COLLECTION VENGEANCE. Un réveillon de Noël finissant mal (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Un réveillon de Noël finissant mal (2/2)
Je suis en famille avec Antoinette, ma jeune femme de 23 ans et ses parents Charles et Babette sa maman.
Lorsque à plusieurs reprises, son portable vibre et que je m’aperçois qu’elle enlève les messages sans les lire, intrigué je l’interroge.
Elle essaye de se disculper en me montant un baratin de messages envoyés par le journal le progrès, quotidien de notre région.
Je finis par m’emparer du portable pour découvrir qu’en fait de journal, c’est son amant qui lui écrit.
J’ai 25 ans et elle finit par m’avouer que le juge d’instruction qu’elle sert comme greffière la saute sur son bureau.
J’ai la douloureuse impression qu’elle se fiche de ma gueule en me faisant encaisser la paternité d’un autre.
Elle dans notre chambre, mes beaux-parents dans la leur après que j’ai dévoilé les frasques de Babette avec tout ce qui bouge à sa portée depuis des années, le calme revient dans notre maison.
C’est en jouant au Chromino, que je trouve la conduite à tenir.
Le lundi matin, je prends la décision finale.
Plus de bruit côté beaux-parents, je retrouve Antoinette dormant en chien de fusil dans notre lit.
Je vais dans son armoire et je prends sa robe rouge ressortant sans bruit et refermant la porte à double tour.
Lorsque je l’enfile, je suis un peu engoncé ma femme ayant presque les mêmes mensurations que moi, nous échangeons nos tenues de jogging.
J’ajoute seulement mes trainings rouges, je fais du 43 et elle de 38, à la place de ses talons hauts.
Mais au volant de sa voiture qui ira voir ce détailArrivé au Palais, grâce à sa carte magnétique, j’entre dans le parking.
C’est facile, je sais que cette carte elle la laisse toujours dans son pare-soleil.
« Juge Alfred »C’est une place ou une pancarte me dit qu’elle est réservée à mon cocufieur.
Je me gare sur la place libre à côté et j’attends.
Comme tous ces hommes de loi, il est précis et je vois sa voiture se garer sur son emplacement.
Je descends à mon tour et je vais à sa rencontre.
• Alfred, tu sais qui je suis, je suis la petite bite que tu as faite cocu avec Antoinette, ma femme.
• Que me voulez-vous, pauvre merde, ta femme je lui ai fait un gosse et elle va venir vivre avec moi.
• Pauvre merde toi-même, si tu veux ma femme, avant il va falloir mettre ta tête sous sa jupe comme tu as promis de le faire dans tes SMS.
Seulement, c’est ma queue que tu me suceras.
Je sors de derrière de mon dos, le couteau qui devait me servir à découper la dinde.
Je vois ce que j’espérais dans ses yeux, la peur.
Il s'agenouille, soulève ma robe et un fait que je suis obligé de révéler, je bande comme un malade.
Cet homme qui m’a tout pris lorsque sa bouche entre en contact avec ma bite, je suis à deux doigts d’envoyer la purée.
• Caresse-moi les couilles, et avale tout, pauvre fiote.
Il s’exécute et au moment où je décharge dans sa bouche, je lui plante ma lame par le côté, je crève cette immonde saloperie.
Une voiture entre dans le parking, en quelques secondes, la sûreté intervient et je me trouve ceinturé.
Deux ans après, je passe devant mon juge dans une autre juridiction.
Mon avocat craignait la solidarité entre collègues et celui crevé à mes pieds.
Ça peut aller jusqu’à trente ans pour meurtre avec préméditation, le couteau apporté montrant que je savais ce que je faisais.
Dès que j’ai été incarcéré, j’ai tout dit au policier, ils se sont rendus chez moi.
Si mes beaux-parents semblaient être calmés, c’est que Charles avait fini par étrangler Babette.
Il attendait qu’on vienne le chercher couché à ses côtés et lui aussi s’est retrouvé en préventif.
Mon avocat s’est renseigné, après ce que j’avais dévoilé à la police, il a été classé en meurtre simple et en a pris pour cinq ans.
Bien sûr, je leur ai expliqué pour le bébé à naître, je pensais que l’ADN de mon cocufieur me servirait d’alibi pour ma colère apprenant que ma femme s’était fait engrosser par ce fumier.
Mon juge d’instruction a attendu sa naissance puisque son père présumé était mort et que moi j’étais dans l’impossibilité de me sauver.
Un test dans le ventre de la maman présentant des risques pour le bébé.
