COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. L’occasionnelle (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 991 886 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 819 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. L’occasionnelle (2/5)
• Martine, j’ai ta réponse, j’ai un nom pour la femme qui est morte.
Oui, c’est moi maman m’a appelé Martine, elle était accro à ses livres de jeunesse, nous avions toute la série si longue qu’il m’est impossible de l’énumérer ici.
Martine à l’école, c’était celui que j’aimais le moins.
Martine au sport d’hiver, celui-là je révais d’aller faire du ski, j’ai pu aller en faire il y a peu lorsque je suis venu à Beaune, aux Rousses non loin d’ici.
Inspectrice de police à Beaune en Côte d’Or, je suis chargée d’enquêter sur la mort d’une femme d’environ la quarantaine, mais une femme très soigneuse d’elle-même et encore fort jolie.
Elle a des traces certainement laissées par une laisse autour de son cou, sans compter les traces de brulures sur son corps et des aiguilles dans ses seins qui m’ont fait penser que je suis sur un meurtre ou un jeu qui a mal tourné sado-maso.
C’est le moment que choisit Fred pour revenir me prévenir que la femme est identifiée et que la scientifique arrive de Dijon.
Je leur confie la chambre, inutile de les déranger, ils connaissent leur boulot.
• Martine comme tu me l’as demandé, j’ai appelé les quelques instituts de beauté de Beaune susceptible d’avoir rasé une femme à la chatte rousse.
Dis-moi, si tu avais accepté de monter dans une de ces chambres l’autre fois, celle où la femme est morte avec des glaces par exemple, ça t’aurait plu ?
Aurais-je trouvé la même chatte rasée que celle de Solange ?
• Espèce d’obsédé, si je suis rasée, ça regarde mon mari et non une bite sur pied comme toi !
Je sais trop que tu as passé un deal avec les autres que tu baiserais toutes les femmes de la brigade.
Tu viens de donner son nom, Solange et elle est d’où !
• Attends, tu vas voir que je vais pouvoir prétendre à une petite prime en nature pour avoir fait avancer notre enquête, ton enquête.
Comme dans les instituts de Beaune, aucune dans la journée ou la veille pour raser une rousse, j’ai regardé ma carte et j’ai vu que Chagny était plus près d’ici que Beaune, j’ai cherché et j’ai trouvé.
J’y suis allé, c’est à quelques minutes d’ici et sur leur cahier de rendez+-vous, il y était noté Solange François, j’ai cherché et des François il y en avait à Corpeau village en bordure du département.
• Ouf, elle aurait pu habiter en Saône et Loire, ça aurait retardé notre enquête, il aurait fallu travailler avec Chalon, Chagny est sur leur secteur.
• J’ai mieux...
• Martine, tu peux venir voir, nous l’avons retourné, il y avait des brûlures sur le devant, certaine toutes fraîches, d’autres plus anciennes, ce devait être une adepte de la torture par soumission.
Nous en avons une preuve supplémentaire mais à l’arrière, c’est très explicite.
Il nous faut approfondir, mais les traces de cravaches sur le fessier montrent que cette femme s’adonnait à des jeux masochistes volontaires.
À première vue, elle était aussi adepte de la sodomie sans capote, il y a des traces certainement de sperme, après autopsie on t’en diras plus.
Si elle avait été forcée, elle aurait eu les mains attachées et en se débattant, elle aurait tiré sur ses liens et ses chevilles et ses poignets aurait eux aussi des traces comme pour le cou.
Elle acceptait sa punition, je dirais même qu’elle devait la rechercher.
Vu ce qu’elle semble avoir ramassé, sa bouche devait être obturée, sinon c’était une sacrée salope, crier ici dans un hôtel, elle aurait obligatoirement alerté tous les voisins de chambre.
• Continuez, sinon vous pouvez emmener le corps, à la morgue vous pourrez faire toutes les analyses complémentaires et surtout l’heure de son décès.
• Actuellement nous tablons entre les environs de minuit à deux heures, ce qui renforce la présomption pour la bouche, à cette heure, si elle avait crié, toute la région aurait été prévenue qu’une maso se faisait défoncer.
