COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (2/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (2/7)
• Puis-je m’installer à votre table ?
C’est un peu ce que me dit Vladimir, le commandant de notre bateau de croisière que j’ai rejoint avec Justin pour une croisière de huit jours dans les îles de Méditerranée.
On va me prendre pour une femme indigne, mon mari si j’exagère un peu est à l’article de la mort à l’infirmerie du bord.
Il est frappé par un mal de mer chronique dès qu’il a mis le pied sur le bateau encore à quai.
Je suis dans la grande salle du navire où les croisiéristes hommes comme femmes arrivent en tenue de soirée.
Smoking pour les hommes, le thème étant le blanc et robe longue blanche aussi pour toutes les femmes.
À ce moment, de mon histoire, le commandant doit être encore sur sa passerelle ou dans sa cabine.
C’est à ce moment que Violette se met en valeur.
• Je m’appelle Christian et mon ami Luc, voici notre fille Vénus.
• Vous attendez vos femmes, sont-elles encore en train de se préparer ?
• Violette fait attention à ce que tu dis, ces messieurs sont ensemble, en couple si tu préfères !
• Oh ! pardon et vous avez eu votre fille avec une femme avant de découvrir vos penchants.
• Violette, tu nous auras fait la totale, ces messieurs ont une fille fort jolie au demeurant, contente-toi d’admirer comme elle est jolie.
• Elle fête ses dix-huit ans et nous lui avions promis une croisière si elle obtenait son Bac.
Cette jeune fille me regarde avec insistance, puisque nous sommes dans les confidences, on a compris que j’avais vécu des expériences sexuelles avant de rencontrer Justin.
Parmi elle, il y a eu Amila jeune beurre d’origine marocaine, qui était ma voisine, elle avait du mal avec les dissertations, en arabe, ça allait, en français c’était plus dur.
J’aurais pu traduire l’arabe, elle aurait écrit dans sa langue et j’aurais traduit, alors je lui faisais comprendre le sens de certains mots qu’elle avait écrit, mais dans notre langue.
Un jour c’est chez moi qu’elle est venue, maman qui m’a élevé était à son travail, à l’hôpital de notre ville.
C’est ainsi qu’un jour, j’ai appris les caresses entre filles sans pour autant virer lesbienne.
C’est le moment de l’arrivée de d’Artagnan, sans ses cuissardes, ou Hugues Aufrey sans sa guitare.
Cheveux blancs, visage en longueur avec petite barbiche blanche, magnifique dans son costume de soirée avec encore plus de galons que les autres officiers du nord.
En l’entend parler de sa voix parfaitement posée, ma jeunesse me revenait en mémoire et je fondais littéralement malgré mon mari dormant à quelques mètres de nous afin de récupérer.
• Madame, mes officiers m’ont prévenu du malaise de votre mari.
En quittant ma passerelle, je viens de passer à l’infirmerie.
J’ai vu Justin, la perfusion fait effet, il dort à poing fermé et le glucose le maintien en vie.
Le toubib m’a dit qu’avant la fin de notre croisière, il pourra nous rejoindre ayant été remis sur pied.
J’avais prévenu les autorités à terre, afin qu’il arme un hélicoptère, mais après ces bonnes nouvelles j’ai relevé l’alerte.
Fort de cette bonne nouvelle, je me détends, le repas est à la hauteur de la somme que Justin a dépensée pour me faire plaisir et pour lui dormir à ce que me dit le commandant à l’infirmerie.
Un orchestre est en place, jouant des morceaux doux pendant que les serveurs et serveuses nous servent le repas.
• Wendy, me permettez-vous de vous inviter à ouvrir le bal, nos clients n’attendent que cela.
Au cours du repas, les madame Wendy sont devenues des Wendy tout cours.
Il faut dire que l’atmosphère s’est nettement détendue lors des nombreux toasts que nous faisons, les vins blancs, rouges et de champagne eux aussi succulant comme le reste du repas.
Sans être ivre, je suis guillerette et je ris à la moindre blague que nous faisons.
