COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (3/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (3/10)
Merde, ce soir, c’est le cas de le dire, Martine Durand avec un « D, » une nouvelle fois va s’emmerder.
C’est ce que je pense lorsque je vois Justine se lever me laissant emporter Amélie Nothomb dans son dernier roman.
J’en lis quelques lignes, si mon contact pour venir au contact d’Olaf, il va falloir que je me coltine jusqu’à la fin pour pouvoir faire croire que je kif cet auteur avec son grand chapeau.
Je pourrais aller acheter le dernier polard à la mode.
« Prime time. » de Maxime Chattam ou « Méfie toi. » d’Harlan Coben, mais si on vient fouiller dans la maison qui m’a été fournie, des livres aux prix ou ils sont, pourrait paraitre suspect.
J’aurais dû amener de chez moi quelques perles de la « collection noire », lu et relue de nombreuses fois et étant entièrement éculé, cela aurait paru moins suspect.
Bref je me couche de bonne heure, je lirais la suite demain matin.
Dix pages, j’ai lu dix pages, avec mes excuses mademoiselle Amélie, eu essayé n’avoir pas pu.
À l’heure prévue, ayant essayé une dernière fois et ayant pu finir le premier chapitre, j’arrive dans le square.
Justine est sur le banc, mais je comprends très bien la situation.
Un affreux bonhomme avec une queue est en train d’emmerder ou de draguer celle que je convoite pour m’introduire auprès d’Alexandra Boman.
Alexandra dont j’ai découvert qu’elle gérait l’agence de mannequins.
Je m’avance et je prends tous les risques.
• Bonjour mon cœur, excuse mon retard.
Je me penche de façon qu’il n’y ait aucune ambiguïté envers l’emmerdeur.
Je prends les lèvres de Justine et qui me regarde éberluée.
• Eh oui, monsieur, nous sommes au vingt et unième siècle, les femmes épouses les femmes et nous nous passons largement de vos machins que vous avez entre les jambes.
Deux secondes, et je peux m’assoir à côté de celle que je convoite sans penser que ce baiser allait me sortir de mon isolement.
• Martine, tu es gonflée, je ne savais pas comment me débarrasser de cet importun, toi tu as été direct.
Tu veux que je te dise, tu es la première femme à m’embrasser sur les lèvres.
C’est vrai, hier, tu m’as fait la confidence que ton amie Marie avait été un peu plus qu’une simple amie.
Il faut battre le fer lorsqu’il est chaud, je me penche et comme elle me regarde, je reprends ses lèvres, ma langue entrant dans la danse sans que sa propre langue ne refuse la mienne.
Par chance, nous sommes seules, mon audace aurait pu la cabrer et je l’aurais perdu obligé de trouver une autre porte d’entrer dans la société « Mannequins les colombes enlacées. »
• Veux-tu que nous allions chez toi ou chez moi, chez moi, je t’ai dit comment c’était !
• Non, chez moi, surtout que j’ai plein de bonnes nouvelles.
Nous faisons le chemin que j’ai déjà fait lors de mon arrivée pour repérer le cadre où je devais opérer.
C’est un peu comme lors d’une enquête, il faut tâter le terrain ou l’action vient de se dérouler.
• Entre, c’est là que j’habite depuis...
• Depuis...
Continue Justine, tu sembles avoir un gros secret ou état de fait sur la conscience, tu es pleine de retenue.
Nous venons de rentrer dans un vestibule bien plus accueillant que l’entrée de la maison qui m’a été réservée par mon administration.
Déjà c’est clair, moi c’est sombre, il y a une lampe au plafond qui est grillé et le papier pain doit dater de la Seconde Guerre mondiale.
Des fleurs violettes genre magnolia, on voit le genre.
• Assieds toi là, je vais faire du café, tu aimes le café ou préfères-tu un thé, mais avant, je vais tous t’expliquer ?
Dès la porte refermée, je m’attendais à un emballement de nos rapports, Justine me montrant un grand empressement.
Je sens qu’elle s’est reprise.
