COLLECTION ZONE ROUGE. Comment résister à de tels yeux ? Fin de l’histoire 1 (3/3) - histoire érotique

Voilà, c’est fait, le premier des salopards ayant causé la déchéance de mon frère est mort.
Du moins je le pense après qu’Alex soit redescendu du sixième étage où je m’étais rendue pour endormir Roméo, notre cible.
Certains diront la salope que je suis à m’être fait baiser par ce fumier, avant qu’Alex mon mari aille faire le nécessaire pour ma vengeance.
La tension exercée a été telle que je me donne à lui, pour le calmer, mais surtout, car j’aime le sexe et surtout le sexe hard, malgré mon jeune âge.

• Qu’a-t-il dit ?

C’est la seule chose qui m’importe et surtout comment les choses se sont passées.

• Comme nous l’avions prévu, j’ai allumé la lampe de chevet, dès que j’ai été dans l’appartement, j’ai ouvert mon sac, j’ai mis mes gants et j’ai pris mon couteau.
Il m’a reconnu, car il s’est défendu de t’avoir baisé sans ton assentiment.
Si j’avais ignoré que j’avais une femme semblant être une vraie petite pute se rendant chez des hommes pendant mon absence, les flots de paroles qui sortaient de sa bouche m’auraient édifié !
Je rigolais intérieurement qu’il pense que j’étais là, car tu avais couché avec lui.
Il me débitait des certitudes sur la salope que tu es, mais je voyais dans la froideur de ses yeux qu’il cherchait à se sortir de cette situation.
Je lui ai demandé s’il connaissait Arlette, il va de soi qu’il a essayé de me faire croire que non.
Je lui ai donné le nom de ton frère Yves et qu’il avait intérêt de reconnaître que ce salop faisait partie d’un réseau s’étant sorti de cette affaire sans que l’on sache pourquoi.
Il a acquiescé lorsque je lui ai parlé des deux frères jumeaux Silvio et Gaspar les deux vieux passant la drogue grâce à leur camping-car !
J’allais lui demandé comment et par qui ils avaient réussi à s’en sortir, mais il a eu un mouvement pour essayer de plonger sous son lit.

Là, moi j’ai la réponse, mais, hélas, je dois le garder pour moi.

• La lame de mon couteau était tellement assérée que c’est lui qui s’est tranché la gorge.
J’ai fait un bond en arrière, l’achevant au passage, mais évitant le sang qui a giclé.

Si vous saviez, le pied qu’à ce moment j’ai pris, plus fort que lorsque je me faisais enculer à l’annonce que ce mec avait certainement rejoint l’enfer par lequel mon frère était passé à cause de lui.
J’ai pris la queue d’Alex et je me suis penchée pour lui faire une fellation, dès qu’il a été assez tendu, je me suis empalée, montant et descendant sur son mât le plus vite possible.
Sur son mât, j’étais la voile qui flottait au vent, les marins ont dû lâcher les cordes qui m’arrimaient à lui, car je me suis mis à m’envoler au firmament de ma jouissance et de notre jouissance.
Le temps de nous retrouver à quai et je le suppliais de me dire ce qu’il avait fait.

• Une idée m’est venue, qui va te plaire, je voulais pouvoir te dire jusqu'où je me suis impliqué.
Je lui ai coupé les couilles et je lui ai mis dans la bouche.
• Oh ! chéri, tu as fait ça, quelle preuve d’amour tu me donnes, quand on le trouvera, les flics se poseront la question d’un tel geste.
Merci, je t’aime comme jamais.

Nous roulons dans les bras l’un l’autre nos bouches étroitement soudées, nos langues se trouvant et se retrouvant comme jamais nous nous étions embrassés.
Même si c’est douloureux, je me sépare pour savoir s’il a tout bien fait.

• Oui, j’ai récupéré son arme que je lui ai mise dans sa main avant un dernier regard, avant d’aller dans le bureau.
Tu avais raison, pour le 2 et le 4, j’ai eu peu de difficulté à trouver les deux derniers, 6 et 8.
Souvent les gens ont des idées simples pour éviter d’oublier, Roméo était de ceux-là, 2,4,6 et 8.
Dans mon sac à dos, il y a trois paquets de poudre blanche, certainement de la cocaïne.
Mais surtout des liasses de billets, environ 150 000 à 200 000 €, mon bébé.

