COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (4/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (4/10)
« Méfie toi. » d’Harlan Coben.
• Toi aussi, tu aimes les polards !...
C’est la réflexion que je me fais lorsque je vois ce livre sur le guéridon près du canapé où Justine m’a fait m’assoir.
La situation a failli s’accélérer à cause d’un gros conard venu draguer celle que je convoitais, non pas pour la mettre dans mon lit.
Bien que baiser avec des femmes depuis mon enquête dans le collège de notre ville de Beaune en Côte d’Or, j’aie appris à jouer à touche pipi avec leurs chattes.
Marie donc, la proviseure ainsi que Lucie la copine de Fred à Tourcoing.
Ajouter à ce tableau de chasse Ruby autre gendarmette comme l’était Lucie et vous aurez un panel de mes amours lesbiens moi qui suis pourtant hétéro marié à Jules qui m’a fait deux beaux enfants.
Je m’appelle l’inspecteur Martine Durand avec un « D » à la fin.
Je me retrouve malgré moi suite à une soirée arrosée des deux commissaires que j’ai eus comme chef, Fred et Lupin.
À cause d’eux, je me retrouve en mission d’infiltration afin de voir si l’agence de mannequins « Les colombes enlacées, » ne cache pas un réseau de prostitution.
Il fallait une femme de mon âge pour les infiltrer, car cette agence fait travailler des femmes passées la trentaine pour des séances photos, habillées ou de nues.
Ces femmes semblent libres, de sortir avec des hommes ou des femmes comme escortes, mais les autorités craignent que certaines d’entre elles ne se fassent payer pour des prestations plus intimes.
Justine est ma porte d’entrée, mais trop insignifiante pour que je perde mon temps à la séduire.
Je risquais d’en faire une femme jalouse, s’il m’est nécessaire de rencontrer des femmes ou des hommes plus élevés dans l’organisation que je tente d’infiltrer.
L’échelon final est Olaf Borsoski créateur de cette agence et potentielle proxénète d’une partie de ces dames.
Dans mon dossier que j’ai détruit après l’avoir lu, ce monsieur vit principalement sur un petit yacht qu’il balade ente Saint-Tropez et les abords de Bordeaux suivant ses envies.
Ces temps-ci, c’est bordeaux qui a sa préférence, son yacht sort de carénage ayant entretenu sa coque et bénéficie des chantiers pour y faire quelques aménagements.
Il doit reprendre sa route dans les quelques semaines prochaines et les autorités veulent savoir si tout cet argent, que cela coute, provient de la prostitution de ces femmes.
Par chance, Justine s’est retrouvée là où elle est après que son mari, lui ait enlevé son fils pour retourner en Algérie, car il l’a surpris à le tromper avec une sœur venue d’Afrique.
Elle l’attend, nous sommes à deux doigts de céder lorsqu’elle se reprend et que nous prenions un simple café.
Justine m’a parlé de bonne nouvelle, je suis contente de l’entendre me dire.
• J’ai été contacté par la secrétaire de l’agence et je vais demain après-midi faire des photos de vêtements, pour un magazine d’outre-Rhin.
Si tu le veux, viens avec moi, nous aurons peut-être la chance de rencontrer madame Boman et tu verras si elle te propose de travailler dans l’agence.
Voilà le contact attendu, j’ignore comment est faite cette femme, mais elle navigue à un autre niveau que Justine, il va falloir que je la joue serrée.
• On me dit que vous vous appelez Martine, soyez lâ bien venue dans notre agence.
Justine a eu bien raison, de vous faire venir, aimeriez-vous faire un essai de photo, notre photographe verrait si vous prenez bien la lumière devant son objectif.
Si ça fonctionne, dès aujourd’hui je pourrai vous proposer un contrat d’exclusivité avec mon agence.
Justine a dit à ma secrétaire, vous savez comment sont les femmes dès qu’elles sont entre elles, ça cancane et nous savons la galère dont votre mari Jules, je crois, vous a laissé en vous faisant agresser sexuellement.
