COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (9/10) - histoire érotique

• Pourquoi m’avoir caché que tu avais des enfants ?
Pour moi, la confiance ça se gagne à cent pour cent !

Depuis combien de temps suis-je sortie de mon endormissement forcé Alexandra ayant mis un somnifère dans le café qu’elle m’a apporté alors que j’étais dans mon bain ?
Deux heures au moins, mais qu’elles m’ont paru longue lorsque j’ai avoué à Olaf le maquereau, du moins celui que la police le pensait et qu’il était là à mon réveil.
Je suis sûr que beaucoup ont pensé que lorsque je lui ai avoué être un agent chargé d’infiltrer son organisation, que c’étaient pour mieux le faire plonger.
Eh bien, non, pourtant je pourrais comprendre que de se retrouver nue avec un seul bracelet Pandora au poignet on pourrait le croire.
On pourrait le penser et que par tentative de survie, je déclame qui je suis réellement, espérant qu’avec ses hommes il rechignerait à tuer un flic.
Non, mon envie de me faire du fric même avec mon cul reste mon objectif principal après avoir senti dans ma main le paquet de billets remis par Karl lorsque Alexandra m’a fait faire l’escorte.
Fred et Lupin ont voulu s’amuser avec moi en me désignant comme volontaire pour cette mission.
Si un jour tout ceci tourne mal, m’ayant mis dans la panade là ou je suis, ce sera à eux de m’en sortir ou de me laisser crever.

Crever, je veux bien mais le plus tard possible, il y a la possibilité de me faire un max de fric même si j’avoisine les trente-cinq ans, je tiens à en profiter un max.
Mais Olaf a des ressources, dues à la connerie de ceux qui ont élaboré ma possibilité d’infiltration.
Mes parents et mes enfants.
Je ne vois qu’un moyen de me sortir de ce guêpier, c’est de charger Jules mon tortionnaire de mari.
Ne devrais-je pas dire que c’est un affreux macho m’ayant dérouillé après m’avoir baisé avec Fred mon commissaire et supérieur dans notre maison ?

• Olaf, loin de moi l’envie de te cacher quoi que ce soit.
Si je tiens à être l’une de tes filles et te faire gagner un gros paquet de fric avec mon cul, comme je viens de te le démontrer avec Hamed et Dimitri en me laissant prendre en double vaginal et double anal.
C’est pour eux aussi les protéger de ce père tyrannique qu’il est.
Pour preuves, j’ignore si tu le sais, mais sous couvert de vendre du vin au Japon, il y va fréquemment, même un peu trop à mon goût pour que tout cela soit honnête.
Mais je suis en France, il faudrait que j’aille là-bas pour savoir ce qu’il trafique.
C’est pour les protéger, que je les ai placés chez mes parents et que j’ai dit que j’étais sans enfants.
• Martine, si tu n’as pas de possibilité de savoir ce que ton mari fait au pays des yeux bridés !
Lorsque j’ai su que tu étais une candidate potentielle pour me servir lorsque de gros clients me demandent une pute pour une période donnée, j’ai fait enquêter sur ton mari.
L’organisation que j’ai développée a des ramifications dans bien des pays et je peux t’assurer que si on conclut positivement notre affaire, tu iras toi aussi au soleil levant rencontrés quelques-uns de mes clients.

C’est plus que considéré, le bain forcé à quelques dizaines milles de la côte bordelaise semble s’écarter de moi.

• Avance et regarde cette photo, reconnais-tu qui est dessus malgré qu’il soit en kimono ?
• C’est Jules, assis sur une sorte de trône avec une jeune fille sur ses genoux !
• Exact, la photo a été prise dans la plus grosse boîte de préparation à des jeunes filles en vue de deviennent des geishas.
En France la majorité sexuelle est à 16 ans, mais suivant les circonstances, si un adulte comme ton mari tripote comme il le fait sur cette photo une jeune fille à peine pubère.
C’est un pédophile et est passible de prison.
Au Japon, c’est 15 ans pour tout rapport sexuel et il forme des petites putes qui lui rapportent un max de fric en jouant les poupées japonaises.
Sur ses genoux c’est la jeune Mineko Iwasaki l’apprentie geisha dont la grand-mère était la plus grande pute du Japon, il y a encore peu.

Je suis catastrophé par ce que je découvre, Jules si prévenant vu la loi japonaise si ce que me dit Olfa est la réalité, il serait un homme abusant des petites filles en toute légalité à l’autre bout du monde.
Mais pourquoi penser qu’Olaf se trompe et se joue de moi, sa main part ostensiblement vers la minette de cette toute jeune Japonaise !

