COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (5/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (5/10)
Vous connaissez l’inspecteur Martine Durand avec un « D » à la fin, c’est moi, l’agent infiltré dans la ville de Bordeaux.
J’étais à deux doigts de séduire Justine Trudot, la femme dont le nom et l’adresse était dans l’enveloppe et plus précisément dans les cinq feuillets que j’ai appris par coeur avant de les détruire.
« Dans cinq secondes. »
Combien de fois ai-je entendu ces mots à la télé dans ma jeunesse, lorsque avec mes parents je regardais « Mission impossible » qui finissait toujours par être possible ?
Mais par chance, elle avait perdu son fils et son mari reparti tous les deux en Algérie, car elle était tombée amoureuse de sœur Aline qui devait revenir la retrouver après avoir fini de s’occuper des pauvres Africains.
Justine employée par l’organisation comme modèle photo, mais complètement inutile pour faire progresser mon enquête.
Madame Alexandra Boman, directrice de l’agence « les colombes enlacées » est d’un autre calibre pour pouvoir approcher Olaf Borsoski, créateur de l’agence de mannequins et potentiellement proxénète de certaines de ces femmes pourtant trentenaires.
• Tu es magnifique et que penses-tu de ma tenue, suis-je à ton goût ?
• Tu m’impressionnes, il faut avoir ta taille de guêpe pour porter ce fourreau en lamé blanc !
• J’espère avoir bien choisi, je sais que tu es partie en catastrophe de Beaune sans avoir le temps de prendre beaucoup d’affaires.
Ce tailleur au-dessus du genou met en valeur tes longues jambes sur tes bas noirs.
• J’étais très sportive, c’était la seule échappatoire que j’avais pour m’éloigner de mon mari tyrannique.
• J’ai hésité sur tes chaussures, c’est pour cela qu’il y avait deux paires, les modèles ballerines et les hauts talons comme les miens, nous sommes faites pour nous entendre, tu as choisi les hauts talons noirs.
Alexandra me conduit à pied au restaurant Solenzara, 3 fourchettes au guide Michelin.
• Ma chère, j’ai une proposition à te faire, je viens de te faire passer un test de maintien, tu es parfaite pour devenir l’une de nos escortes.
Nous avons des clients hommes ou femmes, désirant être accompagné lorsqu’ils se déplacent, même à l’étranger, tu serais parfaitement parfaite pour jouer ce rôle.
Je vais te faire rire, tu manges proprement.
J’ai recalé des femmes aussi jolie que toi, certes c’est difficile côté beauté, mais qui prenait leurs doigts pour saucer le fond de leur assiette avec du pain.
Page trois, des choses à apprendre par cœur, « si invitation au restaurant, avoir un parfait maintien et surtout éviter de manger avec ses doigts. »
Je comprends pourquoi j’ai été choisi, je coche parfaitement cette case, sur le maintien au restaurant.
• Martine, si tu acceptes de sortir avec nos clients, tu vas te retrouver certaines fois avec des propositions que certains diraient malhonnêtes, mais qui sont normales entre un homme et une femme !
Surtout si tu as chauffé la place en allant en boîte avec lui ou elle.
Certains te proposeront de l’argent pour coucher avec toi.
En aucun cas, l’agence ne peut être comptable de ces transactions, ça te regardera personnellement nous nous en lavons complètement les mains.
Mince, loupé, si une fille accepte de l’argent de ses clients pour coucher, c’est une pute, mais l’agence et Olaf ne pourra pas être considérée comme un proxo.
Ils ne sont pas tout le temps dans les chambres si les filles baisent.
• Martine, je t’ai aussi invité, pour autre chose.
En me disant ces mots, Alexandra se penche vers moi pour me prendre la main posée sur la table.
Ce faisant, ses seins, reposés dans le boléro de sa robe fourreau, m’apparaissent presque complètement, au moins leur moitié supérieure.
Ses pointes sont parfaitement visibles, deux petites bites au repos.
Quesque cela doit être lorsqu’ils bandent, on aurait envie de les faire entrer dans sa chatte pour se caresser le clito, je suis presque sûr qu’ils arriveraient à me faire atteindre l’orgasme.
