COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (7/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (7/10)
Je sais que je vais vivre une expérience hors du commun.
Et si Fred et Lupin dans leur beuverie me montraient le chemin à suivre en m’ayant porté volontaire pour venir ici à Bordeaux
C’est la réflexion que je me fais.
Certes j’ai accepté de m’infiltrer dans un réseau susceptible de déboucher sur de la prostitution, mais c’est au pied du mur que l’on voit le maçon.
Je suis à la limite de basculer dans ce milieu sans savoir ou je vais vraiment.
Y aura-t-il un retour à ma vie d’avant avec Jules mon mari.
Je n’ose même pas penser à mes parents et mes enfants, comme Juda, chaque fois que je suis en enfants, je les renie un tout petit peu chaque fois.
Que je le veuille ou non lorsque Karl après m’avoir fait rentrer dans sa chambre, va vers un petit coffre et qu’il l’ouvre, il contribue à ma réflexion.
Lorsqu’il en sort une liasse de billets que je prends en main avant de les ranger dans le petit baise en ville qu’Alexandra m’a prêté en même temps que la robe et mes chaussures.
Je m’enfonce un peu plus dans cette partie sombre de mon cerveau.
Je sens que Martine inspecteur de police s’éloigne un peu plus de moi pour faire place à Martine la pute se faisant payer pour baiser avec un client, même s’il est mignon et sympathique.
• Comment fait-on ?
• C’est à toi de me le dire, c’est toi le client, qu’est-ce que tu aimes, je suis entièrement à toi, tu viens de payer pour m’avoir !
• C’est la première fois, à ce jour, j’ai toujours dragué les filles, mais surtout les femmes que j’ai emmenées dans ma chambre.
• Je comprends, alors fait moi confiance, je vais faire comme je sais faire.
Je dois prendre les choses en mains, car sinon d’ici demain matin, nous en serons toujours au même point.
Quelle différence entre mes amants et mon client, heureusement que je les ai eues avant ce soir, lorsque je lui enlève sa veste et que je desserre sa cravate.
Je déboutonne sa chemise tout en m’asseyant sur le lit et en l’attirant vers moi.
Ma tête, mais surtout ma bouche se trouvant à bonne hauteur.
Sa ceinture avec une boucle de bonne facture se détache facilement me permettant de descendre pantalon et slip d’un coup.
Combien de femmes ont la possibilité de comparer la grosseur de différentes bites.
Je sais que Lupin en a une petite, même si lui elle m’est encore inconnue visuellement.
Je crois sur parole ce qu’il se racontait dans notre commissariat.
Ce qui est sûr, c’est que Fred est bien monté que Robert est normal et que Jules étant mon mari, j’évite de comparer.
Karl est dans la normale, pour preuve, je la prends en main, c’est facile, il bande déjà et lorsque j’avance ma bouche, c’est sans le moindre effort, que mes lèvres la cernent.
• Tu es déçu, tu as dû en voir de plus grosse, c’est là mon principal souci depuis que je suis entré dans les douches d’un vestiaire d’un club de foot.
Ma bouche libère sa verge, maman m’a toujours appris de ne pas parler la bouche pleine.
• Tu avais quel âge ?
• Huit ou neuf ans.
• Et depuis tu fais un complexe, il est vrai que comme escorte j’en ai vu quelques-unes, pas de très nombreuses tout de même et tu devais être en début de puberté.
Maintenant que tu es adulte, tout s’est mis en place et je peux t’assurer que tu es dans la moyenne haute des hommes français.
Tu serais africain, tu serais certes dans la moyenne basse, mais ce sont des Africains.
Je me la pète un peu, fantasme certainement des bites noires, alors que je n’en ai vu aucune de ce genre surtout la couleur.
Ma bouche recommence à l’aspirer, mes mains à le branler, lui à bander de plus bel.
• Attends, je vais mettre un préservatif, je te fais confiance, mais j’ignore depuis combien de temps ton dernier client t’a baisé et si tu t’étais protégé !
Une nouvelle fois je recule ma bouche, maman insiste afin que j’évite de parler la bouche pleine.
• J’en ai autant à ton service, depuis le début de ton congrès tu as pu séduire Georgina, l’orthodontiste qui était à notre table, certes, elle était peu bandante, mais c’est peut-être un bon coup !
• Tu me suces divinement Martine.
Je dois être franc, le premier jour, l’organisateur la société qui fabrique des bagues pour mettre sur les attaches, derniers modèles, était assis à mes côtés.
