COLLECTION VENGEANCE. Perdu en mer (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Perdu en mer (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Perdu en mer (1/2)
• Madame, êtes-vous Juliette Dubois ?
• Oui, c’est pourquoi ?
• Votre mari Jules Dubois est-il chez vous ?
• Non, monsieur le gendarme, il est parti avec son voilier pour le week-end en mer.
Je suis seule avec mon fils dormant dans sa chambre.
• Madame, j’ai le regret de vous annoncer que votre mari est perdu en mer.
Au petit matin un marcheur a vu un voilier échoué sur une plage de notre côte sans personne à bord et une voile hissée.
Il l’a affalé, mais a aperçu des traces de sang sur la bôme.
Le marcheur nous a appelés avec son portable, votre mari est certainement tombé en mer.
Nous sommes intervenus, nous avons regardé dans le poste couchette, nous avons trouvé ses papiers avec son adresse et une photo de vous avec votre nom.
À cette heure, aucun corps signalé, vous pouvez garder l’espoir.
S’il revient, pouvez-vous immédiatement nous prévenir.
• Bien sûr, monsieur le gendarme, je m’empresserais de vous téléphoner.

Lorsque j’écris mon histoire dix ans après le départ du commandant de notre poste de gendarmerie de Collioure, ce jour-là j’étais effondrée.
J’apprendrais plus tard que le Commandant Hubert fait partie de la caserne d’Argelès-sur-mer.
Effondrée, car je vivais avec Jules depuis trois ans et nous avions un bébé, une fille de six mois.
Julie est grande maintenant, mais se retrouver seule avec une enfant, votre mari disparu, j’ai été déboussolé.
Jules était au chômage sans indemnité.
Il avait décidé de sortir son voilier pour la dernière avant de le vendre pour récupérer un peu d’argent et nous permettre de vivre jusqu’à ce qu’il trouve un boulot.
Deux mois après, le voilier étant à son nom, il m’est impossible de le vendre, il faut sa signature et je suis sans ressource.
Bien sûr, impossible de payer mon loyer lorsque l’on sonne à ma porte.

• Madame Juliette, je suis monsieur Robert votre propriétaire, je viens pour le loyer.
• Mon mari a disparu en mer et tant qu’il sera porté disparu, je dois me débrouiller pour vivre.
Je voulais vendre le voilier, c’était notre seul bien, mais, ça m’est impossible, sans sa signature.
• Vous vous trompez, madame Juliette, le voilier est à moi, votre mari m’avait signé sa vente avant de prendre la mer une dernière fois.
Je vais être franc, dans la merde où il se trouvait votre mari s’est suicidé et a voulu faire passer ça pour un accident.
C’est vrai que vous êtes dans la merde, il m’avait déjà emprunté de l’argent, vous vous souvenez, la naissance de votre fils, vos trois ans de mariage et votre voyage au Portugal.
Il vous a fait connaître la grande vie alors que tout cela s’est fait avec mon argent.
Ajoutez à ça déjà, les six mois de report de votre loyer, plus les deux mois depuis sa disparition voyons.

Cet homme ayant la cinquantaine est laid à faire peur, il a sorti un petit carnet et l’a consulté.

• Ou là là, veux-tu la somme, laisse-moi rentrer, on va pouvoir s’arranger.

Je l’ai laissé entrer, ce fut le début de mon calvaire, le tutoiement aurait dû m’avertir.

• Tu sais, ce loyer est ma retraite pour vivre, je vais être obligé de te mettre à la porte avec ton bébé.
• Qu’allons-nous devenir ?
• C’est ton affaire, bien qu’il y ait une possibilité, tu sais, je suis un homme qui vit seul.

Très vite, j’ai compris ce qu’il voulait et moi comme une sotte que j’étais, j’ai cru que mon ardoise serait effacée.

• Tu suces divinement Juliette, à partir de maintenant, chaque fois qu’on sonnera à ta porte, tu ouvriras et tu offriras ton cul au client qui se présentera.
Je te fournirais les clients, il te suffira d’écarter les cuisses pour les satisfaire, je tiendrais les comptes, tiens voilà 500 € pour tes premiers frais.
Déshabille-toi, je voudrais admirer ton joli petit cul, ton mec est parti depuis assez longtemps, je suis sûr que ta chatte baille d’envie.

Cette première fois après la fellation, il m’a empalé sur la table de la salle à manger que nous avions achetée avec un crédit revolving et dont il me restait trois traites à payer.
Il était derrière moi sa figure à hauteur de mon cou, je sentais son odeur fétide.
Je vais être honnête, je suis très sensible de la chatte et surtout du clito, il a passé sa main et me l’a pincé, me faisant partir dans une jouissance inutile à cacher au cri que je poussais.

