COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (8/10) - histoire érotique

J’ai souvent pour habitude de résumer ce qu’il vient de m’arriver ou de nous arriver.
Là, c’est un trou noir.
Un ronronnement régulier et mon estomac au bord de mes lèvres, me rappelle ma balade sur la Saône avec Jules mon mari pour notre cinquième anniversaire de mariage.

• C’est bon, elle commence à émerger.
Alexandra avait raison lorsqu’elle nous a appelés et qu’elle nous a remis cette petite salope en nous disant que la dose de narco qu’elle lui avait administrée ferait effet environ 5 heures !

J’ai un vague souvenir, un réveil une première fois dans la baignoire.
Alexandra, c’est le nom que je crois avoir entendu, mon cerveau étant toujours obstrué.
La salope, le café contenait du somnifère, c’est pour ça que d’un coup mes paupières m’ont semblé de nouveau d’être lourde.

• Alors petite pute, tu voulais voir Olaf, regarde-moi, je suis là en chair et en os.

Je sens une présence opposée à la voix, je suis couchée au sol fait de bois des îles, je comprends que je dois être sur le yack de celui que l’on m’avait demandé d’infiltrer.
Deux gars sont là, un noir balaise, et un autre tout aussi costaud, tous les deux ont en bandoulière des mitraillettes plutôt des Kalachnikovs.
Je vois que ma situation est mal partie, je me retourne, il est là, j’avais vu des photos. Il est avachi sur la banquette arrière de son bateau derrière une table où il y a un cocktail avec une paille.
Il fait chaud, ce qui me fait peur un simple instant, c’est que nous sommes en mer.
Il était prévu que je signale ma venue à bord si elle devait avoir lieu.
Là, je suis livrée à moi-même, mais dans un certain sens, ça m’arrange.

• Tu semblais avoir quelque chose à me dire, concernant certaines filles que je prostituerais en me servant de mon agence de mannequins, je t’écoute.
Tu as moins de cinq minutes pour me dire ce que tu voulais me dire, après je demande à Hamed et Dimitri de te jeter par-dessus bord.

Je reprends de plus en plus vie, je vois que je suis nue, je touche mon poignet, mon Pandora est toujours là.

• Olaf, je pense que tu prostitues ces femmes, je vais te dire, je suis un agent de la police nationale, je suis inspecteur, je m’appelle Martine Durand avec un D, chargée de venir vous infiltrer.
• Hamed, fiche cette flic par-dessus bord, elle doit être fêlée.
Nous sommes à dix milles marins de la côte, avec le courant elle sera sortie de la zone territoriale avant qu’ils la retrouvent, du moins ce que les poissons auront laissé.
• Vous vous trompez Olaf, hier, Alexandra m’a fait connaître un homme, il m’a payé pour finir la nuit avec moi.
• J’ai gagné plus d’argent en peu d’heure que presque un mois de mon travail.
De plus, j’ai pris du plaisir ce qui est loin d’être le cas la plus grande partie de ma vie.
Je veux faire la pute pour toi, tu me garderas une petite partie de ce que je gagne et lorsque j’aurais l’âge de la retraite, je pourrais vivre une vie bien gagnée avec mes fesses.
• Alexandra m’a dit que tu avais couché avec ton client, crois-tu que c’est suffisant pour être une de mes filles !
C’est vrai, j’ai un réseau de prostitution caché derrière mon agence de mannequins.
Ici, les murs sont loin d'avoir des oreilles, seuls Hamed et Dimitri t'entendent et ils savent que je pourrais les balancer aux flics tes copains.
Seulement sur mon ordre, ils ont déjà deux gonzesses à qui ils ont fait de prendre un bain forcé.
L’une en face de Dunkerque et l’autre dans le golf de Saint-Tropez.
Mon yach y est accosté là-bas chaque été, j’y organise des fêtes mémorables.
Tu sais comment je les remercie !
• Non, pas du tout !
• Hamed, Dimitri, Martine, inspecteur de mes deux, faite lui voir si elle est capable d’être une de mes filles, baiser là.

On s’attend à ce que je dise que j’ai avoué le but de ma rencontre avec Olaf et que je vais vous dire comment l’inspecteur Martine Durand avec un « D, » compte s’en sortir.
Vous faite fausse route, je suis sérieuse, à bientôt 35 ans, je préfère le fric à la gloire d’être flic.
Cette décision je l’ai prise lorsque Karl m’a mis ces billets dans ma main.
J’ai vu clair, pourquoi je prenais des amants, j’aime la vie facile ainsi que le fric et vendre mon cul, ça me semble être la façon la plus facile et rapide de le faire.