Comme l’on dit, j’ai l’impression de prendre un vent, comme j’en avais pris un avant Jules, à l’école de police, j’avais flaché sur un beau jeune homme.
J’étais prête à me donner à lui, mais un soir, montant dans nos chambres, j’ai entendu parler dans le couloir où j’allais m’engager.
Fabien, il s’appelait Fabien avait coincé un autre élève Sébastien et le collait sur le mur, sa main à la hauteur de sa braguette.
J’ai jeté un coup d’œil pour voir, m’étant arrêté, Fabien tout en continuant à embrasser l’autre garçon a ouvert la porte de sa chambre et a poussé celui qu’il convoitait à l’intérieur.
Je venais de m’apercevoir, qu’un homo savait reconnaitre un autre homo alors qu’à aucun moment, je n’ai détecté la moindre parcelle d’homosexualité de la part de Fabien.
Bien sûr au fil de mes aventures qui commencent à être conséquence, j’ai de mon côté été obliger de constater que j’aimais autant les garçons que les filles.
J’ai abdiqué devant ce que je pensais être un Annapurna de l’amour, j’ignore ou l’un comme l’autre ils sont devenus, sont-ils restés dans la police, sont-ils en couple, grand bien leur face.
Ce qu’il y a de sûr, la porte refermée, je suis passé devant la pièce où ils étaient rentrés, lorsque j’ai entendu, « encore, encore, encore. »
Si j’étais passée sans les voir préalablement dans ce couloir, lorsqu’il devait sodomiser son copain, les « encore » venant de la voix de Sébastien.
J’aurais pu penser que ce dernier s’occupait de la chatte d’une de mes copines de promotion.
• Voilà une tasse, veux-tu du sucre ?
• Je te sens empruntée depuis que nous sommes arrivées, tu sembles t’être éloigné de moi, alors que lorsque je t’ai embrassé sur le banc pour te libérer de ce dragueur de bas étage, tu étais prête à t’enflammer !
• Ça c’est vu tant que ça, oui, Martine tu as raison, c’est d’ailleurs ça qui m’a coûté mon mariage, la perte de mon fils et la situation dont je me suis retrouvée.
Je t’ai menti lorsque je t’ai dit que tu étais la première à m’embrasser sur les lèvres.
Mais tu vois, même là je m’enflamme et ça risque de me valoir des ennuis, je ferais mieux de me taire.
C’est ce qui pour moi, ayant appris à l’hôtel de police à conduire un interrogatoire, en étant dans une pièce sans fenêtre, mais avec une grande glace nous permettant d’observer nos suspectes, les débuts d’aveu.
Si j’étais dans cette situation, je pousserais mon avantage d’un début d’aveu.
Mais là, si je suis trop brusque, elle risque de se refermer comme une huitre à la vue d’une étoile de mer.
Et si je suis trop tendre, elle peut biaiser sa réponse, alors que, n’oublions pas, c’est ma porte d’entrer pour poursuivre ma mission d’infiltration.
Dois-je risquer de là compromettre pour une partie de broute-minou, même si les récentes femmes que j’ai fréquentées m’ont donné bien du plaisir ?
Essayer de faire repartir les confidences en posant une question qui peut paraitre anodine en rapport de ce qu’elle a dit dans le début d’une confidence.
• Je t’ai menti lorsque je t’ai dit que tu étais la première à m’embrasser sur les lèvres.
J’ai tout perdu mon mari, mon fils et ma situation comme femme mariée à cause d’une fille que j’avais rencontrée dans une soirée ou mon mari était invité.
• Tu as un fils et je crois comprendre qu’on te l’a arraché !
• Oui, cette femme, je l’ai revu et revu, mais mon mari nous a surpris.
Hamed m’a pris mon fils et il est reparti à Alger avec lui.
Je me suis retrouvée à la rue et contrainte à trouver à me démerder pour vivre, étant sans le sou.
• Tu avais épousé un Arabe A1egérien !