Je me lève, Vladimir me retirant ma chaise avant de me faire un baisemain, faisant de moi dans ma longue robe blanche le point de mire de toutes les personnes présentes.
Au début, l’orchestre attaque une valse, j’adore valser et je suis mon cavalier qui me fait tourner sur la piste de danse permettant à ma jambe de sortir assez haut par la fente qu’elle possède.
Je sens que je suis le point de mire des hommes présents dans cette salle, la hauteur que chaque fois que je la montre leur permet de comprendre que je suis nue sous ma robe.
Lorsque je me suis préparée, j’avais mis un string rose.
Dans la glace de la salle de bains, j’ai constaté que cette robe, était assez transparente pour que le rose ait tendance à ressortir.
Il m’en aurait fallu une blanche, et encore très fine pour éviter ce petit bourlet disgracieux que le string rose faisait.
Je l’ai enlevé sans penser que je serais le centre d’intérêt de tous ces hommes qui malgré qu’elle reste sagement cachée il y aurait peu de doute que ma chatte leur était offerte.
Heureusement que ma pilosité naturelle je l’avais enlevé définitivement au laser.
Mon ancienne touffe noire m’aurait empêché de sortir avec cette robe sur moi.
La valse terminée, je m’attends à ce que mon cavalier me raccompagne à ma place, ce qui aurait été de bon goût puisque je suis une femme portant une alliance.
Hélas, pour mon plus grand malheur, l’orchestre attaque un slow et Vladimir, en bon Slave qu’il doit être, m’enlace me collant littéralement à lui.
Au début, tout est normal aussi bien du côté d’une certaine partie du pantalon de mon cavalier et aussi de ma chatte qui dort derrière mon léger voile.
Hélas, trois fois hélas, la verge de mon cavalier frise l’indécence, lorsqu’elle se redresse, nous sommes tellement serrés l’un contre l’autre que je sens moi aussi ma minette me jouer des tours.
J’essaye de penser à autre chose, au début du slow, une lumière, plus intimiste, ayant été baissé dans la salle.
Mes jambes ont tendance à fléchir, enveniment ce qui se passe au bas de mon corps.
La lumière revient, me ramenant sur terre, ou au moins à bord de notre bateau de croisière.
L’orchestre attaque une chenille, je pense échapper à mon cavalier.
• Wendy, viens, je vais te montrer ma passerelle de commandement, vite suis-moi.
Nous sommes près d’une porte de la salle, sans me poser plus de question, je suis Vladimir, son ordre semblant sans appel.
C’est sur une coursive au clair de lune qu’il m’entraine.
Je suis à deux doigts de lui demander de me raccompagner à ma cabine.
• Wendy, regarde ta robe, je t’ai fait tellement mouillée que j’ai eu le temps de voir que ta cyprine avait mouillé tout le bas de ta robe à hauteur de ta chatte.
Viens suit moi !
Voilà comment je me retrouve dans la cabine du commandant, nue lorsqu’il me fait glisser ma robe de mes épaules lui montrant mes seins bien que sa poitrine ait pu constater qu’ils étaient gros et fermes.
Il les prend en main et en bouche faisant encore plus darder mes fraises sous la succion qu’ils leur impriment.
Sans avoir envie de penser à lui, c’est de sa faute si je me suis retrouvée seule, il est rare que Justin s’embête avec de longs préliminaires.
Mes seins sont rarement mis en valeur comme le fait Vladimir, ce qui fait que lorsque sa main vient se poser sur ma chatte épilée, j’écarte légèrement mes cuisses pour que ses doigts me pénètrent.
Sa bouche d’un côté, ses doigts de l’autre, je dois avouer qu’il m’en faut plus, alors mes derniers remords cèdent.
Lorsqu’il me pose sur son lit et que sa bouche vient chercher la mienne, sait sans aucun, même le plus petit remords que j’accepte pour la première fois depuis mon mariage, la langue d’un autre homme que celui à qui j’ai juré fidélité.
Mon amant ou futur amant se retrouve nu et ma main trouve sa verge qui est tendue à son maximum.
