COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (1/3)
Ce que je vais vous raconter de la mésaventure de Nadine, c’est elle qui m’en fera l’aveu après que je l’ai sorti du guêpier où elle s’était fourrée.
C’est à Saint-Tropez que son aventure commence, le jour de ses 18 ans.
Je devrais dire sa mésaventure, mais au moment où Adeline et Jennifer ses amies plus vieilles de deux ans, qui aurait pu dire qu’une jeune fille de bonne famille ferait ce qu’elle a accepté de faire.
Les parents de Nadine sont des gens de bien et ont élevé leur fille dans le respect des bonnes mœurs et du travail.
Normal, son père est un directeur de banque et sa mère une principale de collège parisien possédant un appartement dans le premier arrondissement et une villa à Ramatuelle.
Sans être d’affreux bigots, ils font partie des gens défendant un enfant un père.
Descendre dans la rue pour manifester a été un grand traumatisme, mais ils voulaient être solidaires des idées que tous ces gens défendaient.
Ce soir-là, donc, les deux copines sont venues chercher leur amie alors qu’elles s’étaient fait bronzer dans la villa des parents de Jennifer famille d’une grande chaîne de magasins parisiens.
Elles étaient au bord de la piscine et lui ont fait la proposition de la faire entrer à la « voile bleue » célèbre de tous les fêtards de la Côte d’Azur en ce mois d’août sur la plage de Pampelonne.

• Monsieur Pierre, nous vous jurons de prendre soin de Nadine comme si c’était notre propre fille.
• Même si je lui fais confiance, ce qui se passe dans ces soirées, a tendance à me faire peur.
• Pierre arrête d’avoir peur pour ta fille, Nadine a les pieds sur terre et je suis sûre qu’elle saura faire la part des risques que la vie vous apprend.

Nadine avait remercié sa mère et ils les ont vue partir dans la mini Cooper d’Adeline.

• Léonardo nous attend, il a dû vous prévenir.
• Passez, il nous a prévenus, il est dans son secteur habituel.

Elle avait suivi ses copines, regardant tout de ses grands yeux bleus.
Pour l’occasion, elle avait mis une robe légère vue la chaleur avec seulement une petite culotte rose.
Elle avait vu des strings un jour où elle faisait des emplettes à Saint-Tropez avec sa mère.
Elle y avait renoncé quand elle lui a dit que ça faisait pute.

• C’est Nadine dont vous m’avez parlé hier au soir les filles.
Vous étiez très en dessous de sa beauté, viens t’assoir près de moi, c’est vrai que, ce soir tu es majeure !

Elle lui avait répondu du bout des lèvres rougissant ce qui l’avait fait rire.
Le plus embêtant, on le verra par la suite, c’est qu’elle a eu le coup de foudre ce qu’elle pensait impossible.

• Tes boucles blondes sont magnifiques, tu es plus belle que Maryline et Madonna réunies !

Léonardo savait être charmeur, c’est comme cela qu’il faisait ses conquêtes.
Là encore elle l’a appris par la suite à ses dépens.

• Alex apporte nous une bouteille et six coupes.
Champagne pour tous mes amis.

Elle avait fait rire tout le monde, ses copines discutant déjà avec Louis et Jules deux copains de Léonardo.
Il semblait la regarder avec les yeux de l’amour quand elle lui a demandé de boire un Coca-cola.

• Le jour de tes dix-huit ans, du champagne s’impose, tu es une grande fille maintenant.

Lui disant cela, il lui avait mis sa main sur la cuisse sans qu’elle ose la retirer.
Ce qui lui est apparu plus grave quelques jours après, c’est qu’Adeline et Jennifer embrassant les deux autres garçons à pleine bouche la surveillaient du coin de l’œil au lieu de la protéger comme la promesse qu’elles avaient faite à son père.

• Tu vois fillette, une coupe, c’est bon, en voilà une deuxième.

De tout ceci, c’est qu’à un moment, ils étaient allés danser au milieu de cette foule déchainée fêtant la fête de ce jour comme ils la referaient demain soir.
Danser et après le trou noir.
Elle s’était réveillée le lendemain à 14 heures dans son lit, ses parents étant parti chez des amis pour la journée.
Hormis un mal de crâne carabiné, Nadine a senti, quelque chose couler entre ses cuisses.
Elle sentait aussi une douleur dans son bas-ventre.
Passant sa main, elle avait ramené du sang.
Elle avait taché ses draps qu’elle s’est empressée de changer et d’aller les mettre en machine à laver, avant pour la première fois de sa vie de refaire son lit.
Même à Ramatuelle, la famille avait une jeune bonne qui faisait tout.
Nul doute, elle avait été déflorée dans son trou noir de la nuit précédente.
Ses parents devant rentrer dans la nuit, après s’être prélassé dans son bain un long moment elle avait lu quand on avait sonné.
Devant sa glace, elle avait trouvé bizarre que de la poudre blanche soit au bord de ses narines.

• Que fais-tu en maillot de bain, tu oublies que tu as donné rendez-vous à Léonardo ce soir à la voile bleue ?

Elle était partie mettre une robe et un nouveau slip, elle avait cherché sans trouver celui d’hier.
Dans la voiture, les filles s’étaient lâchées sur la soirée de la veille.