• Oui et sur le ton de la plaisanterie, il m’avait dit le soir de nos noces avant la naissance d’Adbdoula que si je le trompais, il partirait avec lui et que je ne le reverrais plus.
J’ai ignoré son avertissement, surtout avec une fille, mais je me mettais le doigt dans l’œil.
• Et la femme, elle t’a larguée, elle aussi !
• Non, elle est infirmière en Afrique, le jour où mon mari nous a surprises, elle était à la veille de retourner dans sa mission.
Sœur Aline, était en vacances et c’était la fin de celle-ci.
Au moment de partir, lorsque Hamed la foutait dehors, elle a eu le temps de me promettre de l’attendre, tu comprends mon semblant de revirement.
J’ai eu un instant de faiblesse.
(Note de Chris71).
Aux gros pervers, femmes ou hommes, qui espéraient que Martine, broute la chatte de Justine, en même temps qu’elle lui caressait les seins.
Même sans être gros, mais pervers, avant que Justine récupère un gode, ceinture, objet familier à Justine et se trouvant dans sa chambre.
Qu’avec l’une après l’autre nous nous défoncions les parties intimes jusqu’à nous faire jouir l’une après l’autre, ils en seraient pour leurs frais.
(Fin de la note de Chris71)
• Depuis j’attends qu’Aline revienne.
En buvant mon café, les jambes sagement rangées parallèlement ainsi que maman me l’a appris.
Sur la table des livres, je vois le titre de l’un d’eux.
« Méfie-toi. » d’Harlan Coben.
• Toi aussi, tu aimes les polards !...
C’est ce que je pense lorsque je vois Justine se lever me laissant emporter Amélie Nothomb dans son dernier roman.
J’en lis quelques lignes, si mon contact pour venir au contact d’Olaf, il va falloir que je me coltine jusqu’à la fin pour pouvoir faire croire que je kif cet auteur avec son grand chapeau.
Je pourrais aller acheter le dernier polard à la mode.
« Prime time. » de Maxime Chattam ou « Méfie toi. » d’Harlan Coben, mais si on vient fouiller dans la maison qui m’a été fournie, des livres aux prix ou ils sont, pourrait paraitre suspect.
J’aurais dû amener de chez moi quelques perles de la « collection noire », lu et relue de nombreuses fois et étant entièrement éculé, cela aurait paru moins suspect.
Bref je me couche de bonne heure, je lirais la suite demain matin.
Dix pages, j’ai lu dix pages, avec mes excuses mademoiselle Amélie, eu essayé n’avoir pas pu.
À l’heure prévue, ayant essayé une dernière fois et ayant pu finir le premier chapitre, j’arrive dans le square.
Justine est sur le banc, mais je comprends très bien la situation.
Un affreux bonhomme avec une queue est en train d’emmerder ou de draguer celle que je convoite pour m’introduire auprès d’Alexandra Boman.
Alexandra dont j’ai découvert qu’elle gérait l’agence de mannequins.
Je m’avance et je prends tous les risques.
• Bonjour mon cœur, excuse mon retard.
Je me penche de façon qu’il n’y ait aucune ambiguïté envers l’emmerdeur.
Je prends les lèvres de Justine et qui me regarde éberluée.
• Eh oui, monsieur, nous sommes au vingt et unième siècle, les femmes épouses les femmes et nous nous passons largement de vos machins que vous avez entre les jambes.
Deux secondes, et je peux m’assoir à côté de celle que je convoite sans penser que ce baiser allait me sortir de mon isolement.
• Martine, tu es gonflée, je ne savais pas comment me débarrasser de cet importun, toi tu as été direct.
Tu veux que je te dise, tu es la première femme à m’embrasser sur les lèvres.
C’est vrai, hier, tu m’as fait la confidence que ton amie Marie avait été un peu plus qu’une simple amie.
Il faut battre le fer lorsqu’il est chaud, je me penche et comme elle me regarde, je reprends ses lèvres, ma langue entrant dans la danse sans que sa propre langue ne refuse la mienne.
