COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (1/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (1/12)
12 chapitres pour retrouver Martine l’inspecteur de police dans ses aventures.
6 pour commencer, « le Pompon » quelques chapitres et les 6 derniers.
Bonne lecture.
• Inspecteur Claude, voulez-vous appeler Martine votre collègue, nous avons une affaire de la plus haute importance qui nous tombe sur les bras !
• Commissaire Fred, avec tout le respect que je vous dois en tant que responsable hiérarchique, Martine est en vacances pendant encore quinze jours.
Depuis que je suis dans ce commissariat et son adjoint, je pense que j’ai fait mes preuves et que je suis capable de mener à bien cette enquête !
• Claude, vous êtes gentil, je connais votre gout pour les jeunes pucelles qui gravitent autour de nos affaires !
• Mais, cette jeune femme découverte nue et parfaitement morte dans les vignes du domaine Saint-Pierre à Nuits-Saint-Georges, l’assassin lui ayant enlevé tous ses organes et à ce que la gendarmerie vient de me dire, ce n’est pas beau à voir.
Je suis absente, en vacances avec Jules mon mari, mais je me dois d’intervenir avant d’avoir été prévenue que Fred mon ancien amant a voulu me confier l’enquête sur la mort de Clémentine Bodin.
Clémentine comme je vais le comprendre est une jeune fille sortie de l’assistance publique.
À ses dix-huit ans l’administration l’a placé dans la propriété « Robert Degas » pour qu’elle s’occupe du vieillard fondateur du domaine Saint-Pierre à Nuits.
Pourquoi avec son tact légendaire Fred est le commissaire de notre bureau de Beaune en Côte d’Or, je vous ai quitté, c’était Anatole Lupin qui était notre commissaire ?
On se souvient que j’avais menti à sa femme sur ses tromperies avec Yollande, rattaché à notre commissariat.
Qui a fait courir le bruit que Lupin avait une petite bite, je l’ignore.
Mais ce qui est sûr c’est que Christine sa femme l’a su et comme on parlait de la bite de son cher et tendre.
Crédibilisant de ce fait, ce que certains colportaient qu’on l’avait surpris le pantalon au bas des jambes, elle l’a tellement relancé que ce con a fini par cracher la vérité sur lui et Yolande.
Ne l’ayant pas supporté, elle a pris ses cliques et ses claques et s’est barrée laissant le commissaire parti vers une dépression.
Je suis allé le voir il y a peu profitant de mon congé, il se remet, mais il est encore à ce moment hors d’état de diriger le commissariat.
L’administration pleine de bonnes idées a eu besoin de le remplacer, c’est ainsi que j’ai vu débarquer Fred qui avait demandé de changer de région, les vins du Nord étant bien moins prestigieux que ceux de bourgogne.
C’est la veille de mon congé pour trois semaines, que je l’ai vu arriver avec armes et bagages.
Arme, car même un commissaire à une arme de service à sa ceinture et bagage, car un sac de sport lui a été nécessaire certainement pour y mettre deux slips et quelques paires de soquettes.
Le temps où nous avons été amant, j’ai pu comprendre qu’il dormait nu, présentement à l’hôtel de la gare de Chagny en Saône et Loire en attendant que Lupin prenant certainement sa retraite lui cède son logement de fonction.
Comme je l’ai dit, c’est il y a quelques jours, que j’ai été reçue seule par Fred, ça m’a permis de lui dire que j’avais fini mes conneries et que j’étais redevenue fidèle à Jules mon mari.
• Fred et ta femme, va-t-elle arriver ?
• Martine, nous sommes en instance de divorce, je l’ai surpris à se faire baiser par les gars d’un car de CRS lors d’une manif pour les retraites à Lille.
Cette salope s’occupait de toutes les bites que ces messieurs casqués avaient sorties de leur pantalon.
Je venais aider mes collèges à remplir les papiers des blacks blocs arrêtés lorsque je suis passé près de leur camionnette de service et que j’ai reconnu la voix de Lucie, demandant à un bien membré de la défoncer.
À son sourire, était-il convaincu de ce que je lui ai dit sur ma fidélité retrouver auprès de Jules ?
Ou en bon flic, sait-il déjà que j’entretiens une liaison avec Marie la proviseure du Lycée !
Marie, que j’ai réussi à éviter qu’elle ne soit impliquée après avoir résolu l’assassinat par la petite Laurentine de Valentin jeune élève dans les caves de son lycée !
Cet amant qui avait déçu cette pauvre petite et qui l’avait planté d’un coup de tournevis officiellement voulant lui faire peur en simulant un suicide.
