COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (3/4) - histoire érotique

• Encore une gorgée !

Je sens une main passer sur ma chatte, sans que je puisse avoir la moindre réaction.
Pourtant je sens ma chatte mouiller.

Ce sont les mots que j’entends alors que victoria doit me pointer une arme dans le dos et qu’elle me passe la main sur ma chatte.

• Regardez là, cette conne, un manche de balayette à merde dans son dos et elle fait tout ce que nous voulons.
Martine, oui nous savons qui tu es, je savais que vous étiez après-nous depuis que ces connards de villageois sont venus vous signaler des lumières près des ruines de l'abbaye Sainte-Marguerite.
Nous savons qui vous êtes toi et ton adjoint lorsque vous êtes venus roder et chercher pourquoi nos adeptes sont venus cette nuit-là.
Tu sens, pardon tu ressens tout, mais tu es incapable de bouger le moindre de tes petits doigts.
Frédéric avec tes gars, porte cette salope dans notre camionnette afin que nous prenions le chemin de notre Abbaye où nous allons retrouver nos adeptes.

Je suis saisi comme un vulgaire paquet de linge sale.
Je sens des mains me palper, même me caresser et j’ignore comment je sors et comment je suis jeté dans une camionnette.
Les portes se referment, nous nous mettons à rouler, ça sent mauvais pour moi, Claude aurait dû intervenir.
Lui moins en contact que moi devait garder son arme et arrêter tous ces malades.

• Jules, roule en respectant parfaitement la route, nous sommes à quelques heures du grand moment, inutile de prendre des risques.
En attendant je vais mettre au parfum cette inspectrice de police et lui faire savoir à quoi elle va me servir dès que nous serons à son lieu de sacrifice.
Mettez là à poil, nous lui mettrons sa cape au moment de la descendre dans la crypte.

Abbaye, crypte, sacrifice, je sens bien que je suis mal barré, je dois être dans les mains d’un groupe de satanique qui va me sacrifier à un dieu quelconque.

• Martine, je suis depuis ce soir, la dernière représentante des sorcières de Salem venue du Massachusetts.
Comment je le sais, mon père est décédé accidentellement il y a un an ?
J’ai reçu d’un notaire, une boîte de celui-ci en héritage avec une clef et une lettre.
Il me disait que ma mère et moi étions les descendantes de la vingtième sorcière étant bébé avait atterri en France.
Dans la lettre il m’indiquait dans quel meuble se trouvait les preuves de ma filiation et ce que devait être l’avenir.
Dans les écrits, il était dit que seulement 19 sorcières avait été brûlée, mais il restait la vingtième encore bébé, caché par sa mère et élevée par sa servante comme sa fille.
Cette femme avait émigré vers la France et était venue se réfugier à Bouilland au moment de la révolution.
Mon ancêtre a grandi et y a développé un domaine viticole.
C’était mon arrière-arrière-grand-mère.
Maman aurait dû être celle qui aurait dû faire revenir Satan ce soir de pleine lune, mais elle refusait d’assumer cette charge qui me revenait.
Frédéric, elle est à poil, mais c’est inutile de lui mettre ton poing dans la chatte, tu vas la faire jouir intérieurement.

Cette petite pute, a raison, je sens au fond de moi que ça bouge sans que moi je puisse bouger, j’ai l’impression d’avoir perdu mon enveloppe extérieure, mais être bouillante de l’intérieur.
C’est certain à ce que dit Victoria, je me fais fister pour la première fois et je viens d’avoir deux orgasmes sans que le moindre de mes yeux n’ait battu.
Depuis que j’ai fini de boire, j’ai l’impression que je regarde fixement le plafond de cette camionnette.

• Je te parlais de maman, Jennifer, tu l’as connu, du moins tu en as entendu parlé.
Elle a préféré la bite de ce connard de flic venu constater le décès de papa à son rôle ce soir de pleine lune et où tu vas me servir pour faire revenir Satan sur terre.
Je t’ai dit que c’était la dernière sorcière restante sur terre qui devant nos fidèles venus des quatre coins du monde devait faire revenir Belzébuth le dieu des ténèbres le tout-puissant sur cette terre.
Notre domaine doit être en cendres à ce moment, Frédéric est mon bras droit et non mon mac comme ma mère l’a cru.
Il a placé les charges qui ont dû se déclencher et mis le feu à des sarments qu’elle garde pour les vendre dans nos caves.
Pour elle, tout se vend, jusqu’à la moindre brindille.
Dommage, j’aurais bien voulu voir le feu de bois qu’elle va faire et ainsi rejoindre ses ancêtres de Salem, me laissant seule, le faire revenir ce soir grâce à toi.

Je suis dans la merde, la merde, la merde, essaye de bouger, que je suis conne, Victoria m’a dit que sa mixture c’était elle qui me paralysait.

