COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (10/12)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (10/12)
« J’avais constaté avec Claude mon adjoint, l’Opinel que Hugo le majordome de monsieur Robert Degas avait tendance à affuter avec une petite pierre à plusieurs reprises de notre enquête. »
Je sais, ce n’est pas complètement ainsi que les choses se sont passées.
Dans ma précédente enquête, un certain matelas apporté par une salope voulant se farcir l’un de ses élèves, était arrivé là comme par enchantement.
Elle s’appelle Marie et depuis j’ai appris qu’en plus des jeunes garçons elle appréciait les chattes et particulièrement la mienne.
Ça tombe bien, j’ai moi aussi appris à aimer la sienne, puis celle de Lucie en espérant celle de Ruby la gendarmette rousse comme l’était Lucie la copine de Fred mon premier amant.
Ça me vaut des moments intimes avec Marie cette salope qui en plus de cet élève sait fort bien me faire jouir avec sa langue.
Je laisse là les pisse-froid, c’est comme cela que ça s’est passé un point, c’est tout.
Nous avions eu les compliments de Lupin notre commissaire du moment après la mort de Valentin, ceux de Fred son remplaçant après un burnout dû au départ de sa femme.
Elles seront encore plus jouissives lorsque ce sera lui qui me prodiguera ses éloges.
Pour votre gouverne, c’est tout de même moi qui ai décidé d’enquêter vers la propriété des Degas.
Ceci malgré les recommandations, d’y aller mollo de ce grand con de Fred, commissaire, dont j’ignore encore pourquoi il a été reçu !
Nous sommes revenus au commissariat avec ceux à qui j’ai signalé devant son avocat ses droits réglementairement pour Geneviève Degas et Hugo le majordome de son beau-père.
J’ai la Raperière dans le pif, mais j’ai conscience qu’on peut en partie être en marge de la légalité sans risquer l’annulation pour vice de forme.
Les médias sont rapides à vous mettre au sommet, mais dès qu’ils le peuvent et vous mettre plus bas que terre lorsqu’ils en ont l’occasion, pour eux nos affaires se trouvent dans leurs papiers en nombre de lignes.
Comment cela s’est-il passé après que j’ai appuyé sur la tête d’Olive sosie de la femme de Popeye du moins dans sa morphologie pour la ramener au commissariat ?
Hugo nous en a dit plus, sur la voiture et les jeunes qui ont baisé l’obligeant à se planquer.
Avec sa brouette, il s’est caché dans la vigne la plus proche sans savoir qu’elle appartenait aux Degas, nous ramenant vers ce domaine.
Ils ont baisé sur le capot de la voiture, dans la nuit et le jour commençant à poindre, il a été capable de nous dire jusqu’aux cris de plaisir de Vénus lorsqu’un orgasme l’a frappée.
Le problème ce fut le temps, ils étaient tellement amoureux qu’ils ont remis le couvert après que Vénus l’ait sucé, du moins c’est ce qu’il a déclaré.
Il faisait jour lorsqu’ils se sont rajustés et que la voiture est repartie.
Geneviève lui avait dit de faire gaffe à l’heure, car Robert le porcher arrivait auprès de ses bêtes à six heures et il fallait du temps aux cochons pour bouffer la demoiselle.
Il avait récupéré son Opinel et c’est dans cette vigne qu’il l’a dépecé emmenant les preuves de leur méfait vers le domaine.
Il les a jetés dans un chemin creux, nous avons retrouvé des traces, mais sans plus, si les cochons l’avaient épargné les renards ou autres carnassiers airant comme les corbeaux avaient nettoyé le terrain.
Finir dans le ventre d’un oiseau et une partie d’elle repassant sans le savoir au-dessus de la propriété qu’elle convoitait, c’est vraiment pas de chance.
Hélas, la vie c’est comme ça, un jour on se croit toute puissante et le lendemain on est un petit tas de chairs bouffé par des nuisibles.
Ça fait plusieurs fois que je parle de Hugo ayant ostensiblement aiguisé son Opinel devant moi.
C’est lors du procès défendu par maître Durand celui qui avait défendu Laurentine la jeune élève ayant tué Valentin que j’ai cru comprendre pourquoi.
Il savait certainement qu’il serait pris, que la grande Degas craquerait et confirmerait que c’est bien elle de la main droite, qui avait frappé la jeune servante.
Maitre Durand a orienté sa défense sur le seul dépeçage de son client après que le temps de se rendre à la porcherie s’était écoulé.
Damien et Vénus, Claude les a bien retrouvés.