• Je sais Alexandra, tu aimerais que je vienne dans ton lit, je l’ai vu dès le premier regard que tu as porté sur moi et que dire lorsque tu supervisais mes photos de nues !
• Je suis si prévisible que ça ou est-ce ta vie d’avant qui t’a appris à détecter ce genre de situation ?
Lorsque l’on est en immersion, tous les mots et la façon de dire les choses ont de l’importance, il faut savoir ou ne pas aller trop loin et ainsi être démasqué.
Alexandra sait-elle ce que je fais et que j’essaye donc de m’infiltrer dans leurs jeux malsains ?
• Non, je suis bi-sexuelle et je sais voir lorsqu’une femme a envie de moi !
La pression sur ma main me rassure, elle devait parler simplement de sexualité.
• Partons, j’ai hâte de pouvoir te prendre dans mes bras !
• Et si nous nous embrassions devant tous ces gens et merde, on est au vingt et unième siècle à ce que je crois !
• Tu as raison, mais j’ai beaucoup de connaissances dans cette ville, grâce à mon travail et il faut que je préserve un certain mystère sur ce que je suis.
Allons chez toi, je vais te faire voir si les bites masculines, tu les aimes autant après m’avoir pris dans tes bras.
Nous sommes venues côte à côte, ma mission avance, nous repartons main dans la main rigolant au moindre mot de l’une ou de l’autre, il faut dire que la bouteille de bordeaux que nous avons asséché, nous y aide grandement.
Dans une rue un peu plus sombre, seules quelques lumières de fenêtres d’immeubles sont éclairées, nous nous arrêtons, nous nous regardons et pour la première fois nous nous embrassons.
Nos poitrines se trouvent et moi je pense que ma mission prend une tournure sous sa meilleure augure, je vais peut-être avoir des résultats plus rapidement que je l’avais espéré.
• Chez toi, chez moi c’est en désordre !
Chez moi, porte refermée, Alexandra me prend la tête et nos langues déjà trouvées dans une rue adjacente se retrouvent avec un immense plaisir.
Je prends conscience que j’aime les langues des filles dans ma bouche presque plus que celle des hommes.
Ses mains se portent sur mes seins, je ne veux pas rester en reste, les miennes passent sous sa robe, j’ai du mal à la remonter son fourreau étant si bien ajusté.
Comme je l’avais pressentie sa chatte se trouve libre de toute entrave, même pas le moindre string, la ficelle permettant d’éviter le trait disgracieux à sa hauteur vue l’étroitesse de la robe.
Je pressentais qu’elle mouillait, sans être les eaux de Versailles, sa cyprine colle à mes doigts lorsque j’y fais entrer deux d’entre eux.
C’est à mon chemisier que de son côté, Alexandra décide de s’attaquer avant que je libère ma jupe tombant au sol.
Tant bien que mal, nous longeons le petit couloir pour nous retrouver dans ma chambre.
Les deux salopes que nous sommes, privilégient leur plaisir au couvre lit sur lequel nous roulons.
Combien ai-je de mains ou combien en a-t-elle ?
Ce qui est sûr, c’est qu’à tout moment l’une ou l’autre des siennes ou des miennes caresse, malaxe, qui un sein, qui une chatte.
Nos langues sont loin de rester inactives, elles sont même à la recherche d’un coin ou d’une zone érogène leur permettant de donner un max de plaisir à l’autre.
Tel le furet dans la chanson, la mienne est passée par là, trouvant son nombril ou subrepticement elle s’insinue.
Elle repassera par là, la sienne me lèche le cou me faisant frissonner, je suis très sensible lorsque je sens le souffle chaud d’une haleine dans mon cou.
Elles vont au bois joli lorsque tête tête-bêche, elles s’insinuent dans nos chattes ruisselantes de plaisir.
Ce qu’il y a de bien dans cette comptine, c’est que les paroles sont reprises en boucle comme nos langues quittant un coin de nos corps pour en retrouver un autre.
Même des autres lorsque ses mains pressent mes seins simultanément.
Nos seins, les siens et les miens, combien d’amants ou d’amantes savent s’occuper de mes seins comme Alexandra c’est le faire ?
Peut-être Marie, la proviseure du lycée celle qui dans mes dires m’a prêté sa voiture pour que je m’échappe de la tyrannie de mon mari.
