COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (5/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (5/12)
• Inspecteur Martine Durand, je voudrais vous poser une question sur une affaire dont je m’occupe en ce moment.
Pouvez-vous me dire ce que venait faire Geneviève Degas dans votre cabinet ?
Je sais, je suis à la limite de l’abus de pouvoir d’un inspecteur dans le cadre d’une enquête.
Je saurais m’en arranger, je l’ai déjà fait dans l’enquête du lycée de Beaune et du meurtre de Valentin.
C’est à la demande de Marie le proviseur que je l’ai fait afin d’éviter qu’elle ne soit virée par l’administration.
Des précédents de profs ou de proviseurs craquent pour un de leurs élèves, à ce jour se sont toujours finis dans des drames.
Le jugement de la petite que j’ai arrêté ayant démontré que c’est dans un geste d’amour désespéré qu’elle avait poignardé Valentin sur son matelas a été remis en liberté.
Aux dernières nouvelles, sa maman là soustraite aux sollicitations de la presse en changeant de région.
Nul ne sait où elles sont parties s’installer.
Ce matelas, c’était Marie qui l’avait descendue dans cette cave pour se faire baiser par un de ses élèves, Laurent plus précisément.
Marie, j’ai rendez-vous avec elle dès cette après-midi, elle revient à Beaune pour reprendre son travail et je compte bien m’occuper de sa petite chatte comme je le fais en remerciement de mon omission sur son rôle au tribunal.
Grâce à Marie, je suis bisexuel aimant aussi bien les chattes que les bites, même si dans ma tête je reste fidèle à Jules mon mari qui est le père de nos deux enfants.
Les enfants ça crée des liens invisibles qui tiennent soudés ce qui devrait se liquéfier, surtout dans ce pays de vins, qu’est la Bourgogne.
• Madame la policière, je suis étonnée de votre visite quelques minutes après le départ de Geneviève, comment avez-vous su qu’elle était là, sauf si vous l’avez prise en filature.
Plutôt perspicace le médecin de province, je décide de jouer cartes sur table.
• Je vais vous faciliter la tâche, mon amie m’a expliqué qu’une de leurs serveuses avait été retrouvée morte et mutilé dans l’une de leurs vignes.
Une deuxième a disparu et en la suivant vous espériez la retrouver ici.
Venez, nous allons visiter le centre de santé et vous verrez par vous-même qu’à part elle tout à l’heure et moi maintenant, je suis seul.
Mais je vais faciliter votre travail, Geneviève et moi sommes amant depuis notre toute jeunesse.
Hélas, ses parents ayant des vignes et moi étant un simple petit étudiant en médecine et en plus en première année, ses parents m’ont jugé indigne de faire ma vie avec elle, vous voyez, je vous dis tout.
Robert, qu’elle a été obligée d’épouser lui était l’héritier d’un domaine, on comprend ce qu’ils nous ont fait.
Ce qui se passe dans le domaine où elle vit sans amour, m’oblige à être franc, je suis l'amant et je risque que tout me retombe sur le dos.
Ici, mes patients ont besoin de moi, nous étions trois à exercer lorsque le centre de santé a ouvert et si je m’arrête, les habitants devront faire plus de 30 kilomètres pour aller à Dijon se faire soigner.
Geneviève, jeune fille de bonne famille, la famille Poisson, a été contrainte d’épouser un autre Robert que moi, le fils de celui qui est appellé le patriarche.
Ce que ses parents ignoraient, c’est que nous avions fauté et que Geneviève était enceinte.
Robert le fils de dix-sept ans se trouve être mon fils, tenez, regardez, j’ai fait faire des recherches de paternité, nos ADN concordent.
• Vous me dite que Robert III est votre fils, Robert II le sait-il ?
• J’aime beaucoup la manière dont vous classez tous ces roberts.
Bien sûr que Robert II le sait, pourquoi croyez-vous qu’il va rentrer d’Ibiza où il serait aller sans sa femme.