Cette nuit-là, ils ont bien baisé dans la nature.
Mais comme tous les chemins menant à Rome, dans les vignes qui ressemblent plus à un chemin au flanc d’un coteau qu’un autre chemin au flanc d’un autre coteau ?
C’est là encore volontairement qu’il a parlé de leur voiture qu’il a peut-être croisée à un certain moment, car pour aller dans cet endroit, il fallait obligatoirement passer devant la propriété des Degas.
Les ayant reconnu sans que lui le soi, ça lui a permis d’abandonner Clémentine dans l’une des vignes de la famille sans aller à la porcherie afin qu’elle finisse dans l’estomac de cochons.
Résultat, cinq ans demandés par le procureur, deux ans pour avoir dépecé un cadavre sous couvert de rendre service à sa patronne.
Quant à elle, douze ans demandés et dix ans retenus, maître Benoit de La Raperière, une nouvelle fois en plus de son balai, il l’a eu dans le cul.
De plus il est passé pour un piètre avocat devant toute la Bourgogne.
L’histoire de la famille et du domaine Degas pouvait s’arrêter là, mais il me restait quinze jours de vacances, Ruby elle aussi avait des congés à prendre et Robert II a été enchanté d’engager deux vendangeuses supplémentaires.
J’avais toujours rêvé de les faire depuis que j’avais atterri dans la région, l’occasion a fait le larron.
Il a voulu nous mettre dans le nouveau chaix sur la table de tri du raisin bien moins fatigant que de passer des jours à couper les grappes de raisin.
• Merci, Robert, mais une amie m’a dit qu’elle faisait cela depuis plus de dix ans et que les contremaîtres leur disaient qu’ils ne voulaient voir que des culs.
Ruby et moi, nous voulons chanter avec les vendangeurs, même si j’ai une voix de casserole et comme Annie Cordy, avoir les culs en l’air.
Quinze jours avec au début mes épaules et mes cuisses me rappelant leur existence, mais qui au bout d’un certain temps, ils se sont mis au diapason du travail à faire.
Les rangs succédaient aux rangs, les vignes succédaient aux vignes, des sceaux de raisins succédaient aux sceaux de raisins.
Serge le contremaitre était aux petits soins pour moi, mais j’avais fait assez de conneries depuis qu’une première fois j’avais trompé Jules.
Surtout que Jules me massait tous les soirs à mon retour pour effacer mes courbatures.
Au matin, il se levait avant moi pour me préparer mon café avant de rejoindre le bus qui nous ramenait vers le domaine ou dès les lueurs du jour nous recommencions à jouer du sécateur.
8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1.
• Je vous propose que Martine cette année coupe la dernière grappe, du dernier rang de nos dernières vignes avant les vendanges de l’an prochain.
Mais bien sûr ce soir, c’est la paulée que je sais, vous attendez tous avec impatience.
Cette année, nous avons battu les recors de tous les temps en nombre de raisins coupés, les cuves seront pleines, nous espérons tout vendre l’année prochaine après que Sandrine notre nouvelle jeune œnologue ait transformé le raisin en vignes du seigneur.
Ce discours près des enjambeurs, des tracteurs que l’on voit dans les vignes ressemblant à des mentes religieuses pour travailler aux dessus des vignes.
Et des tracteurs tirant les plateformes où se trouvent les dernières caisses regorgeant de raisin, c’est Robert II qui nous le tient.
La paulée, c’est la première fois que j’entendais ce mot.
J’ignorais qu’il voulait dire, repas de fin de vendanges, la nouba, tous ensemble, vendangeurs, permanents des domaines entretenant les vignes toute l’année et patrons.
Cette paulée, est une fête spécifique à la Bourgogne.
Le soir, nous nous sommes tous retrouvés devant une table à l’extérieur du vieux chaix, la météo étant au beau fixe.
Du vieux chaix, car il permet à la cuisinière d’apporter le repas aidé de Louise qui s’en sort avec une comparution immédiate et un non-lieu.
Il faut dire que Claude de lui-même a tapé un rapport le moins à charge possible, il s’améliore ce petit.
À part avoir accepté des billets pour se faire caresser la chatte par le patriarche et d’avoir suivi sa patronne chez Robert, j’ajouterais « le toubib, » sa participation a été mineure et les prisons sont pleines.
Des torches ont été allumées autour de la table où nous sommes une quarantaine de vendangeurs, de porteurs, de conducteurs, de trieurs et trieuses de grains impropres à la fabrication.
Parmi eux les murmots en patois local ou les verjus dans d’autres régions viticoles.
