COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (2/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (2/12)
Tu t’évertues à faire bander ton mari, Jules alors que tu es en vacances.
Tu le suces depuis un long moment lorsque votre sonnette vient vous interrompt avec insistance, laissant peu de place à une personne de passage du genre représentant de commerce.
Un léger moment d’angoisse, cette année, Jules mes parents et moi avons dû prendre une énorme décision.
Certains diront que je montre peu d’empressement pour mes enfants, Alexandre douze ans et Charlotte quatre ans.
Ils auront raison, je les aime autant que mon mari, mais je n’ai jamais eu la fibre maternelle.
Alexandre notre ainé, c’est ce que l’on peut appeler un accident de parcours de ma jeunesse nous obligeant à nous marier, ça se faisait dans ces années-là.
Charlotte, j’étais toujours fidèle à Jules, on a vu les circonstances qui ont entrainé mon infidélité dans cette chambre bardée de glaces.
Jules ayant créé son entreprise de vente de vin, partait de plus souvent vers ces femmes aux yeux bridés.
Un moment de tension s’est fait dans notre couple et j’ai bêtement voulu recoller les morceaux en lui offrant la fille dont il rêvait.
Ses absences non pas ralenties pour autant et il faut assurer leur éducation ce qui est de plus en plus difficile.
Mes parents habitant Chaudenay en Saône et Loire, très près de Beaune, ils ont emménagé chez eux, Charlotte entrant au CP et Alexandre continuant le collège.
C’est la piscine que mon père a fait construire avec ses indemnités de retraite qui a emporté le morceau, nous les avons rejoints hier afin de préparer la rentrée et nous avons pris un bain salvateur par ces fortes chaleurs.
Peu d’instinct de mère, mais un moment de peur que l’un des deux soit tombé à l’eau bien que Patrick mon papa leur ait appris à nager.
Je finis par me lever pour aller ouvrir, c’est Claude mon adjoint qui vient me chercher, une jeune fille morte a été retrouvée au bord des vignes du domaine Robert Degas de Nuits-saint-Georges.
« Martine, je m’excuse d’avoir interrompu tes vacances et envoyé Claude de demander de prendre l’affaire en main, j’ai les... »
• Je sais Fred, tu as les autorités nationales et régionales sur le dos, le domaine Robert Degas étant un fleuron des vins de la côte.
• Je vois que tu connais mes soucis, je pense qu’Anatole avait certainement lui aussi les mêmes, retrouve-moi celui qui a fait cette saloperie.
• Nous arrivons sur les lieux, je te laisse, vous avez prévenu la scientifique, je vois leurs fourgons.
Je montre ma plaque, c’est une jeune gendarmette qui règle la circulation.
La presse locale est déjà là, ils m’emmerdent tous, un inspecteur a droit à des vacances !
• Salut Martine, ce n’est pas beau à voir, un boucher n’aurait pas fait mieux.
Je rentrais de mes vacances, j’aurais dû reprendre lundi, mes chefs les ont interrompus, cette affaire touche le domaine...
• Je sais, Yann, ils ont les chocottes que l’on s’y prennent comme des manches et que ça leur retombe sur le pif.
• Les carriéristes, haut placés, on en crève, je vois que nous avons les mêmes, bien je vais te faire voir et te dire mes premières constatations.
Pour une fois, nous allons repartir avec un corps sans matelas.
Un instant je me demande pourquoi Yann le légiste de la scientifique de Dijon arrivé sur les lieux avant moi me parle de matelas.
Ça me revient, les deux affaires que j’ai eues avec eux, des matelas étaient au centre de nos affaires.
La présence de la morte, sous la couverture qui la recouvre, nous oblige à rester zen.
Des badauds ont arrêté leurs voitures et les gendarmes les contiennent derrière des bandes de papier qu’ils ont fixées à des ceps ou le raisin semble abondant.
