COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (10/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (10/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (10/10)
Étant prête, lorsque je me regarde dans la glace de ma chambre sur ce yach de milliardaire, c’est une tout autre femme que j’ai devant mes yeux.
Que le haut luxe, peut changer la silhouette de celle que j’aspire à devenir.
Une pute de luxe, contrairement à l’inspecteur Martine Durand avec un « D » que j’étais avant que ces ivrognes de Fred et de Lupin, me porte volontaire sans mon avis afin d’infiltrer l’organisation d’Olaf mon mentor.
Dès que j’ai eu la preuve qu’il employait des femmes d’environ la trentaine.
Dès que j’ai eu la preuve que son but était de les prostituer et en tirer une grande part de ses revenues.
J’ai appris aussi que s’ils nous voulaient de cet âge, des plus jeunes lui ayant posé des problèmes, j’aurais pu m’assurer que ma mission était terminée.
Lorsque je vois Martine Durand toujours inspecteur et toujours avec un « D » et que je m’admire dans cette glace, je suis sûr d’avoir fait le bon choix.
Je suis née pour devenir une pute de luxe.

• Madame, c’est l’heure, ces messieurs vous attendent.

Ces messieurs, je viens d’appartenir à deux hommes de main d’Olaf, Hamed et Dimitri, je pense que mon examen final, va être de m’occuper de plusieurs enturbannés.
À moins que d’autres colombes marquées au fer rouge dans leur chaire soient déjà présentes à ma soirée d’initiation.
Vu le monstre marin sur lequel je suis montée, dès ma première prestation je vais faire gagner un max de pognon à mon maquereau, car il faut appeler un chat un chat.
Au moment d’arriver à l’arrière du yach, j’entends de la musique orientale.
J’ai une pensée pour mes enfants, en temps normal j’en aurais eu une pour Jules mon mari, mais là la photo que j’ai eue en main me donne presque l’envie de dégueuler.
Comment cet homme si gentil et tout comme il faut depuis que je le connais, peut-il avoir fourré sa main dans le kimono d’une jeune Geisha ayant à peine 15 ans.
Bientôt l’âge de notre fille, c’est là le drame.
Je chasse ces pensées car sinon lorsque je passe le long du plat bord je pourrais moi-même me foutre à la baille et étant donné la distance avec la côte mettre fin à ce cauchemar.
Lorsque je dis ce mot « cauchemar, » ce n’est pas de faire la pute que je parle, mais le comportement d’un père de famille qui plus est le père de mes enfants.
Je chasse ces pensées et j’entre.
Ils sont cinq, assis en rond sur des tapis à la façon orientale.
L’un d’eux me regarde et s’adresse au commandant resté à mes côtés, ils échangent en arabe, puis se tournant vers moi, me donnent l’ordre de danser pour eux.

• Dois-je me déshabiller ?
• Non, l’émir veut simplement que tu danses pour eux.
• Baiser je sais faire, mais danser surtout ces danses de son pays je vais être ridicule.
• Je l’ai vu une fois se mettre en colère, la fille qui était à votre place, il l’a fait jeter par-dessus bord.
Je sais qu’Olaf l’a couvert c’était au large de Dunkerque, avec le froid, la fille a disparu en une fraction de seconde, j’ai été incapable de la secourir.

Si je m’en sors, cette simple information sera susceptible de faire embastiller Olaf et toute sa clique dès que j’aurais remis les pieds sur terre.
Mais qu’on ne se trompe pas, inutile d’attendre un retournement de situation de ma part.
Le fric, le fric, le fric, je veux une retraite dorée et non pas le minimum qu’un état aussi riche que la France est capable de me donner.
Surtout qu’en me préparant, après ma douche, je voyais encore très nettement la cicatrice subie lors de la messe noire.
Alors je pense à un serpent et je me déanche du mieux que je peux.
Ça dure une demi-heure, plus le temps passe et plus je sens que je vais finir par sortir vivante de ce traquenard ou je me suis enfermée moi-même.
Je commence à fatiguer lorsque je vois l’émir, du moins je pense qu’il en est un, écrire sur un papier, qu’il plie.
Est-ce mon arrêt de mort ou la preuve que j’ai été docile.
Il fait signe d’un mouvement de tête au capitaine qui s’approche prend le papier et sans le regarder vient vers moi.

