.
Madame, vous saignez au bras, avez-vous reçu d’autres balles ?
Je vais vous quitter, je suis forte, mais je m’étais assise sur mon lit, je me sens partir et...
• Madame, réveillez-vous, les pompiers vous ont amené à l’hôpital des hospices.
Une balle vous a blessé au bras, nous allons vous soigner, vous avez perdu conscience, c’est normal après ce que vous avez subi.
Un inspecteur venu de Dijon va vous interroger, mais avant reposez-vous.
Nous vous avons installé dans cette chambre, mais dès que la police le décidera, vous pourrez sortir.
J’aurais pu feindre un malaise, mais j’ai réellement perdu connaissance.
Un médecin m’ausculte et une infirmière du même âge que moi me désinfecte le bras et me pose un pansement.
Marie a-t-elle bien visé, la balle m’a simplement effleuré et j’aurai une simple trace.
Je dors quand on me secoue.
• Inspecteur Dubois, je suis chargé de recueillir votre témoignage sur l’attaque que vous avez subie.
• Nous étions couchés quand la lumière s’est allumée...
Je raconte ce qui s’est passé, il m’interrompt.
• Êtes-vous sûre que c’était un homme !
• Pourquoi une telle question ?
• Si vous répondez par l'affirmative, ça élimine la moitié de la population qui aurait pu en vouloir à votre mari.
Nous savons qu’il vient d’être libéré de la prison de Varennes après le meurtre d’un de mes collègues à Manosque.
• Je comprends votre question, oui c’était un homme.
Pour commencer à sa voix, elle était grave, mais avec comment dire un accent.
• Du sud de la France.
• Oui, c’est ça, du sud, vous avez raison.
En plus, il s’est approché et je voyais très bien le paquet qu’il avait entre les jambes.
Excusez mon audace dans ces circonstances, il aurait été difficile à un homme d’être plus homme.
• Le paquet ?
Ses couilles, sa verge, vous comprenez.
• Vous parlez de sa bite, elle était imposante, je comprends, c’est moi qui m’excuse.
Vous a-t-il semblé que Gratien votre mari avait peur de votre agresseur ?
• Il est vrai qu’au début quand il a interrogé Gratien sur le fric, j’ai bien vu que c’était une vieille connaissance.
Je pense que c’est pour cela qu’il gardait sa casquette et sa moustache, elle était fausse, mais voulait se cacher de moi.
À oui, je me souviens, il venait d’achever Gratien, lorsqu’un bruit est venu de la rue, il est parti tirant rapidement dans ma direction.
J’ai senti que j’étais touchée et j’ai honte de dire que je suis tombée dans les pommes.
• Inutile de vous excuser, lors d’une intervention, un braqueur a tiré dans ma direction me touchant dans le gras de la jambe.
Moi aussi j’ai tourné de l’œil.
On a vu qu’il avait tiré de nombreuses balles, lui parlait-il en le tutoyant !
J’aurais dû faire actrice, je donne le change sans problème.
• Avez-vous un avocat, pour moi, vous avez subi les conneries de votre mari en cheville avec les milieux marseillais.
Dans son dossier avant sa mise en prison, les liens avec ces milieux avaient été établis.
Comme l’arme qui avait récupéré dans les quartiers et qui a tué ce jeune policier.
Je réponds en faisant attention à bien protéger Marie.
Elle a su m’épargner alors qu’elle ait bien assez de balles, même si elle m’a tirée dessus.
Ce qui est drôle, grâce au calmant que l’on me donne pour mon bras, c’est que j’ai moins mal au cul défoncé pour la première fois avec sa bite si proéminente sous son pantalon.
À cette évocation, je suis à deux doigts d’éclater de rire, mais je réussis à rester stoïque jusqu’au départ du beau gosse.
Je dois dire que si dans ma vie, je l’avais rencontré avant Gratien, ma virginité c’est lui qui me l’aurait pris.
Je finis par sortir et c’est ma patronne qui m’installe dans sa chambre d’amis le temps que je sois autorisée à retrouver le logement étant devenu une scène de crime qui est interdit d’y entrer.
Il va sans dire que nous avons coupé les ponts avec Marie même si l’envie de rejoindre le club me taraude.
Ce matin, je suis convoquée au commissariat près du Palais des Congrès.
L’inspecteur Dubois est là.
• Je vous ai convoqué madame Sophie, pour que je puisse clore mon enquête.
Elle vous est favorable, grâce à votre témoignage et aussi aux bandes vidéo que nous avons récupérées de la caméra de surveillance placée au coin de votre rue et de la place Carnot.
Nous avons repéré au moins quatre fois un homme identique à celui que nous avons vu entrer et sortir de chez vous la nuit de votre agression.
En comparant les dates et les images, nous avons mis en évidence que votre mari aurait dû être assassiné le week-end où il est sorti pour rencontrer son futur patron.
Une voiture l’a suivi, nous avons pu voir sa plaque 13, mais la voiture avait été volée il y a plus d’un mois à Aix.
Chaque fois que la caméra du coin nous l’a montré, nous l’avons reconnu à sa, son, ses, heu !!!
• Testicules !
• C’est ça, quand il est venu vous agresser, il faisait nuit et ça, heu !!!
• Bistouquette !
• C’est ça, sa bite comme on dit est invisible sur les images de nuit, mais bien visible lorsqu’il vous a suivi cette première fois ainsi que les deux autres fois lorsque vous étiez seule.
Hélas, il savait dissimuler son visage sachant certainement que la caméra était là et risquait de le trahir.
Marie avait bien préparé sa vengeance, anticipant tout ce qui aurait pu la trahir lors de l’enquête.
• Bref, je pense que le procureur qui nous a confié ce travail classera votre dossier par un non-lieu en votre faveur, vous serez blanchi de tout soupçon.
C’est un pro du crime qui a dû venir exécuter votre mari.
Ils avaient eu des renseignements sur sa sortie et aussi celle pour une permission.
Je crois que mes collègues dans le sud devront clore leur dossier de leur côté.
L’argent sera certainement perdu pour longtemps sauf si la version du sac tombé dans sa fuite et ramassé par un inconnu a permis à celui-ci de se payer une belle vie.
Celui ou celle qui l’a récupéré, a fait mieux que de gagner au loto.
De toute façon, nous ignorons comment votre mari a su le jour où il fallait faire ce braquage, malgré une enquête poussée.
Ce jour-là, les billets venaient d’être déposés par une grosse société voisine et encore hors du coffre de ce crédit agricole.
Aucun billet marqué, aucun numéro relevé donc impossible à retrouver.
Vous pouvez y aller, j’ai votre numéro de portable dans mon dossier.
Je vous préviendrai quand vous pourrez récupérer le corps de votre mari afin de lui donner sa dernière sépulture...
Sophie, va-elle retrouver Marie qui semble l’avoir épargnée, cette troisième saison nous le dira certainement.
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