Il a lui aussi une maîtresse au sein de son domaine, Geneviève et lui font chambre à part depuis leur premier jour.
Mais le rapprochement des vignes des deux familles était plus important que toute autre considération.
J’ignore qui a tué cette pauvre fille que je n’ai jamais vue d’Ève ou d’Adam, d’ailleurs, je ne suis jamais allé dans le domaine Degas.
• Je vous remercie de votre franchise, vous éclairez mon enquête sous un nouveau jour, je vais continuer à creuser.
Au lieu de vin, je trouverais peut-être du pétrole.
Lorsque je le quitte, je prends conscience du panier de crabes dans lequel je patauge et dire que je dois prendre des pincettes pour éviter de froisser ces messieurs dames de la haute.
Robert II encore inconnu de moi, aurait une maîtresse au sein de son propre domaine, ça éclaire d’un jour nouveau notre enquête à Claude et à moi.
C’est en rentrant vers Beaune que je le mets au courant des derniers rebondissements de notre affaire.
• Martine, réveille-toi, tu vas nous mettre dans la merde !
Qui me parle, ce gros cachet qui roule devant nous sur la route et que nous évitons, une première fois ?
Il revient à la charge, c’est con un rêve, surtout quand lorsque vous vous réveillez, vous en souvenant.
• Merde, je me suis assoupie sans m’en rendre compte, je vois que nous sommes encore dans les vignes !
Mince, ma main te fait bander et ma tête est appuyée sur ton épaule !
• Je te surveillais du coin de l’œil, tes yeux se sont mis à papillonner.
Petit à petit ta tête est venu se poser sur mon épaule.
• Je me suis endormie, encore une rude journée Claude, métier de merde.
Je me rends compte que je te parle comme une charretière, nous serions avec mes enfants, je mettrais de nombreuses pièces de 1€ dans le cochon.
Je rêvais que de gros cachets ronds comme des meules de fromage, roulaient sur la route et que tu les évitais de justesse.
• Et moi la réalité c’est que tu m’as fait bander en finissant par me poser ta main sur ma cuisse, j’ai cru que tu le faisais délibérément.
Veux-tu que je m’arrête et que...
• Claude, je dormais, à aucun moment, l’idée de baiser avec toi a traversé mon esprit, tu es mignon et deux choses m’en empêches.
Ton âge et mon mari que je vais retrouver, dépose-moi devant chez moi et rentre au service.
Je t’ai demandé de faire des recherches, de borner le téléphone de Louise et de voir si Robert le patriarche a des casseroles, occupe-toi de ça avant d’aller en boîte.
Jules est là, c’est dans ses bras que je passe enfin ma nuit tranquille.
• Salut à tous, avez-vous bien dormi ?
Moi comme un bébé, Claude des nouvelles du bornage de Louise ?
Oui, elle serait près de Dijon, deux gendarmes sont partis la chercher.
Par compte, j’ai failli aller te réveiller, Robert Degas a été entendu pour une affaire de harcèlement avec une personne à son service dans les années 70 !
• La cuisinière qu’il a traitée de grosses truies !
• Non, celle d’avant, j’ai vérifié les dates, l’actuelle c’est sa remplaçante.
La plainte a été classée sans suite.
• Je vois, prépare-toi, nous retournons voir tout ce joli petit monde.
J’ai les yeux bien ouverts, je veux éviter deux choses, le retour des cachets roulant devant nous et maquant de nous envoyer dans le décor.
Mais aussi donné de faux espoirs à Claude, malgré son joli petit cul et je veux surtout que ce qui se soit passé dans le passé avec Fred soit une lettre morte.
• Vous revoilà, je croyais avoir été très claire, arrêtez de nous persécuter, je vais finir par appeler Benoit, il va appeler vos supérieures qui sauront vous mettre au pas.
Qui vous a permis de me suivre, hier, oui, j’ai un fils avec Robert et Robert le sait.