Par chance, nous sommes seules, mon audace aurait pu la cabrer et je l’aurais perdu obligé de trouver une autre porte d’entrer dans la société « Mannequins les colombes enlacées. »
• Veux-tu que nous allions chez toi ou chez moi, chez moi, je t’ai dit comment c’était !
• Non, chez moi, surtout que j’ai plein de bonnes nouvelles.
Nous faisons le chemin que j’ai déjà fait lors de mon arrivée pour repérer le cadre où je devais opérer.
C’est un peu comme lors d’une enquête, il faut tâter le terrain ou l’action vient de se dérouler.
• Entre, c’est là que j’habite depuis...
• Depuis...
Continue Justine, tu sembles avoir un gros secret ou état de fait sur la conscience, tu es pleine de retenue.
Nous venons de rentrer dans un vestibule bien plus accueillant que l’entrée de la maison qui m’a été réservée par mon administration.
Déjà c’est clair, moi c’est sombre, il y a une lampe au plafond qui est grillé et le papier pain doit dater de la Seconde Guerre mondiale.
Des fleurs violettes genre magnolia, on voit le genre.
• Assieds toi là, je vais faire du café, tu aimes le café ou préfères-tu un thé, mais avant, je vais tous t’expliquer ?
Dès la porte refermée, je m’attendais à un emballement de nos rapports, Justine me montrant un grand empressement.
Je sens qu’elle s’est reprise.
Comme l’on dit, j’ai l’impression de prendre un vent, comme j’en avais pris un avant Jules, à l’école de police, j’avais flaché sur un beau jeune homme.
J’étais prête à me donner à lui, mais un soir, montant dans nos chambres, j’ai entendu parler dans le couloir où j’allais m’engager.
Fabien, il s’appelait Fabien avait coincé un autre élève Sébastien et le collait sur le mur, sa main à la hauteur de sa braguette.
J’ai jeté un coup d’œil pour voir, m’étant arrêté, Fabien tout en continuant à embrasser l’autre garçon a ouvert la porte de sa chambre et a poussé celui qu’il convoitait à l’intérieur.
Je venais de m’apercevoir, qu’un homo savait reconnaitre un autre homo alors qu’à aucun moment, je n’ai détecté la moindre parcelle d’homosexualité de la part de Fabien.
Bien sûr au fil de mes aventures qui commencent à être conséquence, j’ai de mon côté été obliger de constater que j’aimais autant les garçons que les filles.
J’ai abdiqué devant ce que je pensais être un Annapurna de l’amour, j’ignore ou l’un comme l’autre ils sont devenus, sont-ils restés dans la police, sont-ils en couple, grand bien leur face.
Ce qu’il y a de sûr, la porte refermée, je suis passé devant la pièce où ils étaient rentrés, lorsque j’ai entendu, « encore, encore, encore. »
Si j’étais passée sans les voir préalablement dans ce couloir, lorsqu’il devait sodomiser son copain, les « encore » venant de la voix de Sébastien.
J’aurais pu penser que ce dernier s’occupait de la chatte d’une de mes copines de promotion.
• Voilà une tasse, veux-tu du sucre ?
• Je te sens empruntée depuis que nous sommes arrivées, tu sembles t’être éloigné de moi, alors que lorsque je t’ai embrassé sur le banc pour te libérer de ce dragueur de bas étage, tu étais prête à t’enflammer !
• Ça c’est vu tant que ça, oui, Martine tu as raison, c’est d’ailleurs ça qui m’a coûté mon mariage, la perte de mon fils et la situation dont je me suis retrouvée.
Je t’ai menti lorsque je t’ai dit que tu étais la première à m’embrasser sur les lèvres.
Mais tu vois, même là je m’enflamme et ça risque de me valoir des ennuis, je ferais mieux de me taire.
C’est ce qui pour moi, ayant appris à l’hôtel de police à conduire un interrogatoire, en étant dans une pièce sans fenêtre, mais avec une grande glace nous permettant d’observer nos suspectes, les débuts d’aveu.
Si j’étais dans cette situation, je pousserais mon avantage d’un début d’aveu.