Je me lève, j’ouvre son sac qu’il avait jeté au sol pour mieux me baiser et me faire jouir, évacuant le trop-plein d’adrénaline qui débordait de nous.
J’ai pris en main, le couteau qui était encore maculé du sang de ce fumier.
J’ai fait un geste dont j’ignorais être capable.
J’ai sorti ma langue et je l’ai nettoyé impeccablement.

• Je vais mettre cette saloperie dans les toilettes, mais nous gardons l’argent, il nous est impossible de le rendre sans nous découvrir.

Nous nous exécutons et nous allons prendre un bain.
Alex est appuyé et moi je suis dans ses bras mes fesses touchant sa verge.
Je l’ai bien calmé.

• Dis-moi, mon amour, quand tu redescendais, les cordes sont parties sur la gauche et tu es resté sans bouger, que s’est-il passé.
• Avant, dans l’appartement de Roméo au moment de repartir, je me suis souvenu qu’il fallait que je ferme les verrous, je suis allé le faire.
J’étais au bout de ma corde quand, passant de nouveau devant la fenêtre du cinquième, les deux couples sont entrés venant de la salle à manger.
La brune s’est mise dans un fauteuil, elle était nue.
La rouquine est entrée, elle était entourée des deux hommes d'environ la quarantaine et ils sont venus sur le canapé.
Nus aussi tous les trois.
La brune s’est mise à se caresser, elle était épilée, j’ai pu vérifier que la rousse était une rousse naturelle.
• Et que s’est-il passé, tu sembles gêné, le son de ta voix a changé.
• Ça se sent tant que cela, j’ai du mal à continuer de t’expliquer ce que j’ai vu !
• C’était dans notre contrat dès le début de nos rapports, je te disais tout et tu en faisais de même.
J’ai été loyale quand je t’ai expliqué tout ce que j’avais fait au sixième afin de pouvoir te permettre d’entrer par la fenêtre.
Qu’as-tu vu entre ces quatre personnes dans cette pièce ?
• Tu as raison, nous nous sommes promis de tout nous dire, la rousse, s’est mise à quatre pattes devant la brune et a commencé à lui sucer la chatte.
• Qui a-t-il d’anormal qu’une gouine suce la chatte d’une autre gouine.
• Tu as raison, ça c’est normal, mais après ça s’est emballé !
L’homme le plus maigre des deux a mis sa bite dans la bouche de la brune.
• Là, rien de bien différent à ce que je fais souvent avec toi, mon chéri, elle lui a fait une fellation.
• Oui, en regardant les trois se donner du plaisir le quatrième un peu plus ventru se caressait et s’est mis, lui aussi à bander.
• C’était certainement le mari de la brune, voyant sa femme sucer un autre, il est candauliste.
• Non, il est venu derrière la rouquine s’agenouiller et est entré en elle.
Comment et où, je l’ignore, l’angle était mauvais et j’avais peur si je me recentrais qu’il me remarque derrière ma vitre ?
• Il t’aurait peut-être demandé d’entrer !
• Et tu serais venue au parloir d’une prison m’apporter des oranges.
• Tu as raison, je suis ingrate avec toi mon amour.

Je sens qu’en repensant à ce qu’il avait vu, il bande de nouveau.
Je me lève, je mets ma chatte sur sa bouche et il me fait minette.
Je coule littéralement dans sa bouche lorsqu’il attaque mon clito.
En voulant plus, je me laisse tomber sur sa verge qui me pénètre sans que l’un de nous ayons le besoin de la saisir.
Je suis littéralement empalée sur mon mari.
Je l’embrasse à pleine bouche, je sens nos baves me tomber sur mes seins.
En peu de temps, j’explose sous les coups de queue de mon chère et tendre.
C’est en parfaite osmose que j’ai un orgasme en même temps qu’il éjacule me remplissant de son sperme et des cris que nous poussons ensemble.
Nous reprenons nos esprits, surtout moi qui tiens à savoir ce que me cache Alex et qu’il a vu dans ce salon entre ces quatre protagonistes.

