COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Saison II (5/6)
« J’avais même prévu de finir par vous cramer ! »
C’est ce que me dit Marie débarquant pendant la nuit dans notre chambre et nous menaçant avec une arme munie d’un silencieux.
Elle est grimée pour ressembler à un homme avec moustache casquette et blouson comme en portent les jeunes barbouzes que l’on voit dans les films.
Elle se dévoile et je découvre que je me suis fait abuser par la sœur jumelle du jeune policier que Gratien a abattu pour couvrir sa fuite après le braquage du Crédit Agricole de Manosque, il y a six ans.
Six ans qu’elle peaufine sa vengeance en m’approchant pour mieux abuser mon homme et savoir où le trouver.
J’entends le bruit de la première détonation sourde quand elle lui tire une balle dans les couilles.
La peur me prend, car je comprends qu’elle a une dent tellement long contre nous que je suis certaine que la fin de ma vie est proche.
Ses couilles puis son pouce de pied quand elle tire sa deuxième balle.
• Merde, excuse, ton pouce, c’est une erreur de tir, je voulais te la mettre dans le mollet.
Peu importe, tu vas rester allongé à vie comme l’était mon frère au moment de sa crémation.
13, on peut encore s’amuser, ici on a le temps, je pensais vous tuer près du pénitencier, j’avais fait des repérages et j’avais trouvé une allée dans cette forêt où je vous aurais abattus puis mis le feu à la voiture.
Quand je t’ai accompagnée Sophie s’était pour t’amadouer espèce de saligaud.
Mais j’ai vu qu’il y avait des caméras de surveillance sur le parking de l’institution qui te protégeait de ma vengeance.
Trois personnes montant dans ma voiture sur le parking, deux cadavres avec balles et feu de joie.
La troisième, donc, moi, j’aurais été la tueuse alors que j’avais prévu que la police pense que c’était des tueurs venus du sud, Marseille par exemple, qui étaient venus se venger.
« Ploum »
• Aie...
• 12, tu es vraiment une petite nature, des témoins à ton procès on dit que Sylvain était resté stoïque lorsque tu lui as mis ta balle en pleine tête.
Certains ont dit, qu’au moment de filer avec ta moto, tu l’avais regardé pour voir si tu devais l’achever.
C’est à ce moment, certainement, que son visage donc le mien a été gravé dans ton esprit pauvre nase.
Tu sens mes balles, crois-tu que je doive te laisser en vie, sans tes couilles pour honorer celle que j’ai réussi à faire aimer les rapports lesbiens.
Tu as demandé un jour si elle te trompait après que j’ai amélioré son look, elle me l’a dit lorsque nous nous sommes retrouvées ce soir-là !
Regarde, tu viens tout juste de sortir de prison et tu la fais déjà pleurer.
Reconnaît ma chérie que lorsque je te caresse la chatte, c’est bien du plaisir que je te donne.
Il est vrai que je pleure, je vois la détermination qu’a mise Marie à monter ce scénario.
Pourquoi cache-t-elle qu’elle est une femme, ça m’intrigue, même si je sais que chaque fois qu’elle tire un coup et compte les balles restantes, les dernières d’entre elles seront pour moi.
J’ai traité son frère de petit con de flic, je comprends sa folie de vouloir le venger et à sa place je me vengerais en me logeant une balle entre mes deux yeux.
Tout ceci est ambigu, surtout lorsque tenant son arme de la main droite, sa gauche vient dans ma fourche chercher ce qu’elle a appelé mon clitoris lors de nos ébats au-dessus du club.
C’est drôle, j’ai peur, mais mon cerveau marche à cent à l’heure.
Je comprends qu’elle soit entrée sans bruit.
C’est moi qui lui ai donné un double de ma clef un jour où j’étais fatiguée des nuits presque blanches que je passais au club avant que nous fermions et que nous montions à l’étage.
À partir de ce jour, lorsque j’étais fatiguée, je la quittais et c’est elle qui me rejoignait ?
Elle me réveillait pour quelques minutes, des fois intenses, avant que je me rendorme, lovée dans ces bras.
Je repense à la date où cela s’était produit, c’est après qu’elle m’ait accompagnée et lue sur le parking.
Je comprends qu’elle l’avait fait pour observer la faisabilité de son plan dans la forêt.
Je suis sur d’une chose, je vais mourir, mais mon corps sera retrouvé sur ce lit et non cramé dans cette forêt.
« Ploum »
• Merde, 11, tu viens de perdre une épaule, quelle idée de bouger quand je caresse ma petite maîtresse.
