COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (2/3)
L’histoire que je vous raconte est liée aux mésaventures arrivées à Nadine.
C’est elle qui m’en fera l’aveu après que je l’ai sortie du guêpier où elle s’était fourrée.
Fille de bonne famille, je dirais même de très bonne famille, le jour de ses 18 ans elle sort avec deux copine Adeline et Jennifer à la voile bleue, célèbre boîte de Saint-Tropez sur la plage de Pampelonne.
C’est là que faisant la connaissance de Léonardo play-boy de cette plage, malgré les recommandations de son père, elle se laisse séduire.
Pour ce premier soir, quand elle se réveille dans son lit de son coma éthylique après avoir abusé du champagne, les douleurs dans son bas-ventre et les traces de sang lui montrent qu’elle semble s’être faite déflorer.
Qui, où, combien ce sont les questions qu’elle se pose ?
Perdre son pucelage sans en avoir le moindre souvenir rien que de moins banal.
Des traces de poudre blanche, au bord de ses narines, lui font supposer qu’elle a snifé de la coke.
Je dis de la coke, par expérience, car devant sa glace de salle de bains à ce moment, elle ignore ce que c’est.
Bref la totale de ce que son père craignait.
Pourtant, lui avait fait jurer de faire attention, craignant ce qu’il pourrait arriver dans ce genre de soirée.
Par chance, ou par malchance, chacun jugera après ses aveux, ses parents étant absents lorsqu’elle émerge, ses copines l’incitent à retourner dans ce lieu de déboche.
Elle cède et dès qu’elles arrivent, Léonardo lui présente tous les signes du garçon ayant pris possession d’elle.
Elle aurait dû fuir, mais elle a été fière qu’un si beau garçon ait dévolue son choix sur elle.
Elle est une jeune fille loin d’être une des bombes présente pour ces vacances dans ce club, quand elle regarde autour d’elle, la plupart des jeunes dans ce club.
Antoine, autre play-boy était présent et c’est dans la piscine de sa villa que ce deuxième soir elle s’est retrouvée avec ses copines nues.
Cette fierté la conduit à accepter que si elle voulait garder l’amour de Léonardo, elle devait faire une fellation à ce garçon.
Léonardo après lui avoir brouté la chatte, la fait s’empaler sur sa verge.
Elle en est fière là encore surtout que ce soir-là, étant chaude bouillante et lucide certainement due à la poudre qu’elle venait de se mettre dans le nez, on parle dans son dos.
● Tu permets que je l’encule.
Elle avait bien entendu, tout au plaisir qui montait de plus en plus en elle, lorsque quelque chose de chaud c’est frotter à son anus, elle est restée sans aucune réaction, elle avait envie.
Entrant d’une seule pousser le gland d’Antoine lui avait perforé les intestins et telle une louve elle avait hurlé à la lune au-dessus d’eux.
Était-ce possible qu’elle se laisse prendre par deux bites dans ses deux trous, oui ça l’était.
Prise en sandwich Nadine était devenue presque folle tellement une fois la douleur passée, elle avait décollé.
Dans les jours qui s’en étaient suivi, elle avait quitté ses parents pour s’installer chez Léonardo.
Un simple SMS les avait avertis de sa décision et qu’à Paris elle rentrerait comme prévu à la fac de Nanterre ou son mec était déjà étudiant depuis deux ans.
Elle était de plus en plus amoureuse et en ce dernier jour avant son retour à Paris, elle avait permis à son mâle de faire plusieurs affaires.
Pour l’une d’elles, sans hésiter d’un geste de la main de Léonardo, elle avait suivi un garçon dans sa voiture.
Elle l’avait sucé avant qu’il lui refile du fric pour récupérer les deux sachets qu’elle avait réussi à lui vendre.
Consommatrice, car chaque soir elle avait droit à sa ligne et trafiquante quand elle vendait.
Ce dernier soir avant son retour à Paris, à la sortie de la voile bleue, ses parents étaient là, il avait tout fait pour que Nadine rentre avec eux et quitte cet homme.
C’est Léonardo qui leur avait répondu.