Le pauvre Jules, bon mari, moyen amant, mais un cœur en or toujours prêt a m’apporter son soutien.
Combien de fois l’ai-je appelée depuis que je dirige des enquêtes pour lui dire que je rentrerais tard.
Heureusement, j’ai été un peu contraint d’accepté cette opération d’infiltration contrainte et un peu forcée par deux alcoolos ayant envoyé ma candidature sans mon propre avis.
Mais lorsque je vis ces moments de liberté sexuelle avec l’une de celles étant mon objectif afin de viser Olaf le vrai proxo, si proxo il y a.
Un moment ou après deux ou trois orgasmes pour moi et certainement autant pour ma partenaire il faut savoir dire pouce et reprendre son souffle.
• Tu as vu ton lit, nous l’avons ravagé, tu n’auras qu’à me donner tes draps et surtout le couvre-lit, je dirais à Marita de les mettre en machine et de les repasser.
• Tu as une femme de ménage !
• Oui, l’agence me pose trop de problèmes dans tous ce que j’ai à gérer et je dois reconnaitre que je fais une piètre femme d’intérieure.
• C’est pour ça que tu es célibataire !
• Je penserais plutôt t’avoir prouvé mon intérêt pour les chattes de femmes comme toi, que pour les bites de ces messieurs.
Tout en parlant, je lui caresse le corps, recherchant des bribes de ce plaisir que nous avons pris ensemble.
• Dis-moi, tu as eu un accident, je sens une petite boursoufflure au haut de ta fesse ?
• Non, ma chérie, c’est une tache de naissance on dirait une petite brûlure, c’est de famille, j’en ai une, maman en avait une et ma grand-mère avait la même.
On ignore si dans la génération précédente, elle était là aussi, certains disent que c’est des marques du diable du temps où les gens croyaient en la sorcellerie.
D’autres disent que c’est la marque des rois qui marquaient leurs putains en les brûlant au fer rouge.
• On dirait deux colombes enlacées, es-tu une putain ?...
Nous voilà à la moitié du chemin des décisions que Martine va prendre, gageons qu’elle saura faire le bon choix.
J’étais à deux doigts de séduire Justine Trudot, la femme dont le nom et l’adresse était dans l’enveloppe et plus précisément dans les cinq feuillets que j’ai appris par coeur avant de les détruire.
« Dans cinq secondes. »
Combien de fois ai-je entendu ces mots à la télé dans ma jeunesse, lorsque avec mes parents je regardais « Mission impossible » qui finissait toujours par être possible ?
Mais par chance, elle avait perdu son fils et son mari reparti tous les deux en Algérie, car elle était tombée amoureuse de sœur Aline qui devait revenir la retrouver après avoir fini de s’occuper des pauvres Africains.
Justine employée par l’organisation comme modèle photo, mais complètement inutile pour faire progresser mon enquête.
Madame Alexandra Boman, directrice de l’agence « les colombes enlacées » est d’un autre calibre pour pouvoir approcher Olaf Borsoski, créateur de l’agence de mannequins et potentiellement proxénète de certaines de ces femmes pourtant trentenaires.
• Tu es magnifique et que penses-tu de ma tenue, suis-je à ton goût ?
• Tu m’impressionnes, il faut avoir ta taille de guêpe pour porter ce fourreau en lamé blanc !
• J’espère avoir bien choisi, je sais que tu es partie en catastrophe de Beaune sans avoir le temps de prendre beaucoup d’affaires.
Ce tailleur au-dessus du genou met en valeur tes longues jambes sur tes bas noirs.
• J’étais très sportive, c’était la seule échappatoire que j’avais pour m’éloigner de mon mari tyrannique.
• J’ai hésité sur tes chaussures, c’est pour cela qu’il y avait deux paires, les modèles ballerines et les hauts talons comme les miens, nous sommes faites pour nous entendre, tu as choisi les hauts talons noirs.
Alexandra me conduit à pied au restaurant Solenzara, 3 fourchettes au guide Michelin.
• Ma chère, j’ai une proposition à te faire, je viens de te faire passer un test de maintien, tu es parfaite pour devenir l’une de nos escortes.