Les murmots, grappes de raisin les plus hautes, mais mal alimentées par la sève des pieds de vigne.
Ils sont reconnaissables, car un peu violet mat, par inadvertance après que l’on me les ais montré, j’ai dû en couper ainsi que Ruby qui a promené son petit cul tous au long de cette quinzaine.
S’il y en a trop, ils apporteront beaucoup d’acidité au vin lorsque la nature et l’oenologue auront fait leur travail dans les tonneaux en chêne.
J’ignorais que Claude avait été convié, car pendant cette quinzaine, il avait brié par son absence, aurait-il quelques billets de trop à donner à Louise lorsqu’il s’assied à ses côtés.
Je suis sûr que dans les jours derniers avant cette soirée, il a invité la jeune femme à visiter ses deux pièces, cuisines, salle de bains.
Bien sûr, je parle de deux pièces, il y en a peut-être trois, voire quatre bien qu’il soit célibataire, une pièce suffit s’il a un bon lit.
Inutile de vous faire un ciné, je sais où il habite, mais je suis seulement venue le chercher en voiture de service comme il le fait avec moi.
En bout de table, près du maître de maison, lui-même assis auprès de Sandrine, la jeune œnologue, Ruby est à ma droite et rapidement pose sa main sur ma cuisse.
Comme toute bonne fête, il y a de la musique et une piste de danse, rapidement les garçons font sauter les chemises.
Ruby porte une robe qui la moule à me faire couler ma chatte, et moi je suis en pantalon chemisier blanc.
Eh ! oui, c’est moi qui fais tourner mon chemisier, suivi par d’autres filles qui comme moi peuvent « enlever la chemise. »
À voir la façon dont ils nous regardent bon nombre de garçons doivent avoir la queue qui se tend en voyant nos seins dans nos soutiens-gorge.
Sauf Sabrina, une petite coupeuse qui sous sa blouse est sans, elle nous montre ses seins, je sais qu’elle est loin d’être farouche.
À la pause du matin et celle de l’après-midi, elle a dû sucer bien des queues, car je la voyais discrètement d’éclipser suivi de très près par une queue mâle.
Elle et ils revenant trop rapidement pour avoir eu le temps d’ôter son jean et de s’être fait mettre.
Je dis ils au pluriel, car chaque fois que j’ai repéré la manoeuvre, la bite qui suivait était différente.
• Martine, j’ai envie de faire pipi, sais-tu où il y a des toilettes ?...
Je sais, ce n’est pas complètement ainsi que les choses se sont passées.
Dans ma précédente enquête, un certain matelas apporté par une salope voulant se farcir l’un de ses élèves, était arrivé là comme par enchantement.
Elle s’appelle Marie et depuis j’ai appris qu’en plus des jeunes garçons elle appréciait les chattes et particulièrement la mienne.
Ça tombe bien, j’ai moi aussi appris à aimer la sienne, puis celle de Lucie en espérant celle de Ruby la gendarmette rousse comme l’était Lucie la copine de Fred mon premier amant.
Ça me vaut des moments intimes avec Marie cette salope qui en plus de cet élève sait fort bien me faire jouir avec sa langue.
Je laisse là les pisse-froid, c’est comme cela que ça s’est passé un point, c’est tout.
Nous avions eu les compliments de Lupin notre commissaire du moment après la mort de Valentin, ceux de Fred son remplaçant après un burnout dû au départ de sa femme.
Elles seront encore plus jouissives lorsque ce sera lui qui me prodiguera ses éloges.
Pour votre gouverne, c’est tout de même moi qui ai décidé d’enquêter vers la propriété des Degas.
Ceci malgré les recommandations, d’y aller mollo de ce grand con de Fred, commissaire, dont j’ignore encore pourquoi il a été reçu !
Nous sommes revenus au commissariat avec ceux à qui j’ai signalé devant son avocat ses droits réglementairement pour Geneviève Degas et Hugo le majordome de son beau-père.
J’ai la Raperière dans le pif, mais j’ai conscience qu’on peut en partie être en marge de la légalité sans risquer l’annulation pour vice de forme.
Les médias sont rapides à vous mettre au sommet, mais dès qu’ils le peuvent et vous mettre plus bas que terre lorsqu’ils en ont l’occasion, pour eux nos affaires se trouvent dans leurs papiers en nombre de lignes.
Comment cela s’est-il passé après que j’ai appuyé sur la tête d’Olive sosie de la femme de Popeye du moins dans sa morphologie pour la ramener au commissariat ?
Hugo nous en a dit plus, sur la voiture et les jeunes qui ont baisé l’obligeant à se planquer.
