COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (3/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (3/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (3/12)
Une jeune femme décédée retrouvée nue dans une vigne du domaine Saint-Pierre géré par la famille Robert Degas sur la commune de Nuits-Saint-Georges en Côte d’Or et mon commissaire se permet d’interrompt mes vacances.
On peut courir nue dans les vignes, mais mourir à un si jeune âge, nous apprenons qu’une femme servante dans ce même domaine a été déclarée disparu par le majordome de ce domaine à la gendarmerie.
Nue, mais surtout le ventre découpé à l’endroit de ses parties génitales.
L’opération a été faite avec un scalpel ou tout autre objet capable de découper des chairs humaines.
J’ai l’intuition et Yann l’inspecteur de la scientifique de Dijon aussi que l’on a voulu cacher un meurtre et une grossesse en lui enlevant ses organes génitaux.
Ce que le meurtrier semblait ignorer, c’est qu’il est simple de se servir de l’urine sur un stylo acheté en vente libre dans toute bonne pharmacie.
Mais que le sang a plus de chance de montrer les taux de HCG dans le sang et donc les grossesses, nul n’est médecin et nul n’est inspecteur sans savoir ce genre de chose.
Yann doit être en train d’autopsier le cadavre et va me confirmer que cette piste est la bonne.
Si c’est le cas, les hommes du domaine, comme un amoureux de passage ayant séduit la jeune Clémentine Bodin, hors de ces murs sont de possible meurtrier.
Qui a engrossé cette petite et pourquoi avoir voulu faire disparaitre les preuves.
Je vois l’ampleur de la tache surtout si c’est un garçon de passage.
Je n’ose entrevoir ce genre de chose, ça compliquerait grandement notre tâche, alors qu’avons-nous comme suspect mâle au domaine ?
Robert Degas, le mari de Geneviève la patronne, absent...
Louise, la serveuse absente...

• Monsieur Hugo, parmi les hommes du domaine, lesquels sont absents, et en plus de vous qui sont présents ?
• Ici à part moi peu d’hommes, les employés masculins travaillent principalement au nouveau chai que monsieur Robert, l’actuel président a fait construire hors de la ville.
Il y a monsieur Robert, le patriarche qui vit dans ses appartements dans la bâtisse où madame Geneviève vous a reçu.
Robert, le fils de monsieur Robert et de madame Geneviève, lui est parti depuis peu avec des copains, avant de reprendre ses études à Dijon à la rentrée.
Il a eu son bac à dix-sept ans et se prépare pour prendre la suite familiale dans quelques années.
Robert, le patron lui est parti pour Ibiza depuis le début de la semaine dernière et madame vous a dit qu’il rentrait demain pour diriger les vendanges.
• Il est parti sans sa femme et son fils, c’est bizarre à envisager !
• Vous découvriez, après avoir creusé un peu, la complexité de ces familles basées sur le développement de leur fortune personnel.
Mais je dépasse le cadre de ce que je suis capable de vous dire, excusez-moi !

J’ai déjà eu un dossier de vol de raisin dans un domaine de Santenay ou de père en fils, ils avaient le même patronyme.
Je serais présidente de la République, j’interdirais ce genre de pratique qui a pour conséquence de rendre les fonctionnaires, comme moi, dingue.
Robert I le patriarche, Robert II l’actuel patron du domaine et Robert III le futur patron du domaine.
C’est ainsi que dans ma tête, je vais les appeler, ça facilitera ma tâche et le risque de migraine.
Le majordome semble vouloir m’orienter dans mes investigations, que vais-je découvrir que cette famille semble vouloir cacher ?
« Dossier sensible, Martine, je te le confie, car je connais ta façon de travailler. »
Fred, en me faisant rentrer de vacances, tu m’as mise dans la merde bien profondément.

• Martine, regarde ce que j’ai trouvé sous le lit !

Pendant que je me dépatouillais avec le majordome, Claude ayant mis ses gants comme moi je l’ai fait, fouillait la chambre des filles.
Il a posé sur le lit de Clémentine Bodin une boîte sortie de son armoire, principalement remplie de billets de 5 € et de dessous du lit de Louise, une autre boîte avec là aussi une cinquantaine de billets de 5.

• Monsieur Hugo, les filles ont-elles accès avec le public qui chose bizarre leur donnerait comme pourboire, tous des billets de 5 €, jamais de pièces de 2 ou de 1 ?
• Ces billets, je sais qui leur donne, c’est monsieur Robert lorsque les filles lui rendent des services, c’est moi qui les lui fournis, je vais à la banque en chercher régulièrement.
• Et vous trouvez normale, qu’une des jeunes filles, Louise particulièrement soit partie en congé, en laissant ses économies dans une boîte sous son lit !
• Je gère les congés, nous allons vendanger dans quelques jours et je m’étais aperçu que mademoiselle Louise avait un reliquat de congés à prendre.
Elle était si heureuse d’aller se reposer qu’elle a fait sa valise et est partie dans le taxi que je lui avais appelé.
Elle devait avoir de l’argent sur son compte et a laissé ici sa menue monnaie !