• Ce n’est pas vous que nous venons voir, c’est votre beau-père et votre mari s’il est de retour de ses vacances au soleil.
• Espèce d’hypocrite, vous savez que Robert était en vacances à Ibiza avec Solène ma secrétaire, si vous saviez ce que je me fiche que mon mari ait une maîtresse tant que moi je peux voir l’amour de ma vie !
• Si c’est mon beau-père et mon mari que vous venez voir, je vous laisse, je dois descendre au chai pour préparer les vendanges et recevoir les vendangeurs.
Laissez parler les gens, vous en tirerez toujours quelque chose, plutôt que les abreuver de questions.
Il va falloir que nous fassions la connaissance de Robert II et de sa maîtresse l’énigmatique Solène.
Je commence à m’amuser comme une petite folle.
De plus La Raperière, ici c’est Benoit, donc très proche, ils doivent dîner ensemble et partager les secrets de cette étrange famille.
• Bonjour, je suis heureux de faire votre connaissance inspecteur, excusez mon absence au moment où vous auriez pu avoir besoin de moi.
J’étais dans ma chambre à ranger mes affaires, ce meurtre et cette disparition de Louise, m’oblige à faire ça moi-même.
Robert II est au bas de l’escalier permettant de monter à l’étage que j’ai emprunté hier pour aller rencontrer le patriarche.
Il me prend la main et sans la toucher me fait un baisemain.
• Ils embauchent de très jolies femmes dans la police nationale !
Oui, il m’a dit « inspecteur » et non « inspectrice, » il m’a fait un baisemain sa main tenant ma main.
Ce matin même de bonne heure, je sens que je mouille.
Robert II ressemble à Robert I en plus jeune.
• Venez dans mon bureau avec votre collègue, vous pourrez me poser toutes les questions que vous désirerez.
Le portable de Claude sonne, il décroche et après avoir écouté, il m’interpelle !
• Martine, ce sont les gendarmes, ils me posent une question, le toubib chez qui ils sont et où se trouvait Louise, ils nous l’amènent ?...
Pouvez-vous me dire ce que venait faire Geneviève Degas dans votre cabinet ?
Je sais, je suis à la limite de l’abus de pouvoir d’un inspecteur dans le cadre d’une enquête.
Je saurais m’en arranger, je l’ai déjà fait dans l’enquête du lycée de Beaune et du meurtre de Valentin.
C’est à la demande de Marie le proviseur que je l’ai fait afin d’éviter qu’elle ne soit virée par l’administration.
Des précédents de profs ou de proviseurs craquent pour un de leurs élèves, à ce jour se sont toujours finis dans des drames.
Le jugement de la petite que j’ai arrêté ayant démontré que c’est dans un geste d’amour désespéré qu’elle avait poignardé Valentin sur son matelas a été remis en liberté.
Aux dernières nouvelles, sa maman là soustraite aux sollicitations de la presse en changeant de région.
Nul ne sait où elles sont parties s’installer.
Ce matelas, c’était Marie qui l’avait descendue dans cette cave pour se faire baiser par un de ses élèves, Laurent plus précisément.
Marie, j’ai rendez-vous avec elle dès cette après-midi, elle revient à Beaune pour reprendre son travail et je compte bien m’occuper de sa petite chatte comme je le fais en remerciement de mon omission sur son rôle au tribunal.
Grâce à Marie, je suis bisexuel aimant aussi bien les chattes que les bites, même si dans ma tête je reste fidèle à Jules mon mari qui est le père de nos deux enfants.
Les enfants ça crée des liens invisibles qui tiennent soudés ce qui devrait se liquéfier, surtout dans ce pays de vins, qu’est la Bourgogne.
• Madame la policière, je suis étonnée de votre visite quelques minutes après le départ de Geneviève, comment avez-vous su qu’elle était là, sauf si vous l’avez prise en filature.
Plutôt perspicace le médecin de province, je décide de jouer cartes sur table.