Voilà, je passe des robes, quatre, dans l’après-midi et pour ce travail, je touche 500 € susceptibles de me sortir du caca ou je me trouve.
• Martine, voici un contrat à remplir afin que vous soyez en phase avec l’administration.
Ils sont très tatillons et je suis là pour gérer toutes les situations qui pourraient arriver et mettre l’agence en porte-à-faux.
Dans notre milieu, il y en a d’autres que nous qui sont moins regardants et qui se retrouvent avec des problèmes allant jusqu’à la fermeture.
En plus, appelé moi Alexandra, comme toutes nos filles travaillant pour nous.
Je remplis ma fiche, j’ai bien vu les regards d’Alexandra venue regarder mes essais de photos.
Elle était même là au moment où je me changeais, son regard était celui d’un aiglon évaluant s’il avait une chance de se bouffer une couleuvre en repas ce midi.
Je pourrais attaquer dès le lendemain après avoir passé ma nuit à lire mon polard.
Excusez mademoiselle, mais sauf votre respect, Harlan est bien plus intéressant que vous Amélie, bien qu’en bonne inspectrice de police, j’aie trouvé l’énigme dès le début du livre.
• Martine, avant de refaire des photos, Luc attendra, il est payé assez grassement pour être à notre service.
Je viens de regarder votre fiche, j’ai bien votre adresse et à Beaune et à Bordeaux.
Par contre, dans les cases numéro de téléphone, elles sont restées vides, à Bordeaux c’est compréhensible, mais à Beaune, ni ligne fixe, ni portable, c’est étrange à notre époque !
Je comprends qu’il faut que je doive jouer très serré.
Si proxénétisme il y a, c’est très bien cloisonné et dans l’enveloppe avec les feuillets que j’ai appris par cœur, certains de ces renseignements avait été porté.
• Pour la ligne fixe, à Beaune, mon mari devait la faire débrancher, chacun de nous ayant un portable.
Celui-ci, je l’ai oublié volontairement en partant, je savais que mon mari risquait avec Fred le policier qui m'a violé de me retrouver en le pistant.
J’en aurais bien racheté un autre, mais hier après la séance photo c’était la première fois que j’avais assez d’argent pour aller en boutique en acheter un.
J’ai prévu d’y aller aujourd’hui et je vous donnerais le numéro dès que le vendeur me l’aura donné.
• Inutile de perdre ton temps.
Alexandra ouvre un tiroir et en sort un Ipad de la dernière génération.
• Tiens, prend celui-là, je viens de changer le mien et aussi de forfait, celui-ci se trouve encore en service sur l’ancien abonnement.
Prend ça comme une prime pour le travail que nous allons faire ensemble.
Je comprends très vite que le 06 .. lui permet de me mettre un fil à la patte, bien jouée de sa part, mais en plus je constate le tutoiement alors qu’hier avec Justine elles se vouvoyaient.
• Martine, j’ai une proposition à te faire, voudrais-tu gagner plus d’argent ?
Je me suis renseignée sur le lieu où tu es hébergée et j’ai peur que ton ex ne puisse te retrouver et te faire encore souffrir comme tu as souffert !
• Pour l’argent, je suis partante, tu me sauves de la galère ou j’étais et je suis prête à tout pour te prouver ma gratitude.
Merci de la confiance que tu me portes, tu ne seras pas déçu.
• Pour gagner plus et ainsi toucher plus, j’aimerais que tu fasses des photos plus dénudées, allant même jusqu’aux nues !
Nous avons un contrat avec une maison d’édition qui cherche de nouveaux modèles aussi belles que toi, Martine.
Pour le logement, j’ai un petit studio non loin de mon lieu d’habitation et tu pourrais t’y installer moyennant un petit loyer que je te retiendrais sur tes payes !
Bien joués, ils payent pour des photos et récupèrent une partie de cet argent en logeant le modèle.
• Oh ! que tu es gentille, pourquoi ai-je mérité tout cela, moi qui me voyais plus bas que terre, il y a encore quelques jours.