Je reviens à Fred, lui aussi semble avoir fait avancer l’enquête.
• Solange François, marié à Claude François, je sais, c’est con.
J’étais en région parisienne étant jeune à Champigny, au collège, la prof a demandé aux élèves en début d’année comment nous nous appelions, un camarade a dit « Champigny. »
La prof l’a enguirlandé lui disant que c’était son nom et non sa ville où nous habitions qu’elle lui demandait.
Il s’appelait réellement Chamigny habitant à Champigny.
• Tu veux devenir commissaire Fred, il y a du boulot, là tu me parles d’un nom et d’une ville alors que Claude François, ce sont le prénom et le nom d’un chanteur célèbre trop tôt disparu.
Lui, c’est une prise de courant qui a eu sa peau.
• Je me disais bien que ça me faisait penser à quelque chose, j’ai appelé Sumatra au bureau, il a interrogé la base, ça a marché, Claude François a été arrêté il y a une vingtaine d’années.
Il prostituait une jeune fille de seize ans, il a été condamné à huit ans et est ressorti après quatre ans pour bonne tenue.
Il la prostituait et réunissait des pervers qui venaient voir cette jeune fille se faire défoncer par des clients.
Ce fait, me tarabuste le cerveau, j’ai l’impression de passer à côté de quelque chose de primordial.
• Fred, Claude François a peut-être prostitué sa femme et lui a fait subir des sévices sexuels qu'elle acceptait.
Va le chercher et amène-le-nous, ici !
• Je veux être commissaire, je vais te le démontrer, j’ai déjà envoyé deux des agents en tenue le récupérer, je pense qu’ils vont revenir rapidement s’il le trouve.
• Patron, pouvons nous retourner dans la chambre 15, je pense qu’une partie du problème est dans cette chambre où le ménage est à refaire.
Faites venir cette femme qui fait le ménage, si elle est encore dans l’hôtel.
• Elle fait les chambres au deuxième, je vais vous l’appeler, les rares clients qui étaient là hier, son parti lorsqu’ils ont vu la police arrivée, l’hôtel est vide.
De nombreuses choses m’interpellent, les clients ayant déguerpi, certes la police est impopulaire, ménage mal fait pourtant celle de la morte, les glaces sont impeccablement faites.
• Pendant que vous allez la chercher, donnez-moi le registre que je le consulte.
Je vois Alfred le patron se décomposer, qu’ai-je dit pour le voir anxieux d’un seul coup ?
Est-ce le registre que je veux consulter ou la femme de ménage que je souhaite interroger ?
Le registre, c’est rapide, quatre noms et quatre chambres, sans compter la chambre 13 qui m’apporte une partie de ma réponse.
• Attendez, monsieur Alfred, la cliente qui est morte, ou voyez-vous que vous l’avez enregistrée chambre 13 ?
• Je vous ai dit que c’était une habituée, je me suis souvenue de son nom, mais j’ai dû oublier de l’enregistrer.
Allez me cherche votre femme de ménage, Marthe, moi aussi je crois me souvenir, je vous attends devant la 15.
• Martha, je vous ai dit Martha, pardon je vais vous la chercher.
Le patron devenu très suspect à mes yeux, prend l’ascenseur je vois qu’il monte au deuxième.
Dans le même temps par les escaliers, l’ascenseur étant trop petit, le corps de Solange est descendu par les collègues policiers et placé dans une ambulance avant de prendre la route de Dijon.
• Martine, je te téléphone dès que j’ai des constatations supplémentaires et surtout l’heure de son décès.
Nous emmenons aussi le matelas, car on a voulu nous tromper, le drap sous la morte a été changé par un drap propre.
• Il faut récupérer l’autre avant qu’il soit nettoyé !
Hélas, le drap est dans la machine, mais les fluides traversent et le matelas permettra aux agents de la scientifique au laboratoire à Dijon va le faire parler.
Moi aussi, je prends l’escalier, ça fait faire du sport surtout qu’à cette heure je devrais être en train de faire mon jogging pour garder la forme.