• Je vais vous faciliter la tâche, mon amie m’a expliqué qu’une de leurs serveuses avait été retrouvée morte et mutilé dans l’une de leurs vignes.
Une deuxième a disparu et en la suivant vous espériez la retrouver ici.
Venez, nous allons visiter le centre de santé et vous verrez par vous-même qu’à part elle tout à l’heure et moi maintenant, je suis seul.
Mais je vais faciliter votre travail, Geneviève et moi sommes amant depuis notre toute jeunesse.
Hélas, ses parents ayant des vignes et moi étant un simple petit étudiant en médecine et en plus en première année, ses parents m’ont jugé indigne de faire ma vie avec elle, vous voyez, je vous dis tout.
Robert, qu’elle a été obligée d’épouser lui était l’héritier d’un domaine, on comprend ce qu’ils nous ont fait.
Ce qui se passe dans le domaine où elle vit sans amour, m’oblige à être franc, je suis l'amant et je risque que tout me retombe sur le dos.
Ici, mes patients ont besoin de moi, nous étions trois à exercer lorsque le centre de santé a ouvert et si je m’arrête, les habitants devront faire plus de 30 kilomètres pour aller à Dijon se faire soigner.
Geneviève, jeune fille de bonne famille, la famille Poisson, a été contrainte d’épouser un autre Robert que moi, le fils de celui qui est appellé le patriarche.
Ce que ses parents ignoraient, c’est que nous avions fauté et que Geneviève était enceinte.
Robert le fils de dix-sept ans se trouve être mon fils, tenez, regardez, j’ai fait faire des recherches de paternité, nos ADN concordent.
• Vous me dite que Robert III est votre fils, Robert II le sait-il ?
• J’aime beaucoup la manière dont vous classez tous ces roberts.
Bien sûr que Robert II le sait, pourquoi croyez-vous qu’il va rentrer d’Ibiza où il serait aller sans sa femme.
Il a lui aussi une maîtresse au sein de son domaine, Geneviève et lui font chambre à part depuis leur premier jour.
Mais le rapprochement des vignes des deux familles était plus important que toute autre considération.
J’ignore qui a tué cette pauvre fille que je n’ai jamais vue d’Ève ou d’Adam, d’ailleurs, je ne suis jamais allé dans le domaine Degas.
• Je vous remercie de votre franchise, vous éclairez mon enquête sous un nouveau jour, je vais continuer à creuser.
Au lieu de vin, je trouverais peut-être du pétrole.
Lorsque je le quitte, je prends conscience du panier de crabes dans lequel je patauge et dire que je dois prendre des pincettes pour éviter de froisser ces messieurs dames de la haute.
Robert II encore inconnu de moi, aurait une maîtresse au sein de son propre domaine, ça éclaire d’un jour nouveau notre enquête à Claude et à moi.
C’est en rentrant vers Beaune que je le mets au courant des derniers rebondissements de notre affaire.
• Martine, réveille-toi, tu vas nous mettre dans la merde !
Qui me parle, ce gros cachet qui roule devant nous sur la route et que nous évitons, une première fois ?
Il revient à la charge, c’est con un rêve, surtout quand lorsque vous vous réveillez, vous en souvenant.
• Merde, je me suis assoupie sans m’en rendre compte, je vois que nous sommes encore dans les vignes !
Mince, ma main te fait bander et ma tête est appuyée sur ton épaule !
• Je te surveillais du coin de l’œil, tes yeux se sont mis à papillonner.
Petit à petit ta tête est venu se poser sur mon épaule.
• Je me suis endormie, encore une rude journée Claude, métier de merde.
Je me rends compte que je te parle comme une charretière, nous serions avec mes enfants, je mettrais de nombreuses pièces de 1€ dans le cochon.
Je rêvais que de gros cachets ronds comme des meules de fromage, roulaient sur la route et que tu les évitais de justesse.