Mais là, si je suis trop brusque, elle risque de se refermer comme une huitre à la vue d’une étoile de mer.
Et si je suis trop tendre, elle peut biaiser sa réponse, alors que, n’oublions pas, c’est ma porte d’entrer pour poursuivre ma mission d’infiltration.
Dois-je risquer de là compromettre pour une partie de broute-minou, même si les récentes femmes que j’ai fréquentées m’ont donné bien du plaisir ?
Essayer de faire repartir les confidences en posant une question qui peut paraitre anodine en rapport de ce qu’elle a dit dans le début d’une confidence.
• Je t’ai menti lorsque je t’ai dit que tu étais la première à m’embrasser sur les lèvres.
J’ai tout perdu mon mari, mon fils et ma situation comme femme mariée à cause d’une fille que j’avais rencontrée dans une soirée ou mon mari était invité.
• Tu as un fils et je crois comprendre qu’on te l’a arraché !
• Oui, cette femme, je l’ai revu et revu, mais mon mari nous a surpris.
Hamed m’a pris mon fils et il est reparti à Alger avec lui.
Je me suis retrouvée à la rue et contrainte à trouver à me démerder pour vivre, étant sans le sou.
• Tu avais épousé un Arabe A1egérien !
• Oui et sur le ton de la plaisanterie, il m’avait dit le soir de nos noces avant la naissance d’Adbdoula que si je le trompais, il partirait avec lui et que je ne le reverrais plus.
J’ai ignoré son avertissement, surtout avec une fille, mais je me mettais le doigt dans l’œil.
• Et la femme, elle t’a larguée, elle aussi !
• Non, elle est infirmière en Afrique, le jour où mon mari nous a surprises, elle était à la veille de retourner dans sa mission.
Sœur Aline, était en vacances et c’était la fin de celle-ci.
Au moment de partir, lorsque Hamed la foutait dehors, elle a eu le temps de me promettre de l’attendre, tu comprends mon semblant de revirement.
J’ai eu un instant de faiblesse.
(Note de Chris71).
Aux gros pervers, femmes ou hommes, qui espéraient que Martine, broute la chatte de Justine, en même temps qu’elle lui caressait les seins.
Même sans être gros, mais pervers, avant que Justine récupère un gode, ceinture, objet familier à Justine et se trouvant dans sa chambre.
Qu’avec l’une après l’autre nous nous défoncions les parties intimes jusqu’à nous faire jouir l’une après l’autre, ils en seraient pour leurs frais.
(Fin de la note de Chris71)
• Depuis j’attends qu’Aline revienne.
En buvant mon café, les jambes sagement rangées parallèlement ainsi que maman me l’a appris.
Sur la table des livres, je vois le titre de l’un d’eux.
« Méfie-toi. » d’Harlan Coben.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Connaissant tes écrits j’avais compris cette petite boutade sur les deux femmes j’attends la suite et merci pour tes textes je serai incapable d’en faire autant. Daniel
Ok j'avais mal regarder de l'endroit ou tu parle
C'était une boutade car entre Martine et Justine je voulais éviter que ça aille jusqu'à un rapport entre les deux femmes...
Avec mes excuses...
C'était une boutade car entre Martine et Justine je voulais éviter que ça aille jusqu'à un rapport entre les deux femmes...
Avec mes excuses...
C’est toi dans ta note qui parle de gros pervers qui pense au broutage de minous ou alors je n’ai rien compris mais je n’ai pas dit que tu étais pervers jamais je me permets de juger quelqu'un sans vraiment le connaître si c’est ce que tu as ressenti en lisant mon commentaire accepte mes excuses. Daniel
Je ne comprend pas bien ton commentaire Daniel
"Des pervers", suis je pervers ?
Explique ça m'intéresse...
"Des pervers", suis je pervers ?
Explique ça m'intéresse...
Chris tu continues de nous faire avancer l’Inspecteur Martine entre en action avec Justine et là tu nous chopes avec un encart parfait mais tu sais on est pas tous des pervers puisqu’on te lit. Daniel

