COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Dire qu’elle était tombée aussi basse (3/3)
- Benjamin, vendredi soir à 21 heures, nous organisons une petite soirée entre copains et copines.
Léonardo m’a demandé de t’inviter, tu verras ce sont des soirées cools.

Par chance pour elle, je lui ai dit que je verrais si je viendrais.
C’est ainsi que ce soir, je tourne au volant de ma vieille 4L près de l’immeuble où se tient la soirée où je suis invité.
Trouvant une place sur le parking de cette cité un peu glauque, j’arrive devant l’ascenseur une bouteille de whisky en main.
Ma voiture, c’est ma grand-mère qui me l’a offerte après ma réussite au bac.
Elle était à mon grand-père, lui aussi ponte de la chirurgie décédé qui l’avait gardé depuis sa jeunesse.
Tous ses jours de repos, rares il est vrai, il la bichonnait, je me souvenais de ma jeunesse où il m’emmenait me promener dans la campagne autour de Paris.
Comme souvent dans ces vieux immeubles l’ascenseur est en panne.
Obligé de me farcir cinq étages à pied, bien sûr, la petite sauterie est au dernier étage.

- Oui, qui demandez-vous.
- Nadine, est-elle là ?
- Tu dois être Benjamin, entre, elle est en train de danser avec un de tes copains de fac.
Moi c’est Létitia.

Rousse, grande, une de ces jolies filles sur lesquelles les hommes jeunes ou vieux aiment se retourner.
Elle porte une robe dont on se demande comment elle peut tenir juste au-dessus de ses seins lui dénudant ses épaules.
Dans la salle, trois jeunes surement de jeunes étudiants comme moi.
D’ailleurs sur les trois j’en ai déjà vu un.
Léonardo est là, je l’ai vu avec Nadine entre deux cours et un soir repartir en fin de journée.
Une troisième jeune femme est là.
Autre beauté fatale, mais différente des deux autres, car noire avec une coiffure à la rasta.
Elle aussi a des seins comme des obus dans une robe blanche très près de sa touffe.
Nadine danse avec un des trois garçons comme Létitia lui a dit lorsqu’il est arrivé.

- Benjamin, tu es venu, ça me fait plaisir, une bouteille de whisky, c’était inutile, ici nous avons tout ce qu’il faut.
Pose là sur la table à côté du saladier.

Nadine m’embrasse comme un bon copain sans plus.
Elle aussi est plus sexy qu’au bahut, short vert et chemisier noué sous ses seins en montrant plus que de raison.
De suite, je me sens mal à l’aise, car Létitia effrontément s’est mise à danser avec le jeune déjà vu se frottant comme une chatte en chaleur.
Le slow se termine, elle emmène son jeune couillon vers la table et récupère de la poudre dans le saladier qu’elle lui fait snifer.
C’est à ce moment que Léonardo ce saisi de son portable dans son jean, il a dû vibrer.

- Oui, attend...

Sortant de la salle, je pense qu’il va dans la chambre.
Mon père m’ayant briffé sur les drogues, je me sens piégé, surtout que la noire dont j’ignore le nom s’agenouille, sort la queue du garçon avec lequel elle dansait et se met à le sucer.

- Nadine, peux-tu m’indiquer les toilettes, j’ai besoin de m’isoler.
- Dans le couloir après la porte de palier deuxième porte à droite.
Revient vite, je sens que nous allons très bien nous entendre.
Tu vas pouvoir goûter au saladier, tu verras après tu seras en pleine forme pour toute la nuit.

Elle se colle à moi une fraction de seconde, mais voyant le danger, j’ai beau être amoureux, je veux m’éclipser le plus vite possible.
J’arrive à la porte, que j’ouvre évitant le moindre bruit.
Merde, Léonardo est de dos sur le palier avec son portable à l’oreille.
Je suis coincé persuadé qu’il était vers les chambres ou les toilettes.

- Oui, démerde-toi !

Il parle en espagnol, ma mère est d’origine espagnole, mais en France depuis sa deuxième année.
Je comprends ce qu’il dit, je comprends qu’il parle de came.
Par l’intersite de la porte, je prends mon portable et je film.

- 3 kilos, oui tu me fais porter trois kilos et mille extas.
Tu viens toi-même si ton porteur est absent.

Bien sûr, l’autre parle et je comprends à moitié.

