COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (2/3)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (2/3)
Je suis déjà en position de résoudre une partie du problème que Fred mon commissaire et ancien amant me pose en me demandant d’enquêter sur une jeune fille se prénommant Victoria.
Comme souvent, cette enquête sur un amant, ancien tolar, ayant prostitué sa jeune maîtresse de seize ans, Fred essaye de me faire croire qu’elle venait de très haut.
Seulement avec sa cervelle de moineau, il s’embrouille et je lui pose une question sur la mère.
• Bon, je vois que tu as compris, Jennifer, je l’ai connu après la mort de son mari.
J’étais allé au domaine à l’appel du médecin, l’accident qui avait couté la vie au patron lui semblait peu naturel.
Il s’était retrouvé sous les roues d’un enjambeur, tu sais, ce sont ces tracteurs qui travaillent dans les vignes et que nous voyons fréquemment en patrouillant dans notre secteur.
• J’ai fait les vendanges Fred, je sais ce qu’est un enjambeur.
Tu y es retourné et tu as fait ce que tu fais le mieux, tu as séduit cette dénommée Jennifer.
• Un an après, j’ai respecté son deuil, j’y suis allé acheter du vin et c’est elle qui s’est jetée dans mes bras.
• Tu ne l’as pas plutôt invité dans un restaurant du coin, ayant des chambres donnant sur la nationale !
• Tu en connais, j’ai cherché, sans succès.
Mais tu me fais dire des bêtises, la première fois ça s’est fait sur un tonneau, tu as déjà baisé sur un tonneau, elle hurlait de plaisir, dans cette cave voutée.
J’y vais régulièrement depuis à l’insu de sa fille une jeune pétasse, mais qui par chance est souvent absente.
Voilà, il me restait seulement à attendre qu’il me débite la fin de son histoire afin de démêler le faux du vrai.
Fred voulait rendre service à la veuve joyeuse qu’il avait certainement remis en selle en faisant une simple veuve.
• Pourquoi n’enquêtes-tu pas toi-même sur sa fille, elle t’en serait certainement reconnaissante d’avoir vu si sa fille était en train de mal tourner ?
Tu as eu une formation comme moi ou Claude qui t’a remplacé.
• Je me vois mal dire à Jennifer, ta fille est devenue une pute, si Frédéric son copain a des vues sur sa progéniture et souhaite, la faire tapiner comme il l’a fait avant d’aller en prison.
Un mac reste un mac et moi je serais le chevalier servant étant venu à son secours.
• Je comprends, j’enquête si elle est sous l’emprise de ce mac tu seras intervenu tirant les marrons du feu.
Si elle est blanche comme neige, je devrais faire le nécessaire pour qu’il aille ailleurs exercer ses talents et toi tu continus à t’occuper de la veuve.
• Oui, dans cette cave voutée, il doit y avoir de nombreux tonneaux.
Je le laisse là, une chose me rassure, si je me plante, mes soucis seront moindres que si ces recherches avait été demandée par une des huiles de Dijon ou d’ailleurs.
• Claude, es-tu libre ce soir ?
• Pourquoi, toi tu l’es et tu voudrais que je te tienne compagnie ?
• Arrête tes conneries et contente-toi de tes petites pétasses, laisses, les grandes dames à des hommes sachant s’occuper d’elles !
C’est le cas de Jules mon mari.
• Martine, évite de me prendre pour plus con que je suis.
Oui, je dois voir une de ces petites pétasses, mais je peux remettre à plus tard si le service a besoin de moi.
J’aime baiser, mais je suis flic avant tout.
• Je suis contente de te l’entendre dire, ce soir, nous allons au Dosido, tu connais !
• La boîte regorgeant de petites pétasses !
Martine, c’est là-bas, près du Palais des Congrès que l’on trouve les plus chaudasses de Beaune et de ses environs.
J’avais prévu de finir là-bas avec Corinne.
Sa maman la tient en laisse et elle a envie de se dessaler.
Une vierge, tu sais, ça porte bonheur et la maman est partie chez sa mère qui est souffrante à l’autre bout de la France.
• Fais attention qu’elle soit majeure, un flic à la braguette toujours ouverte, ça risque de finir par un détournement de mineur.