Les tests ADN ont parlé.
Adrien, c’est le nom que sa mère lui a donné, est bien mon fils même si j’étais cocu.
Ma défense tombait à l’eau.
Les juges entre eux sont très solidaires malgré le changement de juridiction et j’en ai pris pour 20 ans.
C’est au bout de 12 ans que j'ai fini par sortir.
Charles est mort pendu dans sa cellule, il semblerait que malgré ses turpitudes, il aimait Babette.
Quant à moi, j’ai fait des études d’informatique en prison sans jamais recevoir la moindre visite.
Remise de peine, pour mon bon comportement et dans mes quelques sorties avant libération totale.
Je suis propriétaire d’une société de conception de sites pour les entreprises sur Internet.
En ce moment, je suis à Clairefontaine au centre de formation pour les jeunes footballeurs.
Adrien est sélectionné pour la première fois dans l’équipe de France U15.
Inutile de me demander ce que veut dire U15 à part le 15 qui est l’âge de ces garçons.
Mon fils ignore ma présence et bien sûr mon existence.
Inutile d’essayer de me faire connaître, qu’a pu expliquer sa mère sur moi ?
Antoinette est magnifique dans la plénitude de son âge même si je la vois de loin au travers de lunettes de soleil, une casquette sur la tête.
Dans ses jambes, j’aperçois un gamin d’environ deux ans.
En prison, j’avais reçu la visite de son avocat, nous avions divorcé d’un commun accord.
Elle doit être remariée, car un homme est à ses côtés et encourage Adrien comme s’il était son fils.
Lorsque je suis sorti de prison, c’est mon fils que j’ai recherché alors qu’Antoinette avait pris la poudre d’escampette, certainement pour mieux se reconstruire.
Grâce au bas de laine que mes sites me rapportent, j’ai pu me payer un détective privé pour le retrouver.
• Votre fils joue-t-il parmi les joueurs de l’équipe de France ?
• Oui, le numéro 9, il a déjà marqué 2 buts !
Et votre fils joue-t-il aussi ?
• Si votre fils, est à l’avant, le mien est à l’arrière, c’est le gardien de but, il a déjà fait deux parades magnifiques !
• Oui, il est très bon et je l’ai applaudi quand il les a faits.
• C’est pour cela que je me suis permis de vous interpeller.
Je prends conscience que la femme à mon côté est très jolie, la quarantaine comme moi, du moins l’approchant, on voit qu’elle a vécu à ses pattes aux coins de ses yeux.
Elle est blonde comme les blés avec des yeux bleus.
• Je viens voir mon fils, malgré qu’il vive avec sa mère, nous avons divorcé.
Et vous, votre mari, il vous attend à la maison.
Elle part d’un grand éclat de rire, faisant rayonner son visage, je suis séduit.
• Mon mari, comment, dit-on, à oui, je suis fille-mère depuis le soir de Noël où j’ai annoncé à mon compagnon que nous avions conçu Aurélien.
Il est resté le dimanche, nous avons même fait l’amour comme pour me dire bye-bye et après, il s’est tiré.
Si son fils joue en U15 appellation de sa catégorie, le hasard fait drôlement les choses.
Celle dont à ce moment j’ignore le nom voyait son compagnon disparaître le même jour où je tuais ce fumier qui m’avait volé ma femme.
Je voyais là un signe du destin et surtout une jolie fille à mettre dans mon lit.
Depuis que j’ai été libéré, je fais appel à des professionnelles pour me satisfaire, en prison, c’était la veuve poignée.
Ça m’a été facile, j’ai créé un site d’escorte leur permettant de trouver des clients sans prendre de risque avec la maréchaussée.
Mais après avoir tiré des coups rapides et tarifés, j’aspire à plus de tranquillité, je décide de faire le grand saut.
• Cunégonde, voulez-vous dîner avec moi ce soir ?
• Cunégonde, ai-je une tête à m’appeler par ce nom, pour le dîner, impossible, j’ai promis à l’homme de ma vie de passer la soirée avec lui.
Par compte, si vous m’appelez Adeline, il se peut que demain soir, je sois disponible, Zéphirin.
• C’est vrai Adeline, si j’ignorais ton nom, tu ignores le mien, c’est peu différent de Zéphirin, mes parents paix à leur âme m’ont appelé Jules.
• Adeline, c’est banal, Jules, c’est magnifiquement moderne.
• On peut savoir qui est l’homme avec lequel tu vas passer ta soirée !