Alfred et Martha arrive, le patron m’a semblé anxieux, elle, c’est encore pire.
• Soyez sans crainte madame, à ce que j’en sais, vous avez voulu faire votre travail, avant votre retraite que je pense vous avez chèrement gagné.
Vous avez votre passe général, ouvrez-moi cette chambre !
• Monsieur Alfred, vous seul vous avez le passe, vous savez bien que vous seul pouvez ouvrir cette chambre.
• Vous avez raison Martha, excusez-moi inspectrice, j’avais oublié ce détail, il y a quelque temps, la serrure a cassé et je l’ai remplacé par une classique.
Je devais appeler le serrurier, pour qu’il en mette une nouvelle allant avec les passes, mais j’ai oublié, je vous ouvre.
De plus en plus étrange, j’ai l’habitude d’interroger des suspects, Alfred me présente le stéréotype de ce genre de personne mal dans sa peau après mes questions.
• Martha, depuis combien de temps, avez-vous fait le ménage dans cette chambre ?
• Des mois, depuis que la chambre 13 a été refaite et que monsieur Alfred a fait mettre ces glaces, cette chambre elle me fait peur.
J’avais bien raison, depuis que nous avons ouvert cette chambre et trouvé cette femme morte.
La femme a dû venir en France pour travailler, car elle pale comme ma voisine portugaise, certainement venant du même pays.
• Monsieur Alfred, je peux monter finir les chambres, j’en ai fait quatre sur les cinq, mon fils arrive du Portugal pour me chercher et repartir au pays.
J’y vais pour ma retraite et retrouver la tombe de José mon mari que j’ai eu le malheur de perdre l’an dernier, lui aussi devant être à la retraite cette année !
L’autorisation lui est donnée, elle quitte le couloir, prenant l’escalier elle aussi.
• Allez y ouvrer, je dois vous dire que vous êtes de plus en plus suspect à mes yeux !
• Ma femme, ou est ma femme, que faisait-elle dans cet hôtel si près de notre maison !...
Oui, c’est moi maman m’a appelé Martine, elle était accro à ses livres de jeunesse, nous avions toute la série si longue qu’il m’est impossible de l’énumérer ici.
Martine à l’école, c’était celui que j’aimais le moins.
Martine au sport d’hiver, celui-là je révais d’aller faire du ski, j’ai pu aller en faire il y a peu lorsque je suis venu à Beaune, aux Rousses non loin d’ici.
Inspectrice de police à Beaune en Côte d’Or, je suis chargée d’enquêter sur la mort d’une femme d’environ la quarantaine, mais une femme très soigneuse d’elle-même et encore fort jolie.
Elle a des traces certainement laissées par une laisse autour de son cou, sans compter les traces de brulures sur son corps et des aiguilles dans ses seins qui m’ont fait penser que je suis sur un meurtre ou un jeu qui a mal tourné sado-maso.
C’est le moment que choisit Fred pour revenir me prévenir que la femme est identifiée et que la scientifique arrive de Dijon.
Je leur confie la chambre, inutile de les déranger, ils connaissent leur boulot.
• Martine comme tu me l’as demandé, j’ai appelé les quelques instituts de beauté de Beaune susceptible d’avoir rasé une femme à la chatte rousse.
Dis-moi, si tu avais accepté de monter dans une de ces chambres l’autre fois, celle où la femme est morte avec des glaces par exemple, ça t’aurait plu ?
Aurais-je trouvé la même chatte rasée que celle de Solange ?
• Espèce d’obsédé, si je suis rasée, ça regarde mon mari et non une bite sur pied comme toi !
Je sais trop que tu as passé un deal avec les autres que tu baiserais toutes les femmes de la brigade.
Tu viens de donner son nom, Solange et elle est d’où !
• Attends, tu vas voir que je vais pouvoir prétendre à une petite prime en nature pour avoir fait avancer notre enquête, ton enquête.
Comme dans les instituts de Beaune, aucune dans la journée ou la veille pour raser une rousse, j’ai regardé ma carte et j’ai vu que Chagny était plus près d’ici que Beaune, j’ai cherché et j’ai trouvé.