Yann soulève le côté de la couverture ce qui évite les crépitements des flashs des portables, une photo de la morte, se vendrait de façon macabre à prix d’or.
• Celui ou celle qui a fait ça, a frappé un coup certainement mortel sur le côté du corps, tu fois la trace ici.
Pour le bas du corps, on dirait une sorte de rituelle, bien qu’à ce jour les messes noires soient peu fréquentes dans nos régions.
Je t’en dirai plus après l’autopsie ce qui est certain c’est que le corps a été déplacé pour l’amener ici.
Mais il semble que la personne ayant fait ça ait été dérangée et l’a abandonné là.
• On l’aurait laissé sur une vigne du domaine Degas pour les incriminer !
• Le majordome de la propriété est venu signaler la disparition d’une de leurs servantes il y a une heure, les gendarmes de Nuits viennent de nous prévenir.
Elle s’appellerait Clémentine Bodin et aurait dix-neuf ans.
Regarde, on dirait que l’utérus de cette jeune femme lui est été enlevé en découpant avec une lame très coupante ce qui faisait d’elle une femme !
• Tu penses comme moi, on aurait voulu nous cacher des choses de ce côté-là, mais celui qui a fait ça ignorait...
Claude, que t’a-t-on appris avant de devenir inspecteur ?
• De quoi parles-tu ?
• Yann, fit moi une analyse du sang que tu pourras récupérer, je t’aurais bien demandé une analyse d’urine, mais ils ont enlevé jusqu’à ses reins.
• J’allais le faire, j’ai eu la même idée, ils ignoraient que les taux de HCG dans le sang permettent de détecter une grossesse plus précocement qu'un test urinaire.
• À oui, si vous m’aviez mis sur la voie je vous l’aurais dit, le taux HCG.
• Claude, évite de te raccrocher aux branches, tu devais porter plus d’attention à ta jeune voisine qu’aux cours que nos profs te prodiguaient !
• Comment le sais-tu, tu y étais ?
Nous nous regardons avec Yann, une nouvelle fois les personnes présentent nous obligent à garder notre sérieux.
• Claude, tu viens, on va au domaine, gaffe à ce que tu vas dire, on est sur des sables mouvants.
• Évite de me trouver un matelas, ça prend de la place dans les pièces à conviction.
Nous reprenons la camionnette avec laquelle Claude est venue me chercher.
• Nous arrivons au domaine Saint-Pierre, je vois que nous sommes attendus.
• Bonjour, j’aurais préféré que nous fassions connaissance à un autre moment et dans d’autres circonstances.
Je crois avoir devant moi Christine la femme de Lupin, une fille de la haute vous regardant comme si vous étiez des petits cafards, j’aurais plaisir à lui placer mes bracelets pour lui ramener les pieds sur terre.
• Je suis madame Geneviève Degas, la femme de Robert mon mari absent en ce moment et qui sera de retour demain.
Je pense que vous avez été prévenue que le domaine que je gère avec mon mari ne serait en aucun cas être responsable, de la mort de cette petite pétasse.
Elle était parmi nous depuis peu, nous avons été assez sympa de la récupérer lorsque l’administration l’a mis à la rue.
Je vous présente, Hugo, notre majordome, ils s’occupent de tout ici bien avant mon mari et moi, il travaillait avec mon beau-père depuis leur service militaire.
Ils avaient le sens du devoir dans ces années-là, il savait mourir pour la France, eux.
Bref la parfaite caricature de la femme élevée dans un certain culte, alors que depuis qu’elle est née nos gouvernants ont évité bien des guerres.
Elle nous quitte droite comme un piquet, certains diraient qu’elle a un manche à balai dans le cul.
Lorsque je vous dis que je lui placerais bien mes bracelets pour mieux la flageller et lui ôter son air hautain !
• Nous pouvons voir l’endroit ou votre servante vivait, monsieur Hugo !
Nous sortons du bâtiment principal un vrai petit château, il y a une dépendance à côté où il nous fait entrer.
