COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (8/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (8/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (8/12)
Plus les chapitres avances et plus ma tête se retrouve posée sur un billot qui va être tranché par le barreau de Dijon et de tous ses avocats réunis.
Je viens de raccompagner Ruby la gendarmette rousse en lui glissant dans l’oreille un rendez-vous après la fin de mon enquête.
Marie, Lucie l’autre gendarmette de Tourcoing et maintenant Ruby, j’ai l’impression de glisser lentement dans les bras de jeunes lesbiennes.
Pourtant depuis ma prime jeunesse Jules, je dois le reconnaitre, Fred aussi, ont réussi à satisfaire mes désirs sexuels.
Est-ce elle en passant près de moi et me frôlant me permettant de lui souffler mon invitation qui me donne une piste que j’avais comme l’on dit depuis le début devant mes yeux ?
Comme il est couramment dit, il est difficile de voir notre nez, au milieu de notre figure, ça nous fait loucher.
Lorsque je vais vous dire la pensée qui m’est venue en respirant le parfum surement naturel de Ruby, senteur poivrée, vous allez dire, mon dieu qu’elle est conne.
Là, c’est vous qui mettrez 1€ dans le nourrain d’un monsieur du temps de ma jeunesse à la télévision.
J’étais si jeune et il était si vieux qu’il m’étonnerait qu’il soit toujours de ce monde.

• Monsieur Hugo, vous et votre Opinel, pouvez-vous nous suivre ?
Claude as-tu un sac de pièce à conviction ?
• Oui, en voilà un.
• Fais mettre l’Opinel de monsieur Hugo dans ce sac et nous allons le faire porter à Dijon dès que Ruby sera revenue ayant accompagné le médecin.

C’est au moment de mettre son Opinel dans le sac que Claude lui tend que le majordome craque.

• Madame, je veux bien défendre monsieur Robert après qu’il m’est sauvé la vie dans le Djebel, mais ce que vous m’avez fait faire, il faudra que vous l’assumiez !
• Que voulez-vous dire, Hugo, que devrais-je assumer ?
• Madame Degas, plus un mot, c’est le conseil que je vous donne, je sens que les choses nous échappent.
• J’ai vu dans son regard, que madame l’inspectrice avait compris une grande partie de ce qui s’est passé.
• Taisez-vous madame, le majordome de votre beau-père vous provoque et je sens que ça va mal finir, ce n’est pas pour ça que vous sollicitez mes conseils.

Et que tu dois les faire payer très chère, vu les costars que tu te payes.
Je suis aux anges, j’ai réussi à faire éclater le bloc que ces personnes semblaient avoir formé.

• Que dois-je assumer Hugo, j’ignore de quoi vous voulez parler ?
• De la vidéo que vous avez tournée et enregistrée sur votre portable.
• Mais, vous allez vous taire Geneviève et vous aussi monsieur Hugo même si je ne vous représente pas !
Vous me mettez dans une situation impossible, madame je vais être dans l’obligation de renoncer à vous défendre !
• Que voulez-vous défendre maître, l’indéfendable, je crois que monsieur Hugo sait des choses qui vont nous éclairer sur ce qui s’est passé dans cette demeure et pourquoi Clémentine est morte !
• Ta gueule, grand con, oui s’est vraie, j’ai cette vidéo et ce que je t’ai demandé, c’est loin de ce que tu as fait, j’ai protégé mon fils contre cette petite catin.
• On se calme, madame, monsieur Hugo, veuillez passer dans le bureau de monsieur Robert, tout ceci est intéressant.

Degas mère se lève, faisant valser sa chaise qui vient se fracasser contre un meuble de salle à manger, certainement Empire.
Ils entrent avec Claude tenant l’Opinel dans le sac.

• Madame, un dernier conseil et je vous quitte, vous chercherez un autre défenseur.
Maitre Durand par exemple, ce vieil ivrogne qui croit être plus fort que moi après avoir défendu la petite Laurentine et l’avoir fait condamner avec du sursi.
Si ça avait été moi, c’est acquitté qu’elle serait sortie du tribunal, j’en ai ma claque de me faire insulter en vous donnant mes conseils.
L’inspecteur a compris que vous aviez un enregistrement dont j’ignorais l’existence.
Pourtant vous m'aviez juré de jouer cartes sur table et vous vous êtes permis de garder ces éléments primordiaux pour vous.
• Eh, tous, on se calme, maître restez, il faut faire avancer l’enquête et je sens que madame Degas, a compris et qu’elle va rester calme, alors ce portable !
• Il est dans ma chambre, dans le coffre où je l’ai rangé.
• Claude, accompagne madame et allez le chercher, tu fais attention que cette chère hôtesse n’en profite pas pour effacer cette vidéo.

Claude pose la pièce à conviction n°1 sur le bureau et quitte la pièce aussi grande dame, qu’avant qu’elle ne se mette hors d’elle.
C’est drôle lorsque l’on a du pognon, comme on sait d’un coup redevenir la femme parfaite qu’elle nous montrait jusqu’à son coup de sang.

