COLLECTION VENGEANCE. Un si joli petit village (1/1) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
- Si je vous ai réuni ce soir dans le foyer rural de notre village, c’est pour vous montrer qui vous êtes et surtout qui vous avez été pour ma famille et pour moi.
Au début de ce film projeté par Juliette la réalisatrice vous verrez des images du passé.
Mon passé après l’âge de 12 ans où la noiraude, la girafe, en un mot l’affreux petit canard a été considérée jusqu’à l’âge de 16 ans, âge ou mon père l’Arabe, le bougnoul ou le crouille nous a emmenés loin de votre village.
Que personne dans cette salle interdite aux moins de 18 ans ne sorte.
Si ce film avait été distribué dans les salles, certaines scènes auraient été interdites par la censure aux mineurs, regardées ce qu’a été ma vie.
Entrons dans le vif du sujet.
Préalablement trois recommandations.
La première si je suis absente ce soir ce n’est pas par craindre de vous regarder en face.
Beaucoup d’entre vous savent que le mannequin que je suis est parti en urgence à Londres pour remplacer une collègue.
Elle est incapable de défiler pour donner suite à un accident pour la marque dont je suis l’une des égéries.
La deuxième, une grande partie de ce film ne va pas plaire à certains d’entre vous, n’est ce pas monsieur le comte Albert, maire de la commune.
Huguette la comtesse l’une de celles qui m’ont pourri la vie jusqu’au moment où l’Arabe a emmené sa famille.
En règle générale, les plus hauts responsables de votre conseil municipal ne sont pas exempts de tous reproches.
Exemple, Luc, fils de Léon quincaillier de notre village, lui aussi marié à Geneviève.
Adrien, fils de Serge, marchand d’électroménager, vieux garçon mais pas tant que ça.
Enfin, monsieur le curé prônant certainement au premier rang comme à son habitude.
Le curé celui qui depuis bien longtemps a rangé sa soutane et sa foi envers celui qu’il avait promis de servir dans la chasteté pour d’autres turpitudes.
La troisième, inutile de vous en prendre à Juliette qui vous projette ces images.
Elle n’a fait qu’un travail de montage sur celles que j’ai choisi pour vous montrer le font de ceux qui disent vous diriger.
Elle est simplement payée et ne mérite pas la moindre atteinte à son intégrité.
J’entends les murmures de certains, qu’est-ce que la noiraude ait pu inventer !
Rien, je n’ai rien inventé, je l’ai dit.
Tout commence à l’âge de 12 ans lorsque maman est revenue avec un Caméscope de la boutique de Serge en cette année-là.
Il nous a permis de filmer notre voyage sur la côte offert par le secours populaire régional.
La veille de notre départ, tellement excité d’aller voir la mer, je ne pouvais pas dormir.
J’ai entendu mon père être noir de colère, car il était persuadé que maman avait couché avec son patron contre le Caméscope.
Elle pleurait, connaissant bien mieux la vie maintenant, je suis certaine que c’était vrai.
N’est-ce pas Serge si vous êtes là dans la salle malgré votre retraite.
Bref, c’est grâce à ce Caméscope que je peux prouver ce que j’avance aujourd’hui en vous montrant des images que je filmais après ce voyage concernant mon père et ma mère ainsi que moi-même.
Voyez cette première scène.

« Alors, l’Arabe, comment va ta guenon ? »
- Vous voyez, c’est ce que j’ai filmé un jour sans que vous soyez conscient que ma caméra tournait.
Vous aviez pris l’habitude de me voir avec mon Caméscope car dans ces années-là, je disais que je voulais faire comme Juliette, réalisatrice de film.
Vous étiez hilare Huguette et Geneviève vous qui m’évitiez me traitant de grand échallia ou de girafe.
J’avais au même âge que vous une tête de plus.
À la puberté, vos seins ont poussé, je suis restée plate comme une limande.
Regardé le jour où l’un de mes trois frères, que vous appeliez les macaques, ont tourné au bord de la rivière le jour de mes 15 ans.
Cheveux poussant n’importe comment, la Franco Kabyle et ivoirienne que je suis était pour vous un affreux petit canard.
Quelque temps plus tard, j’ai déployé mes ailes et je me suis avérée un magnifique cygne chocolat clair.
À ce jour, la plupart d’entre vous savez que je suis l’un des plus grands mannequins défilant aux quatre coins du monde.
Ce que vous ignorez, c’est que Luc, votre quincaillier à appris que j’étais escorte girl.
Certains ou certaines comme Huguette et Geneviève diront que je suis une pute.
J’accepte ce terme bien que nous verrons que comme pute elle se pose là.
Bref quand le cygne est né, les hommes fortunés se sont intéressés à elle et comme elle était pauvre, elle a accepté sa nouvelle condition.
Inutile de s’étendre sur le sujet, vous allez voir que certains au conseil municipal l’ayant su par Luc l’ont invité à la ville voisine pour une nuit orgiaque.
Il faut dire que lorsque j’ai accepté le contrat pour 5 000 € la nuit, je savais qu’ils seraient quatre et aussi des femmes mais j’ignorais que je me retrouverais devant monsieur le maire et ses adjoints.
Inutile que je vous montre des images, il vous suffit d’imaginer.
Mais quand Huguette et Geneviève m’ont vu elles ont pâli d’envie devant celle que j’étais devenue.
Partie carrée comme il se doit, vous savez depuis le temps que je vais de ville en ville, de pays en pays, j’ai fait bien pire avec mon corps et oui mesdames vous qui pensez être de belles salopes dans le lit de vos maris ou de vos amants, il y a plus salope que vous.
N’est-ce pas Huguette, madame la comtesse que vous allez voir se faire prendre par Lionel son palefrenier lors d’une sortie à cheval dans les bois de votre mari.
J’étais là car j’avais décidé de venir dans notre village à l’invitation de ton mari.
Il avait bien aimé quand il m’avait baisé la première fois et il désirait repasser un moment avec moi.
Comment, je mens, je suis sûr que vous avez dit ça, regardez ces images ?
J’avais dans mon sac mon portable bien plus précis que mon Caméscope.
C’est dans son bureau qu’il m’a fait venir m’ayant en plus réservé une chambre dans l’auberge hôtel du village.
Voyez, les billets qu’il me donne, je les étale bien, 10 de 200, 2 000 € pour mon séjour plus les frais.
Je suis certaine, si vous contrôlez la compta de la commune que vous retrouvez cette dépense.
Je vous taquine, écouté ce que me dit monsieur le maire.

