COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (4/4)
Que leur messe noire commence, que ma messe noire commence.
Je deviens folle, trouve plutôt quelque chose, tu es bonne dans ce domaine, mais là, je sèche.
Si au moins j’avais ma langue de disponible, comme avec Marie et Ruby, je la promènerais sur la chatte de cette petite salope, qui veut jouer les apprentis sorcières.
Ça la calmerait un peu de vouloir m’embrocher en évoquant Satan.
J’ignore ce qu’on prit cette bande de tarés, combien sont-ils hommes et femmes confondus, à incanter celui dont ils veulent son retour croyant dominer le monde.
C’est con de compter alors que Victoria vient de monter la lame au-dessus de moi, la tenant à deux mains pour me la planter directement dans le cœur.
Tiens, s’est vrai, et si je pensais à mes enfants !
C’est con, ils sont chez mes parents, je préfère les abandonner chez eux que de les voir grandir auprès de moi.
Oui, mais c’est principalement dû à mon métier, il est si prenant que j’ai peu de temps pour eux.
Au moment où l’on sait que l’on va mourir, tout est bon pour se disculper de ses responsabilités.
Avant, j’avais du temps pour eux, bizarrement ça a concordé avec mes dix ans de fidélité à Jules mon époux, devenu depuis le cocu de service.
En plus dans ce temps-là, j’étais mono sexe, seule sa bite m’intéressait, et depuis que je suis devenue bisexuelle, même les sexes féminins ont de l’intérêt pour moi, le temps me manque pour eux.
Lécher une bonne chatte, gluante de cyprine et accepter la réciprocité par l’une de mes congénères, j’apprécie de plus en plus.
Victoria et si tu laissais tomber cette dague pour après te foutre à poil, tu verrais ma langue entrerait dans ton petit cul de pucelle.

• Mesdames les servantes de celui qui va venir nous sauver, albali, alibabala, aloléa, icra.
Je viens de l’invoqué ça le réveil de ses ténèbres.
Branler vos compagnons afin qu’ils viennent dès qu’ils sont prêts arroser celle qui, par son sang sur votre semence le faire renaitre pour l’éternité, oboso, Ibiza, blacas, rodarie.

Je commence rapidement à être couverte de sperme, ça doit coller, mais je ne sens rien, je vois seulement que ça me gicle dessus.
Qu’a pris cette fille, pour délirer de la sorte ?
Ses yeux, au fil des minutes semblent lui sortir de la tête, serait-ce possible que ce tissu de conneries qu’elle débite fasse revenir le malin comme je l’ai déjà entendus dire.

• Oui, verser votre sperme, jusqu’à la dernière goutte, voici le dernier de nos adeptes qui se présente, aliba, jactaesse, coca, verra, incantara.
Que mon coup de poignard te ressuscite maître des ténèbres.

Je serais au spectacle genre Puits du fou, ou nous avons emmené les enfants pendant un week-end pour une foi en famille.
Ces torches aux flammes incertaines, ce bruit de tonnerre, qui se met à gronder, certainement venu d’un magnétophone diffusant de la musique enregistrée.
La drogue doit me faire halluciner, les torches prouvant le manque d’électricité dans ces ruines où elle m’a fait porter.
Sans oublier ces croix renversées et ces marionnettes avec leur chapeau à pointe, serait un bon spectacle.
Mais le spectacle va tourner en ma défaveur, surtout que l’actrice principale, il me semble que c’est moi.

• Mademoiselle, lâcher ce poignard et laisser les mains en l’air, sinon je me verrais dans l’obligation de tirer.

Comme dans les mauvais westerns en noir et en noir, j’entends le bruit d’une détente et un troisième œil apparait sur le front de la jolie Victoria.
Hélas, elle tombe vers l’avant et l’avant c’est moi qui m’y trouve.
L’instinct de survie ou l’effet de la drogue anesthésiante qui s’estompe, j’arrive à me tourner sur le côté.
La lame me frôle, elle doit même m’entailler, car ça me brûle avant qu’un bruit de métal se brisant sur la table de mon sacrifice et le corps de Victoria me tombant dessus parviennent à mes oreilles.

• Martine, excuse mon retard, je t’expliquerais lorsque nous aurons menotté tous ces maboules qui voulaient te tuer.
Remets tes affaires, un CRS vient de me les apporter, elles étaient dans la camionnette en surface.

Ça grouille de partout, surtout des hommes tout de noir vêtu eux sans chapeau pointu, mais avec des casques, ceux que nous voyons à la télé les jours de manifestation.

• Madame, venez dans cette ambulance, on va soigner votre dos, la lame qui vous a entaillé mérite quelques points de suture.

On s’occupe de moi, je sens que les effets ont complètement disparu et des médecins et infirmières sont aux petits soins pour moi.