• Olaf la main de mon mari enfoncé entre les jambes de cette Mineko Iwasaki me conforte dans la décision de placer mes enfants chez mes parents !
Sans le savoir réellement mon instinct de mère, m’a fait comprendre que tout n’était pas claire dans son comportement et j’évite de parler de la manière dont il m’a moi-même forcé à des choses que la morale réprouve.
Ma fille s’approche de ses dix ans, serait-il capable de l’amener au Japon pour en faire une Gesha dès ses 15 ans, j’en frémis d’avance rien que de le penser.
Olaf, puis-je te poser une question, tu vois que je réponds franchement aux tiennes !
• Oui, je te répondrais !
• Pourquoi en me montrant cette photo sans la moindre ambiguïté sur ce qu’est mon mari, tu viens d’allumer ce petit brasero de table ?
• Bonne question ?
Hamed et Dimitri tenez fermement la belle pute entrant à notre service, que je la marque du sceau des deux colombes enlacées emblème de mon organisation.
Après, Hamed, tu monteras à la passerelle donner des ordres à Imran mon commandant de bord.
Il peut mettre le cap vers le yach que notre grand ami de toujours, il nous paye dix mille dollars américains pour être chaque fois le premier à se servir de mes nouvelles putes.

Je comprends, les colombes enlacées que j’ai vues sur le cul d’Alexandra, elle est l’une des putes elle aussi d’Olaf.
Elle m’a induit en erreur lorsqu’elle m’a parlé d’une tache de naissance se répétant depuis sa grand-mère.

• Tenez là bien, voilà c’est fait, je sais, ça brûle, mais chaque fois que je t’enverrai te faire sauter il te suffira de montrer cette marque gravée sur toi ç tout jamais.
Les clients sauront qu’ils ont bien affaire à l’une de mes filles.

Olaf a pris la tige plantée dans le petit brasero métallique et étant tenue fermement m’a marqué la fesse droite environ au même endroit que la marque d’Alexandra.
J’ai réussi ma mission, mais une mission se retournant contre ceux qui ont voulu faire de moi ce que moi-même, j’accepte de faire.
Je retiens un hurlement, lorsque mes chairs grésilles sous la petite plaque rougie par le feu de l’enfer dans lequel je viens d’accepter de me précipité.
10 000 $.
30 %, soit 3 000 $ aujourd’hui et 1 800 € gagnés hier !
J’ai mal à ma fesse en voyant un yach deux fois plus grand que celui d’Olaf venir longer celui où je me suis réveillé.
Un officier nous fait signe en haut d’un escalier permettant de me faire monter à bord afin que je réalise ma première passe pour l’organisation de mon souteneur.

• Suivez-moi !

Il me parle en Anglais, que je parle assez bien malgré quelques lacunes.
Mais pour baiser et enfin gagner du fric à ma juste valeur, je suis sûr de me débrouiller.
Je suis toujours nue et il me fait entrer dans une cabine où il y a une salle de bain plus grande que le logement qui m’avait été assigné pour approcher Justine, puis Alexandra et enfin Olaf.
L’officier me demande de me préparer, je vois qu’il y a une grande quantité de nécessaire à maquillage sur une table et une robe digne des mille et une nuits sur le lit.
Le tout avec simplement un sac en cuir de luxe et une paire de chaussures, vendue hors de prix par le créateur Louboutin.
Je vois les semelles rouges caractéristiques.
J’ignore si je repartirais nue ou avec tout ça, robe, chaussures et sac !
Mais au bas mot, je vais doubler le fric que je vais me faire et qui m’attende à Bordeaux et sur le yach d’Olaf qui s’est écarté et a disparu dès que je suis monté à bord de ce paquebot des mers.

• Prenez votre temps, la soirée commence à 21 heures, vous avez le temps de mettre vos atouts en valeur, notre émir est très à cheval sur l’hygiène et la propreté.
À ce que je vois, vous n’aurez aucun mal de les mettre en valeur, mais excusez cette pensée impure, je vais aller prier pour demander à notre cher prophète de me pardonner.
Je suis marié et je n’ai aucun droit de lever les yeux sur la nudité d’une autre femme que la mienne.
À tout à l’heure, je viendrais vous chercher pour vous conduire à lui !

Très digne, sa casquette sous le bras depuis qu’il m’a fait monter à bord, cet Arabe quitte la cabine me laissant seule avec mon destin et ma nouvelle condition.
Je sais que dans sa religion, il leur faut faire cinq prières par jour.
C’est vrai, pris par ma mission, j’avais oublié que nous sommes au premier jour du ramadan.
Tranquille le jour, même leur salive il leur est impossible de l’avaler.
Orgiaque la nuit, à commencer par la bouffe, qu’ils ingurgitent en grande quantité.
Il y a une grande glace où je peux m’admirer en pied.
Je me regarde, surtout la tance de naissance qui vient d’apparaitre sur ma peau brulée.
Parmi les produits de beauté, il y a des tubes certainement de beauté.
J’en prends un, c’est écrit en arabe, je baragouine l’anglais, mais en aucun cas la langue des pays de l’autre côté de la Méditerranée.
Je le débouche, ça sent bon, au risque d’infecter ma brûlure, j’en asse une bonne couche, rapidement ça a un effet bénéfique la douleur s’atténue.
Heureusement que le tube est neuf, car lorsque je rentre dans mon bain, c’est comme l’huile solaire, les étés, lorsque je pars avec Jules et les enfants à la plage.
Il vaut mieux la mettre après le bain qu’avant.
Cet émir ou ceux qui sont avec lui s’ils sont plusieurs, doit être de grands enfants.
Sur le bord de ma baignoire où je me prélasse, il y a un petit canard plongeur.
Dès que je le mets dans l’eau, il se met à barbotter et d’un coup plonge.
Mais ou va-t-il ce coquin...