• Suis-moi, tu t’en es très bien sortie.

Étonné il me ramène dans la cabine.

• Je dois donner des ordres pour qu’on vienne te chercher, l’autre bateau par sécurité même si nous sommes hors des eaux territoriales, va être là dans une demi-heure.
Met-toi à poil, tu vas avoir le temps de me faire voir ce que tu vas être capable d’offrir aux clients d’Olaf.

Sortir de l’arrière du yack où se trouvaient les enturbanner sans me faire baiser, c’était trop beau pour être vrai, il faut bien que je paye un tribut à celui qui est resté près de moi.

• C’est bien, suce salope, les dizaines de celles t’ayant précédé rapportant du fric à mon pote Olaf sont toutes passées au bout de ma queue.
J’ai vu ce que ce couillon a écrit en arabe, c’est moi qui fournis le papier, je vais dans ma cabine et sachant imiter son écriture, je change la phrase et je dis adieu à la petite pute.
Deux fois, j’ai vu des filles faire partie de celles qui ont été prises pour des immigrés étant tombé d’un Zodiac.
Du moins, c’est la police qui a conclu décès en mer, alors que c’est de notre bateau qu’elles sont tombées.
De plus la deuxième c’est moi qui l’ai fait passer par-dessus bord, elle refusait de me sucer avant que je la baise.

On comprend que lorsqu’il baisse son pantalon et qu’il me fourre sa verge dans ma bouche, naturellement mes mains viennent l’enserrer et que je le pompe avidement.
Rester en vie, pour gagner le maximum de frics d’ici quelques jours et offrir une belle vie à mes enfants, je sois conciliante lorsque j’écarte mes cuisses et que je le laisse me pénétrer.
Le temps passe vite, lorsqu’un homme s’occupe de votre intimité, une sirène me rappelle, que le yack qui doit me ramener arrive pour me récupérer.

• Monsieur Olaf est dans sa cabine !
• Non, pendant que vous étiez sur l’autre yack, nous nous sommes rapprochés des côtes et une vedette est venue le chercher.
Il m’a dit de vous dire qu’il était satisfait de vous.
Il veut que vous repreniez le cours normal de votre vie, il saurait vous joindre chaque fois qu’il aura un client que vous devrez satisfaire.
Vu votre situation, si vous êtes persuasive vous serez ses yeux et ses oreilles afin que la police ignore les activités parallèles qu’il vous fournira.
Il a rappelé qu’il avait confiance en vous, mais qu’avec ses hommes, il savait ou vaut deux enfants se trouvent, sans compter vos parents.

Je suis retournée chez moi, j’ai dormi jusqu’au lendemain, jour où je devais aller voir l’homme dans le parc.
Fidèle à son habitude, il arrive et joue le jeu de l’homme lisant son journal.
De toute manière, dans cette zone, les enfants sont encore à l’école ce qui n’est pas le cas à Beaune que mon mentor, m’a demandé de rejoindre.

• Vous aviez disparu, je me suis inquiété, j’ai failli déclencher le plan de secours.
Avez-vous réussi ?
• La dernière fois, je vous avais dit m’être rapproché d’Alexandra Borman, la directrice de l’agence de mannequins, ce que j’avais réussi à infiltrer.
Ce que je vais vous dire doit rester secret pour ma famille et pour mes supérieures.
Elle m’a demandé d’accompagner Karl un orthodontiste à un congrès et c’est de mon plein gré que j’ai fini notre nuit dans sa chambre.
Une femme, comme un homme, peut avoir des envies lorsqu’elles sont loin de leur mari.
De plus, ignorant si cet homme était peut-être un complice Olaf Borsoski, pour voir jusqu’à ou j’étais capable d’aller, j’ai joué le jeu, mais sans aucune contrainte.
Alexandra m’avait prévenu que ça se pratiquait, mais que l’agence se détachait de toutes choses de ce genre surtout avec rémunération.
• J’ai été moi-même en mission sous couverture, je pourrais vous dire ce que j’ai été dans l’obligation d’accepter.
Il va de soi que dans mon rapport, j’écrirais simplement « escorte, rien à signaler. »
• Merci, pour la suite, accepter cette soirée m’a valu une croisière sur le yack d’Olaf Borsoski, sorte de récompense.
Mais ma mission aurait pu s’arrêter là, je me suis retrouvée à bord avec Sylvana, une autre fille faisant partie des escortes.