Si tu savais comme elle apprécie quand je la prends en levrette avec l’autre Gratien, celui dans sa table de nuit !
Tu te rends compte, avec ta connerie, qu' il y a six ans, tu as empêché mon frère de vivre et de me donner des petits-neveux, mais tu l’as laissé en plan sur son début de vie sexuelle.
Il allait commencer sa vie d’homme comme agent de la force publique et sa vie avec Ludivine, la petite qui est restée prostrée tout le long de ton procès.
Regarde ce que j’ai à sa disposition dans nos ébats tous les soirs.
Marie ouvre la braguette de son pantalon d’homme et nous montre l’olisbos qu’elle a fixé autour de sa taille.
Je le croyais dans ma table de nuit, mais elle a dû le récupérer lorsqu’elle a su que Gratien allait sortir.
• Vous devez vous demander pourquoi j’ai ce godemichet autour de mes reins.
Regardez quand je le rentre, la belle bosse que cela présente.
Au pénitencier, les caméras m’ont emmerdé, ici aussi.
Pour monter chez toi, la caméra placée au coin de ta rue et de la place Carnot, m’a posé problème, j’ai cru que j’allais être obligée une nouvelle fois de trouver un autre plan.
Ce déguisement m’a apporté la solution.
Nul doute que les amis de mon frère vont étudier les bandes vidéo et s’ils font un gros plan sur le bas de mon corps, cette bite leur confirmera que c’est un homme qu’ils doivent chercher.
Bébé, tu te souviens la première fois où j’ai dû te dire de te mettre à quatre pattes pour être en levrette.
• Oui, Marie, je t’en supplie épargne moi, j’étais jeune quand c’est arrivé, maintenant j’ai mûri.
• Je vais chialer ma poule, mets-toi au bord du lit et présente moi ton cul.
Si j’avais su j’aurais amené notre martinet, Gratien, dommage pour l’état où je te mets, si tu savais comme elle aime se faire flageller le cul.
Elle a dû oublier de te dire cela au parloir et aussi que je tiens un club lesbien où nous nous sommes éclatées toutes les deux.
Cocu, mais cocu par une femme, ça c’est ballot, avant que je t’achève ce sera ma plus grande vengeance.
Savoir que dans ta cellule, tu t’astiquais le manche, bien mal en point sur les draps, en défonçant la chatte de ta petite pute, ça me faisait jouir.
Tu vois, ta bite aurait pu lui défoncer l’anus, c’est moi qui vais avoir le plaisir de le faire.
Comme je suis placé, je sens le gland du faux sexe se positionner et d’un grand coup me défoncer l’anus.
• Ah, ah, ah, ah !
• Quatre coups et quatre ah !
Dans l’état de souffrance où tu es, Gratien, il t’est impossible de voir mon sexe bien au fond de son petit trou.
Je sais Sophie, ça fait mal, hélas, si tu avais vécu tu aurais su qu’il était possible de finir par jouir de ces pénétrations.
Me disant cela, elle pose le bout de son silencieux sur l’arrière de mon crâne.
Prise par le cul, une arme me menaçant la tête, dans mon corps les choses s’accélèrent.
• Marie, j’ai honte, mais continue, caresse-moi le clitoris, je vais jouir, je jouiiii.
Je dois être dans un monde de fous, mon homme est en train de mourir et moi j’ai des rapports avec celle que je considérais comme mon amie et qui va m’ôter à coup sûr la vie.
• Bon , j’ai bien ris, si toi tu as joui Sophie, voire ce petit connard pisser son sang mais assez lentement, me fait jouir, moi aussi.
C’est toi connard qui va décider de la vie ou de la mort de celle que je viens de défoncer et comme la salope que j’en ai faite, a joui du cul après sa première pénétration.
J’aurais dû l’enculer plus tôt.
Je retombe sur mon dos, j’ai honte d’avoir joui.
• Tu m’entends petite fiente, bas des cils si tu comprends ce que je te dis.
Je suis dans l'impossibilité de voir s’il lui répond, j’attends le coup de grâce.
Je suis de nouveau allongée près de Gratien, qui semble sous le choc le peu que je le vois.
Est-ce l’instinct de survie, mais la main non armée de Marie est assez près et c’est moi qui écarte mes cuisses, je les pose sur ma chatte.
• Tu vois, la belle pute que j’aie faite de Sophie, elle en redemande !
Si tu savais les décharges d’adrénaline qu’elle m’apportait chaque fois que nous baisions en sachant que dans ta cellule je te cocufiais !
On pourrait penser que dans la situation où je me trouve,seule ma survie m’importe. Mais quand ma chatte s’échauffe, c’est de l’amour que je ressens pour celle qui va m’ôter la vie...