• Attends que je récupère une capote.
C’est lorsqu’il dit ça que je repense au slow que l’orchestre a entamé.
J’ai vu Louis inviter Vénus sur la piste de danse, elle était collée à lui malgré leur différence d’âge.
Le tour suivant, c’est celle avec qui j’ai passé l’après-midi, Violette qui atterrissait dans les bras d’un des officiers du bord.
Où en sont-ils en ce moment, j’ai eu le temps de remarquer que le couple Louis et Violette semble libre.
Les uns et les autres ont-ils quitté la salle de bal pour comme moi rejoindre une cabine ?
• Me la mets-tu ?
Oh ! tu sais le faire avec ta bouche.
Que dire à mon cavalier, il y a un peu plus de dix ans, que dès les premières fois je le faisais avec Justin chaque fois qu’il venait me voir avant de faire nos tests et de laisser tomber ces morceaux de latex ?
Plus de dix ans avec lui, moment de notre mariage, mais combien d’autres avant comme je l’ai dit « jamais le premier soir » mais après je savais me rattraper.
• Oui, mets-moi bien profond !
• Tu m’as sucé magnifiquement, tiens, je suis en toi, relèves bien tes jambes.
Je jouis facilement sous la bite des hommes, même si j’avais perdu l’habitude des différentes manières d’être prise par l’un de mes cavaliers.
Avec Vladimir, je pars dans diverses positions que j’accepte bien volontiers, lâché par celui qui est sous sédatifs à un autre endroit de ce navire.
Je suis de mauvaise foi au moment où un orgasme me frappe, c’est la faute de Justin, c’est lui qui m’a abandonné à mon suborneur.
• Suce salope.
Vladimir a enlevé sa capote et me présente de nouveau sa verge, je le pompe si bien que rapidement, il se vide dans ma bouche, je dois dire que j’aimais les divers goûts du sperme de mes amants.
Depuis dix ans, il avait le même goût...
C’est un peu ce que me dit Vladimir, le commandant de notre bateau de croisière que j’ai rejoint avec Justin pour une croisière de huit jours dans les îles de Méditerranée.
On va me prendre pour une femme indigne, mon mari si j’exagère un peu est à l’article de la mort à l’infirmerie du bord.
Il est frappé par un mal de mer chronique dès qu’il a mis le pied sur le bateau encore à quai.
Je suis dans la grande salle du navire où les croisiéristes hommes comme femmes arrivent en tenue de soirée.
Smoking pour les hommes, le thème étant le blanc et robe longue blanche aussi pour toutes les femmes.
À ce moment, de mon histoire, le commandant doit être encore sur sa passerelle ou dans sa cabine.
C’est à ce moment que Violette se met en valeur.
• Je m’appelle Christian et mon ami Luc, voici notre fille Vénus.
• Vous attendez vos femmes, sont-elles encore en train de se préparer ?
• Violette fait attention à ce que tu dis, ces messieurs sont ensemble, en couple si tu préfères !
• Oh ! pardon et vous avez eu votre fille avec une femme avant de découvrir vos penchants.
• Violette, tu nous auras fait la totale, ces messieurs ont une fille fort jolie au demeurant, contente-toi d’admirer comme elle est jolie.
• Elle fête ses dix-huit ans et nous lui avions promis une croisière si elle obtenait son Bac.
Cette jeune fille me regarde avec insistance, puisque nous sommes dans les confidences, on a compris que j’avais vécu des expériences sexuelles avant de rencontrer Justin.
Parmi elle, il y a eu Amila jeune beurre d’origine marocaine, qui était ma voisine, elle avait du mal avec les dissertations, en arabe, ça allait, en français c’était plus dur.
J’aurais pu traduire l’arabe, elle aurait écrit dans sa langue et j’aurais traduit, alors je lui faisais comprendre le sens de certains mots qu’elle avait écrit, mais dans notre langue.
Un jour c’est chez moi qu’elle est venue, maman qui m’a élevé était à son travail, à l’hôpital de notre ville.