• Ma salope pour une pucelle, tu te portes là quand tu te lâches.
Lorsque Léonardo nous a proposé d’aller finir la nuit chez lui, tu étais pendu à son cou.
Tu l’embrassais à pleine bouche ainsi que Jules qui était monté devant avec vous.
Chez lui, tu as sucé la queue de chacun d’eux avant que Léonardo te prenne en levrette.
On aurait pu être jalouse, mais on est partageuse.
Tu veux que je t’avoue quelque chose, tu étais tellement déchaînée après les lignes que tu avais snifé que tu m’as bouffé la chatte.
On recommencera, c’était formidable, tu m’as fait jouir comme jamais Jennifer le fait !

Là encore, elle tombait des nues, ses copines étaient des gougnottes et elle par conséquent dans son délire alcoolique l’était devenue sans en avoir le moindre souvenir.
Comme la veille, elles sont rentrées sans aucun problème et ont rejoint Léonardo et ses copains.
Un nouveau était là, Antoine, 1 mètre 80, bronzé même cuivré, des muscles faramineux.

• Te voilà poupée d’amour, tu connais déjà mes copains, Jules et Louis, voici Antoine, je lui ai parlé de toi, il voulait te connaître
Différemment de la veille, elle le connaît lucidement.
Elle avait accepté une seule coupe de la soirée et avait suivi la bande chez Antoine.
Il devait avoir du fric, car sa villa possédait une piscine.
Au cours de la soirée, elle avait dansé sous le regard de celui qui devait l’avoir dépucelé.
Il restait toujours assis et dès qu’elle revenait vers lui il la prenait dans ses bras et comme si s’était devenu sa chose, la pelotait et l’embrassait à pleine bouche.
À ce moment de son histoire, Nadine m’avouait qu’elle était tombée follement amoureuse de ce garçon.
Sa situation à part ses copines afférées avec Jules et Louis la laissait toute chaude, son entrejambe ayant faim.
Voir de nombreuses filles la regardant avec envie d’être auprès de tel beau gosse la rendait de plus en plus accro à celui qui semblait vouloir lui faire connaître la vraie vie.
C’est au cours de cette soirée qu’ils avaient découvert qu’elle allait rentrer à la fac de Nanterre pour faire des études l’amenant vers la banque ou elle espérait faire une carrière comme son père.
Léonardo possédait un logement à l’intérieur d’une gîté de cette ville proche du campus.
Il était, lui aussi étudiant dans cette fac et il lui avait promis qu’elle resterait avec lui.

• Tu vois ce jeune blond là-bas, va danser avec lui, dit lui que je peux lui fournir ce qu’il cherche, Jules le retrouvera comme d’habitude.

Elle l’avait fait sans penser qu’elle venait d’aider à vendre de la blanche à ce jeune bourge qui aimait venir s’encanailler dans ses lieux de vacances.
Ce deuxième soir, elle était partie avec Léonardo dans son coupé sport les cheveux au vent et quand conduisant d’une main, l’autre venant rapidement dans son entrejambe, elle l’avait laissé faire.
Ses copines suivaient derrière avec leur jules alors qu’Antoine se trouvait à l’arrière de la leur.
Elle avait rapidement senti la main du beau gosse venir dans l’échancrure de son débardeur et lui prendre son sein droit.
Elle avait essayé de se rebiffer et Léonardo l’avait vue.

• Calme chérie, c’est mon copain, si tu veux rester ma copine, laisse-toi faire.

Une main sur sa chatte, une main sur son sein qui allait jusqu’à lui pincer le mamelon le faisant bander, ils sont arrivés à destination.
Elle était chaude bouillante et dès qu’ils sont rentrés, ils se sont mis nus et ont plongé dans la piscine de la villa.
Ses copines aussi alors elle a suivi le mouvement et s’est retrouvée dans l’eau dans la même nudité.
La veille, elle avait dû se retrouver pareille, mais là c’était la première fois où elle se montrait dénudée devant autant de personnes.
C’est Antoine qui l’a récupérée lorsqu’elle a sorti sa tête de l’eau.
Il lui a mis sa main sur sa chatte l’autre sur sa nuque pour l’embrasser.
Une fraction de seconde, elle a été tentée de se rebiffer, mais les paroles de Léonardo lui revenant, elle s’est laissé faire.
Il l’a fait sortir de l’eau et encore mouillée, l’a fait s’assoir sur un transat protégé par des coussinsIl lui avait présenté sa queue qu’elle avait mise dans sa bouche.
Avait-elle fait cela déjà la veille, là encore elle l’ignorait, mais elle avait aimé et quand le garçon lui avait fait avaler son sperme, pour la première fois, là encore, elle avait apprécié.
Sur une petite table près d’eux, il y avait un sachet de poudre blanche.
Léonardo les ayant rejoints, il avait préparé des rails de poudre.
Tous, même Jennifer et Adeline ont aspiré par leur nez avec un petit tube.
À son tour, sous le regard bienveillant de celui qu’elle considérait comme son mec, elle avait snifé une ligne.

• Une seule ma poule, pas plus.

Elle était un peu surprise ses copines en ayant mis une dans chacune de leurs narines.
Mais là encore, elle se laisse faire, surtout qu’il l’a rejoint, alors que les autres retournaient jouer dans l’eauLéonardo l’avait couché sur les coussins et c’est lui qui lui avait léché son clitoris la pâmant d’extase.
Il s’était couché et l’avait fait s’empaler sur sa verge, elle s’était presque précipitée la douleur ayant disparu et la poudre dans son nez commençant à faire son effet.
Elle avait senti que ça bougeait derrière elle et aussi ces mots.

• Tu permets que je l’encule...

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