COLLECTION ZONE ROUGE. Addictions (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Addictions (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Addictions (1/1)
- BB, j’ai essayé de t’appeler sur notre ligne fixe, c’était impossible.
J’avais un disque me disant le manque d’abonner au numéro demandé.
- Je suis bête Marc, j’ai oublié de te dire que cette ligne je l’ai fermé.
- Pourquoi ?
- Depuis six mois que nous sommes mariés et que tu m’as demandé de m’occuper de nos dépenses bordéliques au point de te mettre dans le rouge tous les mois, j’ai travaillé pour faire des économies !
- Embrasse-moi Louise, j’ai bien fait de t’épouser, tu es la femme parfaite.
J’adore le parfum de ton chum gum à la menthe.

Marc me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement.
J’ai une libido assez débridée et j’aime quand ça commence comme ça.
Mais je tiens à lui faire voir la bonne gestionnaire qu’il a épousée.

- Attends, je t’explique.
J’ai pris une grande feuille, j’ai pris nos comptes, d’un côté recettes, de l’autre dépense.
Tu me suis.
- Bien sur BB.
- Arrête, je finis de t’expliquer après on va dans notre chambre, sur le canapé, sur la table de la cuisine et tu me prendras comme tu sais si bien le faire.
- C’est pour ça que je t’ai épousé mon amour.
- Voilà, dans nos dépenses, je vais te donner trois exemples de nos dysfonctionnements.
Le journal tu es abonnée depuis des années, ils me servent quand j’épluche mes légumes, Marc, depuis combien de temps, restent-ils dans la panière à journaux sans être lu ?
- C’est vrai, je m’étais abonné du temps ou je jouais au football, les convocations étaient dessus.
J’avais besoin de savoir l’heure du départ.
Pour le reste, le lieu du match en début de saison, le district nous donnait un tableau des lieux et des dates.
Depuis mon travail m’obligeant à partir du Dimanche soir jusqu’au vendredi comme aujourd’hui, j’ai arrêté de jouer sans arrêter l’abonnement.
- En moyenne 1 € en semaine, 1,5 € les dimanches avec les suppléments qui s’entassent dans notre garage, environ 400 € d’économie par an, la moitié d’une semaine de vacances.
L’autre moitié, c’est notre ligne fixe, nous la payons sans jamais nous en servir ou rarement.
Je l’ai donc clos, nous avons nos portables même si deux fois tu m’as appelé, comme hier, j’étais en panne de batterie.
La troisième, mon forfais, j’avais un portable avec beaucoup d’option, j’ai changé d’opérateur, il nous coûte 2 € par mois.
Tu vois, je fais, moi aussi des efforts, au total 1 200 € de gagner chaque année.
100 par mois, nous sommes en équilibre.
Et si nous allions prendre un bain, tu sens la sueur et tu sais que j’ai horreur de ça.

C’est ainsi que j’arrive à embobiner Marc, la ligne de téléphone étant un obstacle à mon addiction.
Je suis alcoolique.
Ça a commencé à dix-sept ans, Josette une amie m’a invité chez elle, elle travaillait déjà étant un peu plus âgée et avait son logement en ville.
Je la connaissais du temps ou moi aussi je faisais du sport, de la gymnastique aquatique comme dans le film « Le grand bain ».
Jusqu’à ce jour, l’alcool m’était inconnu, elle a voulu que je boive un verre de Martini.
J’ai aimé, est-ce la bouteille que j’ai presque sifflée, mais je me suis retrouvé dans son lit à me faire bouffer la chatte.
J’ai aimé, j’étais vierge et ce sont ses doigts qui m’ont défloré.
Inutile de me demander si j’ai eu mal, le lendemain quand j’ai émergé j’avais une gueule de bois qui a duré trois jours, ma tête allant éclater.
Pendant deux semaines plus une goutte, jusqu’à son anniversaire où elle a voulu que je reprenne un verre.
Même produit, mais à la longue plus de maux de tête.
J’avais de l’argent de poche, je buvais en cachette à la maison dans ma chambre.
J’amenais deux ou trois bouteilles quand maman était absente que je cachais dans un faux placard que mon père avait fermé par des aimants.
Tous l’avaient oublié sauf moi qui l’ouvrais pour boire un petit coup.
Entre ce moment et le moment où j’ai réussi à arrêter, ce sont des alcools bien plus fort que je buvais, whisky, vodka, voire du cognac que j’appréciais beaucoup.
Je me donnais comme motif que je buvais Français étant ainsi une poivrote mais française.
J’ai été obligé d’arrêter mes études, pour moi aussi travailler, mon état que je cachais à merveille à tous m’empêchant d’étudier.
Hélas, le marché du travail posait quelques problèmes et je restais à la maison.
Je venais de rencontrer Marc un jour où j’étais sobre et rapidement je suis tombée amoureuse.
Il me satisfaisait pleinement, au lit, c’était un sacré baiseur, j’ai beaucoup aimé sucer sa verge d’un bon calibre.
J’ai arrêté de boire jusqu’à cette semaine, ou il m’a quitté pour faire sa tournée comme je l’ai dit du Dimanche soir au vendredi soir.
Il venait de trouver un poste de technicien du service matériel dans une société américaine bien connue qui s’occupe de produit argentique.
Il entretient les machines chez les labos de développement privés ou hôpitaux.