J’ai vu que je l’intéressais, mais j’ai une règle première depuis que j’ai commencé mes études, ne plus jamais aller avec une femme ayant la même profession que la mienne.
Je me suis marié lorsque je faisais mes études à Lyon, avec Véronique une autre étudiante.
Rapidement notre principal sujet de discussion, c’était les bouches et les dents au point qu’elle en oubliait ma bite.
• Alors tu as divorcé et depuis tu préfères te payer une pute que la chatte d’une de tes collègues !
• Oui et j’ai bien choisi, enlève ta robe, elle est blanche inutile, qu’il y ait des traces de sperme lorsque nous aurons terminé.
• Je l’enlève, avant bouffe moi la chatte à moins que tu aies peur que tes lèvres ne te fassent attraper une maladie.
Si c’est le cas, j’écarte les cuisses ou je me mets en levrette et tu décharges dans ta capote et dans moins de dix minutes je rentre chez moi, mon sac alourdi de 1 800 €.
• Non, j’adore faire jouir les filles avec ma langue, mais après je te prendrais en levrette, je fantasme de le faire chaque fois que je suis avec une nouvelle fille.
Aussitôt dit aussitôt fait, je me relève, il descend la fermeture dans mon dos, libère mes seins des balconnets qui les soutiennent et sa langue vient aspirer le premier qui est à sa portée.
Ça me chauffe l’entre jambe, surtout qu’il sait faire durer le plaisir, il est moins bourrin que Fred et aussi patient que Robert avec qui j’ai une liaison chaque fois que nous sommes disponibles l’un pour l’autre.
Je retombe sur le dos, comme je l’ai fait avec tous mes amants et amantes et sa bouche vient caresser mon bouton.
C’est rare, qu’il soit sorti de son repère comme il l’est aujourd’hui, un clito de pute serait-il différent qu’un clito de femme respectable ou c’est moi qui fais un cinéma dans ma tête.
J’approche, le plaisir que j’ai avec Marie, le proviseur susceptible de m’avoir prêté la voiture m’ayant amené sur les lieux ou je dois m’infiltrer.
Alexandra est plus près de Fred, un peu brusque avec eux, mais un brin de rudesse, c’est loin de me déplaire.
Attention pas au point de Solange, la femme étranglée dans cette chambre avec des glaces partout.
Il est temps de faire de moi, à cent pour cent une pute en me mettant à quatre pattes et de tirer sur la cravate de Karl pour qu’il fasse définitivement de moi sa pute.
C’est presque avec soulagement que j’entends le bruit de l’élastique qu’il se place sur sa bite, tellement je mouille de franchir définitivement la barrière entre la femme flic et la pute qu’il me fait devenir.
Je constate que l’on est autant pute que femme du monde, lorsqu’il remplit sa capote et que je m’écroule après le deuxième orgasme me rapportant plein de beaux billets.
Je dis bien deuxième, car sa langue l’ayant trouvé, j’ai eu mon premier orgasme en tant que pute, j’ignore si c’est bien, mais lorsque je le quitte, Karl est satisfait de ma prestation.
Il fait appel un taxi et c’est très rapidement que je me retrouve devant chez nous Alexandra et moi.
Je dis chez nous, car lorsque je rentre dans ma chambre, elle est là, nue sur mon lit.
Je vois rapidement qu’elle est en colère et c’est très naturellement que j’en prends une dans ma figure.
• Ou étais-tu, as-tu vu l’heure plus de cinq heures du matin !
Essaye de me faire croire que le repas s’ait poursuivi et que tu as dansé toute la nuit avec le mec qui t’a payé pour t’accompagner.
Une deuxième baffe, m’arrive sur le coin du nez.
• À deux heures, j’ai appelé le Palais des congrès, une employée m’a dit qu’ils étaient en train de tout ranger, les derniers hommes sans femmes venaient de partir après un dernier verre.
Tu es une pute, je t’avais pourtant interdit d’aller te faire baiser par un homme, donne-moi ton sac, tient, j’ai raison ma pauvre fille ton cul vaut seulement 1 800 €.
Je te l’ai dit, tu me demandais du fric je te l’aurais donné, bien plus que le minable qui t’a payé cette somme dérisoire pour avoir ton cul.
Va te laver, tu sens le mâle en rut à plein nez, ma robe, elle est bonne pour la poubelle, ainsi que mon sac et tes chaussures
Dans sa colère, elle m’arrache ma robe et mon sac et les jette à l’autre bout de la chambre.