• Voici sa chambre et ses affaires, vous pourrez nous dire quand nous pourrons les enlever, il va me falloir la remplacer.
Il nous faut assurer le service pour nos patrons !
En me parlant, le majordome met sa main à sa poche en sort un Opinel, de l’autre, une petite pierre à aiguiser qu’il frotte machinalement l’une contre l’autre.
• Je vois qu’il y a deux lits, mademoiselle Bodin vivait avec quelqu’un dans cette pièce !
J’aime regarder la réaction d’une personne que j’interroge, c’est le cas à ce moment.
• Pourquoi ?
Inspectrice, pouvez-vous me dire en quoi mademoiselle Louise à affaire avec la mort de sa collègue ?
• Monsieur Hugo, je comprends que vous ayez un poste important dans ce domaine, mais moi aussi, dans l’administration judiciaire.
Ici c’est moi, inspecteur Martine Durand avec un « D » à la fin qui dirige cette enquête et qui est la seule habilité à vous poser des questions.
• Moi aussi, Martine, je peux poser des questions je suis aussi inspecteur.
• On le sait Claude et monsieur Hugo s’en fiche, donc ou puis-je trouver cette jeune femme que vous avez appelée Louise ?
• Inspectrice, vous avez dit inspecteur !
Je suis un peu courroucé, si Claude s’en mêle, on perd du temps, or il semblerait que le temps nous soit compté dans mon affaire.
De plus, encore ce conflit entre inspectrice et inspecteur, ça a tendance à sérieusement m’énerver.
• Mademoiselle Louise est partie en congé depuis avant-hier !
• Vous savez où elle est partie et si elle vous a laissé un numéro de téléphone pour la convoquer ou au moins lui poser quelques questions.
Lorsque l’on vit auprès de quelqu’un, on en sait plus que d’autres sur la vie de celle que l’on côtoie tous les jours.
Le majordome avait remis sa pierre à aiguiser dans sa poche ainsi que son Opinel, il les ressort et les frottes l’un contre l’autre de façon qui sent l’énervement...
Tu le suces depuis un long moment lorsque votre sonnette vient vous interrompt avec insistance, laissant peu de place à une personne de passage du genre représentant de commerce.
Un léger moment d’angoisse, cette année, Jules mes parents et moi avons dû prendre une énorme décision.
Certains diront que je montre peu d’empressement pour mes enfants, Alexandre douze ans et Charlotte quatre ans.
Ils auront raison, je les aime autant que mon mari, mais je n’ai jamais eu la fibre maternelle.
Alexandre notre ainé, c’est ce que l’on peut appeler un accident de parcours de ma jeunesse nous obligeant à nous marier, ça se faisait dans ces années-là.
Charlotte, j’étais toujours fidèle à Jules, on a vu les circonstances qui ont entrainé mon infidélité dans cette chambre bardée de glaces.
Jules ayant créé son entreprise de vente de vin, partait de plus souvent vers ces femmes aux yeux bridés.
Un moment de tension s’est fait dans notre couple et j’ai bêtement voulu recoller les morceaux en lui offrant la fille dont il rêvait.
Ses absences non pas ralenties pour autant et il faut assurer leur éducation ce qui est de plus en plus difficile.
Mes parents habitant Chaudenay en Saône et Loire, très près de Beaune, ils ont emménagé chez eux, Charlotte entrant au CP et Alexandre continuant le collège.
C’est la piscine que mon père a fait construire avec ses indemnités de retraite qui a emporté le morceau, nous les avons rejoints hier afin de préparer la rentrée et nous avons pris un bain salvateur par ces fortes chaleurs.
Peu d’instinct de mère, mais un moment de peur que l’un des deux soit tombé à l’eau bien que Patrick mon papa leur ait appris à nager.
Je finis par me lever pour aller ouvrir, c’est Claude mon adjoint qui vient me chercher, une jeune fille morte a été retrouvée au bord des vignes du domaine Robert Degas de Nuits-saint-Georges.