• Tu vois, j’avais raison, nos clients vont être satisfaits d’avoir une jolie petite pute comme toi.

Il m’a quitté, c’est le lendemain que l’on a sonné.

• C’est encore moi, je connais mes appartements et je te fais livrer un lit que tu vas mettre dans ta salle, ta fille devant dormir dans ta chambre.

Deux livreurs l’ont installée et sont partis.

• À poil, on va l’essayer !

Pour essayer, on a essayé, ce fut la première fois de ma vie, mais, hélas, loin d’être la dernière, qu’il s’est permis de m’enculer bien sûr, sans rien me demander.
Lorsqu’il m’a fait placer en levrette position que je prennais souvent avec Jules, car il aimait me prendre comme ça, je pensais que ce salopard de proprio en voulait à ma chatte, la surprise a été totale.
Sans me demander si cela m’avait fait mal, il s’est mis à me pilonner avec de grands coups me faisant hurler, mais là de douleur.
Dans les jours et les semaines qui ont suivi, le nombre de bites de clients voulant passer par ma petite porte fut légion.
Comme à mon habitude pour mon clito, mon anus s’est habitué.
Je peux reconnaître quand plus de ma dette qui je le pensais réduit à chaque passe que je faisais, j’y ai pris quelquefois du plaisir.

Mais revenons au lendemain de la livraison de ce lit, outil de travail pour celui qui devenait mon souteneur.
Monsieur Robert m’avait expliqué qu’il me trouvait mes clients, sans m’expliquer comment et qu’il s’occupait de la partie financière.
J’avais seulement le droit de les satisfaire par tous les moyens possédés par une femme, c’est pour cette raison qu’il m’avait sodomisée.
Il me tolérait de prendre les pourboires, signe de satisfaction d’un travail bien fait et aussi du retour rapide de ce client.
Ce lendemain donc, il était onze heures quand on a sonné, je donnais le sein à Julien.
En aparté, ce fut le dernier jour où il a profité de mon lait, car les clients arrivaient à toutes heures et il était plus facile de le nourrir avec des biberons.

Fellation, sodomie, en levrette, j’ai même eu droit à une double pénétration lorsque ce sont deux jeunes que j’ai dépucelés par la même occasion.
Rapidement je me suis aperçu que c’était des travailleurs espagnols qui venaient se servir de ma chatte et de mes autres trous.
Parmi eux, il y avait des Arabes, travaillant chez des maraîchers et cueillant des fraises, puis des fruits ainsi que d’autres melons.
À l’école j’avais appris que Charles Martel avait arrêté les Arabes à Poitiers, moi s’était à Collioure que je les arrêtais avec mon cul.

Monsieur Robert venait de temps en temps prendre de mes nouvelles, un jour j’ai désiré faire le point, je suis tombée des nues.
Il comptait tout, le loyer bien sûr, la nourriture que je devais commander à un petit épicier non loin de chez moi qui m’amenais le pain.
Même les boîtes de lait pour bébé il savait combien Julien mon fils en consommait par mois.

• Petite sotte, tu crois que je suis un philanthrope, cette argent et ces frais que tu engendres avec ton fils, c’est à un taux à deux chiffres que je te les facture.
Tient, tu es une bonne gagneuse, je vais te faire une fleur, je te ramène ce taux à 9%.
Tu pourras dire que je suis un mec bien qui a su prendre soin de toi.
Allez à poil, fais-moi voir la reconnaissance que tu as pour moi.

Ma reconnaissance s’était comme si monsieur Robert était un client supplémentaire, ce 1% de remise je l’ai payé avec sa bite dans ma bouche puis mon cul.
Chaque fois qu’il venait, j’y avais droit et suprême dégout pour moi, il passait sa verge de mon anus à ma bouche sans me poser de question si j’appréciais.
J’étais devenue sa chose.

Environ un an après, je me souviens, mon fils Julien fenait de faire ses premiers pas et j’attendais que ça sonne.

• Bonjour, madame Juliette, vous me reconnaissez, je suis le commandant de gendarmerie Hubert qui est venu vous annoncer la disparition en mer de votre mari.
• Qui pourrait oublier ce genre d’annonce, l’avez-vous retrouvé ?
• Un an après, perdu en mer, ce serait étonnant, non, il s’agit de monsieur Albert votre propriétaire !
Depuis combien de temps l’avez-vous vu ?
• Il y a quatre jours, il est venu pour le loyer, nous avons pris un café et il a joué avec mon fils Julien !
• J’ai le regret de vous annoncer qu’il est mort, au premier abord, il s’est suicidé d’une balle dans la tête.
Il a laissé une lettre sur sa machine à écrire, disant qu’il vous aurait maltraité.
Il vous fait héritière de tous ses biens.
Mais...

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