C’est là que j’explose.
• Mais tu me fais chier, je suis libre de ma vie et de ma chatte, ce n’est pas car tu es une pauvre frustrée que je devrais l’être aussi.
Et là, la colère en moi étant à son paroxysme, je lui envoie une mandale qui l’envoie rejoindre ma robe et le baise-en-ville.
Je la redresse et je la tiens par la gorge.
• Je vais te dire Alexandra, oui j’ai fait la pute ce soir et j’ai adoré prendre en main ces billets, c’était la première fois que j’en avais autant en une fois dans ma main.
J’ai tout fait à celui qui venait de me payer pour me sauter.
Fellation, il m’a brouté la chatte, bien mieux que toi tu l’as fait, j’ai joui avec toi avec Karl c’était deux fois plus fort.
J’ai eu un autre orgasme lorsqu’il m’a défoncé en levrette, ça tu es incapable de me l’apporter.
On parle entre filles, en attendant les prises par ton photographe de merde et j’ai entendu dire que ton patron faisait travailler des filles comme je les faits ce soir, pour du fric.
Appel le, puis dis-lui que je suis prête à rejoindre son troupeau et de travailler pour lui, je veux du fric, du fric et encore du fric pour assurer mes vieux jours.
J’ai relâché Alexandra, ma colère était telle, que ma main l’avait soulevée et que je comprenais pourquoi Solange était décédée.
Alexandra était à deux doigts d’avaler son bulletin de naissance.
Elle est partie en pleurant.
J’ai été prendre un bain, je me suis endormie dans la baignoire.
Le froid de l’eau ma réveillée, elle était là assise à mes côtés.
Une bonne odeur de café, elle m’en a tendu une tasse, je l’ai bue avec envie, tous ces événements m’ayant fracassé.
• Dors bien chère Martine, j’ai été heureuse de te connaître...
Et si Fred et Lupin dans leur beuverie me montraient le chemin à suivre en m’ayant porté volontaire pour venir ici à Bordeaux
C’est la réflexion que je me fais.
Certes j’ai accepté de m’infiltrer dans un réseau susceptible de déboucher sur de la prostitution, mais c’est au pied du mur que l’on voit le maçon.
Je suis à la limite de basculer dans ce milieu sans savoir ou je vais vraiment.
Y aura-t-il un retour à ma vie d’avant avec Jules mon mari.
Je n’ose même pas penser à mes parents et mes enfants, comme Juda, chaque fois que je suis en enfants, je les renie un tout petit peu chaque fois.
Que je le veuille ou non lorsque Karl après m’avoir fait rentrer dans sa chambre, va vers un petit coffre et qu’il l’ouvre, il contribue à ma réflexion.
Lorsqu’il en sort une liasse de billets que je prends en main avant de les ranger dans le petit baise en ville qu’Alexandra m’a prêté en même temps que la robe et mes chaussures.
Je m’enfonce un peu plus dans cette partie sombre de mon cerveau.
Je sens que Martine inspecteur de police s’éloigne un peu plus de moi pour faire place à Martine la pute se faisant payer pour baiser avec un client, même s’il est mignon et sympathique.
• Comment fait-on ?
• C’est à toi de me le dire, c’est toi le client, qu’est-ce que tu aimes, je suis entièrement à toi, tu viens de payer pour m’avoir !
• C’est la première fois, à ce jour, j’ai toujours dragué les filles, mais surtout les femmes que j’ai emmenées dans ma chambre.
• Je comprends, alors fait moi confiance, je vais faire comme je sais faire.
Je dois prendre les choses en mains, car sinon d’ici demain matin, nous en serons toujours au même point.
Quelle différence entre mes amants et mon client, heureusement que je les ai eues avant ce soir, lorsque je lui enlève sa veste et que je desserre sa cravate.
Je déboutonne sa chemise tout en m’asseyant sur le lit et en l’attirant vers moi.
Ma tête, mais surtout ma bouche se trouvant à bonne hauteur.
Sa ceinture avec une boucle de bonne facture se détache facilement me permettant de descendre pantalon et slip d’un coup.
Combien de femmes ont la possibilité de comparer la grosseur de différentes bites.
Je sais que Lupin en a une petite, même si lui elle m’est encore inconnue visuellement.
Je crois sur parole ce qu’il se racontait dans notre commissariat.
Ce qui est sûr, c’est que Fred est bien monté que Robert est normal et que Jules étant mon mari, j’évite de comparer.