C’est ce que me dit Marie débarquant pendant la nuit dans notre chambre et nous menaçant avec une arme munie d’un silencieux.
Elle est grimée pour ressembler à un homme avec moustache casquette et blouson comme en portent les jeunes barbouzes que l’on voit dans les films.
Elle se dévoile et je découvre que je me suis fait abuser par la sœur jumelle du jeune policier que Gratien a abattu pour couvrir sa fuite après le braquage du Crédit Agricole de Manosque, il y a six ans.
Six ans qu’elle peaufine sa vengeance en m’approchant pour mieux abuser mon homme et savoir où le trouver.
J’entends le bruit de la première détonation sourde quand elle lui tire une balle dans les couilles.
La peur me prend, car je comprends qu’elle a une dent tellement long contre nous que je suis certaine que la fin de ma vie est proche.
Ses couilles puis son pouce de pied quand elle tire sa deuxième balle.
• Merde, excuse, ton pouce, c’est une erreur de tir, je voulais te la mettre dans le mollet.
Peu importe, tu vas rester allongé à vie comme l’était mon frère au moment de sa crémation.
13, on peut encore s’amuser, ici on a le temps, je pensais vous tuer près du pénitencier, j’avais fait des repérages et j’avais trouvé une allée dans cette forêt où je vous aurais abattus puis mis le feu à la voiture.
Quand je t’ai accompagnée Sophie s’était pour t’amadouer espèce de saligaud.
Mais j’ai vu qu’il y avait des caméras de surveillance sur le parking de l’institution qui te protégeait de ma vengeance.
Trois personnes montant dans ma voiture sur le parking, deux cadavres avec balles et feu de joie.
La troisième, donc, moi, j’aurais été la tueuse alors que j’avais prévu que la police pense que c’était des tueurs venus du sud, Marseille par exemple, qui étaient venus se venger.
« Ploum »
• Aie...
• 12, tu es vraiment une petite nature, des témoins à ton procès on dit que Sylvain était resté stoïque lorsque tu lui as mis ta balle en pleine tête.
Certains ont dit, qu’au moment de filer avec ta moto, tu l’avais regardé pour voir si tu devais l’achever.
C’est à ce moment, certainement, que son visage donc le mien a été gravé dans ton esprit pauvre nase.
Tu sens mes balles, crois-tu que je doive te laisser en vie, sans tes couilles pour honorer celle que j’ai réussi à faire aimer les rapports lesbiens.
Tu as demandé un jour si elle te trompait après que j’ai amélioré son look, elle me l’a dit lorsque nous nous sommes retrouvées ce soir-là !
Regarde, tu viens tout juste de sortir de prison et tu la fais déjà pleurer.
Reconnaît ma chérie que lorsque je te caresse la chatte, c’est bien du plaisir que je te donne.
Il est vrai que je pleure, je vois la détermination qu’a mise Marie à monter ce scénario.
Pourquoi cache-t-elle qu’elle est une femme, ça m’intrigue, même si je sais que chaque fois qu’elle tire un coup et compte les balles restantes, les dernières d’entre elles seront pour moi.
J’ai traité son frère de petit con de flic, je comprends sa folie de vouloir le venger et à sa place je me vengerais en me logeant une balle entre mes deux yeux.
Tout ceci est ambigu, surtout lorsque tenant son arme de la main droite, sa gauche vient dans ma fourche chercher ce qu’elle a appelé mon clitoris lors de nos ébats au-dessus du club.
C’est drôle, j’ai peur, mais mon cerveau marche à cent à l’heure.
Je comprends qu’elle soit entrée sans bruit.
C’est moi qui lui ai donné un double de ma clef un jour où j’étais fatiguée des nuits presque blanches que je passais au club avant que nous fermions et que nous montions à l’étage.
À partir de ce jour, lorsque j’étais fatiguée, je la quittais et c’est elle qui me rejoignait ?
Elle me réveillait pour quelques minutes, des fois intenses, avant que je me rendorme, lovée dans ces bras.
Je repense à la date où cela s’était produit, c’est après qu’elle m’ait accompagnée et lue sur le parking.
Je comprends qu’elle l’avait fait pour observer la faisabilité de son plan dans la forêt.
Je suis sur d’une chose, je vais mourir, mais mon corps sera retrouvé sur ce lit et non cramé dans cette forêt.
« Ploum »
• Merde, 11, tu viens de perdre une épaule, quelle idée de bouger quand je caresse ma petite maîtresse.
Si tu savais comme elle apprécie quand je la prends en levrette avec l’autre Gratien, celui dans sa table de nuit !