Nous avons des clients hommes ou femmes, désirant être accompagné lorsqu’ils se déplacent, même à l’étranger, tu serais parfaitement parfaite pour jouer ce rôle.
Je vais te faire rire, tu manges proprement.
J’ai recalé des femmes aussi jolie que toi, certes c’est difficile côté beauté, mais qui prenait leurs doigts pour saucer le fond de leur assiette avec du pain.
Page trois, des choses à apprendre par cœur, « si invitation au restaurant, avoir un parfait maintien et surtout éviter de manger avec ses doigts. »
Je comprends pourquoi j’ai été choisi, je coche parfaitement cette case, sur le maintien au restaurant.
• Martine, si tu acceptes de sortir avec nos clients, tu vas te retrouver certaines fois avec des propositions que certains diraient malhonnêtes, mais qui sont normales entre un homme et une femme !
Surtout si tu as chauffé la place en allant en boîte avec lui ou elle.
Certains te proposeront de l’argent pour coucher avec toi.
En aucun cas, l’agence ne peut être comptable de ces transactions, ça te regardera personnellement nous nous en lavons complètement les mains.
Mince, loupé, si une fille accepte de l’argent de ses clients pour coucher, c’est une pute, mais l’agence et Olaf ne pourra pas être considérée comme un proxo.
Ils ne sont pas tout le temps dans les chambres si les filles baisent.
• Martine, je t’ai aussi invité, pour autre chose.
En me disant ces mots, Alexandra se penche vers moi pour me prendre la main posée sur la table.
Ce faisant, ses seins, reposés dans le boléro de sa robe fourreau, m’apparaissent presque complètement, au moins leur moitié supérieure.
Ses pointes sont parfaitement visibles, deux petites bites au repos.
Quesque cela doit être lorsqu’ils bandent, on aurait envie de les faire entrer dans sa chatte pour se caresser le clito, je suis presque sûr qu’ils arriveraient à me faire atteindre l’orgasme.
• Je sais Alexandra, tu aimerais que je vienne dans ton lit, je l’ai vu dès le premier regard que tu as porté sur moi et que dire lorsque tu supervisais mes photos de nues !
• Je suis si prévisible que ça ou est-ce ta vie d’avant qui t’a appris à détecter ce genre de situation ?
Lorsque l’on est en immersion, tous les mots et la façon de dire les choses ont de l’importance, il faut savoir ou ne pas aller trop loin et ainsi être démasqué.
Alexandra sait-elle ce que je fais et que j’essaye donc de m’infiltrer dans leurs jeux malsains ?
• Non, je suis bi-sexuelle et je sais voir lorsqu’une femme a envie de moi !
La pression sur ma main me rassure, elle devait parler simplement de sexualité.
• Partons, j’ai hâte de pouvoir te prendre dans mes bras !
• Et si nous nous embrassions devant tous ces gens et merde, on est au vingt et unième siècle à ce que je crois !
• Tu as raison, mais j’ai beaucoup de connaissances dans cette ville, grâce à mon travail et il faut que je préserve un certain mystère sur ce que je suis.
Allons chez toi, je vais te faire voir si les bites masculines, tu les aimes autant après m’avoir pris dans tes bras.
Nous sommes venues côte à côte, ma mission avance, nous repartons main dans la main rigolant au moindre mot de l’une ou de l’autre, il faut dire que la bouteille de bordeaux que nous avons asséché, nous y aide grandement.
Dans une rue un peu plus sombre, seules quelques lumières de fenêtres d’immeubles sont éclairées, nous nous arrêtons, nous nous regardons et pour la première fois nous nous embrassons.
Nos poitrines se trouvent et moi je pense que ma mission prend une tournure sous sa meilleure augure, je vais peut-être avoir des résultats plus rapidement que je l’avais espéré.
• Chez toi, chez moi c’est en désordre !
Chez moi, porte refermée, Alexandra me prend la tête et nos langues déjà trouvées dans une rue adjacente se retrouvent avec un immense plaisir.
Je prends conscience que j’aime les langues des filles dans ma bouche presque plus que celle des hommes.
Ses mains se portent sur mes seins, je ne veux pas rester en reste, les miennes passent sous sa robe, j’ai du mal à la remonter son fourreau étant si bien ajusté.