Avec sa brouette, il s’est caché dans la vigne la plus proche sans savoir qu’elle appartenait aux Degas, nous ramenant vers ce domaine.
Ils ont baisé sur le capot de la voiture, dans la nuit et le jour commençant à poindre, il a été capable de nous dire jusqu’aux cris de plaisir de Vénus lorsqu’un orgasme l’a frappée.
Le problème ce fut le temps, ils étaient tellement amoureux qu’ils ont remis le couvert après que Vénus l’ait sucé, du moins c’est ce qu’il a déclaré.
Il faisait jour lorsqu’ils se sont rajustés et que la voiture est repartie.
Geneviève lui avait dit de faire gaffe à l’heure, car Robert le porcher arrivait auprès de ses bêtes à six heures et il fallait du temps aux cochons pour bouffer la demoiselle.
Il avait récupéré son Opinel et c’est dans cette vigne qu’il l’a dépecé emmenant les preuves de leur méfait vers le domaine.
Il les a jetés dans un chemin creux, nous avons retrouvé des traces, mais sans plus, si les cochons l’avaient épargné les renards ou autres carnassiers airant comme les corbeaux avaient nettoyé le terrain.
Finir dans le ventre d’un oiseau et une partie d’elle repassant sans le savoir au-dessus de la propriété qu’elle convoitait, c’est vraiment pas de chance.
Hélas, la vie c’est comme ça, un jour on se croit toute puissante et le lendemain on est un petit tas de chairs bouffé par des nuisibles.
Ça fait plusieurs fois que je parle de Hugo ayant ostensiblement aiguisé son Opinel devant moi.
C’est lors du procès défendu par maître Durand celui qui avait défendu Laurentine la jeune élève ayant tué Valentin que j’ai cru comprendre pourquoi.
Il savait certainement qu’il serait pris, que la grande Degas craquerait et confirmerait que c’est bien elle de la main droite, qui avait frappé la jeune servante.
Maitre Durand a orienté sa défense sur le seul dépeçage de son client après que le temps de se rendre à la porcherie s’était écoulé.
Damien et Vénus, Claude les a bien retrouvés.
Cette nuit-là, ils ont bien baisé dans la nature.
Mais comme tous les chemins menant à Rome, dans les vignes qui ressemblent plus à un chemin au flanc d’un coteau qu’un autre chemin au flanc d’un autre coteau ?
C’est là encore volontairement qu’il a parlé de leur voiture qu’il a peut-être croisée à un certain moment, car pour aller dans cet endroit, il fallait obligatoirement passer devant la propriété des Degas.
Les ayant reconnu sans que lui le soi, ça lui a permis d’abandonner Clémentine dans l’une des vignes de la famille sans aller à la porcherie afin qu’elle finisse dans l’estomac de cochons.
Résultat, cinq ans demandés par le procureur, deux ans pour avoir dépecé un cadavre sous couvert de rendre service à sa patronne.
Quant à elle, douze ans demandés et dix ans retenus, maître Benoit de La Raperière, une nouvelle fois en plus de son balai, il l’a eu dans le cul.
De plus il est passé pour un piètre avocat devant toute la Bourgogne.
L’histoire de la famille et du domaine Degas pouvait s’arrêter là, mais il me restait quinze jours de vacances, Ruby elle aussi avait des congés à prendre et Robert II a été enchanté d’engager deux vendangeuses supplémentaires.
J’avais toujours rêvé de les faire depuis que j’avais atterri dans la région, l’occasion a fait le larron.
Il a voulu nous mettre dans le nouveau chaix sur la table de tri du raisin bien moins fatigant que de passer des jours à couper les grappes de raisin.
• Merci, Robert, mais une amie m’a dit qu’elle faisait cela depuis plus de dix ans et que les contremaîtres leur disaient qu’ils ne voulaient voir que des culs.
Ruby et moi, nous voulons chanter avec les vendangeurs, même si j’ai une voix de casserole et comme Annie Cordy, avoir les culs en l’air.
Quinze jours avec au début mes épaules et mes cuisses me rappelant leur existence, mais qui au bout d’un certain temps, ils se sont mis au diapason du travail à faire.
Les rangs succédaient aux rangs, les vignes succédaient aux vignes, des sceaux de raisins succédaient aux sceaux de raisins.
Serge le contremaitre était aux petits soins pour moi, mais j’avais fait assez de conneries depuis qu’une première fois j’avais trompé Jules.
Surtout que Jules me massait tous les soirs à mon retour pour effacer mes courbatures.