Karl est dans la normale, pour preuve, je la prends en main, c’est facile, il bande déjà et lorsque j’avance ma bouche, c’est sans le moindre effort, que mes lèvres la cernent.
• Tu es déçu, tu as dû en voir de plus grosse, c’est là mon principal souci depuis que je suis entré dans les douches d’un vestiaire d’un club de foot.
Ma bouche libère sa verge, maman m’a toujours appris de ne pas parler la bouche pleine.
• Tu avais quel âge ?
• Huit ou neuf ans.
• Et depuis tu fais un complexe, il est vrai que comme escorte j’en ai vu quelques-unes, pas de très nombreuses tout de même et tu devais être en début de puberté.
Maintenant que tu es adulte, tout s’est mis en place et je peux t’assurer que tu es dans la moyenne haute des hommes français.
Tu serais africain, tu serais certes dans la moyenne basse, mais ce sont des Africains.
Je me la pète un peu, fantasme certainement des bites noires, alors que je n’en ai vu aucune de ce genre surtout la couleur.
Ma bouche recommence à l’aspirer, mes mains à le branler, lui à bander de plus bel.
• Attends, je vais mettre un préservatif, je te fais confiance, mais j’ignore depuis combien de temps ton dernier client t’a baisé et si tu t’étais protégé !
Une nouvelle fois je recule ma bouche, maman insiste afin que j’évite de parler la bouche pleine.
• J’en ai autant à ton service, depuis le début de ton congrès tu as pu séduire Georgina, l’orthodontiste qui était à notre table, certes, elle était peu bandante, mais c’est peut-être un bon coup !
• Tu me suces divinement Martine.
Je dois être franc, le premier jour, l’organisateur la société qui fabrique des bagues pour mettre sur les attaches, derniers modèles, était assis à mes côtés.
J’ai vu que je l’intéressais, mais j’ai une règle première depuis que j’ai commencé mes études, ne plus jamais aller avec une femme ayant la même profession que la mienne.
Je me suis marié lorsque je faisais mes études à Lyon, avec Véronique une autre étudiante.
Rapidement notre principal sujet de discussion, c’était les bouches et les dents au point qu’elle en oubliait ma bite.
• Alors tu as divorcé et depuis tu préfères te payer une pute que la chatte d’une de tes collègues !
• Oui et j’ai bien choisi, enlève ta robe, elle est blanche inutile, qu’il y ait des traces de sperme lorsque nous aurons terminé.
• Je l’enlève, avant bouffe moi la chatte à moins que tu aies peur que tes lèvres ne te fassent attraper une maladie.
Si c’est le cas, j’écarte les cuisses ou je me mets en levrette et tu décharges dans ta capote et dans moins de dix minutes je rentre chez moi, mon sac alourdi de 1 800 €.
• Non, j’adore faire jouir les filles avec ma langue, mais après je te prendrais en levrette, je fantasme de le faire chaque fois que je suis avec une nouvelle fille.
Aussitôt dit aussitôt fait, je me relève, il descend la fermeture dans mon dos, libère mes seins des balconnets qui les soutiennent et sa langue vient aspirer le premier qui est à sa portée.
Ça me chauffe l’entre jambe, surtout qu’il sait faire durer le plaisir, il est moins bourrin que Fred et aussi patient que Robert avec qui j’ai une liaison chaque fois que nous sommes disponibles l’un pour l’autre.
Je retombe sur le dos, comme je l’ai fait avec tous mes amants et amantes et sa bouche vient caresser mon bouton.
C’est rare, qu’il soit sorti de son repère comme il l’est aujourd’hui, un clito de pute serait-il différent qu’un clito de femme respectable ou c’est moi qui fais un cinéma dans ma tête.
J’approche, le plaisir que j’ai avec Marie, le proviseur susceptible de m’avoir prêté la voiture m’ayant amené sur les lieux ou je dois m’infiltrer.
Alexandra est plus près de Fred, un peu brusque avec eux, mais un brin de rudesse, c’est loin de me déplaire.
Attention pas au point de Solange, la femme étranglée dans cette chambre avec des glaces partout.
Il est temps de faire de moi, à cent pour cent une pute en me mettant à quatre pattes et de tirer sur la cravate de Karl pour qu’il fasse définitivement de moi sa pute.
C’est presque avec soulagement que j’entends le bruit de l’élastique qu’il se place sur sa bite, tellement je mouille de franchir définitivement la barrière entre la femme flic et la pute qu’il me fait devenir.