J’y suis allé, c’est à quelques minutes d’ici et sur leur cahier de rendez+-vous, il y était noté Solange François, j’ai cherché et des François il y en avait à Corpeau village en bordure du département.
• Ouf, elle aurait pu habiter en Saône et Loire, ça aurait retardé notre enquête, il aurait fallu travailler avec Chalon, Chagny est sur leur secteur.
• J’ai mieux...
• Martine, tu peux venir voir, nous l’avons retourné, il y avait des brûlures sur le devant, certaine toutes fraîches, d’autres plus anciennes, ce devait être une adepte de la torture par soumission.
Nous en avons une preuve supplémentaire mais à l’arrière, c’est très explicite.
Il nous faut approfondir, mais les traces de cravaches sur le fessier montrent que cette femme s’adonnait à des jeux masochistes volontaires.
À première vue, elle était aussi adepte de la sodomie sans capote, il y a des traces certainement de sperme, après autopsie on t’en diras plus.
Si elle avait été forcée, elle aurait eu les mains attachées et en se débattant, elle aurait tiré sur ses liens et ses chevilles et ses poignets aurait eux aussi des traces comme pour le cou.
Elle acceptait sa punition, je dirais même qu’elle devait la rechercher.
Vu ce qu’elle semble avoir ramassé, sa bouche devait être obturée, sinon c’était une sacrée salope, crier ici dans un hôtel, elle aurait obligatoirement alerté tous les voisins de chambre.
• Continuez, sinon vous pouvez emmener le corps, à la morgue vous pourrez faire toutes les analyses complémentaires et surtout l’heure de son décès.
• Actuellement nous tablons entre les environs de minuit à deux heures, ce qui renforce la présomption pour la bouche, à cette heure, si elle avait crié, toute la région aurait été prévenue qu’une maso se faisait défoncer.
Je reviens à Fred, lui aussi semble avoir fait avancer l’enquête.
• Solange François, marié à Claude François, je sais, c’est con.
J’étais en région parisienne étant jeune à Champigny, au collège, la prof a demandé aux élèves en début d’année comment nous nous appelions, un camarade a dit « Champigny. »
La prof l’a enguirlandé lui disant que c’était son nom et non sa ville où nous habitions qu’elle lui demandait.
Il s’appelait réellement Chamigny habitant à Champigny.
• Tu veux devenir commissaire Fred, il y a du boulot, là tu me parles d’un nom et d’une ville alors que Claude François, ce sont le prénom et le nom d’un chanteur célèbre trop tôt disparu.
Lui, c’est une prise de courant qui a eu sa peau.
• Je me disais bien que ça me faisait penser à quelque chose, j’ai appelé Sumatra au bureau, il a interrogé la base, ça a marché, Claude François a été arrêté il y a une vingtaine d’années.
Il prostituait une jeune fille de seize ans, il a été condamné à huit ans et est ressorti après quatre ans pour bonne tenue.
Il la prostituait et réunissait des pervers qui venaient voir cette jeune fille se faire défoncer par des clients.
Ce fait, me tarabuste le cerveau, j’ai l’impression de passer à côté de quelque chose de primordial.
• Fred, Claude François a peut-être prostitué sa femme et lui a fait subir des sévices sexuels qu'elle acceptait.
Va le chercher et amène-le-nous, ici !
• Je veux être commissaire, je vais te le démontrer, j’ai déjà envoyé deux des agents en tenue le récupérer, je pense qu’ils vont revenir rapidement s’il le trouve.
• Patron, pouvons nous retourner dans la chambre 15, je pense qu’une partie du problème est dans cette chambre où le ménage est à refaire.
Faites venir cette femme qui fait le ménage, si elle est encore dans l’hôtel.
• Elle fait les chambres au deuxième, je vais vous l’appeler, les rares clients qui étaient là hier, son parti lorsqu’ils ont vu la police arrivée, l’hôtel est vide.