- Comprends bien, je t’ai appelé de Saint-Tropez et je t’ai dit que j’avais trouvé une nouvelle petite salope.
Elle croit que je suis en deuxième années à Nanterre où tu sais, j’ai mes entrées.
Avec Antoine, nous en avons fait une vraie petite pute, en ce moment elle est avec un mec s’appelant Benjamin qui vient d’arriver.
Il est amoureux de ma petite pute et renseignements pris ses parents sont chirurgien et psy.
Du très beau lingeIls sont pleins au as, elle va nous permettre de nous faire des couilles en or, c’est pour cela que je vais manquer de produit.
...
Mais oui, je fais gaffe, je suis sur le palier, j’ai fermé la porte derrière moi et j’ai mis l’ascenseur en panne.
Si quelqu’un monte je le verrai et je couperai la communication.
...
Alors les 3 kilos et les mille capsules ?
...
Mais oui, si tu viens Nadine sera là et tu pourras en profiter, elle est tellement douée que je vais manquer de produit.
...
Oui, avec elle, je triple mes clients en un rien de temps, à Saint-Tropez, avec Antoine, on l’a mis au taf dès le deuxième soir.
Tu pourras l’enculer, je sais que tu adores ça.
De toute façon, je la garde encore quelques semaines et à votre prochaine livraison vous l’amènerez à Tanger pour que Radia la prenne en main dans son bordel.
...
Aucune crainte, bien sûr, nous l’avons camée, elle adore s’en mettre dans les narines, mais je la surveille.
Elle sait qu’elle ramasse si elle prend plus d’une prise par jour.
Depuis la connerie que nous avons faite avec la dernière qui a failli nous couter notre bisness, avec Antoine on fait gaffe.
Alors viens-tu ?
Demain, c’est samedi, il y a deux manifs à Paris, les flics seront tous sur les dents et à Nanterre on sera pénard, aucun risque qu’il y ait des contrôles dans notre secteur, alors !
...
Quatre kilos, bien sûr que je prends et les milles, ok demain soir ici avant dix-neuf heures.
Tu veux profiter un max de ma petite salope et repartir dans la matinée.

Je sens qu’il va couper et je risque de me faire choper.
Aussi silencieusement, je ferme la porte et je vais aux toilettes.
J’entends la porte s’ouvrir, il rentre, je sors très naturellement, mon portable à la main.

- Benjamin, tu étais au chiote, alors Nadine s’occupe bien de toi, elle t’a fait goûter à nos produits.
- Je suis allé aux toilettes ou j’ai reçu un coup de téléphone de mon père.
Ma mère est tombée dans les escaliers et est entre la vie et la mort à l’hôpital.
Je vais vous quitter, mais j’aimerais bien être invité à ta prochaine soirée.
Excuse-moi auprès de Nadine, c’est une fille chouette.

Je suis près de la porte, ai-je été crédible, je l’ouvre et je sors sans plus de réaction de la part de ce salopard.
Quatre à quatre je descends les escaliers et je retrouve ma 4L avant de rentrer chez moi près de chez les parents.
J’ai mon propre appartement payé par les parents bien que j’aie déjà un compte en banque bien garni depuis la mort de mon grand-père qui m’a laissé une part de ses biens.
Il est un peu plus de 22 heures, je vais dans mes contacts.

- Julien tu peux venir chez moi, tu as un gros coup à faire demain soir.

Il vient, je lui explique ce que j’ai découvert.
Julien est un copain de longue date, son père est un haut fonctionnaire à Paris et copain du mien.
Il a mal tourné, car il a fait l’école de police et est inspecteur au service des drogues.

- Tu as vu la vidéo, je peux te dire où ça se trouve, j’y étais il y a moins d’une heure.
Je te donne l’adresse à une seule condition.
Je veux sauver la petite qui est tombée dans les pattes de ce petit salop.
Si vous l’embarquez, elle sera marquée à vie alors qu’elle est une victime de cette bande de pourris.

19 heures, les flics sont en planque, nous voyons arriver une grosse voiture immatriculée en Espagne.
Nous attendons avant 19 heures, j’apprends qu’ils ont le droit d’intervenir avant cette heure où sinon ils doivent attendre jusqu’à 6 heures.
Comme dans les films, tout va très vite.
Julien m’a mis un gilet pare-balles, je suis le mouvement avec une gendarmette.
La porte saute, je suis derrière et je vois Nadine nue suçant le gars que nous avons vu monter un sac de sport à la main.
La gendarmette se sert du plaid sur le canapé pour la recouvrir et nous la faisons descendre pour l’emmener dans une voiture banalisée jusque chez moi.
Voilà, les pourris sont arrêtés et moi j’ai récupéré celle que j’aime et à qui je pardonne ce qu’elle a fait.
Avec mes parents qui m’aident, nous traitons Nadine contre la drogue dont Léonardo la rendue accro.
Ce que je vous ai expliqué tout au long de notre histoire, c’est ce qu’elle dit à Julien lors d’interrogatoires qu’il vient faire avec la gendarmette.
Dans le deal que j’ai réussi à passer avec Julien, cette dernière vient nous voir tous les jours.
Lors de leurs interrogatoires, l’espagnol s’est mis à table.
Il a très vite été suivi par Léonardo qui a donné tellement de détail que tout le réseau est tombé.
En prime, même la filière de prostitution gérée par une Marocaine dont Léonardo avait parlé, Radia.
Elle gérait ce réseau avec l’aide de ses sœurs, Nouzha et Loubna.

Vous savez tout ou presque tout.
Les insultes et les coups qu’elle me donnait auraient pu me déstabiliser, mais bien aidé par tous et surtout mes parents.
Le plus dur ce fut lorsqu’elle a pris conscience de la galère dans laquelle elle s’était fourrée.

- Mais tu m’as vu dans une position incertaine et tu as entendu ce que Léonardo a fait de moi, comment veux-tu épouser une pute.
- Non, une femme d’expérience, je t’ai aimé dès notre premier regard.
Je te le répète, veux-tu m’épouser.

Mes parents ont rencontré les siens, après ce que leur fille avait fait, ils sont enchantés que nous l’ayons remise dans le droit chemin.
Dans deux jours avec un peu de retard, nous retournons à la fac.
Hier dans un repas en amoureux, Nadine s’est donnée à moi.

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