COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (6/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (6/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (6/12)
Un bon polard doit comprendre de bons rebondissements, c’est le cas au moment de notre histoire.
Les gendarmes avec qui Claude était en contact viennent de l’appeler et Louise la jeune femme qu’il a faite bornée a été retrouvée auprès d’un médecin et ils veulent savoir s’il nous l’amène.

• Qui est à l’appareil ?
« C’est Ruby, je reconnais votre voix Martine, on s’est vus lorsque je suis venue me présenter lors de ma prise de fonction dans notre gendarmerie. »
• Ruby, je me souviens, j’ai remarqué vos cheveux roux sous votre calot réglementaire.

Je commence à vous connaitre bande d’obsédés qui lisez ces lignes, oui, j’avais remarqué cette jolie gendarmette sans pour autant avoir baisé avec elle.
Vous me prenez pour une obsédée moi aussi, si ça avait été le cas, côté obsession, hier, j’aurais demandé à Claude d’arrêter la voiture dans les vignes, ça pullule de chemins creux lorsque Claude bandait.
Bon, je vais vous faire une petite confession, elle était juste de passage dans mon bureau, elle serait restée plus longtemps...

« Ôtez-moi d’un doute, Ruby, lorsque vous parlez d’un toubib, son nom sur sa plaque ne serait-ce pas docteur Robert R. par hasard ?
Oui, pourquoi vous le connaissez ? »
• On peut le dire, venez avec les deux au domaine Saint-Pierre à Nuits !
« Paul, connais-tu ?
Il connaît, il a entendu et il me fait oui de la tête, nous arrivons. »

Dans ce moment de téléphone avec les gendarmes, j’ai suivi Robert II qui me fait entrer à gauche de l’escalier dans ce qui est un bureau, certainement son bureau.

• J’ai comme l’impression que ma femme va avoir de graves problèmes et Robert aussi.
Je voudrais prendre sa défense, bien que nous soyons ennemis depuis que mon père, m’a vendu tout comme elle a été vendue à nos intérêts familiaux.
Robert aime profondément Geneviève et serait prêt à tout pour qu’elle soit heureuse hors de notre mariage.

Je sais de quoi il parle, je les ai vus elle sur la table d’auscultation, les pieds dans les étriers se faire bourrer la chatte par la bite de son toubib et émettant son plaisir.
C’est marrant de voir d’autres que soi-même baiser, je suis inconsciente de dire si je hurle de la même façon au moment où je jouis !
Étant par Lorie devenue bisexuelle avant de prolonger avec Marie régulièrement depuis ce jour, j’ignore si je crie autant lorsque l’une comme l’autre me transportent vers les sommets de mon plaisir.
On frappe à la porte que Robert a refermée derrière nous.

• Vous avez demandé le service, monsieur Robert.
• C’est vrai, vous êtes seul à assumer tout le travail mon bon Hugo, sans vous commander, pouvez-vous demander à Lucienne de nous apporter du café, à moins que comme ma femme vous préfériez du thé ?
Je vais vous dire une chose qui va vous faire rire, du moins je le crois.
La famille Poisson, je pense que vous savez que c’est le nom de famille de ma femme, boit exclusivement du thé, Violette ma belle-mère, hélas, disparue s’était trouvé une vieille souche anglaise dans sa famille.
Du jour au lendemain, elle a imposé « tea for two » obligatoirement sur leur domaine, devenu le mien par mon mariage avec leur fille.
Cette union, outre un héritier mâle dont je vais vous avouer une chose !
Elle croit que j’ignore qu’il est du toubib, ce pauvre con qui va avoir des ennuis car il lui mange dans la main, alors que je sais qu’il l’avait engrossé préalablement à notre union.
Ma femme ignore que de savoir que le déshonneur, surtout pour une famille se disant issu d’Angleterre, d’avoir un bâtard pour héritier.
Ça a permis à celui que vous appelez Robert premier et nous le patriarche, de mettre dans le contrat une clause qui nous permettra de faire disparaitre leur nom sur le domaine et de mettre le nôtre définitivement.

On frappe de nouveau à la porte, une femme que je reconnais de suite, bien que je ne l’aie jamais vue entre, certainement la grosse truie !

• C’est le café que monsieur Hugo m’a demandé de vous servir.
Excuser, c’est la première fois que je fais ce travail, je suis plus à l’aise pour vider les poulets que de porter un plateau.
• Ça tombe bien que vous soyez là tous les deux, madame Lucienne et vous monsieur Robert II.
J’ai fait consulter nos archives et monsieur Claude ici présent a trouvé qu’il y a quelques années, une plainte de votre prédécesseur en cuisine avait été déposée contre le patriarche et classée sans suite.
Ça a entrainé son licenciement et c’est vous qui l’avez remplacé ?