J’ai eu des nouvelles lors de son procès, j’ai même été entendu, la juge m’a même demandé si pour moi, je pensais que la petite risquait d’être dangereuse si elle était libérée.
Comment répondre à cette question, j’ai fait des études pour devenir inspecteur ?
Je rappelle que je refuse, que l’on me dise inspectrice, chaque fois, j’ai l’impression d’être rentrée dans l'Éducation Nationale et non dans la police !
Libéré sous la garde de ses parents, plus surement celle de sa maman.
J’ai appris que la fille et la maman avait déménagé, rien ne les empêchant.
C’est mieux pour Laurentine, elle est assez punie d’avoir à porter la mort de son dépuceleur jusqu'à la fin de ses jours.
Que fait-on en vacances, on se lève tard, surtout moi qui travaille le jour et la nuit à jouer au gendarme et au voleur ?
• Que fait-on lorsque Jules votre mari pour une fois est à la maison ayant pendant ces trois semaines refusé tout rendez-vous surtout à l’étranger ?
• Chéri, tu es déjà fatigué où en est ta vigueur de nos vingt ans, nous baisions comme des lapins !
• Tais-toi et suce, je veux arriver à démarrer et te faire jouir, mais on vieillit, je vieillis !
Merde qui peut sonner comme ça à la porte ?
• Qui c’est ce con, qui va bousiller notre sonnette, ça doit être important.
Attends, je vais voir, continu à te branler, je veux te trouver en pleine forme pour bien me baiser lorsque j’aurais viré ce malotru.
J’enfile mon peignoir posé sur la chaise de notre chambre et je rejoins la porte d’entrée.
• Claude, c’est toi qui fais tout ce barouf, que se passe-t-il, les petits hommes verts ont-ils débarqué ?
• Non, Martine, j’ai l’impression que je te dérange en pleine action.
Jules a de la chance de t’avoir comme épouse, je pense qu’avec un si beau morceau, il doit passer des heures à t’entreprendre.
• Claude, c’est vous, mon sauveur, entrer prendre un bon café, Martine va nous le préparer !
• Votre sauveur, j’ai du mal à comprendre, mais merci pour le café.
• Ça fait une heure que ma femme fait le nécessaire pour que je la baise et c’est la panne sèche.
Jules est venu à la porte, lui aussi ayant passé son peignoir, je sens très nettement que mon mari se sert de la venue de mon collègue pour échapper à notre partie de jambes en l’air.
Après on se demandera pourquoi j’ai cédé à Fred et maintenant lorsqu’elle est là, à Marie, qui est partie chez sa mère les derniers temps des vacances avant la rentrée du lycée de Beaune.
• Fred te demande au commissariat.
• Il est de retour celui-là, je croyais que tu m’avais dit qu’il avait réussi son examen de commissaire et était nommé dans le Nord de la France.
Tu m’avais même traîné à son pot de départ.
• J’ai oublié de te dire que pour remplacer Lupin qui est en maison de repos après sa dépression, Fred a été nommé commissaire à sa place le temps qu’il se remette.
Qu’arrive-t-il Claude pour que tu viennes me chercher ?
• Des passants se promenant avant la chaleur ont trouvé une jeune femme décédée et mutilée à Nuits-saint-Georges sur le domaine Robert Degas.
• Le domaine, Degas, je connais le grand-père Robert, c’est lui qui gérait lorsque j’ai commencé à vendre du vin partout dans le monde.
Il y a aussi Robert II, son fils marié avec une fille Poisson, du domaine « Poisson » de Gevrey-Chambertin.
Rapprochement de famille, je crois qu’ils ont eu un fils, certainement le futur Robert III, mais lui je ne l’ai jamais vu.
Chérie, c’est bientôt les vendanges, elles vont être précoces à ce qui se dit dans les domaines à cause de la canicule.
• Fred m’a dit de te conduire directement sur les lieux du crime, dans la vigne de la combe profonde, j’ignore pourquoi ce nom ?
Je m’y suis promené cet été avec une jeune Parisienne à qui je faisais visiter notre région, c’est plat comme la main.
Nous nous sommes regardés avec Jules.
Les ceps de vigne ont dû voir une chatte et une queue, bien que la queue ils doivent l’avoir vue très rapidement avant qu’elle ne se soit cachée dans la chatte.
• Pourquoi Fred veut-il que je stop mes vacances pour m’occuper de l’affaire, tu es compétent !
• Pour toi, mais pas pour lui, je suis trop con pour menez l’enquête.
• Bon, je vais m’habiller, Jules le devoir m’appelle.
Pourquoi mon mari, me semble-t-il souffler, est-il soulagé que nos ébats ne soient interrompus par cet homicide semblant affreux ?