« Jennifer où je ne sais si je dois dire Émeraude, j’ai réussi à sortir ces 2 000 € pour que nous recommencions ce que j’ai beaucoup aimé lors de notre soirée avec nos femmes et mes copains. »
- Pris par la patrouille Albert et quand je le vois sortir sa bite si ridicule, je comprends qu’Huguette tu te fasses monter par ton palefrenier dans les bois comme je vous l’ai montré.
Eh oui, je suis une pute, en me traitant comme vous m’avez traité dans ma jeunesse vous avez déclenché en moi un sentiment de revanche sur vous tous.
J’ai profité de ce que monsieur le maire me payait pour dormir dans votre hôtel et pour rester quelques jours de plus et étudier la faune de votre commune.
Un exemple, 14 heures le lendemain, je filme en fixe, mais écoutez bien le son pris dans la chambre voisine.

« Geneviève, j’adore quand tu tortilles ton gros cul sur ma verge.
Luc ta queue est divin. »
- Luc le quincaillier, il baise Geneviève en partouze avec sa femme mais en plus, ils sont amants dans le dos du mari et de la femme.
Votre village, c’est cloche merle.
Enfin, j’ai parlé de monsieur le curé.
Il doit être vert s’il est resté pour savoir ce que j’ai découvert.
Je me promenais de droite et de gauche quand j’ai une nouvelle fois vu Huguette entrer dans l’église, regardez, j’ai déclenché la caméra de mon portable.
Je me suis glissée derrière elle, c’est dans la sacristie que vous êtes en train de la baiser alors qu’elle est agenouillée sur un prie-Dieu.
Quand j’étais plus jeune mais près de mes seize ans, vous m’avez caressé la tête lors d’une confession comme vous le faite avec elle, mais en plus avec votre queue dans sa bouche.
Dites-moi, monsieur le curée, combien de femmes ou d’hommes de votre paroisse baisez-vous ?
Regardez ces images prisent quelques heures plus tard.
C’est Albert et Serge qui sont avec vous, vous faites le petit train.
C’est comme ça que dans mon métier de pute vous appelez les images vous montrant la verge dans le cul de l’autre, monsieur le curé faisant la locomotive.
C’est Albert et Serge qui sont avec vous, vous faites le petit train.
Voilà mon film s’arrête là.
Monsieur le maire, quand on vous entend couiner, pris en sandwich vous semblez apprécier.
Quand vous rentrerez chez vous, j’ai fait un cadeau à chaque famille de mon ancienne commune.
Vous savez celle qui traitait mon père de bougnoule, ma mère de guenon.
En ce moment, une société que j’ai payée avec l’argent de monsieur le maire me baisant sur son bureau puis à l’hôtel de ville, vous distribue une cassette de ce film.
Enfin, comme aucun distributeur ne me produira, je mets ce film en ligne sur Internet.
La France entière verra preuves à l’appui ce village dirigé par une bande de queutards.

Voilà mon histoire, mais c’est trois ans plus tard que l’épilogue va survenir entraînant mon courroux.
Avec Juliette, qui est plus que la réalisatrice et la monteuse de mon film.
Nous étions et nous sommes amantes, c’est pour éviter qu’il l’écharpe que je n’ai rien dit lors de la projection.
Elle savait que j’étais escorte et elle sait que j’ai laissé tomber le monde des mannequins à la suite à ce film sur Internet.
Par compte mes contrats comme pute ont triplé.

Nous sommes revenues incognito dans mon village, elle tourne un documentaire « Trois ans après. »Le comte a perdu sa mairie au profit d’un copain de mon âge que j’ai connu à l’époque du Caméscope, il est agriculteur bio.
La quincaillerie est fermée ainsi que le magasin d’électroménager.
Leurs occupants mâles et femelles comme le comte et la comtesse se dépatouillent dans un procès pour détournement de bien sociaux.
La vue des 10 billets de 200 ayant attiré le contrôle des communes et ils semblent que ce soit bien plus que 2 000 € que ces fumiers aient détournés.

Pourquoi tant de haine, mon papa quelques semaines après notre déménagement a trouvé un arbre pour abréger sa vie et ma maman est morte de chagrins ?
Inutile de chercher comment Luc a appris que j’étais une escorte, je l’ai un peu aidée.
Toute cette haine valait bien une petite vengeance.

Combles de l’histoire, nous venons d’apprendre que le village aux dernières nouvelles, faisant écho à l’appel de l’état concernant les migrants.
La population par référendum vient d’accepter de prendre une famille et de tout faire pour qu’il s’intègre.
La France profonde n’est pas si mauvaise que j’aurais pu le croire ce qui a entraîné ma vengeance.