Bien assez de conneries, je serais là-bas, vers 22 heures, il parait qu’avant c’est mort.
Je dois essayer de rencontrer fortuitement quelqu’un et tu vas me servir de couverture, on ignore ou l’on met les pieds.
Cette enquête risque de toucher le proxénétisme de haute volée, tu connais la suite si l’on foire !
• Oui, là-haut, ils nous taperont sur les doigts.
Je sais, je suis plein d’ambiguïté, je viens de dire que cette enquête est sans risque avec les autorités supérieures et je dis le contraire à Claude.
Stratégie de ma part, si je confis ce que m’a dit Fred à mon adjoint, il risque de croire, qu’il peut sauter sa pétasse plutôt que de rester en couverture.
Surtout qu’il me sera impossible d’avoir mon pétard à la ceinture, si la boîte est pleine et que l’un des danseurs sente mon arme sous ma veste, avec Vigipirate je risque de déclencher une belle émeute.
Le soir après m’être préparée, j’arrive près de la boîte, ça commence à bouger, mais j’ai la chance de trouver une place tout près de l’entrer.
• Madame, sécurité, vous êtes garé sur une place V.I.P et vous devez aller ailleurs.
Oh ! pardon Martine, c’est toi, bien sûr tu peux rester, je surveillerais personnellement ta voiture !
• Nous nous connaissons !
• Martine souviens-toi, Marc !
J’étais en troisième lorsque j’ai fait mon stage dans vos services placé là par mon oncle inspecteur à Dijon, c’était un copain de Fred.
Marc, le petit boutonneux qui voulait jouer avec mon arme, quel âge avait-il ?
Quatorze ans !
Non, je me souviens, il nous avait fait rigoler, en mimant le sketch de Coluche sur l’impossibilité de rentrer dans la police, car il était trop con et qu’il avait redoublé, il avait 15 ans.
• J’avais 15 ans, j’avais raison sur le sketch de Coluche, j’ai loupé l’examen de la police deux fois.
Je suis devenu vigile dans ces boîtes, je garde les places de stationnement V.I.P.
• Je vais aller plus loin, je vais trouver de la place sur le parking du Palais des Congrès.
• Je comprends, tu es en mission, vous enquêtez sur les trafics de drogue, on y fait attention, mais ces petits cons sont malins, ils nous filent entre les doigts.
Dis, tu as les moyens de me pistonner, je vais repasser l’examen prochainement.
Pour une arrivée discrète, je suis servie, il faut que je tombe sur le seul vigile dans un rayon de cent kilomètres me connaissant.
Je redémarre, entendant ses dernières doléances.
Je trouve une place sur le parking voisin, par chance ce soir le Palais des Congrès est vide.
Je récupère ma veste me montrant que j’ai tout gardé de ma jeunesse.
Je la portais avant de mettre des habits plus en rapport avec une soirée en boîte qu’avec mes fonctions d’inspecteur de police.
Lorsque je la boutonne, je me rends compte qu’un de ceux de mon chemisier s’est défait.
Marc appuyé une main sur ma portière et baissé pour me parler doit avoir eu une vue plongeante sur mes seins à peine couverts, je suis sortie sans soutien-gorge, les miens se tenant très bien.
La boîte grouille, de jeunes se trémoussant au rythme du DJ.
Ce soir, présence exceptionnelle d’Offenbach, presque un million de vues sur Twitter, annoncé dans quelques jours changeant de nom pour s’appeler « X. »
Qui peut s’appeler Offenbach et de faire danser des centaines de jeunes, je suis vraiment déconnectée de cette jeunesse un peu perdue.
Je me mêle aux danseurs cherchant Victoria, si j’ai la chance qu’elle soit là ce soir.
• Bonsoir, jolie dame, vous cherchez un peu de remontant pour vous éclater dans cette soirée !
• Qu’avez-vous à me proposer, j’aime les choses qui déchirent et qui vont me permettre de m’éclater comme une bête ?
Frédéric, vu en photo dans le bureau de Fred, de face à droite et à gauche, des photos anthropométriques prisent par la police au moment de son arrestation.