• Je te parlais des écrits que j’ai pu consulter, une première fois, j’ai réuni nos fidèles dans la crypte de notre Abbaye.
C’est Frédéric qui nous a fourni la pute que j’ai sacrifiée sur l’hôtel en marbre.
C’était la fille d’un détenu qu’il avait connu en prison et qui est toujours incarcérée.
Vingt ans, il était dit que la première devait avoir cet âge.
Je l’ai frappé au cœur avec cette dague que mon père m’a laissée.
La table a fait son office, et le sang récupéré dans un calice volé dans une église de la région, a permis à mes fidèles femelles de boire une gorgée de son sang.
Tu es inspectrice de police, tu dois te demander où Frédéric et les garçons qui sont là à ma disposition, l’ont enterré.

Inspecteur et non inspectrice, si cette petite pute, m’a suivi jusqu’à me faire boire sa mixture qui me paralyse, elle doit savoir que j’exècre que l’on dit inspectrice.
Il est vrai dans la position où je me trouve, elle se fiche royalement de mon aversion d’être traité de ce mot que je n’ose même pas prononcé.

• Frédéric, toi et tes hommes, surveillés qu’elle reste sous l’emprise de la drogue que j’ai fabriquée avec la formule laissée par mon père dans son grimoire.
Arrêtez de lui caresser les seins, vous savez que ce sont nos fidèles qui doivent l’arrosé de leur sperme, mélanger à son sang et que leur compagne doivent boire.
Ses ossements, comme ce soir tes ossements vont les rejoindre, c’est à gauche de la colonne encore debout qu’elles sont enterrées.
C’est en enterrant la deuxième, une institutrice de trente ans, que Frédéric a été chercher dans le haut Doubs, que j’ai sacrifié, que ces connards de villageois ont failli faire tout capoter.
Quelle jouissance de vous voir chercher avec ton acolyte et passer à quelques centimètres de trouver notre lieu de réunion.
Vous voir repartir la queue basse, m’a apporté tant de jouissance, moi qui suis vierge !
C’est Satan dès son retour tout à l’heure grâce à ton sang qui s’accouplera avec moi et je lui donnerais l’enfant qui va rapidement dominer le monde.

Prends ton temps, espèce de connasse, pour perdre ton pucelage et dire que Fred croit que Frédéric va te faire faire la pute !
C’est à l’asile qu’il faut te conduire, tu y aurais largement ta place.
Je me mare, sans bouger un cil, je l’insulte alors que je devrais trembler devant autant de conneries.

• Chacun se souvient d’Hitler et bien d’autres dictateurs !
Le fils de Satan serai mille fois, dix mille fois plus puissant que ces mannequins de pacotille et moi je règnerais, comme le disent les écrits, à la droite de mon fils.

Je comprends de plus en plus que cette fille est complètement maboule et que je vais servir à une expérience sans lendemain, qui peut croire que du sperme et du sang, mon sang, pourront engendrer la plus grande catastrophe du siècle.
Merde, Claude, fait quelque chose, je promets de baiser avec toi si tu me sors de ce cauchemar.
Mieux, chaque matin en arrivant au commissariat, nous irons dans les chiotes et je te sucerais la queue et ton sperme, pas celui de ces guignols, avec leur chapeau pointu, qui appellent Satan.


• Nous arrivons dans deux kilomètres, ton chef est con.
Dans les écrits, il était dit « une première jeune de vingt ans, » c’est fait, « la deuxième de trente, » là aussi c’est fait, je l’ai saigné à blanc et elle repose à côté de la première. »
Et maintenant « la dernière quarante, » c’est toi qui vas t’y coller, soit sans crainte, grâce aux deux premières, j’ai appris à frapper juste.

La camionnette s’arrête, je vois la lune toute ronde me permettant de voir comme en plein jour.
Mes yeux voient, mais sans qu’il bouge, tient bonsoir, vous qui êtes-vous avec votre robe noire et c’est étrange chapeau pointu sur la tête me cachant vos visages.
Qu’est-ce que vous dites, à oui je finis par comprendre, malgré mes oreilles qui bourdonnent ?
« Satan, Satan, Satan, Satan. »
Je m’arrête là, vous n’avez que ce mot à la bouche !
Je pourrais continuer sur des pages entières.
Tient, c’est une idée, ça retardera la cérémonie et ça lui permettra d’arriver.
Je me permets de te proposer ça, attends, je commence, il va de soi que comme le reste, mes lèvres refusent de bouger, elles font partie de mon enveloppe extérieure.
« Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan. »
Il faut respirer, même si c’est dans ma tête.
« Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan, Satan. »

C’est fatigant à la fin, je sens que l’on me soulève et qu’ils doivent me descendre dans la crypte, des torches doivent diffuser leur lumière.
Tient une croix, pourquoi est-elle fixée à l’envers ?
À oui, Satan, tient, ils ont dû me poser sur mon hôtel, ils m’ont lâché sans que je le sente.
Que leur messe noire commence, que ma messe noire commence...