Tu te rends compte, avec ta connerie, qu' il y a six ans, tu as empêché mon frère de vivre et de me donner des petits-neveux, mais tu l’as laissé en plan sur son début de vie sexuelle.
Il allait commencer sa vie d’homme comme agent de la force publique et sa vie avec Ludivine, la petite qui est restée prostrée tout le long de ton procès.
Regarde ce que j’ai à sa disposition dans nos ébats tous les soirs.
Marie ouvre la braguette de son pantalon d’homme et nous montre l’olisbos qu’elle a fixé autour de sa taille.
Je le croyais dans ma table de nuit, mais elle a dû le récupérer lorsqu’elle a su que Gratien allait sortir.
• Vous devez vous demander pourquoi j’ai ce godemichet autour de mes reins.
Regardez quand je le rentre, la belle bosse que cela présente.
Au pénitencier, les caméras m’ont emmerdé, ici aussi.
Pour monter chez toi, la caméra placée au coin de ta rue et de la place Carnot, m’a posé problème, j’ai cru que j’allais être obligée une nouvelle fois de trouver un autre plan.
Ce déguisement m’a apporté la solution.
Nul doute que les amis de mon frère vont étudier les bandes vidéo et s’ils font un gros plan sur le bas de mon corps, cette bite leur confirmera que c’est un homme qu’ils doivent chercher.
Bébé, tu te souviens la première fois où j’ai dû te dire de te mettre à quatre pattes pour être en levrette.
• Oui, Marie, je t’en supplie épargne moi, j’étais jeune quand c’est arrivé, maintenant j’ai mûri.
• Je vais chialer ma poule, mets-toi au bord du lit et présente moi ton cul.
Si j’avais su j’aurais amené notre martinet, Gratien, dommage pour l’état où je te mets, si tu savais comme elle aime se faire flageller le cul.
Elle a dû oublier de te dire cela au parloir et aussi que je tiens un club lesbien où nous nous sommes éclatées toutes les deux.
Cocu, mais cocu par une femme, ça c’est ballot, avant que je t’achève ce sera ma plus grande vengeance.
Savoir que dans ta cellule, tu t’astiquais le manche, bien mal en point sur les draps, en défonçant la chatte de ta petite pute, ça me faisait jouir.
Tu vois, ta bite aurait pu lui défoncer l’anus, c’est moi qui vais avoir le plaisir de le faire.
Comme je suis placé, je sens le gland du faux sexe se positionner et d’un grand coup me défoncer l’anus.
• Ah, ah, ah, ah !
• Quatre coups et quatre ah !
Dans l’état de souffrance où tu es, Gratien, il t’est impossible de voir mon sexe bien au fond de son petit trou.
Je sais Sophie, ça fait mal, hélas, si tu avais vécu tu aurais su qu’il était possible de finir par jouir de ces pénétrations.
Me disant cela, elle pose le bout de son silencieux sur l’arrière de mon crâne.
Prise par le cul, une arme me menaçant la tête, dans mon corps les choses s’accélèrent.
• Marie, j’ai honte, mais continue, caresse-moi le clitoris, je vais jouir, je jouiiii.
Je dois être dans un monde de fous, mon homme est en train de mourir et moi j’ai des rapports avec celle que je considérais comme mon amie et qui va m’ôter à coup sûr la vie.
• Bon , j’ai bien ris, si toi tu as joui Sophie, voire ce petit connard pisser son sang mais assez lentement, me fait jouir, moi aussi.
C’est toi connard qui va décider de la vie ou de la mort de celle que je viens de défoncer et comme la salope que j’en ai faite, a joui du cul après sa première pénétration.
J’aurais dû l’enculer plus tôt.
Je retombe sur mon dos, j’ai honte d’avoir joui.
• Tu m’entends petite fiente, bas des cils si tu comprends ce que je te dis.
Je suis dans l'impossibilité de voir s’il lui répond, j’attends le coup de grâce.
Je suis de nouveau allongée près de Gratien, qui semble sous le choc le peu que je le vois.
Est-ce l’instinct de survie, mais la main non armée de Marie est assez près et c’est moi qui écarte mes cuisses, je les pose sur ma chatte.
• Tu vois, la belle pute que j’aie faite de Sophie, elle en redemande !
Si tu savais les décharges d’adrénaline qu’elle m’apportait chaque fois que nous baisions en sachant que dans ta cellule je te cocufiais !
On pourrait penser que dans la situation où je me trouve,seule ma survie m’importe. Mais quand ma chatte s’échauffe, c’est de l’amour que je ressens pour celle qui va m’ôter la vie...
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