Je vois Lucienne, s’essuyer les mains sur son tablier, le plateau avec ses tasses, sa cafetière ainsi certainement le sucrier et un pot de lait sur le bureau face à nous.
Elle cherche désespérant refuge vers Robert qui dans un parfait aplomb déclare.

• J’ai entendu parler de cette affaire, mais sans réellement savoir ce qui était reproché à mon père.
Il y avait beaucoup de médisance envers lui après la réussite qu’il avait avec son vin et ses vignes, ce que je sais c’est que ça a été classé sans suite par le procureur.
• Tout comme monsieur, j’ignore pourquoi j’ai remplacé cette dame que je n’ai jamais vue.

Ils s’appelleraient Pinocchio, leur nez s’allongerait pour l’un comme pour l’autre, une idée me vient, je fais signe à Claude qui se penche pour que je lui parle le plus discrètement possible.

• Va à Beaune et interroge qui était cette femme et surtout où elle se trouve maintenant, peut-être pourra-t-elle éclairer notre dossier d’un jour nouveau.
• Tu crois que le patriarche pourrait avoir tué cette jeune fille pour cacher sa grossesse !
• Aidé de Hugo, qui est plus qu’à sa botte, mais soit discret, je te rappelle les ordres que tu m’as rapporté de Fred de traiter cette famille le plus discrètement possible.

Claude part, j’entends la voiture partir, mais en même temps comme si d’autres voitures arrivaient.
De nouveau on frappe à la porte, j’ai horreur d’avoir un café froid, tout comme inspecteur et inspectrice, ça me met en colère de gâcher ce divin nectar qu’est le café.

• Bonjour inspecteur, je crois que l’on se connaît !

Mince, j’allais encore mettre un euro dans le cochon en disant merde.
Non, je ne l’ai pas dit merde alors, maître Benoit de La Raperière, les choses commencent, il va falloir que je joue cartes sur table.

• Je suis venu suite à l’appel de monsieur Hugo mon ami, pour représenter les vins Del Degas.
Mais je vois que vous avez fait aussi venir mademoiselle Louise et monsieur Robert R.
Je vais les assister dans vos interrogatoires.
• Maître, j’aime bien que vous vous fichiez de moi, même si vous m’avez appelé inspecteur, mais vous savez bien qu’il vous ait impossible de défendre deux parties dans la même affaire.
Je vais auditionner ces personnes en audition libre, ils pourront partir quand bien leur en prendront.
De plus, vous seriez en droit d’intervenir pour l’un ou pour l’autre si nous leur avons stipulé leur mise en examen.
Si monsieur Robert R. et mademoiselle Louise, sont ici, dans l’affaire du meurtre de cette pauvre fille dans les vignes de cette propriété, c’est à titre de témoin et non nul besoin d’être assisté.
Je vous demanderais tous de sortir sauf mademoiselle Louise à qui j’ai quelques questions à lui poser.

Je sens une tension extrême dans le bureau, Robert II me regarde, je sens que je l’impressionne par mon aplomb.
Derrière tous ce beau monde, je vois le majordome sortir son Opinel et sa pierre et frénétiquement frotter le premier contre la seconde.
À force de l’aiguiser, l’Opinel va devenir ou doit être une vraie lame de rasoir.

• Assayez-vous mademoiselle, une tasse de café ?
• Je veux bien, ici depuis que j’y travaille nous sommes obligées par madame Del Degas de boire du thé.
• Dites-moi, comment avez-vous pu vous retrouver à la maison de santé tenu par monsieur Robert R ?
• C’est monsieur Hugo qui m’y a conduit, je dormais, j’avais fini le service de nos patrons tard la veille au soir.
Je me suis endormie comme une masse, jusqu’à ce que l’on me réveille, il était quatre heures.
Je l’ai vu au réveil de Clémentine ma compagne de chambre et de service et aussi de l’assistance dont nous venions l’une comme l’autre.
• Vous avez un réveil pour les deux !
• Non, le mien lorsque je me suis assise au bord de mon lit était dans mon dos et celui de Clémentine bien visible devant moi.
• Était-elle dans son lit ?
• Non, c’est pour cela que je pouvais voir son réveil, sinon j’aurais été obligé de me retourner.
• Et c’est monsieur Hugo qui est venu vous réveiller pour vous emmener ?
• Pas du tout, monsieur Hugo, lui, se serait bien gardé de rentrer dans notre chambre.

Je note, un, « lui », je pourrais lui demander pourquoi ces trois lettres, mais je garde cela en réserve, si j’attaque bille en tête, elle risque de se refermer comme une huitre.

• Qui était là, pour vous secouer et vous demander de vous préparer, je suppose ?
• Madame Del Degas, c’est elle qui m’a demandé de prendre un sac et quelques affaires, que je devais aller aider un médecin qui avait besoin d’aide étant seul.
• Bien parlons de la caisse avec des billets de 5 € que nous avons trouvés sous votre lit !

Louise, me regarde et se met à pleurer...

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (6/12)
Histoire sexe : Une rose rouge
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