Comme je l’avais pressentie sa chatte se trouve libre de toute entrave, même pas le moindre string, la ficelle permettant d’éviter le trait disgracieux à sa hauteur vue l’étroitesse de la robe.
Je pressentais qu’elle mouillait, sans être les eaux de Versailles, sa cyprine colle à mes doigts lorsque j’y fais entrer deux d’entre eux.
C’est à mon chemisier que de son côté, Alexandra décide de s’attaquer avant que je libère ma jupe tombant au sol.
Tant bien que mal, nous longeons le petit couloir pour nous retrouver dans ma chambre.
Les deux salopes que nous sommes, privilégient leur plaisir au couvre lit sur lequel nous roulons.
Combien ai-je de mains ou combien en a-t-elle ?
Ce qui est sûr, c’est qu’à tout moment l’une ou l’autre des siennes ou des miennes caresse, malaxe, qui un sein, qui une chatte.
Nos langues sont loin de rester inactives, elles sont même à la recherche d’un coin ou d’une zone érogène leur permettant de donner un max de plaisir à l’autre.
Tel le furet dans la chanson, la mienne est passée par là, trouvant son nombril ou subrepticement elle s’insinue.
Elle repassera par là, la sienne me lèche le cou me faisant frissonner, je suis très sensible lorsque je sens le souffle chaud d’une haleine dans mon cou.
Elles vont au bois joli lorsque tête tête-bêche, elles s’insinuent dans nos chattes ruisselantes de plaisir.
Ce qu’il y a de bien dans cette comptine, c’est que les paroles sont reprises en boucle comme nos langues quittant un coin de nos corps pour en retrouver un autre.
Même des autres lorsque ses mains pressent mes seins simultanément.
Nos seins, les siens et les miens, combien d’amants ou d’amantes savent s’occuper de mes seins comme Alexandra c’est le faire ?
Peut-être Marie, la proviseure du lycée celle qui dans mes dires m’a prêté sa voiture pour que je m’échappe de la tyrannie de mon mari.
Le pauvre Jules, bon mari, moyen amant, mais un cœur en or toujours prêt a m’apporter son soutien.
Combien de fois l’ai-je appelée depuis que je dirige des enquêtes pour lui dire que je rentrerais tard.
Heureusement, j’ai été un peu contraint d’accepté cette opération d’infiltration contrainte et un peu forcée par deux alcoolos ayant envoyé ma candidature sans mon propre avis.
Mais lorsque je vis ces moments de liberté sexuelle avec l’une de celles étant mon objectif afin de viser Olaf le vrai proxo, si proxo il y a.
Un moment ou après deux ou trois orgasmes pour moi et certainement autant pour ma partenaire il faut savoir dire pouce et reprendre son souffle.
• Tu as vu ton lit, nous l’avons ravagé, tu n’auras qu’à me donner tes draps et surtout le couvre-lit, je dirais à Marita de les mettre en machine et de les repasser.
• Tu as une femme de ménage !
• Oui, l’agence me pose trop de problèmes dans tous ce que j’ai à gérer et je dois reconnaitre que je fais une piètre femme d’intérieure.
• C’est pour ça que tu es célibataire !
• Je penserais plutôt t’avoir prouvé mon intérêt pour les chattes de femmes comme toi, que pour les bites de ces messieurs.
Tout en parlant, je lui caresse le corps, recherchant des bribes de ce plaisir que nous avons pris ensemble.
• Dis-moi, tu as eu un accident, je sens une petite boursoufflure au haut de ta fesse ?
• Non, ma chérie, c’est une tache de naissance on dirait une petite brûlure, c’est de famille, j’en ai une, maman en avait une et ma grand-mère avait la même.
On ignore si dans la génération précédente, elle était là aussi, certains disent que c’est des marques du diable du temps où les gens croyaient en la sorcellerie.
D’autres disent que c’est la marque des rois qui marquaient leurs putains en les brûlant au fer rouge.
• On dirait deux colombes enlacées, es-tu une putain ?...
Nous voilà à la moitié du chemin des décisions que Martine va prendre, gageons qu’elle saura faire le bon choix.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et oui ça ce précise, mais...
Et bien on approche plaisirs saphiques en mission quoi de mieux pour donner bonne morale à l’inspecteur
Daniel
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Daniel
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