• Oui, tu as eu de la chance que Justine te voit sangloter sur ton banc dans le parc, elle m’a dit que c’est comme ça que vous vous étiez rencontrées.
Qui est l’inspecteur de police, elle ou moi, suis-je dans cette pièce fermée du commissariat de Beaune à cuisiner un prévenu devant son avocat pour démêler le faux du vrai ?
Heureusement que tout au long du voyage, j’ai appris une grande partie de ces réponses avant de détruire les feuillets dans un bois avant d’arriver à destination.
Je serais aux USA, je pourrais passer au détecteur de mensonges sans faire vibrer l’aiguille d’un yotta et ainsi gruger l’appareil.
• Magali, fonce un peu le sein de Martine avant que Luc la prenne en photo, j’avais bien vu lorsqu’elle s’est dévêtue, ses seins sont magnifiques et ils méritent d'être mis en valeur.
Les teutons vont nous acheter cette revue un max de fois lorsque cette édition va sortir.
Disant cela, j’avais raison, je suis en train de pêcher un gros poisson lorsqu’elle me soupèse l’un après l’autre mes globes mammaires.
Mais ce que je vois c’est son regard sur ma toison, là encore, stratégie, sans le sou et une toison trop entretenue, moi qui suis maniaque sur cette dernière.
C’est une forêt vierge, que je leur présente.
• Magali, est-ce que tu peux faire le tablier de Martine, j’aime les toisons fournies, mais loin de celle que présente notre amie.
Occupe-toi d’elle, inutile que mon amie, dépense un centime alors que je te paye pour que les filles soient à ma convenance.
Martine, rentre chez toi dès les photos terminées, je t’ai fait livrer une robe de soirée, si tu le veux bien je t’invite au restaurant ce soir, j’ai une autre proposition à te faire.
Bingo, va-t-elle me proposer de me prostituer dès ce soir ?
L’avenir nous le dira...
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• Toi aussi, tu aimes les polards !...
C’est la réflexion que je me fais lorsque je vois ce livre sur le guéridon près du canapé où Justine m’a fait m’assoir.
La situation a failli s’accélérer à cause d’un gros conard venu draguer celle que je convoitais, non pas pour la mettre dans mon lit.
Bien que baiser avec des femmes depuis mon enquête dans le collège de notre ville de Beaune en Côte d’Or, j’aie appris à jouer à touche pipi avec leurs chattes.
Marie donc, la proviseure ainsi que Lucie la copine de Fred à Tourcoing.
Ajouter à ce tableau de chasse Ruby autre gendarmette comme l’était Lucie et vous aurez un panel de mes amours lesbiens moi qui suis pourtant hétéro marié à Jules qui m’a fait deux beaux enfants.
Je m’appelle l’inspecteur Martine Durand avec un « D » à la fin.
Je me retrouve malgré moi suite à une soirée arrosée des deux commissaires que j’ai eus comme chef, Fred et Lupin.
À cause d’eux, je me retrouve en mission d’infiltration afin de voir si l’agence de mannequins « Les colombes enlacées, » ne cache pas un réseau de prostitution.
Il fallait une femme de mon âge pour les infiltrer, car cette agence fait travailler des femmes passées la trentaine pour des séances photos, habillées ou de nues.
Ces femmes semblent libres, de sortir avec des hommes ou des femmes comme escortes, mais les autorités craignent que certaines d’entre elles ne se fassent payer pour des prestations plus intimes.
Justine est ma porte d’entrée, mais trop insignifiante pour que je perde mon temps à la séduire.
Je risquais d’en faire une femme jalouse, s’il m’est nécessaire de rencontrer des femmes ou des hommes plus élevés dans l’organisation que je tente d’infiltrer.
L’échelon final est Olaf Borsoski créateur de cette agence et potentielle proxénète d’une partie de ces dames.
Dans mon dossier que j’ai détruit après l’avoir lu, ce monsieur vit principalement sur un petit yacht qu’il balade ente Saint-Tropez et les abords de Bordeaux suivant ses envies.