● Votre fille, j’en ai fait une princesse.
Dis leur Nadine que tu es ma princesse.
● Papa, maman, c’est vrai, j’ai découvert la vie avec mon homme et je vais vivre avec lui en allant comme prévu à la fac de Nanterre, il y est déjà en deuxième année.
Nadine les avait vus partir la tête basse.
Eux savaient dans qu’elle galère leur fille si mignonne au début des vacances avaient pu en si peu de temps devenir cette fille trop maquillée et vêtue de manière outrancière.
Il est vrai que fréquemment, Léonardo l’avait emmené acheter dans les boutiques les plus chics de Saint-Tropez tout ce qu’elle voulait.
Ce soir elle porte l’un de ces petits ensembles avec un petit short ras sa chatte.
Le débardeur montrant presque la moitié de ses seins est lui aussi plus que sexy.
Resto sur le port de Saint-Tropez et voile bleue toujours dans le même espace. Combien de bites et même de chattes, avait-elle eues, chaque fin de nuit étant de plus en plus chaude.
Retour à Paris, découverte de son nouvel univers et à la date fixée entrée à la Sorbonne.
Malgré ses débauches et ce qu’elle snifait, elle avait comme idée de réussir ses études.
C’est là que je rentre en scène, le jour de la rentrée en fac.
Léonardo officiellement en 2e année de droit.
Nadine et moi en 1ère année aussi de droit.
Je suis parisien mon père étant chirurgien et ma mère psy.
À ce point de notre histoire, celle de Nadine devient la mienne, je m’aperçois que je raconte ses mésaventures sans m’être présenté.
Benjamin, un peu plus vieux que Nadine, bac aussi cette année et premier jour de cours à Nanterre après deux mois de vacances en Bretagne chez ma grand-mère maternelle.
Mes parents sont un peu déçus, mon père voulait que je suive ses traces en chirurgie, mais la vue du sang me fait tourner de l’œil.
Quant à ma mère, lorsque je l’entends écouter tous ces débiles, car elle travaille dans notre logement à côté de ma chambre, je veux fuir ce genre de client.
Avocat, voilà la voix que je veux suivre.
Grand, 1 mètre 86, mais comparé à certains de cette histoire, impossible de me classer dans les beaux gosses.
Sans être quelconques rares sont les filles qui se retournent sur mon passage.
Nadine, dès le premier jour, je la côtoie assise à mes côtés à l’intérieur de cet amphi grouillant de nouveaux élèves comme nous.
Toute mon attention se porte sur elle, mais c’est elle qui fait le premier pas voyant que je la regardais.
● Tu me regardais avec insistance, on t’a dit qui je suis et que mon mec en deuxième année est capable de t’aider dans tes études ?
Exta, amphé, Coke, je peux te fournir de quoi t’aider à faire tes études.
Je tombais des nues, moi qui croyais que le puceau que j’étais venait dès le premier jour tomber une jeune poulette.
Ce qui aurait pu être grave, mais qui s’est avéré être une chance pour elle, j’étais frappé d’un coup de foudre.
Dans les jours suivants, je l’ai vu dans divers endroits du campus avec ce gars qu’elle m’avait dit s’appeler Léonardo et certaines fois parler avec d’autres garçons ou filles.
Ce qui me faisait douter de ses sentiments, c’est que chaque fois qu’elle le pouvait, elle venait me parler.
Revenons à ce que j’ai appris lorsque je l’ai aidé à se défaire de ce qui devenait un cauchemar.
Nadine dans ces premiers mois, installés chez Léonardo est venue me dire qu’ils recevaient de nombreuses personnes.
Dans ses confidences, ces soirées étaient utiles dans le bisness de son mec.
À Nanterre, il était facile de se cacher dans la masse et à faire des affaires fructueuses vu le nombre d’étudiants et d’étudiantes.
C’est elle qui était chargée de tester les possibilités de les amener vers la consommation de substances illicites.
● Benjamin, vendredi soir à 21 heures, nous organisons une petite soirée entre copains et des copines.
Léonardo m’a demandé de t’inviter, tu verras ce sont des soirées cools.