Après on me dira que c’est moi qui suis une salope à le tromper avec hommes ou femmes...
6 pour commencer, « le Pompon » quelques chapitres et les 6 derniers.
Bonne lecture.
• Inspecteur Claude, voulez-vous appeler Martine votre collègue, nous avons une affaire de la plus haute importance qui nous tombe sur les bras !
• Commissaire Fred, avec tout le respect que je vous dois en tant que responsable hiérarchique, Martine est en vacances pendant encore quinze jours.
Depuis que je suis dans ce commissariat et son adjoint, je pense que j’ai fait mes preuves et que je suis capable de mener à bien cette enquête !
• Claude, vous êtes gentil, je connais votre gout pour les jeunes pucelles qui gravitent autour de nos affaires !
• Mais, cette jeune femme découverte nue et parfaitement morte dans les vignes du domaine Saint-Pierre à Nuits-Saint-Georges, l’assassin lui ayant enlevé tous ses organes et à ce que la gendarmerie vient de me dire, ce n’est pas beau à voir.
Je suis absente, en vacances avec Jules mon mari, mais je me dois d’intervenir avant d’avoir été prévenue que Fred mon ancien amant a voulu me confier l’enquête sur la mort de Clémentine Bodin.
Clémentine comme je vais le comprendre est une jeune fille sortie de l’assistance publique.
À ses dix-huit ans l’administration l’a placé dans la propriété « Robert Degas » pour qu’elle s’occupe du vieillard fondateur du domaine Saint-Pierre à Nuits.
Pourquoi avec son tact légendaire Fred est le commissaire de notre bureau de Beaune en Côte d’Or, je vous ai quitté, c’était Anatole Lupin qui était notre commissaire ?
On se souvient que j’avais menti à sa femme sur ses tromperies avec Yollande, rattaché à notre commissariat.
Qui a fait courir le bruit que Lupin avait une petite bite, je l’ignore.
Mais ce qui est sûr c’est que Christine sa femme l’a su et comme on parlait de la bite de son cher et tendre.
Crédibilisant de ce fait, ce que certains colportaient qu’on l’avait surpris le pantalon au bas des jambes, elle l’a tellement relancé que ce con a fini par cracher la vérité sur lui et Yolande.
Ne l’ayant pas supporté, elle a pris ses cliques et ses claques et s’est barrée laissant le commissaire parti vers une dépression.
Je suis allé le voir il y a peu profitant de mon congé, il se remet, mais il est encore à ce moment hors d’état de diriger le commissariat.
L’administration pleine de bonnes idées a eu besoin de le remplacer, c’est ainsi que j’ai vu débarquer Fred qui avait demandé de changer de région, les vins du Nord étant bien moins prestigieux que ceux de bourgogne.
C’est la veille de mon congé pour trois semaines, que je l’ai vu arriver avec armes et bagages.
Arme, car même un commissaire à une arme de service à sa ceinture et bagage, car un sac de sport lui a été nécessaire certainement pour y mettre deux slips et quelques paires de soquettes.
Le temps où nous avons été amant, j’ai pu comprendre qu’il dormait nu, présentement à l’hôtel de la gare de Chagny en Saône et Loire en attendant que Lupin prenant certainement sa retraite lui cède son logement de fonction.
Comme je l’ai dit, c’est il y a quelques jours, que j’ai été reçue seule par Fred, ça m’a permis de lui dire que j’avais fini mes conneries et que j’étais redevenue fidèle à Jules mon mari.
• Fred et ta femme, va-t-elle arriver ?
• Martine, nous sommes en instance de divorce, je l’ai surpris à se faire baiser par les gars d’un car de CRS lors d’une manif pour les retraites à Lille.
Cette salope s’occupait de toutes les bites que ces messieurs casqués avaient sorties de leur pantalon.
Je venais aider mes collèges à remplir les papiers des blacks blocs arrêtés lorsque je suis passé près de leur camionnette de service et que j’ai reconnu la voix de Lucie, demandant à un bien membré de la défoncer.
À son sourire, était-il convaincu de ce que je lui ai dit sur ma fidélité retrouver auprès de Jules ?
Ou en bon flic, sait-il déjà que j’entretiens une liaison avec Marie la proviseure du Lycée !
Marie, que j’ai réussi à éviter qu’elle ne soit impliquée après avoir résolu l’assassinat par la petite Laurentine de Valentin jeune élève dans les caves de son lycée !
Cet amant qui avait déçu cette pauvre petite et qui l’avait planté d’un coup de tournevis officiellement voulant lui faire peur en simulant un suicide.
J’ai eu des nouvelles lors de son procès, j’ai même été entendu, la juge m’a même demandé si pour moi, je pensais que la petite risquait d’être dangereuse si elle était libérée.