Le temps me semble long, je regarde l’Opinel à travers le sac en plastique.
Instinctivement je pose ma main sur mon arme à ma ceinture comme si j’avais peur de l’avoir oublié, ça m’arrive quelquefois depuis qu’on me la remit avec ma plaque d’inspecteur.
Une vraie lame de rasoir, fine très fine alors que les lames des Opinels, sont très larges se repliant dans le manche en bois et où l’on peut tourner une bague en métal pour éviter qu’il se referme.
Replié on peut les mettre dans les poches.
Je le sais dans ma jeunesse mon père en avait un.
On va penser que ça tourne à l’obsession, « un » Opinel ou « une » Opinel, je me mets moi-même le doute dans mon esprit.
Allez disons « un » comme je dis « un » pour un inspecteur.
Mon père donc, s’en servait pour nous couper des tranches de saucisson lorsque nous allions pick niquer les dimanches.

Ils finissent par revenir, Claude me tend un portable.

• Montrez-moi avec votre doigt sur quel fichier il se trouve ?

« Galerie, » je pense en moi-même que madame Degas peut jouer les grandes dames, elle est conne de laisser une telle preuve, si facile à trouver pour le moindre de mes inspecteurs.
Sumatra au commissariat aurait mis trente secondes pour la trouver, c’est lui qui s’occupe de tout ce qui touche à l’informatique.
C’est surement lui qui a trouvé l’affaire de la cuisinière touchant le patriarche.

• Lorsque j’étais près de la chambre de mes employés, je venais pour leur passer un savon, mon beau-père s’était plein auprès de moi qu’elles lui avaient demandé de doubler les sommes qu’elles recevaient pour ses petits plaisirs personnels.
Je savais les travers du patriarche, il y a quelques années, il avait fallu le défendre auprès de certains de mes appuis, le vin ça aide, car il avait été à la limite de violer la cuisinière.
Il était encore valide dans ces années-là et c’est grâce à moi que l’affaire a été classée sans suite.
J’ai donc loupé le début de la conversation envers ces deux salopes, surtout Clémentine qui était la pire des deux.

Lorsque je dis qu’il faut laisser parler le présumé innocent, nous venons d’apprendre pourquoi Claude et surement Sumatra a trouvé trace d’une affaire avec l’ancienne cuisinière.
Qui a fait le nécessaire, pour que le patriarche soit blanchi ?
Est-ce comme moi je l’ai faite en cachant la provenance du matelas descendu dans la cave par Marie le proviseur du lycée, lui ayant permis de garder son poste ?
Qui, Lupin, Fred, il faudrait que je fasse concorder les dates, à moins que ce soit le prédécesseur d’Antoine Lupin ?
Quel nom avait-il déjà ?
À oui, Claude Chabrole, un autre pas le réalisateur, qui est décédé et que je sais avoir dirigé le commissariat en cherchant dans les dossiers des suivis d’autres affaires ?

Je démarre l’enregistrement avec Claude regardant par-dessus mon épaule.
Il va falloir que je le briffe sur la cuisinière.
Le faite d’éviter d’aller la voir maintenant que nous connaissons le pourquoi du comment de sa plainte, ça va vous faire faire des économies sur vos impôts, en gasoil et en usure de notre véhicule.

« ...Je les tiens, tu vas voir, dans quelque temps, j’épouserais Robert après que j’ai couché avec lui. »

Intéressant, mais à ce point du récit des filles, je vois nettement Clémentine parler, mais pas Louise qui m’est cachée.
À ce stade, elle parle de Robert, mais lequel le numéro I, le patriarche, le numéro II, le fils du premier ou du numéro Robert III celui qui m’est inconnu !

« Tu vas me dire que ton plan de te faire engrosser ça a marché et que tu es enceinte. »

Tonnerre d’applaudissements pour Martine, nous tenons notre motif et la confirmation de la morte même qu’elle était enceinte et qu’on l’a certainement dépecé pour cacher cette grossesse sans savoir que le sang pouvait parler.
Yann lorsque je vais le joindre saura que c’est un bon légiste sur lequel je peux compter.

« Jusqu’aux oreilles, regarde ce ventre, j’ai consulté à l’hôpital de Beaune, trois mois, encore six, je vais voir la connasse et je lui fourre la photo de son petit-fils sous le nez.
Le scandale, le grand-père est un pervers, à la limite d’être un pédophile.
Son mari un cocu qui lui-même fait croire qu’il part avec sa secrétaire à Ibiza alors que c’est une escorte qu’il paye pour faire croire que c’est un Donjuan. »

Robert II m’a menti sur la femme qui l’accompagnait, pieux mensonge si en réalité c’est pour donner le change, qu’il l’a fait.

« Fais attention à toi, elle est dangereuse !
Tu as couché avec le puceau, ça c’était assez facile, sa langue pendait lorsqu’il nous croisait, même avec la preuve ADN elle peut simplement te filer du fric pour que tu fasses passer l’enfant !
Tu es conne ou quoi, seize semaines et ils l’auront dans l’os !
Et si même elle me donne congé, je leur soutirerais assez de fric pour que nous vivions tranquilles un grand laps de temps toutes les deux. »

Louise, larme de crocodile, avant que la vidéo soit coupée, vient dans les bras de sa voisine de chambre et les bouches des deux filles me montrent le grand degré d’intimité qu’elle avait.
Comme moi avec Lucie puis Marie et je l’espère la belle rouquine portant le calot de la gendarmerie...

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (8/12)
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