• Tu crois t’en tirer en me baisant, que s’est-il passé dans cette pièce, je suis majeur et capable d’entendre bien des choses.
Tu m’as enculé tout à l’heure, comme je te l’avais promis.
Le gars a pris cette rouquine par la chatte, soit il l’a enculé, qui a-t-il d’anormal ?
• D’accord, le gars qui se faisait sucer, est passé derrière l’homme un peu plus ventripotent, s’est agenouillé et l’a pénétré.
Là, je suis sûr qu' il l’a enculé, sinon ou veux-tu qu’il ait mis sa bite.
• Ce gars était à voile et à vapeur, j’avais un cousin qui était marié et homo.
Il se vantait d’être bisexuelle.
• Il faisait le petit train, la rousse faisant la loco et le garçon au milieu faisait le premier wagon suivi du deuxième.
C’est pour cela que j’ai été long, tous ont joui surtout celui qui était au milieu, il a dû jouir par sa verge et par son anus, car à travers la vitre, il a hurlé de plaisir.
Ils ont fait comme nous tout à l’heure, je les ai vus se séparer et partir dans le couloir, certainement dans la salle de bain.
Tu as dû voir la lumière du salon s’éteindre et je t’ai rejoint avant que nous récupérions notre corde.
Viens, je suis crevé, allons-nous coucher.

Nous avons fait comme Alex le demandait, je l’ai essuyé, il m’a essuyé et repu de fatigue nous sommes allées nous coucher.
Ça fait deux jours, que nous avons repris notre vie normale, je suis allée dans le box que nous avons loué à ces fins.
J’y range le matériel d’escalade et les jolis billets qui vont être source de notre labeur, même s’ils ont été gagnés par cette équipe de salop qui a tué mon frère.
L’argent et l’odeur, il est bien connu que c’est bien distinctif.
Nous sommes en train de regarder la télé quand on sonne, je vais ouvrir.
Devant moi un couple, de suite je sais à qui j’ai affaire, tous les deux arborent un brassard rouge « Police », je suis sur mes gardes.

• Bonjour, nous sommes de la brigade criminelle, un homicide a été commis au sixième étage de votre immeuble.
Nous enquêtons dans le voisinage, car certains faits sont troublants.
Dans les jours derniers avez-vous vu ou entendu des allées et venues suspectes.
• Alex, c’est la police, vient voir.

Il arrive, en boxer, sa brosse à dents dans la bouche, comme s’il sortait de notre salle de bains.

• J’ai entendu chérie, à part le couple du quatrième que j’ai rencontré ce matin dans le hall de l’immeuble, tous les habitants nous sont inconnus.
Vous les avez peut-être rencontrés, la jeune femme 35 quarante ans est rousse.
• Oui, au septième, l’appartement est vide, les occupants sont au Maroc pour leur travail.
C’est la mémé du huitième qui nous a renseignés, elle va arroser les plantes chaque semaine.
Personnellement elle est sourde comme un pot et sans ses appareils elle est dans l’impossibilité d’entendre quoi que ce soit.
Elle a croisé l’homme qui était mort, il y a quatre jours et depuis plus rien.
Au cinquième, l’appartement est en vente et est vide.

Ça, je le savais, quand nous avons acheté au deuxième, nous avons hésité pour l’acheter, mais sa proximité avec nous risquait de nous rendre suspect.
Alex était assez agile pour escalader plus d’étages, nous rendant transparent.

• Quant au couple dont la femme est rousse, eux aussi sont dans l’incapacité de nous apporter des éléments pour notre enquête.
À part, il y a deux jours où ils revenaient d’une soirée...

Mon sang se glace, qu’a dit ce couple à la police.

• ...Avec le couple qui habite au-dessus de chez vous, mais ni les uns ni les autres ne semblent liés à notre affaire, merci du dérangement.

Le couple du dessus est échangiste avec celui de la rousse, première nouvelle.
Nous refermons la porte et malgré le dentifrice, nous nous embrassons passionnément.

• Alex, tu m’as caché avoir parlé avec la rousse et son mari !
• Non, j’allais le faire, ils nous invitent samedi soir pour prendre l’apéro et faire plus ample connaissance.
Pourquoi me mets-tu un doigt dans le cul ?
• Je te prépare à te faire enculer mon chéri !!!