De nombreuses choses m’interpellent, les clients ayant déguerpi, certes la police est impopulaire, ménage mal fait pourtant celle de la morte, les glaces sont impeccablement faites.
• Pendant que vous allez la chercher, donnez-moi le registre que je le consulte.
Je vois Alfred le patron se décomposer, qu’ai-je dit pour le voir anxieux d’un seul coup ?
Est-ce le registre que je veux consulter ou la femme de ménage que je souhaite interroger ?
Le registre, c’est rapide, quatre noms et quatre chambres, sans compter la chambre 13 qui m’apporte une partie de ma réponse.
• Attendez, monsieur Alfred, la cliente qui est morte, ou voyez-vous que vous l’avez enregistrée chambre 13 ?
• Je vous ai dit que c’était une habituée, je me suis souvenue de son nom, mais j’ai dû oublier de l’enregistrer.
Allez me cherche votre femme de ménage, Marthe, moi aussi je crois me souvenir, je vous attends devant la 15.
• Martha, je vous ai dit Martha, pardon je vais vous la chercher.
Le patron devenu très suspect à mes yeux, prend l’ascenseur je vois qu’il monte au deuxième.
Dans le même temps par les escaliers, l’ascenseur étant trop petit, le corps de Solange est descendu par les collègues policiers et placé dans une ambulance avant de prendre la route de Dijon.
• Martine, je te téléphone dès que j’ai des constatations supplémentaires et surtout l’heure de son décès.
Nous emmenons aussi le matelas, car on a voulu nous tromper, le drap sous la morte a été changé par un drap propre.
• Il faut récupérer l’autre avant qu’il soit nettoyé !
Hélas, le drap est dans la machine, mais les fluides traversent et le matelas permettra aux agents de la scientifique au laboratoire à Dijon va le faire parler.
Moi aussi, je prends l’escalier, ça fait faire du sport surtout qu’à cette heure je devrais être en train de faire mon jogging pour garder la forme.
Alfred et Martha arrive, le patron m’a semblé anxieux, elle, c’est encore pire.
• Soyez sans crainte madame, à ce que j’en sais, vous avez voulu faire votre travail, avant votre retraite que je pense vous avez chèrement gagné.
Vous avez votre passe général, ouvrez-moi cette chambre !
• Monsieur Alfred, vous seul vous avez le passe, vous savez bien que vous seul pouvez ouvrir cette chambre.
• Vous avez raison Martha, excusez-moi inspectrice, j’avais oublié ce détail, il y a quelque temps, la serrure a cassé et je l’ai remplacé par une classique.
Je devais appeler le serrurier, pour qu’il en mette une nouvelle allant avec les passes, mais j’ai oublié, je vous ouvre.
De plus en plus étrange, j’ai l’habitude d’interroger des suspects, Alfred me présente le stéréotype de ce genre de personne mal dans sa peau après mes questions.
• Martha, depuis combien de temps, avez-vous fait le ménage dans cette chambre ?
• Des mois, depuis que la chambre 13 a été refaite et que monsieur Alfred a fait mettre ces glaces, cette chambre elle me fait peur.
J’avais bien raison, depuis que nous avons ouvert cette chambre et trouvé cette femme morte.
La femme a dû venir en France pour travailler, car elle pale comme ma voisine portugaise, certainement venant du même pays.
• Monsieur Alfred, je peux monter finir les chambres, j’en ai fait quatre sur les cinq, mon fils arrive du Portugal pour me chercher et repartir au pays.
J’y vais pour ma retraite et retrouver la tombe de José mon mari que j’ai eu le malheur de perdre l’an dernier, lui aussi devant être à la retraite cette année !
L’autorisation lui est donnée, elle quitte le couloir, prenant l’escalier elle aussi.
• Allez y ouvrer, je dois vous dire que vous êtes de plus en plus suspect à mes yeux !
• Ma femme, ou est ma femme, que faisait-elle dans cet hôtel si près de notre maison !...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'écris sa prochaine enquête mon ami rendez vous en septembre pour Martine Durand
C'est toute ton écriture mon cher Chris, de l'érotisme, de l'intrigue...
Cyrille
Cyrille