C’est ainsi qu’un jour, j’ai appris les caresses entre filles sans pour autant virer lesbienne.
C’est le moment de l’arrivée de d’Artagnan, sans ses cuissardes, ou Hugues Aufrey sans sa guitare.
Cheveux blancs, visage en longueur avec petite barbiche blanche, magnifique dans son costume de soirée avec encore plus de galons que les autres officiers du nord.
En l’entend parler de sa voix parfaitement posée, ma jeunesse me revenait en mémoire et je fondais littéralement malgré mon mari dormant à quelques mètres de nous afin de récupérer.
• Madame, mes officiers m’ont prévenu du malaise de votre mari.
En quittant ma passerelle, je viens de passer à l’infirmerie.
J’ai vu Justin, la perfusion fait effet, il dort à poing fermé et le glucose le maintien en vie.
Le toubib m’a dit qu’avant la fin de notre croisière, il pourra nous rejoindre ayant été remis sur pied.
J’avais prévenu les autorités à terre, afin qu’il arme un hélicoptère, mais après ces bonnes nouvelles j’ai relevé l’alerte.
Fort de cette bonne nouvelle, je me détends, le repas est à la hauteur de la somme que Justin a dépensée pour me faire plaisir et pour lui dormir à ce que me dit le commandant à l’infirmerie.
Un orchestre est en place, jouant des morceaux doux pendant que les serveurs et serveuses nous servent le repas.
• Wendy, me permettez-vous de vous inviter à ouvrir le bal, nos clients n’attendent que cela.
Au cours du repas, les madame Wendy sont devenues des Wendy tout cours.
Il faut dire que l’atmosphère s’est nettement détendue lors des nombreux toasts que nous faisons, les vins blancs, rouges et de champagne eux aussi succulant comme le reste du repas.
Sans être ivre, je suis guillerette et je ris à la moindre blague que nous faisons.
Je me lève, Vladimir me retirant ma chaise avant de me faire un baisemain, faisant de moi dans ma longue robe blanche le point de mire de toutes les personnes présentes.
Au début, l’orchestre attaque une valse, j’adore valser et je suis mon cavalier qui me fait tourner sur la piste de danse permettant à ma jambe de sortir assez haut par la fente qu’elle possède.
Je sens que je suis le point de mire des hommes présents dans cette salle, la hauteur que chaque fois que je la montre leur permet de comprendre que je suis nue sous ma robe.
Lorsque je me suis préparée, j’avais mis un string rose.
Dans la glace de la salle de bains, j’ai constaté que cette robe, était assez transparente pour que le rose ait tendance à ressortir.
Il m’en aurait fallu une blanche, et encore très fine pour éviter ce petit bourlet disgracieux que le string rose faisait.
Je l’ai enlevé sans penser que je serais le centre d’intérêt de tous ces hommes qui malgré qu’elle reste sagement cachée il y aurait peu de doute que ma chatte leur était offerte.
Heureusement que ma pilosité naturelle je l’avais enlevé définitivement au laser.
Mon ancienne touffe noire m’aurait empêché de sortir avec cette robe sur moi.
La valse terminée, je m’attends à ce que mon cavalier me raccompagne à ma place, ce qui aurait été de bon goût puisque je suis une femme portant une alliance.
Hélas, pour mon plus grand malheur, l’orchestre attaque un slow et Vladimir, en bon Slave qu’il doit être, m’enlace me collant littéralement à lui.
Au début, tout est normal aussi bien du côté d’une certaine partie du pantalon de mon cavalier et aussi de ma chatte qui dort derrière mon léger voile.
Hélas, trois fois hélas, la verge de mon cavalier frise l’indécence, lorsqu’elle se redresse, nous sommes tellement serrés l’un contre l’autre que je sens moi aussi ma minette me jouer des tours.
J’essaye de penser à autre chose, au début du slow, une lumière, plus intimiste, ayant été baissé dans la salle.
Mes jambes ont tendance à fléchir, enveniment ce qui se passe au bas de mon corps.