Je constate que l’on est autant pute que femme du monde, lorsqu’il remplit sa capote et que je m’écroule après le deuxième orgasme me rapportant plein de beaux billets.
Je dis bien deuxième, car sa langue l’ayant trouvé, j’ai eu mon premier orgasme en tant que pute, j’ignore si c’est bien, mais lorsque je le quitte, Karl est satisfait de ma prestation.
Il fait appel un taxi et c’est très rapidement que je me retrouve devant chez nous Alexandra et moi.
Je dis chez nous, car lorsque je rentre dans ma chambre, elle est là, nue sur mon lit.
Je vois rapidement qu’elle est en colère et c’est très naturellement que j’en prends une dans ma figure.
• Ou étais-tu, as-tu vu l’heure plus de cinq heures du matin !
Essaye de me faire croire que le repas s’ait poursuivi et que tu as dansé toute la nuit avec le mec qui t’a payé pour t’accompagner.
Une deuxième baffe, m’arrive sur le coin du nez.
• À deux heures, j’ai appelé le Palais des congrès, une employée m’a dit qu’ils étaient en train de tout ranger, les derniers hommes sans femmes venaient de partir après un dernier verre.
Tu es une pute, je t’avais pourtant interdit d’aller te faire baiser par un homme, donne-moi ton sac, tient, j’ai raison ma pauvre fille ton cul vaut seulement 1 800 €.
Je te l’ai dit, tu me demandais du fric je te l’aurais donné, bien plus que le minable qui t’a payé cette somme dérisoire pour avoir ton cul.
Va te laver, tu sens le mâle en rut à plein nez, ma robe, elle est bonne pour la poubelle, ainsi que mon sac et tes chaussures
Dans sa colère, elle m’arrache ma robe et mon sac et les jette à l’autre bout de la chambre.
C’est là que j’explose.
• Mais tu me fais chier, je suis libre de ma vie et de ma chatte, ce n’est pas car tu es une pauvre frustrée que je devrais l’être aussi.
Et là, la colère en moi étant à son paroxysme, je lui envoie une mandale qui l’envoie rejoindre ma robe et le baise-en-ville.
Je la redresse et je la tiens par la gorge.
• Je vais te dire Alexandra, oui j’ai fait la pute ce soir et j’ai adoré prendre en main ces billets, c’était la première fois que j’en avais autant en une fois dans ma main.
J’ai tout fait à celui qui venait de me payer pour me sauter.
Fellation, il m’a brouté la chatte, bien mieux que toi tu l’as fait, j’ai joui avec toi avec Karl c’était deux fois plus fort.
J’ai eu un autre orgasme lorsqu’il m’a défoncé en levrette, ça tu es incapable de me l’apporter.
On parle entre filles, en attendant les prises par ton photographe de merde et j’ai entendu dire que ton patron faisait travailler des filles comme je les faits ce soir, pour du fric.
Appel le, puis dis-lui que je suis prête à rejoindre son troupeau et de travailler pour lui, je veux du fric, du fric et encore du fric pour assurer mes vieux jours.
J’ai relâché Alexandra, ma colère était telle, que ma main l’avait soulevée et que je comprenais pourquoi Solange était décédée.
Alexandra était à deux doigts d’avaler son bulletin de naissance.
Elle est partie en pleurant.
J’ai été prendre un bain, je me suis endormie dans la baignoire.
Le froid de l’eau ma réveillée, elle était là assise à mes côtés.
Une bonne odeur de café, elle m’en a tendu une tasse, je l’ai bue avec envie, tous ces événements m’ayant fracassé.
• Dors bien chère Martine, j’ai été heureuse de te connaître...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu me connait trop bien Daniel, pardon au premier lecteur ayant du mal a apprécier sa transformation qu'elle sera la suite dieu seul le sait et il est loin d'être bavard
Même moi elle me surprend j'ai du mal à la maitriser...
Même moi elle me surprend j'ai du mal à la maitriser...
Bravo Chris tu as fait très fort l’inspecteur Martine se transforme en pute de luxe et elle apprécie et se donne à fond. Alexandra est très fâchée mais notre inspecteur se reprend vite son caractère fort l’y aide bien et là je pense qu’on l'a retrouve avec sa mission et elle demande à voir le boss mais te connaissant il y'a aura encore des péripéties au cours des trous prochains chapitres. Daniel
Je n'aime pas trop l'évolution de cette histoire et surtout celle de Martine... La dernière phrase me fais peur... Bon... Il reste encore 3 chapitres...