« Martine, je m’excuse d’avoir interrompu tes vacances et envoyé Claude de demander de prendre l’affaire en main, j’ai les... »
• Je sais Fred, tu as les autorités nationales et régionales sur le dos, le domaine Robert Degas étant un fleuron des vins de la côte.
• Je vois que tu connais mes soucis, je pense qu’Anatole avait certainement lui aussi les mêmes, retrouve-moi celui qui a fait cette saloperie.
• Nous arrivons sur les lieux, je te laisse, vous avez prévenu la scientifique, je vois leurs fourgons.
Je montre ma plaque, c’est une jeune gendarmette qui règle la circulation.
La presse locale est déjà là, ils m’emmerdent tous, un inspecteur a droit à des vacances !
• Salut Martine, ce n’est pas beau à voir, un boucher n’aurait pas fait mieux.
Je rentrais de mes vacances, j’aurais dû reprendre lundi, mes chefs les ont interrompus, cette affaire touche le domaine...
• Je sais, Yann, ils ont les chocottes que l’on s’y prennent comme des manches et que ça leur retombe sur le pif.
• Les carriéristes, haut placés, on en crève, je vois que nous avons les mêmes, bien je vais te faire voir et te dire mes premières constatations.
Pour une fois, nous allons repartir avec un corps sans matelas.
Un instant je me demande pourquoi Yann le légiste de la scientifique de Dijon arrivé sur les lieux avant moi me parle de matelas.
Ça me revient, les deux affaires que j’ai eues avec eux, des matelas étaient au centre de nos affaires.
La présence de la morte, sous la couverture qui la recouvre, nous oblige à rester zen.
Des badauds ont arrêté leurs voitures et les gendarmes les contiennent derrière des bandes de papier qu’ils ont fixées à des ceps ou le raisin semble abondant.
Yann soulève le côté de la couverture ce qui évite les crépitements des flashs des portables, une photo de la morte, se vendrait de façon macabre à prix d’or.
• Celui ou celle qui a fait ça, a frappé un coup certainement mortel sur le côté du corps, tu fois la trace ici.
Pour le bas du corps, on dirait une sorte de rituelle, bien qu’à ce jour les messes noires soient peu fréquentes dans nos régions.
Je t’en dirai plus après l’autopsie ce qui est certain c’est que le corps a été déplacé pour l’amener ici.
Mais il semble que la personne ayant fait ça ait été dérangée et l’a abandonné là.
• On l’aurait laissé sur une vigne du domaine Degas pour les incriminer !
• Le majordome de la propriété est venu signaler la disparition d’une de leurs servantes il y a une heure, les gendarmes de Nuits viennent de nous prévenir.
Elle s’appellerait Clémentine Bodin et aurait dix-neuf ans.
Regarde, on dirait que l’utérus de cette jeune femme lui est été enlevé en découpant avec une lame très coupante ce qui faisait d’elle une femme !
• Tu penses comme moi, on aurait voulu nous cacher des choses de ce côté-là, mais celui qui a fait ça ignorait...
Claude, que t’a-t-on appris avant de devenir inspecteur ?
• De quoi parles-tu ?
• Yann, fit moi une analyse du sang que tu pourras récupérer, je t’aurais bien demandé une analyse d’urine, mais ils ont enlevé jusqu’à ses reins.
• J’allais le faire, j’ai eu la même idée, ils ignoraient que les taux de HCG dans le sang permettent de détecter une grossesse plus précocement qu'un test urinaire.
• À oui, si vous m’aviez mis sur la voie je vous l’aurais dit, le taux HCG.
• Claude, évite de te raccrocher aux branches, tu devais porter plus d’attention à ta jeune voisine qu’aux cours que nos profs te prodiguaient !
• Comment le sais-tu, tu y étais ?
Nous nous regardons avec Yann, une nouvelle fois les personnes présentent nous obligent à garder notre sérieux.