• Tu veux que je te prouve que mon choix, c’est des clients et leurs frics, venez les gars, vu vos biceps, vous avez dû mettre vos cerveaux dans vos bites.
Comment pratique ton, en double, j’en suce un pendant que l’autre me baise ?
• Arrête de faire semblant, les gars prenez là en double vaginale et après changer en double anal, toutes mes filles savent le faire, c’est ma façon de voir si tu es digne d’en faire partie.

On m’aurait dit que je devrais subir ça, j’aurais dit « oui » tout de suite.

• Je peux les sucer, préalablement, je vois leurs bites et j’avais raison, elles sont magnifiques.

Je me redresse et j’avance vers Olaf.

• Stop, sinon, c’est un pruneau qui va t’arrêter.

Olaf sort un Colt qui m’était caché et posé à côté de lui

• Non, repose ton arme, je voulais simplement te sucer.
• Je vois que tu ignores certaines choses de ma vie.
Je suis mariée, contrairement à toi, tu vois, je sais que tu te dis sans enfants, j’en ai deux et je suis fidèle à mon épouse.
Ce sont mes gars qui baisent les filles si nécessaires.

Il y a peu, c’était une dague que Victoria brandissait au-dessus de moi.
Dans mon dos, j’ai encore la marque qu’elle m’a faite lorsqu’elle a voulu me faire participer en première ligne à une messe noire.
Là, c’est l’œil d’un Colt que je dois affronter, je n’ai vraiment pas une vie facile, mais c’est si fascinant.

Hamed est le premier à sortir sa bite, j’avais raison, un machin que je devrais craindre, en vaginale non, mais en anal ça va être une autre performance surtout qu’à son tour Dimitri descend son pantalon.
Lui est sans slip où boxer et il serait le seul à vouloir me prendre le petit, je ferais cela les doigts dans le nez.
Chacun d’eux a posé sa mitraillette russe sur les cousins qui forment un demi-cercle tous les côtés et l’arrière du yach.
Je suis à deux mètres, j’ai l’occasion d’en saisir une et de les arroser, mais là n’est pas mon but.
Je les regarde, je regarde Olaf, il comprend ma possibilité.

• Olaf, tes gars sont cons, mais j’ai l’occasion de te prouver que j’ai choisi mon camp.
• Hamed, elle marque un point, reprend ta Kalachnikov et descend là.

Je comprends que je suis morte, Hamed et Dimitri récupère leur arme et les armes.
Adieu, je vous aimais bien, ma fin est proche.

« Tac à tac, à tac, à tac. »

Chacun d’eux vide leur chargeur sur moi.
Je mets trois secondes à comprendre qu’aucune balle ne m’a atteinte.
Olaf a repris son Colt, l’œil de nouveau me regarde.

• Les gars, assez jouée, Martine est digne d’intérêt.
Elle a vu qu’elle pouvait se saisir de vos armes, mais comme les deux autres connes qui ont fini noyées, elle est restée stoïque, alors qu’elle avait vu l’ouverture.
Martine, leurs armes étaient chargées à blanc, par contre mon Colt, ce sont de jolies balles bien rondes, que je t’aurais envoyées en plein front.
Si elle encaisse vos bites, aussi bien que ces balles, je la prends dans mon groupe de putes.

C’est à côté des mitraillettes que ses gardes du corps ont reposées, qu’ils viennent l’un après l’autre me prendre la chatte en double vaginale.
J’ai mal sur la première pénétration d’Hamed, mais je dois encore ingurgiter la verge de Dimitri.
Je pense un peu peur lorsque commençant à jouir, Olaf le donne l’ordre de me prendre en double anal.
Le corps humain a des réserves insoupçonnées et pour la première fois, je jouis par l’anus.

• Martine, je te prends dans mon équipe, à une seule condition !

J’ai du mal à récupérer de la jouissance que cette double pénétration m’a apportée.

• Accepté, d’avance !
• Après le dernier point qui te fera entrer dans mon réseau où tu vas te faire un fric monstre, tu vas repartir à Beaune après que nous ayons rejoint le port de Bordeaux.
• J’ai compris, je vais faire un rapport qui dira que tout est clin et que tu n’as pas de putes à ton service.
• Tu as tout compris.

Je vois Hamed et Dimitri reprendre leur arme et remplacer les chargeurs vides, par des pleins.
À blanc, je pense que ce serait une erreur d’essayer de voir si j’ai raison.

• Dis-moi, Martine, si je te dis, Chaudenay, Alexandre et Charlotte, à quoi cela te fait-il penser ?
Pourquoi m’avoir caché que tu avais des enfants ?
Pour moi, la confiance ça se gagne à cent pour cent !...