Par chance pour elle, je lui ai dit que je verrais si je viendrais...
C’est elle qui m’en fera l’aveu après que je l’ai sortie du guêpier où elle s’était fourrée.
Fille de bonne famille, je dirais même de très bonne famille, le jour de ses 18 ans elle sort avec deux copine Adeline et Jennifer à la voile bleue, célèbre boîte de Saint-Tropez sur la plage de Pampelonne.
C’est là que faisant la connaissance de Léonardo play-boy de cette plage, malgré les recommandations de son père, elle se laisse séduire.
Pour ce premier soir, quand elle se réveille dans son lit de son coma éthylique après avoir abusé du champagne, les douleurs dans son bas-ventre et les traces de sang lui montrent qu’elle semble s’être faite déflorer.
Qui, où, combien ce sont les questions qu’elle se pose ?
Perdre son pucelage sans en avoir le moindre souvenir rien que de moins banal.
Des traces de poudre blanche, au bord de ses narines, lui font supposer qu’elle a snifé de la coke.
Je dis de la coke, par expérience, car devant sa glace de salle de bains à ce moment, elle ignore ce que c’est.
Bref la totale de ce que son père craignait.
Pourtant, lui avait fait jurer de faire attention, craignant ce qu’il pourrait arriver dans ce genre de soirée.
Par chance, ou par malchance, chacun jugera après ses aveux, ses parents étant absents lorsqu’elle émerge, ses copines l’incitent à retourner dans ce lieu de déboche.
Elle cède et dès qu’elles arrivent, Léonardo lui présente tous les signes du garçon ayant pris possession d’elle.
Elle aurait dû fuir, mais elle a été fière qu’un si beau garçon ait dévolue son choix sur elle.
Elle est une jeune fille loin d’être une des bombes présente pour ces vacances dans ce club, quand elle regarde autour d’elle, la plupart des jeunes dans ce club.
Antoine, autre play-boy était présent et c’est dans la piscine de sa villa que ce deuxième soir elle s’est retrouvée avec ses copines nues.
Cette fierté la conduit à accepter que si elle voulait garder l’amour de Léonardo, elle devait faire une fellation à ce garçon.
Léonardo après lui avoir brouté la chatte, la fait s’empaler sur sa verge.
Elle en est fière là encore surtout que ce soir-là, étant chaude bouillante et lucide certainement due à la poudre qu’elle venait de se mettre dans le nez, on parle dans son dos.
● Tu permets que je l’encule.
Elle avait bien entendu, tout au plaisir qui montait de plus en plus en elle, lorsque quelque chose de chaud c’est frotter à son anus, elle est restée sans aucune réaction, elle avait envie.
Entrant d’une seule pousser le gland d’Antoine lui avait perforé les intestins et telle une louve elle avait hurlé à la lune au-dessus d’eux.
Était-ce possible qu’elle se laisse prendre par deux bites dans ses deux trous, oui ça l’était.
Prise en sandwich Nadine était devenue presque folle tellement une fois la douleur passée, elle avait décollé.
Dans les jours qui s’en étaient suivi, elle avait quitté ses parents pour s’installer chez Léonardo.
Un simple SMS les avait avertis de sa décision et qu’à Paris elle rentrerait comme prévu à la fac de Nanterre ou son mec était déjà étudiant depuis deux ans.
Elle était de plus en plus amoureuse et en ce dernier jour avant son retour à Paris, elle avait permis à son mâle de faire plusieurs affaires.
Pour l’une d’elles, sans hésiter d’un geste de la main de Léonardo, elle avait suivi un garçon dans sa voiture.
Elle l’avait sucé avant qu’il lui refile du fric pour récupérer les deux sachets qu’elle avait réussi à lui vendre.
Consommatrice, car chaque soir elle avait droit à sa ligne et trafiquante quand elle vendait.
Ce dernier soir avant son retour à Paris, à la sortie de la voile bleue, ses parents étaient là, il avait tout fait pour que Nadine rentre avec eux et quitte cet homme.
C’est Léonardo qui leur avait répondu.
● Votre fille, j’en ai fait une princesse.