Comment répondre à cette question, j’ai fait des études pour devenir inspecteur ?
Je rappelle que je refuse, que l’on me dise inspectrice, chaque fois, j’ai l’impression d’être rentrée dans l'Éducation Nationale et non dans la police !
Libéré sous la garde de ses parents, plus surement celle de sa maman.
J’ai appris que la fille et la maman avait déménagé, rien ne les empêchant.
C’est mieux pour Laurentine, elle est assez punie d’avoir à porter la mort de son dépuceleur jusqu'à la fin de ses jours.
Que fait-on en vacances, on se lève tard, surtout moi qui travaille le jour et la nuit à jouer au gendarme et au voleur ?
• Que fait-on lorsque Jules votre mari pour une fois est à la maison ayant pendant ces trois semaines refusé tout rendez-vous surtout à l’étranger ?
• Chéri, tu es déjà fatigué où en est ta vigueur de nos vingt ans, nous baisions comme des lapins !
• Tais-toi et suce, je veux arriver à démarrer et te faire jouir, mais on vieillit, je vieillis !
Merde qui peut sonner comme ça à la porte ?
• Qui c’est ce con, qui va bousiller notre sonnette, ça doit être important.
Attends, je vais voir, continu à te branler, je veux te trouver en pleine forme pour bien me baiser lorsque j’aurais viré ce malotru.
J’enfile mon peignoir posé sur la chaise de notre chambre et je rejoins la porte d’entrée.
• Claude, c’est toi qui fais tout ce barouf, que se passe-t-il, les petits hommes verts ont-ils débarqué ?
• Non, Martine, j’ai l’impression que je te dérange en pleine action.
Jules a de la chance de t’avoir comme épouse, je pense qu’avec un si beau morceau, il doit passer des heures à t’entreprendre.
• Claude, c’est vous, mon sauveur, entrer prendre un bon café, Martine va nous le préparer !
• Votre sauveur, j’ai du mal à comprendre, mais merci pour le café.
• Ça fait une heure que ma femme fait le nécessaire pour que je la baise et c’est la panne sèche.
Jules est venu à la porte, lui aussi ayant passé son peignoir, je sens très nettement que mon mari se sert de la venue de mon collègue pour échapper à notre partie de jambes en l’air.
Après on se demandera pourquoi j’ai cédé à Fred et maintenant lorsqu’elle est là, à Marie, qui est partie chez sa mère les derniers temps des vacances avant la rentrée du lycée de Beaune.
• Fred te demande au commissariat.
• Il est de retour celui-là, je croyais que tu m’avais dit qu’il avait réussi son examen de commissaire et était nommé dans le Nord de la France.
Tu m’avais même traîné à son pot de départ.
• J’ai oublié de te dire que pour remplacer Lupin qui est en maison de repos après sa dépression, Fred a été nommé commissaire à sa place le temps qu’il se remette.
Qu’arrive-t-il Claude pour que tu viennes me chercher ?
• Des passants se promenant avant la chaleur ont trouvé une jeune femme décédée et mutilée à Nuits-saint-Georges sur le domaine Robert Degas.
• Le domaine, Degas, je connais le grand-père Robert, c’est lui qui gérait lorsque j’ai commencé à vendre du vin partout dans le monde.
Il y a aussi Robert II, son fils marié avec une fille Poisson, du domaine « Poisson » de Gevrey-Chambertin.
Rapprochement de famille, je crois qu’ils ont eu un fils, certainement le futur Robert III, mais lui je ne l’ai jamais vu.
Chérie, c’est bientôt les vendanges, elles vont être précoces à ce qui se dit dans les domaines à cause de la canicule.
• Fred m’a dit de te conduire directement sur les lieux du crime, dans la vigne de la combe profonde, j’ignore pourquoi ce nom ?
Je m’y suis promené cet été avec une jeune Parisienne à qui je faisais visiter notre région, c’est plat comme la main.
Nous nous sommes regardés avec Jules.
Les ceps de vigne ont dû voir une chatte et une queue, bien que la queue ils doivent l’avoir vue très rapidement avant qu’elle ne se soit cachée dans la chatte.
• Pourquoi Fred veut-il que je stop mes vacances pour m’occuper de l’affaire, tu es compétent !
• Pour toi, mais pas pour lui, je suis trop con pour menez l’enquête.
• Bon, je vais m’habiller, Jules le devoir m’appelle.
Pourquoi mon mari, me semble-t-il souffler, est-il soulagé que nos ébats ne soient interrompus par cet homicide semblant affreux ?
Après on me dira que c’est moi qui suis une salope à le tromper avec hommes ou femmes...
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