• Aucun problème, c’est un certain gardien de but qui vient de gagner deux à zéro, deux buts de ton fils, qui vient de rejoindre le mien, ils viennent vers nous.
En effet, les deux garçons approchent se tenant par le cou.
• Maman, ce soir, Adrien peut-il manger avec nous, sa maman qui est là-bas avec une petite fille, est d’accord, car avec son mari ils sont dans l’obligation de rentrer chez eux.
Je sais que tu voulais manger en tête à tête avec moi, c’est parti remise, on aura bien d’autres occasions.
• Je veux bien, à une seule condition, Zéphirin ici présent est un ami.
• Bonjour, monsieur Zéphirin .
Me faire appeler Zéphirin par le fils d’Adeline passe encore, mais par mon propre fils me laisse tout chose.
• Je suis d’accord si tu acceptes qu’il mange avec nous à l’hôtel-restaurant où je vais passer la nuit après vous avoir raccompagné au centre de Clairefontaine.
• Zéphirin, quel drôle de nom, mais si Adrien est d’accord, j’accepte.
• Votre maman rigole, mon nom, c’est Jules et j’accepte de vous accompagner à une seule condition, c’est de régler l’addition.
Pour la première fois, je serre la main de mon fils.
Il est deux heures du matin, j’ai mangé avec mon fils sans qu’il sache que je suis son père.
Adeline a compris que j’avais une relation bizarre avec lui et c’est de retour du centre où nous avons été dans mon auto reconduire les garçons que nous nous sommes retrouvées dans sa chambre.
Nous avons fait l’amour pour la première fois nous jurant que ce serait loin d’être la dernière.
À deux heures, j’ai ouvert la demi-bouteille de champagne aux frais dans le petit frigo et je lui ai expliqué qui je suis et d’où je viens après mon meurtre de sang-froid.
Elle aurait pu me foutre dehors, mais c’est en levrette que je la prends après qu’elle m’ait sucé en me mettant du champagne sur la queue.
Ce matin, avant de reprendre la route, nous promettant de nous revoir le week-end prochain, les garçons jouant en Espagne, je l’ai vu partir au volant de sa petite voiture.
Pour ma part, je monte dans ma grosse berline pour rejoindre ma boîte, persuadée que ma vie vient de prendre un nouveau départ.
Une seule difficulté, comment me faire reconnaître par mon fils, mais je suis un éternel optimiste et aidé par celle que je vais épouser, qui vivra, verra.
Lorsque à plusieurs reprises, son portable vibre et que je m’aperçois qu’elle enlève les messages sans les lire, intrigué je l’interroge.
Elle essaye de se disculper en me montant un baratin de messages envoyés par le journal le progrès, quotidien de notre région.
Je finis par m’emparer du portable pour découvrir qu’en fait de journal, c’est son amant qui lui écrit.
J’ai 25 ans et elle finit par m’avouer que le juge d’instruction qu’elle sert comme greffière la saute sur son bureau.
J’ai la douloureuse impression qu’elle se fiche de ma gueule en me faisant encaisser la paternité d’un autre.
Elle dans notre chambre, mes beaux-parents dans la leur après que j’ai dévoilé les frasques de Babette avec tout ce qui bouge à sa portée depuis des années, le calme revient dans notre maison.
C’est en jouant au Chromino, que je trouve la conduite à tenir.
Le lundi matin, je prends la décision finale.
Plus de bruit côté beaux-parents, je retrouve Antoinette dormant en chien de fusil dans notre lit.
Je vais dans son armoire et je prends sa robe rouge ressortant sans bruit et refermant la porte à double tour.
Lorsque je l’enfile, je suis un peu engoncé ma femme ayant presque les mêmes mensurations que moi, nous échangeons nos tenues de jogging.
J’ajoute seulement mes trainings rouges, je fais du 43 et elle de 38, à la place de ses talons hauts.
Mais au volant de sa voiture qui ira voir ce détailArrivé au Palais, grâce à sa carte magnétique, j’entre dans le parking.
C’est facile, je sais que cette carte elle la laisse toujours dans son pare-soleil.
« Juge Alfred »C’est une place ou une pancarte me dit qu’elle est réservée à mon cocufieur.
Je me gare sur la place libre à côté et j’attends.
Comme tous ces hommes de loi, il est précis et je vois sa voiture se garer sur son emplacement.
Je descends à mon tour et je vais à sa rencontre.
• Alfred, tu sais qui je suis, je suis la petite bite que tu as faite cocu avec Antoinette, ma femme.