Ces temps-ci, c’est bordeaux qui a sa préférence, son yacht sort de carénage ayant entretenu sa coque et bénéficie des chantiers pour y faire quelques aménagements.
Il doit reprendre sa route dans les quelques semaines prochaines et les autorités veulent savoir si tout cet argent, que cela coute, provient de la prostitution de ces femmes.
Par chance, Justine s’est retrouvée là où elle est après que son mari, lui ait enlevé son fils pour retourner en Algérie, car il l’a surpris à le tromper avec une sœur venue d’Afrique.
Elle l’attend, nous sommes à deux doigts de céder lorsqu’elle se reprend et que nous prenions un simple café.
Justine m’a parlé de bonne nouvelle, je suis contente de l’entendre me dire.
• J’ai été contacté par la secrétaire de l’agence et je vais demain après-midi faire des photos de vêtements, pour un magazine d’outre-Rhin.
Si tu le veux, viens avec moi, nous aurons peut-être la chance de rencontrer madame Boman et tu verras si elle te propose de travailler dans l’agence.
Voilà le contact attendu, j’ignore comment est faite cette femme, mais elle navigue à un autre niveau que Justine, il va falloir que je la joue serrée.
• On me dit que vous vous appelez Martine, soyez lâ bien venue dans notre agence.
Justine a eu bien raison, de vous faire venir, aimeriez-vous faire un essai de photo, notre photographe verrait si vous prenez bien la lumière devant son objectif.
Si ça fonctionne, dès aujourd’hui je pourrai vous proposer un contrat d’exclusivité avec mon agence.
Justine a dit à ma secrétaire, vous savez comment sont les femmes dès qu’elles sont entre elles, ça cancane et nous savons la galère dont votre mari Jules, je crois, vous a laissé en vous faisant agresser sexuellement.
Voilà, je passe des robes, quatre, dans l’après-midi et pour ce travail, je touche 500 € susceptibles de me sortir du caca ou je me trouve.
• Martine, voici un contrat à remplir afin que vous soyez en phase avec l’administration.
Ils sont très tatillons et je suis là pour gérer toutes les situations qui pourraient arriver et mettre l’agence en porte-à-faux.
Dans notre milieu, il y en a d’autres que nous qui sont moins regardants et qui se retrouvent avec des problèmes allant jusqu’à la fermeture.
En plus, appelé moi Alexandra, comme toutes nos filles travaillant pour nous.
Je remplis ma fiche, j’ai bien vu les regards d’Alexandra venue regarder mes essais de photos.
Elle était même là au moment où je me changeais, son regard était celui d’un aiglon évaluant s’il avait une chance de se bouffer une couleuvre en repas ce midi.
Je pourrais attaquer dès le lendemain après avoir passé ma nuit à lire mon polard.
Excusez mademoiselle, mais sauf votre respect, Harlan est bien plus intéressant que vous Amélie, bien qu’en bonne inspectrice de police, j’aie trouvé l’énigme dès le début du livre.
• Martine, avant de refaire des photos, Luc attendra, il est payé assez grassement pour être à notre service.
Je viens de regarder votre fiche, j’ai bien votre adresse et à Beaune et à Bordeaux.
Par contre, dans les cases numéro de téléphone, elles sont restées vides, à Bordeaux c’est compréhensible, mais à Beaune, ni ligne fixe, ni portable, c’est étrange à notre époque !
Je comprends qu’il faut que je doive jouer très serré.
Si proxénétisme il y a, c’est très bien cloisonné et dans l’enveloppe avec les feuillets que j’ai appris par cœur, certains de ces renseignements avait été porté.
• Pour la ligne fixe, à Beaune, mon mari devait la faire débrancher, chacun de nous ayant un portable.
Celui-ci, je l’ai oublié volontairement en partant, je savais que mon mari risquait avec Fred le policier qui m'a violé de me retrouver en le pistant.