De nouveau le couteau et la pierre sont dans ses mains et sont frottés presque avec frénésie.
J’ai une frayeur passagère, va-t-on nous signalés qu’un corps habillé ou non a été retrouvé dans une autre vigne du domaine Saint-Pierre.
Ça sent la merde, il y a surement un lien entre ce premier meurtre, un virtuel deuxième meurtre et la famille Robert 1, 2 et 3, voire une femme comme Geneviève.
Qu’a dit Fred à Claude, lorsqu’il a décidé de me stopper dans mes ébats amoureux avec Jules mon mari !
À oui, « pas de vague, » j’ai nettement l’impression, intuitions de femme et d’inspecteur, que tout ce joli monde en a encore beaucoup à m’apprendre, jusqu’à ce que je confonde celui ou celle qui a tué Clémentine Bodin.

• Monsieur Hugo, conduisez-nous auprès du patriarche, nous avons quelques questions à lui poser.
• Monsieur Robert dort peu la nuit à son âge, à cette heure, il doit récupérer et a horreur d’être dérangé !
Pardon suivez-moi, je vais vous y conduire.

Un regard montrant à cet homme à cheveux blancs, qu’il a perdu ses prérogatives de toute puissance qu’il semble avoir dans le domaine Saint-Pierre, l’a fait changer d’avis.
Maintenant, c’est « l’inspecteur Martine » qui conduit le bal avec l’aide de Claude son adjoint.

• Hugo, pouvons-nous savoir où vous conduisez ces policiers !
J’avais été assez claire, la chambre de Clémentine est la seule qui peut être nécessaire à leur recherche de la vérité.
Je me vois obligée d’appeler Benoit de La Raperière, notre avocat, pour qu’il assiste à ces interrogatoires, que vous semblez vouloir conduire madame l’inspectrice de la police judiciaire.
Mais il se fait tard, je viens moi-même de me faire servir mon repas de ce midi et je vais vous quitter, j’ai un rendez-vous cet après-midi.
Hugo, allez en cuisine chercher un encas avec une bouteille de notre haute côte de Nuits pour ces personnes.
Je veux qu’il soit dit que dans notre domaine on sait recevoir des policiers.

Je suis à deux doigts, d’exploser, certes, « l’inspectrice » y est pour quelque chose, mais madame un balai dans le cul commence à me casser les couilles.
Les grandes dames, du moins celle qui se prend plus grande que les autres, déjà à l’école alors que je jouais au foot avec les garçons, je leur fichais des tannées.
Non pas comme une fille en leur tirant les cheveux, mais à coups de bourre pif.

• Vous êtes bien aimable, mais l’alcool pendant nos investigations s’est peu recommandé par nos supérieurs, nous avons juste quelques questions à poser à votre beau-père.
• Alors allez-y, monté, Hugo, vous direz à Robert que la cuisinière va lui monter son déjeuner dès que ces gens seront partis.

Quel mépris dans sa voix, « ces gens » « ces petites gens, » moi la grande dame, plus riche avec ses bijoux clinquants que moi ou Claude.
Dommage qu’une femme est dans l’impossibilité d’avoir engrossé la servante et de lui avoir ouvert le ventre.
Je me vois bien lui appuyer sur la tête pour éviter qu’elle ne se cogne au montant de notre voiture de service lorsque je l’emmènerais à notre commissariat.
Même accompagné de Benoit de La Raperière, cet avocat aussi balaie dans le cul que cette pétasse.

• Bonjour monsieur Robert Degas, excusez-nous de venir vous déranger, nous aurions quelques questions à vous poser !
• Hugo, vous savez depuis le temps que j’ai horreur d’être dérangé à cette heure de la matinée, ou est mon repas !
Cette grosse truie en cuisine veut encore me faire mourir de faim pour se venger...
• Robert, c’est la police, arrête de t’énerver, tu sais que c’est mauvais pour ton hypertension.

Une nouvelle fois Hugo a coupé la parole au patriarche, assis dans un fauteuil d’infirme à roulette.

• Ils ont quelques questions à vous poser après la mort de Clémentine notre servante !
• Clémentine est morte, dommage, elle avait un joli petit cul, vous savez qui l’a tué !
• Robert, ils vont croire que je viens de t’apprendre qu’elle était morte, alors que je te l’ai dit lorsque je suis venue te prévenir au moment de te lever, attention, tu perds la tête.
• À oui, c’est vrai, tu m’as dit que la petite avait disparu et que tu irais prévenir la gendarmerie, car c’était préoccupant, elle est morte !

Le vieil homme semble sincère, mais les manipulateurs sont très nombreux, la perte de mémoire, leur sert souvent d’alibi.
Je vois le couteau et la pierre d’affutage revenir dans les mains de Hugo, il semble un peu anxieux de ce que son patron pourrait dire.
Je veux savoir jusqu’à ou, ces deux hommes peuvent être comparse dans cette disparition et ensuite la mort atroce de Clémentine.

• Vous semblez très proche l’un de l’autre, nous pouvons savoir pourquoi !
• Hugo dit lui à qui tu dois la vie lors de cette embuscade en Algérie pendant notre service militaire !

Geneviève a déjà fait allusion à la guerre d’Algérie et les hommes ayant des couilles avant alors que maintenant les hommes sont des petites bites.
Du moins quelque chose d’approchant, je suis tout ouï, d’apprendre ce qui s’est passé...

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (3/12)
Histoire sexe : Une rose rouge
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