• Que me voulez-vous, pauvre merde, ta femme je lui ai fait un gosse et elle va venir vivre avec moi.
• Pauvre merde toi-même, si tu veux ma femme, avant il va falloir mettre ta tête sous sa jupe comme tu as promis de le faire dans tes SMS.
Seulement, c’est ma queue que tu me suceras.
Je sors de derrière de mon dos, le couteau qui devait me servir à découper la dinde.
Je vois ce que j’espérais dans ses yeux, la peur.
Il s'agenouille, soulève ma robe et un fait que je suis obligé de révéler, je bande comme un malade.
Cet homme qui m’a tout pris lorsque sa bouche entre en contact avec ma bite, je suis à deux doigts d’envoyer la purée.
• Caresse-moi les couilles, et avale tout, pauvre fiote.
Il s’exécute et au moment où je décharge dans sa bouche, je lui plante ma lame par le côté, je crève cette immonde saloperie.
Une voiture entre dans le parking, en quelques secondes, la sûreté intervient et je me trouve ceinturé.
Deux ans après, je passe devant mon juge dans une autre juridiction.
Mon avocat craignait la solidarité entre collègues et celui crevé à mes pieds.
Ça peut aller jusqu’à trente ans pour meurtre avec préméditation, le couteau apporté montrant que je savais ce que je faisais.
Dès que j’ai été incarcéré, j’ai tout dit au policier, ils se sont rendus chez moi.
Si mes beaux-parents semblaient être calmés, c’est que Charles avait fini par étrangler Babette.
Il attendait qu’on vienne le chercher couché à ses côtés et lui aussi s’est retrouvé en préventif.
Mon avocat s’est renseigné, après ce que j’avais dévoilé à la police, il a été classé en meurtre simple et en a pris pour cinq ans.
Bien sûr, je leur ai expliqué pour le bébé à naître, je pensais que l’ADN de mon cocufieur me servirait d’alibi pour ma colère apprenant que ma femme s’était fait engrosser par ce fumier.
Mon juge d’instruction a attendu sa naissance puisque son père présumé était mort et que moi j’étais dans l’impossibilité de me sauver.
Un test dans le ventre de la maman présentant des risques pour le bébé.
Les tests ADN ont parlé.
Adrien, c’est le nom que sa mère lui a donné, est bien mon fils même si j’étais cocu.
Ma défense tombait à l’eau.
Les juges entre eux sont très solidaires malgré le changement de juridiction et j’en ai pris pour 20 ans.
C’est au bout de 12 ans que j'ai fini par sortir.
Charles est mort pendu dans sa cellule, il semblerait que malgré ses turpitudes, il aimait Babette.
Quant à moi, j’ai fait des études d’informatique en prison sans jamais recevoir la moindre visite.
Remise de peine, pour mon bon comportement et dans mes quelques sorties avant libération totale.
Je suis propriétaire d’une société de conception de sites pour les entreprises sur Internet.
En ce moment, je suis à Clairefontaine au centre de formation pour les jeunes footballeurs.
Adrien est sélectionné pour la première fois dans l’équipe de France U15.
Inutile de me demander ce que veut dire U15 à part le 15 qui est l’âge de ces garçons.
Mon fils ignore ma présence et bien sûr mon existence.
Inutile d’essayer de me faire connaître, qu’a pu expliquer sa mère sur moi ?
Antoinette est magnifique dans la plénitude de son âge même si je la vois de loin au travers de lunettes de soleil, une casquette sur la tête.
Dans ses jambes, j’aperçois un gamin d’environ deux ans.
En prison, j’avais reçu la visite de son avocat, nous avions divorcé d’un commun accord.
Elle doit être remariée, car un homme est à ses côtés et encourage Adrien comme s’il était son fils.
Lorsque je suis sorti de prison, c’est mon fils que j’ai recherché alors qu’Antoinette avait pris la poudre d’escampette, certainement pour mieux se reconstruire.
Grâce au bas de laine que mes sites me rapportent, j’ai pu me payer un détective privé pour le retrouver.
• Votre fils joue-t-il parmi les joueurs de l’équipe de France ?
• Oui, le numéro 9, il a déjà marqué 2 buts !
Et votre fils joue-t-il aussi ?
• Si votre fils, est à l’avant, le mien est à l’arrière, c’est le gardien de but, il a déjà fait deux parades magnifiques !
• Oui, il est très bon et je l’ai applaudi quand il les a faits.
• C’est pour cela que je me suis permis de vous interpeller.