C’est le deuxième jour où j’étais seule alors que Marc était à Clermont-Ferrand que j’ai craquée.
Au départ, je suis descendue acheter une bouteille, je me cuitais et je jetais les cadavres avant son retour, mangeant de la menthe pour cacher tous goûts de ce que je buvais.
Il me fallait des doses de plus en plus fortes, d’où notre problème de budget que j’ai résolu jusqu’à la semaine ou j’ai trouvé un autre moyen de boire gratuitement.
Je me rends dans un bar dans une petite rue discrète à deux pas de chez nous.
J’étais au bar dans ma tenue la plus sexy.
J’avais mis mon porte-jarretelle maintenant mes bas que je montrais à l’homme à mes côtés.

- Je vous offre un verre mademoiselle.
- Merci, c’est sympa.

J’ai bu, un, puis deux whiskys.
Je me suis levée pour partir, l’homme m’a retenue par le bras et m’a parlé à l’oreille.

- Salope, tu m’allumes, je te paye deux verres et tu te tires en me disant simplement merci.
Viens dans ma chambre, je suis dans l’hôtel voisin, je vais te baiser.

C’est comme ça que la première fois, j’ai été obligé de craquer surtout quand il a parlé au serveur.

- Vendez-moi une bouteille de whisky.

Le gars lui a vendu et moi pour un verre de cette bouteille de whisky, j’ai commencé à me vendre.
Dès que nous avons été dans la chambre, j’ai voulu un verre.

- Tu rigoles, tu baises, je te récompense, si je te donne à boire, tu vas être saoul et t’endormir.

Il a raison, souvent quand je picole, je m’endors assez rapidement.
Ça été le cas le jour de mon mariage, j’avais beaucoup bu, de champagne.
Même si je dansais avec les témoins de mon mari de façon assez impudique, je me suis donnée à lui sans bien me rendre compte que pour la première fois les doigts de ma copine étaient remplacés par une queue.

- Suce salope.

C’est ce que m’a demandé le garçon dont j’oublierais à jamais le nom.
Je me suis retrouvé sa bite en bouche, aucun problème, sucé chatte et verge, je faisais ça très bien à ce que l’on m’en disait.
Sucer, puis simplement ma petite culotte enlevée avant d’écarter les cuisses.
Au matin, je me suis retrouvée seule quand on a frappé à la porte pour faire la chambre.
Rentrée à la maison, j’avais un message de Marc me disant qu’il avait appelé pour prendre de mes nouvelles.
Un simple SMS d’excuse a réglé le problème.
Putain de problème de batterie.
Le lendemain et tous les jours de la semaine avant son retour, j’ai pris des bitures mémorables et des sexes en moi à différents endroits.
Je me vendais une nuit pour une bouteille de whisky.
Un verre de vodka et je descendais dans les chiottes sucer celui qui me l’avait offert.

Le barman voyant la chienne que je devenais a voulu, lui aussi profité de la situation.
Il avait un lit à l’arrière de son bar où il dormait quand il était trop fatigué pour rentrer chez sa femme.
Il venait préparer son bar à 17 heures, j’étais là, il m’offrait mon premier verre.
En échange, c’est en levrette que je me plaçais sur son lit.
Position qu’il affectionnait et qui me permettait de boire le verre qu’il m’avait donné pendant qu’il me pilonnait.

Dès que Marc était présent, je devenais sobre, jusqu’à son départ ou je replongeais dans ma débauche.
Un matin, je me suis regardé dans ma glace, je me suis fait peur.
J’allais me retrouver à tapiner, inexorablement Marc allait s’apercevoir que je buvais mon visage se marquant de plus en plus.

Alors c’est décidé, comme ceux qui fument, je décide que l’alcool s’est terminé.
Plus un verre, juste de sodas, grâce à une association d’alcooliques anonyme qui m’aide ?

- Louise venez recevoir votre médaille dès un an à rester sobre.

Je suis seule quand je la reçois, je suis venue toute l’année, Marc ignorant quoi que ce soit.
Le soir je vais fêter ça.

- Je vous offre un verre mademoiselle.

Jacques, le barman se marre, il connaît ma réponse.

- Monsieur un soda si vous voulez, mais si vous préférez aller ou vous voulez me baiser, je suis partante.

J’ai arrêté de boire, c’est vrai, mais je suis de plus en plus dépendante du sexe.
De mon sexe.
Il me faut ma dose de baise dès que Marc est parti même si pendant le week-end il m’en a mis plein la chatte.
Jacques a toujours mes faveurs, à ce jour, c’est le mieux monté de tous.
Il m’a même appris la sodomie me permettant en m’éclatant l’anus de le faire avec Marc pour son plus grand plaisir.
Cette semaine, j’ai même fini ma nuit dans la chambre d’une femme de 58 ans de passage chez nous.
Elle travaille dans une entreprise de transports comme secrétaire et était là pour une formation.
J’ai retrouvé mes jeux avec Josette.
Deux fois, j’ai baisé avec deux mecs, double péné, j’adore.
Si vous aimez, contactez-moi, je donnerais suite.

Je m’excuse, je suis prête à descendre, un regret à ce jour, aucun black à mon tableau de chasse, mais je garde le moral.
Marc venant de signer son CDI définitif de responsable du service de matériel sur le large secteur du centre de la France, environ 220 000 kilomètres carrés.
Plus besoin de chercher du travail, nos finances sont saines.
Seul mon addiction au sexe est un problème, mais pourquoi arrêter, des baiseurs, il y en a plein les rues.

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