Photos assez précises malgré qu’il est un peu vieilli.
• Bonsoir, qui est cette pétasse à qui tu parles, tu veux me faire un petit dans le dos avec ce vieux tromblon ?
• On se calme les enfants, on m’a dit que je trouverais de quoi me défoncer dans cette boîte.
Je passe une mauvaise période et je cherche ce que ce jeune homme vient de me proposer.
• Bien, Speed, Coco, herbes, ecstasy, quelle quantité, combien tu peux mettre, ici nous avons le paradis de la défonce ?
• De l’herbe, mais si c’est de la bonne.
• Pour qui tu nous prends pétasse, Frédéric va te fournir de la haute qualité, deux joints et tu vas planer à des hauteurs telles que tu refuseras de redescendre.
Viens dans les chiottes, on va te faire gouter ce que nous avons à te proposer, nous, on ne vend que si le client a testé !
Je sens le piège, ils veulent voir si je me came vraiment, le paradis de la défonce, heureusement que dans ma jeunesse, j’ai fumée de la beuh.
Je sais tirer sur un joint et ça va simplement me donner un peu mal à la tête et après je pourrais repartir.
• Fais-nous voir ton fric, soit sans crainte, ici, c’est chez nous, aucun des petits dealers qui procure de la fumée au consommateur ne se permettrait de te tirer ton oseille.
Frédéric va dans une toilette, nous sommes chez les filles et revient avec un sachet.
Il fabrique un joint avec dextérité, l’allume et me le tend.
Il recrache la fumée, je tire, merde, c’est nettement plus puissant que ce que je fumais étant jeune.
• Tient la belle, bois un coup à cette gourde, le mélange fumette et cette mixture que je prépare moi-même va t’envoyer à des hauteurs que tu n’as jamais atteintes.
Dans mon dos, je sens comme une arme tenue par Victoria, je me sens piéger, je bois quelques gorgées de ce breuvage doux et bon à la foi.
• Encore une gorgée.
Je sens une main passer sur ma chatte, sans que je puisse avoir la moindre réaction.
Pourtant je sens ma chatte mouiller...
Comme souvent, cette enquête sur un amant, ancien tolar, ayant prostitué sa jeune maîtresse de seize ans, Fred essaye de me faire croire qu’elle venait de très haut.
Seulement avec sa cervelle de moineau, il s’embrouille et je lui pose une question sur la mère.
• Bon, je vois que tu as compris, Jennifer, je l’ai connu après la mort de son mari.
J’étais allé au domaine à l’appel du médecin, l’accident qui avait couté la vie au patron lui semblait peu naturel.
Il s’était retrouvé sous les roues d’un enjambeur, tu sais, ce sont ces tracteurs qui travaillent dans les vignes et que nous voyons fréquemment en patrouillant dans notre secteur.
• J’ai fait les vendanges Fred, je sais ce qu’est un enjambeur.
Tu y es retourné et tu as fait ce que tu fais le mieux, tu as séduit cette dénommée Jennifer.
• Un an après, j’ai respecté son deuil, j’y suis allé acheter du vin et c’est elle qui s’est jetée dans mes bras.
• Tu ne l’as pas plutôt invité dans un restaurant du coin, ayant des chambres donnant sur la nationale !
• Tu en connais, j’ai cherché, sans succès.
Mais tu me fais dire des bêtises, la première fois ça s’est fait sur un tonneau, tu as déjà baisé sur un tonneau, elle hurlait de plaisir, dans cette cave voutée.
J’y vais régulièrement depuis à l’insu de sa fille une jeune pétasse, mais qui par chance est souvent absente.
Voilà, il me restait seulement à attendre qu’il me débite la fin de son histoire afin de démêler le faux du vrai.
Fred voulait rendre service à la veuve joyeuse qu’il avait certainement remis en selle en faisant une simple veuve.
• Pourquoi n’enquêtes-tu pas toi-même sur sa fille, elle t’en serait certainement reconnaissante d’avoir vu si sa fille était en train de mal tourner ?
Tu as eu une formation comme moi ou Claude qui t’a remplacé.