• Claude, tu viens, on va au domaine, gaffe à ce que tu vas dire, on est sur des sables mouvants.
• Évite de me trouver un matelas, ça prend de la place dans les pièces à conviction.
Nous reprenons la camionnette avec laquelle Claude est venue me chercher.
• Nous arrivons au domaine Saint-Pierre, je vois que nous sommes attendus.
• Bonjour, j’aurais préféré que nous fassions connaissance à un autre moment et dans d’autres circonstances.
Je crois avoir devant moi Christine la femme de Lupin, une fille de la haute vous regardant comme si vous étiez des petits cafards, j’aurais plaisir à lui placer mes bracelets pour lui ramener les pieds sur terre.
• Je suis madame Geneviève Degas, la femme de Robert mon mari absent en ce moment et qui sera de retour demain.
Je pense que vous avez été prévenue que le domaine que je gère avec mon mari ne serait en aucun cas être responsable, de la mort de cette petite pétasse.
Elle était parmi nous depuis peu, nous avons été assez sympa de la récupérer lorsque l’administration l’a mis à la rue.
Je vous présente, Hugo, notre majordome, ils s’occupent de tout ici bien avant mon mari et moi, il travaillait avec mon beau-père depuis leur service militaire.
Ils avaient le sens du devoir dans ces années-là, il savait mourir pour la France, eux.
Bref la parfaite caricature de la femme élevée dans un certain culte, alors que depuis qu’elle est née nos gouvernants ont évité bien des guerres.
Elle nous quitte droite comme un piquet, certains diraient qu’elle a un manche à balai dans le cul.
Lorsque je vous dis que je lui placerais bien mes bracelets pour mieux la flageller et lui ôter son air hautain !
• Nous pouvons voir l’endroit ou votre servante vivait, monsieur Hugo !
Nous sortons du bâtiment principal un vrai petit château, il y a une dépendance à côté où il nous fait entrer.
• Voici sa chambre et ses affaires, vous pourrez nous dire quand nous pourrons les enlever, il va me falloir la remplacer.
Il nous faut assurer le service pour nos patrons !
En me parlant, le majordome met sa main à sa poche en sort un Opinel, de l’autre, une petite pierre à aiguiser qu’il frotte machinalement l’une contre l’autre.
• Je vois qu’il y a deux lits, mademoiselle Bodin vivait avec quelqu’un dans cette pièce !
J’aime regarder la réaction d’une personne que j’interroge, c’est le cas à ce moment.
• Pourquoi ?
Inspectrice, pouvez-vous me dire en quoi mademoiselle Louise à affaire avec la mort de sa collègue ?
• Monsieur Hugo, je comprends que vous ayez un poste important dans ce domaine, mais moi aussi, dans l’administration judiciaire.
Ici c’est moi, inspecteur Martine Durand avec un « D » à la fin qui dirige cette enquête et qui est la seule habilité à vous poser des questions.
• Moi aussi, Martine, je peux poser des questions je suis aussi inspecteur.
• On le sait Claude et monsieur Hugo s’en fiche, donc ou puis-je trouver cette jeune femme que vous avez appelée Louise ?
• Inspectrice, vous avez dit inspecteur !
Je suis un peu courroucé, si Claude s’en mêle, on perd du temps, or il semblerait que le temps nous soit compté dans mon affaire.
De plus, encore ce conflit entre inspectrice et inspecteur, ça a tendance à sérieusement m’énerver.
• Mademoiselle Louise est partie en congé depuis avant-hier !
• Vous savez où elle est partie et si elle vous a laissé un numéro de téléphone pour la convoquer ou au moins lui poser quelques questions.
Lorsque l’on vit auprès de quelqu’un, on en sait plus que d’autres sur la vie de celle que l’on côtoie tous les jours.
Le majordome avait remis sa pierre à aiguiser dans sa poche ainsi que son Opinel, il les ressort et les frottes l’un contre l’autre de façon qui sent l’énervement...
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