Ignorant jusqu’à où cet homme avait des informations, je décide de travestir un peu la vérité.

• Cette fille, je l’ai trouvé dans la cabine du yack d’Olaf, a-t-elle voulu impressionner cet homme, nul ne le sais et comme ma mission se termine, je pense ne jamais le savoir.
Remontée sur le pont, elle a voulu qu’Olaf s’occupe d’elle.
Si ça avait été le pervers que vous pensiez qu’il est, il se serait empressé de profiter de cette fille se jetant littéralement à ses pieds.
Il l’a gentiment remise à sa place en lui expliquant qu’il était marié, qu’il avait deux enfants et qu’il leur était fidèle.
Je me suis bien gardé d’insister, j’avais la réponse à ce que j’étais venue chercher.
• Tout ceci est parfait, mais j’ai entendu dire que les filles d’Olaf, il les marquait au fer rouge, elles ont des colombes enlacées marquées à vie dans leur chair.
• Quelle horreur, qui a pu vous mettre cette idée en tête.
Avant de monter sur le pont, j’ai vu les fesses de Sylvana, aucune colombe marquée au fer rouge sur ses fesses.

Et là je prends un risque majeur, mais cet homme est bien mis et je pense qu’il reste un gentleman alors là encore, je le provoque.

• Si vous croyez que je mens, je peux toujours vous faire voir mes fesses.
Qui vous dit que je n’appartiens pas à cet homme et qu’il m’a marqué au fer rouge signe de ma soumission.

Aux risques que je prends, me permettant de gruger mon correspondant, je suis sauvée par une vieille dame marchant avec une canne et venant passer devant nous.
Il faut dire que je fais le mouvement de me lever.

• Rasseyez-vous, Martine, je vous crois, si parmi l’une de ses filles ayant approché notre suspect, je peux vous faire confiance, c’est bien vous.
Vous avez accepté de prendre des risques maximums pour mener à bien notre enquête sous couverture.
Allez faire votre valise, une voiture va vous récupérer devant le logement où vous logez.
Je donne l’ordre d’aller chercher vos enfants chez vos parents, l’État vous offre deux semaines sur la Costa del sol à Marbella.
Bonnes vacances et bonne récupération, je vous laisse, je pense que c’est la dernière fois où je vous parle en faisant celui qui lit son journal.

L’homme referme son journal se lève et me quitte.
J’ignore ce que les deux colombes vont me rapporter, mais déjà 15 jours de vacances aux frais de l’État français, ça c’est sûr.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci Chris pour ta réponse même si je dois subir le supplice de Tantale. Soyons patient étant jardinier je le suis. Daniel

DanieL, j'ignore si tu reviens sur les commentaires.
Je vais te répondre tu commences à connaitre les liens qui m'unisse à Chris71 jumeau, ADN identique, comme toi je l'ai sondé
Comme réponse j'ai eu un petit sourire en coin, mais il est resté une tombe.
Connaissent sa roublardise et l'amour qu'il a pour une fille qui s'appelle Martine, je pense que dans quelques semaines notre Martine réapparaitra.
Je sais aussi qu'il a un personnage de la& mythologie qu'il adore TANTALE, va t il nous faire subir ce supplice ?

Histoire Erotique
Là Chris tu m’as complément paumé c’est oui c’est non a-t-on toujours une inspecteur Martine ou pas. J’ai perdu le fil je t’avoue c’est sans doute voulu. Daniel



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (10/10)
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