Au matin, il se levait avant moi pour me préparer mon café avant de rejoindre le bus qui nous ramenait vers le domaine ou dès les lueurs du jour nous recommencions à jouer du sécateur.
8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1.
• Je vous propose que Martine cette année coupe la dernière grappe, du dernier rang de nos dernières vignes avant les vendanges de l’an prochain.
Mais bien sûr ce soir, c’est la paulée que je sais, vous attendez tous avec impatience.
Cette année, nous avons battu les recors de tous les temps en nombre de raisins coupés, les cuves seront pleines, nous espérons tout vendre l’année prochaine après que Sandrine notre nouvelle jeune œnologue ait transformé le raisin en vignes du seigneur.
Ce discours près des enjambeurs, des tracteurs que l’on voit dans les vignes ressemblant à des mentes religieuses pour travailler aux dessus des vignes.
Et des tracteurs tirant les plateformes où se trouvent les dernières caisses regorgeant de raisin, c’est Robert II qui nous le tient.
La paulée, c’est la première fois que j’entendais ce mot.
J’ignorais qu’il voulait dire, repas de fin de vendanges, la nouba, tous ensemble, vendangeurs, permanents des domaines entretenant les vignes toute l’année et patrons.
Cette paulée, est une fête spécifique à la Bourgogne.
Le soir, nous nous sommes tous retrouvés devant une table à l’extérieur du vieux chaix, la météo étant au beau fixe.
Du vieux chaix, car il permet à la cuisinière d’apporter le repas aidé de Louise qui s’en sort avec une comparution immédiate et un non-lieu.
Il faut dire que Claude de lui-même a tapé un rapport le moins à charge possible, il s’améliore ce petit.
À part avoir accepté des billets pour se faire caresser la chatte par le patriarche et d’avoir suivi sa patronne chez Robert, j’ajouterais « le toubib, » sa participation a été mineure et les prisons sont pleines.
Des torches ont été allumées autour de la table où nous sommes une quarantaine de vendangeurs, de porteurs, de conducteurs, de trieurs et trieuses de grains impropres à la fabrication.
Parmi eux les murmots en patois local ou les verjus dans d’autres régions viticoles.
Les murmots, grappes de raisin les plus hautes, mais mal alimentées par la sève des pieds de vigne.
Ils sont reconnaissables, car un peu violet mat, par inadvertance après que l’on me les ais montré, j’ai dû en couper ainsi que Ruby qui a promené son petit cul tous au long de cette quinzaine.
S’il y en a trop, ils apporteront beaucoup d’acidité au vin lorsque la nature et l’oenologue auront fait leur travail dans les tonneaux en chêne.
J’ignorais que Claude avait été convié, car pendant cette quinzaine, il avait brié par son absence, aurait-il quelques billets de trop à donner à Louise lorsqu’il s’assied à ses côtés.
Je suis sûr que dans les jours derniers avant cette soirée, il a invité la jeune femme à visiter ses deux pièces, cuisines, salle de bains.
Bien sûr, je parle de deux pièces, il y en a peut-être trois, voire quatre bien qu’il soit célibataire, une pièce suffit s’il a un bon lit.
Inutile de vous faire un ciné, je sais où il habite, mais je suis seulement venue le chercher en voiture de service comme il le fait avec moi.
En bout de table, près du maître de maison, lui-même assis auprès de Sandrine, la jeune œnologue, Ruby est à ma droite et rapidement pose sa main sur ma cuisse.
Comme toute bonne fête, il y a de la musique et une piste de danse, rapidement les garçons font sauter les chemises.
Ruby porte une robe qui la moule à me faire couler ma chatte, et moi je suis en pantalon chemisier blanc.
Eh ! oui, c’est moi qui fais tourner mon chemisier, suivi par d’autres filles qui comme moi peuvent « enlever la chemise. »
À voir la façon dont ils nous regardent bon nombre de garçons doivent avoir la queue qui se tend en voyant nos seins dans nos soutiens-gorge.
Sauf Sabrina, une petite coupeuse qui sous sa blouse est sans, elle nous montre ses seins, je sais qu’elle est loin d’être farouche.
À la pause du matin et celle de l’après-midi, elle a dû sucer bien des queues, car je la voyais discrètement d’éclipser suivi de très près par une queue mâle.
Elle et ils revenant trop rapidement pour avoir eu le temps d’ôter son jean et de s’être fait mettre.
Je dis ils au pluriel, car chaque fois que j’ai repéré la manoeuvre, la bite qui suivait était différente.
• Martine, j’ai envie de faire pipi, sais-tu où il y a des toilettes ?...
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