Je prends conscience que la femme à mon côté est très jolie, la quarantaine comme moi, du moins l’approchant, on voit qu’elle a vécu à ses pattes aux coins de ses yeux.
Elle est blonde comme les blés avec des yeux bleus.
• Je viens voir mon fils, malgré qu’il vive avec sa mère, nous avons divorcé.
Et vous, votre mari, il vous attend à la maison.
Elle part d’un grand éclat de rire, faisant rayonner son visage, je suis séduit.
• Mon mari, comment, dit-on, à oui, je suis fille-mère depuis le soir de Noël où j’ai annoncé à mon compagnon que nous avions conçu Aurélien.
Il est resté le dimanche, nous avons même fait l’amour comme pour me dire bye-bye et après, il s’est tiré.
Si son fils joue en U15 appellation de sa catégorie, le hasard fait drôlement les choses.
Celle dont à ce moment j’ignore le nom voyait son compagnon disparaître le même jour où je tuais ce fumier qui m’avait volé ma femme.
Je voyais là un signe du destin et surtout une jolie fille à mettre dans mon lit.
Depuis que j’ai été libéré, je fais appel à des professionnelles pour me satisfaire, en prison, c’était la veuve poignée.
Ça m’a été facile, j’ai créé un site d’escorte leur permettant de trouver des clients sans prendre de risque avec la maréchaussée.
Mais après avoir tiré des coups rapides et tarifés, j’aspire à plus de tranquillité, je décide de faire le grand saut.
• Cunégonde, voulez-vous dîner avec moi ce soir ?
• Cunégonde, ai-je une tête à m’appeler par ce nom, pour le dîner, impossible, j’ai promis à l’homme de ma vie de passer la soirée avec lui.
Par compte, si vous m’appelez Adeline, il se peut que demain soir, je sois disponible, Zéphirin.
• C’est vrai Adeline, si j’ignorais ton nom, tu ignores le mien, c’est peu différent de Zéphirin, mes parents paix à leur âme m’ont appelé Jules.
• Adeline, c’est banal, Jules, c’est magnifiquement moderne.
• On peut savoir qui est l’homme avec lequel tu vas passer ta soirée !
• Aucun problème, c’est un certain gardien de but qui vient de gagner deux à zéro, deux buts de ton fils, qui vient de rejoindre le mien, ils viennent vers nous.
En effet, les deux garçons approchent se tenant par le cou.
• Maman, ce soir, Adrien peut-il manger avec nous, sa maman qui est là-bas avec une petite fille, est d’accord, car avec son mari ils sont dans l’obligation de rentrer chez eux.
Je sais que tu voulais manger en tête à tête avec moi, c’est parti remise, on aura bien d’autres occasions.
• Je veux bien, à une seule condition, Zéphirin ici présent est un ami.
• Bonjour, monsieur Zéphirin .
Me faire appeler Zéphirin par le fils d’Adeline passe encore, mais par mon propre fils me laisse tout chose.
• Je suis d’accord si tu acceptes qu’il mange avec nous à l’hôtel-restaurant où je vais passer la nuit après vous avoir raccompagné au centre de Clairefontaine.
• Zéphirin, quel drôle de nom, mais si Adrien est d’accord, j’accepte.
• Votre maman rigole, mon nom, c’est Jules et j’accepte de vous accompagner à une seule condition, c’est de régler l’addition.
Pour la première fois, je serre la main de mon fils.
Il est deux heures du matin, j’ai mangé avec mon fils sans qu’il sache que je suis son père.
Adeline a compris que j’avais une relation bizarre avec lui et c’est de retour du centre où nous avons été dans mon auto reconduire les garçons que nous nous sommes retrouvées dans sa chambre.
Nous avons fait l’amour pour la première fois nous jurant que ce serait loin d’être la dernière.
À deux heures, j’ai ouvert la demi-bouteille de champagne aux frais dans le petit frigo et je lui ai expliqué qui je suis et d’où je viens après mon meurtre de sang-froid.
Elle aurait pu me foutre dehors, mais c’est en levrette que je la prends après qu’elle m’ait sucé en me mettant du champagne sur la queue.
Ce matin, avant de reprendre la route, nous promettant de nous revoir le week-end prochain, les garçons jouant en Espagne, je l’ai vu partir au volant de sa petite voiture.
Pour ma part, je monte dans ma grosse berline pour rejoindre ma boîte, persuadée que ma vie vient de prendre un nouveau départ.
Une seule difficulté, comment me faire reconnaître par mon fils, mais je suis un éternel optimiste et aidé par celle que je vais épouser, qui vivra, verra.
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