Dis leur Nadine que tu es ma princesse.
● Papa, maman, c’est vrai, j’ai découvert la vie avec mon homme et je vais vivre avec lui en allant comme prévu à la fac de Nanterre, il y est déjà en deuxième année.
Nadine les avait vus partir la tête basse.
Eux savaient dans qu’elle galère leur fille si mignonne au début des vacances avaient pu en si peu de temps devenir cette fille trop maquillée et vêtue de manière outrancière.
Il est vrai que fréquemment, Léonardo l’avait emmené acheter dans les boutiques les plus chics de Saint-Tropez tout ce qu’elle voulait.
Ce soir elle porte l’un de ces petits ensembles avec un petit short ras sa chatte.
Le débardeur montrant presque la moitié de ses seins est lui aussi plus que sexy.
Resto sur le port de Saint-Tropez et voile bleue toujours dans le même espace. Combien de bites et même de chattes, avait-elle eues, chaque fin de nuit étant de plus en plus chaude.
Retour à Paris, découverte de son nouvel univers et à la date fixée entrée à la Sorbonne.
Malgré ses débauches et ce qu’elle snifait, elle avait comme idée de réussir ses études.
C’est là que je rentre en scène, le jour de la rentrée en fac.
Léonardo officiellement en 2e année de droit.
Nadine et moi en 1ère année aussi de droit.
Je suis parisien mon père étant chirurgien et ma mère psy.
À ce point de notre histoire, celle de Nadine devient la mienne, je m’aperçois que je raconte ses mésaventures sans m’être présenté.
Benjamin, un peu plus vieux que Nadine, bac aussi cette année et premier jour de cours à Nanterre après deux mois de vacances en Bretagne chez ma grand-mère maternelle.
Mes parents sont un peu déçus, mon père voulait que je suive ses traces en chirurgie, mais la vue du sang me fait tourner de l’œil.
Quant à ma mère, lorsque je l’entends écouter tous ces débiles, car elle travaille dans notre logement à côté de ma chambre, je veux fuir ce genre de client.
Avocat, voilà la voix que je veux suivre.
Grand, 1 mètre 86, mais comparé à certains de cette histoire, impossible de me classer dans les beaux gosses.
Sans être quelconques rares sont les filles qui se retournent sur mon passage.
Nadine, dès le premier jour, je la côtoie assise à mes côtés à l’intérieur de cet amphi grouillant de nouveaux élèves comme nous.
Toute mon attention se porte sur elle, mais c’est elle qui fait le premier pas voyant que je la regardais.
● Tu me regardais avec insistance, on t’a dit qui je suis et que mon mec en deuxième année est capable de t’aider dans tes études ?
Exta, amphé, Coke, je peux te fournir de quoi t’aider à faire tes études.
Je tombais des nues, moi qui croyais que le puceau que j’étais venait dès le premier jour tomber une jeune poulette.
Ce qui aurait pu être grave, mais qui s’est avéré être une chance pour elle, j’étais frappé d’un coup de foudre.
Dans les jours suivants, je l’ai vu dans divers endroits du campus avec ce gars qu’elle m’avait dit s’appeler Léonardo et certaines fois parler avec d’autres garçons ou filles.
Ce qui me faisait douter de ses sentiments, c’est que chaque fois qu’elle le pouvait, elle venait me parler.
Revenons à ce que j’ai appris lorsque je l’ai aidé à se défaire de ce qui devenait un cauchemar.
Nadine dans ces premiers mois, installés chez Léonardo est venue me dire qu’ils recevaient de nombreuses personnes.
Dans ses confidences, ces soirées étaient utiles dans le bisness de son mec.
À Nanterre, il était facile de se cacher dans la masse et à faire des affaires fructueuses vu le nombre d’étudiants et d’étudiantes.
C’est elle qui était chargée de tester les possibilités de les amener vers la consommation de substances illicites.
● Benjamin, vendredi soir à 21 heures, nous organisons une petite soirée entre copains et des copines.
Léonardo m’a demandé de t’inviter, tu verras ce sont des soirées cools.
Par chance pour elle, je lui ai dit que je verrais si je viendrais...
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