J’en aurais bien racheté un autre, mais hier après la séance photo c’était la première fois que j’avais assez d’argent pour aller en boutique en acheter un.
J’ai prévu d’y aller aujourd’hui et je vous donnerais le numéro dès que le vendeur me l’aura donné.
• Inutile de perdre ton temps.
Alexandra ouvre un tiroir et en sort un Ipad de la dernière génération.
• Tiens, prend celui-là, je viens de changer le mien et aussi de forfait, celui-ci se trouve encore en service sur l’ancien abonnement.
Prend ça comme une prime pour le travail que nous allons faire ensemble.
Je comprends très vite que le 06 .. lui permet de me mettre un fil à la patte, bien jouée de sa part, mais en plus je constate le tutoiement alors qu’hier avec Justine elles se vouvoyaient.
• Martine, j’ai une proposition à te faire, voudrais-tu gagner plus d’argent ?
Je me suis renseignée sur le lieu où tu es hébergée et j’ai peur que ton ex ne puisse te retrouver et te faire encore souffrir comme tu as souffert !
• Pour l’argent, je suis partante, tu me sauves de la galère ou j’étais et je suis prête à tout pour te prouver ma gratitude.
Merci de la confiance que tu me portes, tu ne seras pas déçu.
• Pour gagner plus et ainsi toucher plus, j’aimerais que tu fasses des photos plus dénudées, allant même jusqu’aux nues !
Nous avons un contrat avec une maison d’édition qui cherche de nouveaux modèles aussi belles que toi, Martine.
Pour le logement, j’ai un petit studio non loin de mon lieu d’habitation et tu pourrais t’y installer moyennant un petit loyer que je te retiendrais sur tes payes !
Bien joués, ils payent pour des photos et récupèrent une partie de cet argent en logeant le modèle.
• Oh ! que tu es gentille, pourquoi ai-je mérité tout cela, moi qui me voyais plus bas que terre, il y a encore quelques jours.
• Oui, tu as eu de la chance que Justine te voit sangloter sur ton banc dans le parc, elle m’a dit que c’est comme ça que vous vous étiez rencontrées.
Qui est l’inspecteur de police, elle ou moi, suis-je dans cette pièce fermée du commissariat de Beaune à cuisiner un prévenu devant son avocat pour démêler le faux du vrai ?
Heureusement que tout au long du voyage, j’ai appris une grande partie de ces réponses avant de détruire les feuillets dans un bois avant d’arriver à destination.
Je serais aux USA, je pourrais passer au détecteur de mensonges sans faire vibrer l’aiguille d’un yotta et ainsi gruger l’appareil.
• Magali, fonce un peu le sein de Martine avant que Luc la prenne en photo, j’avais bien vu lorsqu’elle s’est dévêtue, ses seins sont magnifiques et ils méritent d'être mis en valeur.
Les teutons vont nous acheter cette revue un max de fois lorsque cette édition va sortir.
Disant cela, j’avais raison, je suis en train de pêcher un gros poisson lorsqu’elle me soupèse l’un après l’autre mes globes mammaires.
Mais ce que je vois c’est son regard sur ma toison, là encore, stratégie, sans le sou et une toison trop entretenue, moi qui suis maniaque sur cette dernière.
C’est une forêt vierge, que je leur présente.
• Magali, est-ce que tu peux faire le tablier de Martine, j’aime les toisons fournies, mais loin de celle que présente notre amie.
Occupe-toi d’elle, inutile que mon amie, dépense un centime alors que je te paye pour que les filles soient à ma convenance.
Martine, rentre chez toi dès les photos terminées, je t’ai fait livrer une robe de soirée, si tu le veux bien je t’invite au restaurant ce soir, j’ai une autre proposition à te faire.
Bingo, va-t-elle me proposer de me prostituer dès ce soir ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Après quelques méandres que j’ai du relire on entre dans le vif du sujet et l’inspecteur donne de sa personne heureusement qu’elle s’est dévergondée dans les premiers textes. Daniel

