COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (6/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (6/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (6/10)
• Évitez de vous retourner, continué à lire votre livre, j’ai vu en m’assayant que c’était un polar.
Comment se passe votre enquête, avez-vous avancé, avez-vous réussi à prendre contact, êtes-vous prête à les infiltrer ?
On a vu que vous avez quitté le logement mis à votre disposition, vous vous êtes rapproché d’Alexandra Borman, puisque vous avez emménagé dans son immeuble !
Pensez-vous pouvoir coincer Olaf Borsoski, comme il vous était stipulé dans les feuillets que j’avais établi afin que vous puissiez démarrer votre enquête dans les meilleures conditions possibles.

Vous me connaissez l’inspecteur Martine Durand avec un « D » à la fin, c’est moi, l’agent infiltré dans la ville de Bordeaux.
Justement dans les feuillets, il était prévu des rendez-vous, le premier aujourd’hui, le deuxième dans sept jours, non huit car pour noyer les pistes et ne pas donner l’impression que ces rendez-vous sont fixés à l’avance.
Chaque fois, à compter de ce jour, c’est le lendemain que je devrais revenir dans ce parc non loin de l’agence et des lieux où nous habitons.
Je parle en surveillant que personne ne puisse entendre, certains diront que je lis en parlant dans ma barbe.
Mon contact qui m’a rejoint en a une, mais je suis là pour faire mon rapport le plus vite possible et partir avant lui qui lit son journal les jambes croisées comme le fait de nombreux hommes dans ces parcs.

• J’ai réussi à aborder Justine Trudot, elle m’a permis de prendre contact avec Alexandra.
• Je vois que vous l’appelé déjà par son petit nom, c’est bien ça me confirme que le contact est pris à ce niveau !
• Quel moyen je trouve pour y arriver, c’est de mon seul ressort.
J’ai laissé tomber cette fille, très sympa au demeurant, car j’ai très vite vu que c’était du menu frottin et qu’à part Alexandra elle ne me mènerait à rien.
Alexandra, c’est du lourd, elle tient la porte d’entrée dans ce monde glauque que nous cherchons à découvrir.
• Parfais, je contact Paris et notre ministre pour lui dire que les choses avancent.
À dans huit jours, je vais faire savoir que je suis très satisfait de vous.

Son nom, le saurais-je jamais, il part, je lis encore un chapitre et à mon tour je prends le chemin de mon logement en attendant la venue d’Alexandra qui semble amoureuse de moi.
Pour ma part, je l’aime bien, mais je sais que je ne dois pas m’attacher si je veux faire avancer les choses.

• Martine, viens avec moi regarder dans mon dressing, ma garde-robe, nous avons l’avantage d’avoir les mêmes mesures, jusqu’aux chaussures, ce soir je vais être verte de jalousie, tu vas faire ta première escorte.
1 000 € plus resto, je pense qu’il y a pire comme travail.
Je te demande simplement une chose, cet homme risque de te proposer de l’argent pour coucher avec toi.
Tant que l’agence n’est pas mise en avant et de tomber dans le proxénétisme, tu peux faire ce que tu veux !
Mais j’aimerais que tu refuses de coucher pour du fric avec ce type.
Si tu en as besoin, demande moi, je suis prête à te payer pour continuer nos moments de plaisir ensemble.

Ces mots d’un côté me rassurent, elle semble bien accrochée, mais il faut que je fasse très attention que cette belle femme au demeurant ne me bloque pas pour pouvoir rencontrer Olaf Borsoski.
C’est au pied de l’immeuble où nous habitons avec Alexandra que cet homme d’une cinquantaine d’années vient me chercher.
Ça voiture de marque allemande est silencieuse, certainement électrique, premier étage me montrant qu’il semble avoir pas mal de tune, combien coûte-t-elle ?
50, 60 000 €, voire plus surtout que l’intérieur est tout en cuir rouge même les portières.
Il me fait un baisemain et m’ouvre ma portière.
La robe blanche que j’ai empruntée à Alexandra sur son conseil, j’hésitais entre cette blanche et justement une rouge.
Heureusement que notre choix s’est porté sur celle-là, j’aurais été ton sur ton avec des nuances mal adaptées avec l’intérieur de la voiture.
Elle est fendue sur le côté et le pan glisse découvrant ma jambe sportive, mais tout de même ciselé presque jusqu’à ma chatte.
Il se penche pour la remettre à sa place effleurant seulement ma jambe, ce qui me chauffe le vagin.
J’avais gardé ma petite culotte pour faire un essai entre une robe rouge comme je l’ai expliqué et cette blanche.
J’avais flaché sur la blanche et Alexandra a tenu que je sors nue sans sous-vêtements, il est vrai que l’élastique laissait une légère trace, légèrement disgracieuse.
Elle m’avait fait comprendre sa légère jalousie en me parlant de sauterie éventuelle, mais sans être pute, c’est en femme fatale qu’elle me transforme allant même jusqu’à me maquiller.
Il est vrai que Martine l’inspecteur de police est très peu porter sur la féminité en temps normal.
Même le jour de mon mariage encore jeune et fraiche comme un bouton de rose, j’ai eu du mal à me reconnaitre en me regardant dans une glace.
Les femmes modernes jouent au padel, moi je suis plutôt rugby et plaquage au sol des délinquants voulant m’échapper.
Jouer au gendarme et au voleur surtout dans les vignes, c’est plutôt ma tasse de thé.
Et que dire de mes jeans, mes baskets et ma chemise genre bucheron.
Bref lorsque je me regarde dans la glace, je me suis trouvée bandante.
Alexandra voulait me prêter un collier en diamant avec les boucles d’oreilles et un bracelet assortis.
J’ai tenu à la sobriété, je porte un bracelet de charme Pandora qui me donne un air de simplicité.
J’arrive à emporter la décision, seul ce bracelet viendra avec moi à mon rendez-vous.