• Et moi la réalité c’est que tu m’as fait bander en finissant par me poser ta main sur ma cuisse, j’ai cru que tu le faisais délibérément.
Veux-tu que je m’arrête et que...
• Claude, je dormais, à aucun moment, l’idée de baiser avec toi a traversé mon esprit, tu es mignon et deux choses m’en empêches.
Ton âge et mon mari que je vais retrouver, dépose-moi devant chez moi et rentre au service.
Je t’ai demandé de faire des recherches, de borner le téléphone de Louise et de voir si Robert le patriarche a des casseroles, occupe-toi de ça avant d’aller en boîte.
Jules est là, c’est dans ses bras que je passe enfin ma nuit tranquille.
• Salut à tous, avez-vous bien dormi ?
Moi comme un bébé, Claude des nouvelles du bornage de Louise ?
Oui, elle serait près de Dijon, deux gendarmes sont partis la chercher.
Par compte, j’ai failli aller te réveiller, Robert Degas a été entendu pour une affaire de harcèlement avec une personne à son service dans les années 70 !
• La cuisinière qu’il a traitée de grosses truies !
• Non, celle d’avant, j’ai vérifié les dates, l’actuelle c’est sa remplaçante.
La plainte a été classée sans suite.
• Je vois, prépare-toi, nous retournons voir tout ce joli petit monde.
J’ai les yeux bien ouverts, je veux éviter deux choses, le retour des cachets roulant devant nous et maquant de nous envoyer dans le décor.
Mais aussi donné de faux espoirs à Claude, malgré son joli petit cul et je veux surtout que ce qui se soit passé dans le passé avec Fred soit une lettre morte.
• Vous revoilà, je croyais avoir été très claire, arrêtez de nous persécuter, je vais finir par appeler Benoit, il va appeler vos supérieures qui sauront vous mettre au pas.
Qui vous a permis de me suivre, hier, oui, j’ai un fils avec Robert et Robert le sait.
• Ce n’est pas vous que nous venons voir, c’est votre beau-père et votre mari s’il est de retour de ses vacances au soleil.
• Espèce d’hypocrite, vous savez que Robert était en vacances à Ibiza avec Solène ma secrétaire, si vous saviez ce que je me fiche que mon mari ait une maîtresse tant que moi je peux voir l’amour de ma vie !
• Si c’est mon beau-père et mon mari que vous venez voir, je vous laisse, je dois descendre au chai pour préparer les vendanges et recevoir les vendangeurs.
Laissez parler les gens, vous en tirerez toujours quelque chose, plutôt que les abreuver de questions.
Il va falloir que nous fassions la connaissance de Robert II et de sa maîtresse l’énigmatique Solène.
Je commence à m’amuser comme une petite folle.
De plus La Raperière, ici c’est Benoit, donc très proche, ils doivent dîner ensemble et partager les secrets de cette étrange famille.
• Bonjour, je suis heureux de faire votre connaissance inspecteur, excusez mon absence au moment où vous auriez pu avoir besoin de moi.
J’étais dans ma chambre à ranger mes affaires, ce meurtre et cette disparition de Louise, m’oblige à faire ça moi-même.
Robert II est au bas de l’escalier permettant de monter à l’étage que j’ai emprunté hier pour aller rencontrer le patriarche.
Il me prend la main et sans la toucher me fait un baisemain.
• Ils embauchent de très jolies femmes dans la police nationale !
Oui, il m’a dit « inspecteur » et non « inspectrice, » il m’a fait un baisemain sa main tenant ma main.
Ce matin même de bonne heure, je sens que je mouille.
Robert II ressemble à Robert I en plus jeune.
• Venez dans mon bureau avec votre collègue, vous pourrez me poser toutes les questions que vous désirerez.
Le portable de Claude sonne, il décroche et après avoir écouté, il m’interpelle !
• Martine, ce sont les gendarmes, ils me posent une question, le toubib chez qui ils sont et où se trouvait Louise, ils nous l’amènent ?...
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