• Je me vois mal dire à Jennifer, ta fille est devenue une pute, si Frédéric son copain a des vues sur sa progéniture et souhaite, la faire tapiner comme il l’a fait avant d’aller en prison.
Un mac reste un mac et moi je serais le chevalier servant étant venu à son secours.
• Je comprends, j’enquête si elle est sous l’emprise de ce mac tu seras intervenu tirant les marrons du feu.
Si elle est blanche comme neige, je devrais faire le nécessaire pour qu’il aille ailleurs exercer ses talents et toi tu continus à t’occuper de la veuve.
• Oui, dans cette cave voutée, il doit y avoir de nombreux tonneaux.
Je le laisse là, une chose me rassure, si je me plante, mes soucis seront moindres que si ces recherches avait été demandée par une des huiles de Dijon ou d’ailleurs.
• Claude, es-tu libre ce soir ?
• Pourquoi, toi tu l’es et tu voudrais que je te tienne compagnie ?
• Arrête tes conneries et contente-toi de tes petites pétasses, laisses, les grandes dames à des hommes sachant s’occuper d’elles !
C’est le cas de Jules mon mari.
• Martine, évite de me prendre pour plus con que je suis.
Oui, je dois voir une de ces petites pétasses, mais je peux remettre à plus tard si le service a besoin de moi.
J’aime baiser, mais je suis flic avant tout.
• Je suis contente de te l’entendre dire, ce soir, nous allons au Dosido, tu connais !
• La boîte regorgeant de petites pétasses !
Martine, c’est là-bas, près du Palais des Congrès que l’on trouve les plus chaudasses de Beaune et de ses environs.
J’avais prévu de finir là-bas avec Corinne.
Sa maman la tient en laisse et elle a envie de se dessaler.
Une vierge, tu sais, ça porte bonheur et la maman est partie chez sa mère qui est souffrante à l’autre bout de la France.
• Fais attention qu’elle soit majeure, un flic à la braguette toujours ouverte, ça risque de finir par un détournement de mineur.
Bien assez de conneries, je serais là-bas, vers 22 heures, il parait qu’avant c’est mort.
Je dois essayer de rencontrer fortuitement quelqu’un et tu vas me servir de couverture, on ignore ou l’on met les pieds.
Cette enquête risque de toucher le proxénétisme de haute volée, tu connais la suite si l’on foire !
• Oui, là-haut, ils nous taperont sur les doigts.
Je sais, je suis plein d’ambiguïté, je viens de dire que cette enquête est sans risque avec les autorités supérieures et je dis le contraire à Claude.
Stratégie de ma part, si je confis ce que m’a dit Fred à mon adjoint, il risque de croire, qu’il peut sauter sa pétasse plutôt que de rester en couverture.
Surtout qu’il me sera impossible d’avoir mon pétard à la ceinture, si la boîte est pleine et que l’un des danseurs sente mon arme sous ma veste, avec Vigipirate je risque de déclencher une belle émeute.
Le soir après m’être préparée, j’arrive près de la boîte, ça commence à bouger, mais j’ai la chance de trouver une place tout près de l’entrer.
• Madame, sécurité, vous êtes garé sur une place V.I.P et vous devez aller ailleurs.
Oh ! pardon Martine, c’est toi, bien sûr tu peux rester, je surveillerais personnellement ta voiture !
• Nous nous connaissons !
• Martine souviens-toi, Marc !
J’étais en troisième lorsque j’ai fait mon stage dans vos services placé là par mon oncle inspecteur à Dijon, c’était un copain de Fred.
Marc, le petit boutonneux qui voulait jouer avec mon arme, quel âge avait-il ?
Quatorze ans !
Non, je me souviens, il nous avait fait rigoler, en mimant le sketch de Coluche sur l’impossibilité de rentrer dans la police, car il était trop con et qu’il avait redoublé, il avait 15 ans.
• J’avais 15 ans, j’avais raison sur le sketch de Coluche, j’ai loupé l’examen de la police deux fois.
Je suis devenu vigile dans ces boîtes, je garde les places de stationnement V.I.P.
• Je vais aller plus loin, je vais trouver de la place sur le parking du Palais des Congrès.