• Vous a-t-on prévenu que nous allons au dîner des Orthodontistes au Palais des Congrès de la ville ?
Soyez sans crainte, ce soir, c’est le repas de clôture avec repas et bal.
Pendant trois jours, ils nous ont projeté des films et des photos sur des bouches dégueulassent, voire répugnante.
Un peu de beauté, comme la vôtre, dans ce monde rempli de bruts est loin de me déplaire, je vais faire des jaloux toute la soirée.
Je m’appelle Karl, mon père était allemand et maman de Bourg-en-Bresse.
J’ai mon cabinet près de Pontarlier et j’ai une grosse clientèle suisse.
Je suis célibataire et c’est pour cela que vous êtes là, j’ai dit que ce soir une amie serait avec moi, vous aurez à jouer ce rôle.
Je sais que vous vous appelez Martine, prénom un peu ancien, mais que je trouve charmant.

J’échappe à Martine des bouquins pour enfants, certes petite, j’en faisais la collection, ils doivent être dans le grenier de notre maison de Beaune.
Tient après ma mission, il faudrait que je les retrouve pour les donner à Charlotte.
C’est vrai dans cette mission j’ai fui Jules mon mari tyrannique et j’ai la chance d’être sans enfant.
Il faut que je pense mon personnage, autour de notre table, des oreilles indiscrètes pourraient m’entendre.

Repas sympa, un gros voisin de notre table où nous sommes huit, dont deux femmes, mais moi je suis la seule à n’être pas dans le métier.
Tous les autres, même elle, sont Orthodontiste.
Georgina qui me fait face est aimable comme une porte cochère, j’ignore pourquoi une porte cochère pourrait l’être.
Le gros à côté de moi, à tout bout de champ me prend la main, la sienne est adipeuse.
Je remercie le ciel que ce soit Karl qui me paye pour être sa compagne de soirée.
Si ça avait été cette espèce de masse gélatineuse, je crois bien que j’aurais balancé les 1 000 € et j’aurais même payé mon taxi pour retrouver Alexandra et que ce soit elle qui me paye.
L’orchestre se met en place et commence à chauffer leurs instruments.
Lorsque je parle d’instruments, je devrais ajouter « de musique » bien que Robert, le nom du gros, serait prêt à me sortir son petit asticot caché dans son pantalon.

• Martine, dansez-vous cette valse !
• Oui, mais avec mon ami Karl, s’il sait danser.

Le gros remballe sa main qu’il me tendait et je saisis celle de mon propriétaire pour cette soirée.
Merveilleux valseur suivi d’un slow, je sens que le mammouth est près de retenter sa chance et c’est moi qui me coule dans les bras de mon cavalier.
Mieux ma chatte vient directement au contact de sa verge, je me rends compte qu’il fait un effort surhumain pour éviter qu’elle ne se développe.
La soirée s’avance, mon gros a porté son dévolu sur Georgina, son propre voisin étant parti après avoir dit qu’il était belge et qu’il avait beaucoup de routes à faire dès le matin.
Le peu de temps où nous prenons le dessert avec du champagne, Georgina soupirait, encore une qui va lui échapper, pépère en rentrant pourra se farcir une pignole en solitaire.

• Martine, tu as vu, plutôt senti que tu ne m’es pas insensible, combien ça me couterait pour t’emmener à mon hôtel, je sais que ce sont des pratiques se pratiquant dans votre milieu.

Je deviens folle, je le sers contre moi, il bande et il est vrai que j’apprécie les chattes, mais une bonne bite de temps en temps, même si je dois passer pour une pute, pourquoi dire non.

• Combien as-tu, en liquide, il va de soi, les chèques à ton nom et ton adresse, je veux éviter de les connaître.

Il m’a dit venir de Bourg-en-Bresse dans l’Ain.
Au bas mot, à combien de kilomètres suis-je en temps normal, cinquante, soixante, je me garde bien de lui dire.

• 1 800 €, mais je peux m’arrêter à un distributeur !
• 1 800, c’est parfait, conduit-nous à ta chambre.

Pour la première fois, je le tutoie, sa verge prenant de l’ampleur maintenant que la transaction verbale a eu lieu et que je viens de me vendre comme une vulgaire pute. Bien qu’il faudra me dire combien vont toucher 1 800 € pour écarter leur cuisse dans ce début de nuit.
Ça paye d’être pute.
L’hôtel, non loi du Palais, c’est sa main glissée dans la fente de ma robe qu’il me fait mouiller ses sièges heureusement en cuir.
Je ses que je vais vivre une expérience hors du commun.
Et si Fred et Lupin dans leur beuverie me montraient le chemin à suivre...

Les avis des lecteurs

Daniel comme tu le dis souvent, je pense qu'elle va encore nous surprendre...

Histoire Erotique
Martine va donner de sa personne c’est pour la bonne cause, sa mission mais aussi parce qu'elle en a envie peut être même besoin on attend le prochain chapitre. Daniel



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (6/10)
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