La lumière revient, me ramenant sur terre, ou au moins à bord de notre bateau de croisière.
L’orchestre attaque une chenille, je pense échapper à mon cavalier.
• Wendy, viens, je vais te montrer ma passerelle de commandement, vite suis-moi.
Nous sommes près d’une porte de la salle, sans me poser plus de question, je suis Vladimir, son ordre semblant sans appel.
C’est sur une coursive au clair de lune qu’il m’entraine.
Je suis à deux doigts de lui demander de me raccompagner à ma cabine.
• Wendy, regarde ta robe, je t’ai fait tellement mouillée que j’ai eu le temps de voir que ta cyprine avait mouillé tout le bas de ta robe à hauteur de ta chatte.
Viens suit moi !
Voilà comment je me retrouve dans la cabine du commandant, nue lorsqu’il me fait glisser ma robe de mes épaules lui montrant mes seins bien que sa poitrine ait pu constater qu’ils étaient gros et fermes.
Il les prend en main et en bouche faisant encore plus darder mes fraises sous la succion qu’ils leur impriment.
Sans avoir envie de penser à lui, c’est de sa faute si je me suis retrouvée seule, il est rare que Justin s’embête avec de longs préliminaires.
Mes seins sont rarement mis en valeur comme le fait Vladimir, ce qui fait que lorsque sa main vient se poser sur ma chatte épilée, j’écarte légèrement mes cuisses pour que ses doigts me pénètrent.
Sa bouche d’un côté, ses doigts de l’autre, je dois avouer qu’il m’en faut plus, alors mes derniers remords cèdent.
Lorsqu’il me pose sur son lit et que sa bouche vient chercher la mienne, sait sans aucun, même le plus petit remords que j’accepte pour la première fois depuis mon mariage, la langue d’un autre homme que celui à qui j’ai juré fidélité.
Mon amant ou futur amant se retrouve nu et ma main trouve sa verge qui est tendue à son maximum.
• Attends que je récupère une capote.
C’est lorsqu’il dit ça que je repense au slow que l’orchestre a entamé.
J’ai vu Louis inviter Vénus sur la piste de danse, elle était collée à lui malgré leur différence d’âge.
Le tour suivant, c’est celle avec qui j’ai passé l’après-midi, Violette qui atterrissait dans les bras d’un des officiers du bord.
Où en sont-ils en ce moment, j’ai eu le temps de remarquer que le couple Louis et Violette semble libre.
Les uns et les autres ont-ils quitté la salle de bal pour comme moi rejoindre une cabine ?
• Me la mets-tu ?
Oh ! tu sais le faire avec ta bouche.
Que dire à mon cavalier, il y a un peu plus de dix ans, que dès les premières fois je le faisais avec Justin chaque fois qu’il venait me voir avant de faire nos tests et de laisser tomber ces morceaux de latex ?
Plus de dix ans avec lui, moment de notre mariage, mais combien d’autres avant comme je l’ai dit « jamais le premier soir » mais après je savais me rattraper.
• Oui, mets-moi bien profond !
• Tu m’as sucé magnifiquement, tiens, je suis en toi, relèves bien tes jambes.
Je jouis facilement sous la bite des hommes, même si j’avais perdu l’habitude des différentes manières d’être prise par l’un de mes cavaliers.
Avec Vladimir, je pars dans diverses positions que j’accepte bien volontiers, lâché par celui qui est sous sédatifs à un autre endroit de ce navire.
Je suis de mauvaise foi au moment où un orgasme me frappe, c’est la faute de Justin, c’est lui qui m’a abandonné à mon suborneur.
• Suce salope.
Vladimir a enlevé sa capote et me présente de nouveau sa verge, je le pompe si bien que rapidement, il se vide dans ma bouche, je dois dire que j’aimais les divers goûts du sperme de mes amants.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Wendy a plongé , espérons que Justin ne « rate pas le bateau ». 🤷♀️
Atalante.
Atalante.
Ou déboussolée de se trouver dans cette situation non prévue...
Wendy est rapide!