• Je comprends, tu es en mission, vous enquêtez sur les trafics de drogue, on y fait attention, mais ces petits cons sont malins, ils nous filent entre les doigts.
Dis, tu as les moyens de me pistonner, je vais repasser l’examen prochainement.
Pour une arrivée discrète, je suis servie, il faut que je tombe sur le seul vigile dans un rayon de cent kilomètres me connaissant.
Je redémarre, entendant ses dernières doléances.
Je trouve une place sur le parking voisin, par chance ce soir le Palais des Congrès est vide.
Je récupère ma veste me montrant que j’ai tout gardé de ma jeunesse.
Je la portais avant de mettre des habits plus en rapport avec une soirée en boîte qu’avec mes fonctions d’inspecteur de police.
Lorsque je la boutonne, je me rends compte qu’un de ceux de mon chemisier s’est défait.
Marc appuyé une main sur ma portière et baissé pour me parler doit avoir eu une vue plongeante sur mes seins à peine couverts, je suis sortie sans soutien-gorge, les miens se tenant très bien.
La boîte grouille, de jeunes se trémoussant au rythme du DJ.
Ce soir, présence exceptionnelle d’Offenbach, presque un million de vues sur Twitter, annoncé dans quelques jours changeant de nom pour s’appeler « X. »
Qui peut s’appeler Offenbach et de faire danser des centaines de jeunes, je suis vraiment déconnectée de cette jeunesse un peu perdue.
Je me mêle aux danseurs cherchant Victoria, si j’ai la chance qu’elle soit là ce soir.
• Bonsoir, jolie dame, vous cherchez un peu de remontant pour vous éclater dans cette soirée !
• Qu’avez-vous à me proposer, j’aime les choses qui déchirent et qui vont me permettre de m’éclater comme une bête ?
Frédéric, vu en photo dans le bureau de Fred, de face à droite et à gauche, des photos anthropométriques prisent par la police au moment de son arrestation.
Photos assez précises malgré qu’il est un peu vieilli.
• Bonsoir, qui est cette pétasse à qui tu parles, tu veux me faire un petit dans le dos avec ce vieux tromblon ?
• On se calme les enfants, on m’a dit que je trouverais de quoi me défoncer dans cette boîte.
Je passe une mauvaise période et je cherche ce que ce jeune homme vient de me proposer.
• Bien, Speed, Coco, herbes, ecstasy, quelle quantité, combien tu peux mettre, ici nous avons le paradis de la défonce ?
• De l’herbe, mais si c’est de la bonne.
• Pour qui tu nous prends pétasse, Frédéric va te fournir de la haute qualité, deux joints et tu vas planer à des hauteurs telles que tu refuseras de redescendre.
Viens dans les chiottes, on va te faire gouter ce que nous avons à te proposer, nous, on ne vend que si le client a testé !
Je sens le piège, ils veulent voir si je me came vraiment, le paradis de la défonce, heureusement que dans ma jeunesse, j’ai fumée de la beuh.
Je sais tirer sur un joint et ça va simplement me donner un peu mal à la tête et après je pourrais repartir.
• Fais-nous voir ton fric, soit sans crainte, ici, c’est chez nous, aucun des petits dealers qui procure de la fumée au consommateur ne se permettrait de te tirer ton oseille.
Frédéric va dans une toilette, nous sommes chez les filles et revient avec un sachet.
Il fabrique un joint avec dextérité, l’allume et me le tend.
Il recrache la fumée, je tire, merde, c’est nettement plus puissant que ce que je fumais étant jeune.
• Tient la belle, bois un coup à cette gourde, le mélange fumette et cette mixture que je prépare moi-même va t’envoyer à des hauteurs que tu n’as jamais atteintes.
Dans mon dos, je sens comme une arme tenue par Victoria, je me sens piéger, je bois quelques gorgées de ce breuvage doux et bon à la foi.
• Encore une gorgée.
Je sens une main passer sur ma chatte, sans que je puisse avoir la moindre réaction.
Pourtant je sens ma chatte mouiller...
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aujourd'hui la suite...
Martine a des ressources
Martine a des ressources
Chris tu te surpasses l’inspecteur Martine semble à priori mal barrée. Daniel

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