• Martine, j’ai failli te perdre dans la boîte, jusqu’à ce que je comprenne qu’ils te faisaient sortir par l’arrière.
C’est grâce à un vigile de la société de surveillance que j’ai pu te retrouver !
• Marc ?
• Peut-être, j’étais pressé, excuse d’avoir évité de perdre du temps en lui demandant son nom, ayant eu du mal à passer par l’arrière je suis revenu sur l’entrée principale.
Tout ce que je peux te dire, c’est qu’il était grand et qu’il était métissé.
Ce vigile, m’a donné le numéro de la plaque d’une camionnette qui venait de démarrer, AA-001-AA.
J’ai rejoint ma voiture et j’ai commencé à tourner sur la ceinture de la ville en appelant Sumatra pour lui donner le numéro de plaque qu’il puisse faire des recherches.
Rapidement, il m’a dit qu’elle correspondait au domaine François Ragin du village de Bouillant.
Là, tu as eu de la chance, j’arrivais juste à la route à droite que je devais prendre et éviter de refaire un tour gratuit comme au manège.
J’avais donné l’ordre à Sumatra de prévenir le commissaire, il m’a dit qu’il joignait Fred et la CRS basé à Chalon et qu’ils se mettaient en route en quelques minutes.
Ils cernent tout le secteur et tu peux regarder, ils ont investi la crypte en même temps que moi, tous ces tarés sont bloqués ici.

La situation semble maitrisée, Claude a été à la hauteur, Fred aussi il est là devant moi.
Je rajuste la couverture de survie qu’ils m’ont mise sur le dos, je suis conne, j’ai montré ma chatte à environ une centaine de personnes et mon amant qui me regarde, ça me gêne.
Près de moi, Victoria, sur une civière, passe dans un sac pour personne décédée.
Certainement direction Dijon et l’institut médico-légal où elle va être découpée sa boîte crânienne ouverte pour voir ce que son cerveau contenait en tissu de conneries.

• Mais dit-moi Claude, comment as-tu atterri dans ces ruines à temps pour me sauver ?
• Le pot, un grand cou de pot, tu vois ce couple tout de noir vêtu comme les autres !
• Et alors ?
• Je suis passé devant les ruines sans voir quoi que ce soit, j’avais un but, le domaine Ragin.
Lorsque je suis arrivé, il était en feu, j’ai compris que la petite fête ou ils avaient prévu de t’emmené se passaient ailleurs.
J’ai pensé aux ruines et je suis revenu sur mes pas.
J’ai découvert toutes ces voitures arrêtées et surtout le bruit de grondement venu de la terre.
On faisait la fête sous mes pieds.
Nous étions venus voir ces lumières que les villageois avaient vues et la chance m’a souri et surtout pour toi Martine.
Une voiture est arrivée tous ses feux éteints, un couple venu de l’aéroport de Dijon où ils avaient réservé une voiture, mais qui les avait retardés arrivait.
Tu vois, ils sont là tenus en respects par des CRS, ils m’ont fait voir comment rentrer derrière un tas de pierres.
La première fois, j’ai reconnu être passé devant, mais sans en faire le tour, tu as failli mourir, par ma faute et le retard que cela a engendré.
J’ai dévalé les marches quatre à quatre, j’ai vu l’étendue du désastre à deux doigts de te faire embrocher.
J’ai fait les somations d’usage et j’ai été obligé de tirer, un vrai carton comme au stand de tir, en plein dans le mille.
• Merci Claude, tu es le meilleur, pour ton oubli, on oublie, le principal c’est que nous soyons tous vivant.

Sur l’épitaphe de Victoria, nous pourrions lire, « ici git, celle qui se croyait capable de ressusciter ce connard de Satan. »
Ce que je sais, c’est que tout ce petit monde a été chargé dans des fourgons appelés par les autorités dites compétences, comme monsieur le préfet directement relié avec le premier personnage de France.
Identité prise, toute cette bande de tarés ont tous été relâchés.
Les prisons sont pleines et il faut dire que ces messieurs-dames en robe noire et avec leur chapeau pointu avaient parmi eux, de quoi faire vaciller la 5ème République.
Association de malfaiteurs, ce doit être ce qui va être porté sur leur casier judiciaire.
À la suite de cette affaire, une vague de faillite a eu lieu en France et certaines, comme celle d’un couple d’antiquaires d’un village proche des ruines en a fait partie.
La droguerie d’un autre village où ils espéraient que Satan arrangerait leur situation.
Et nous direz-vous ?
La police, on a reçu une médaille, ça ne coute rien, en l’État de faillite de notre pays, mais ça fait toujours plaisir.
Marc a reçu la sienne, ce qui m’a permis de le retrouver sans avoir à chercher.

• Marc, es-tu libre ce soir, je veux t’inviter dans les trois étoiles d’une ville voisine.
• Et si je t’invitais chez moi, nous pourrions regarder ensemble tes cours t’ayant permis de passer inspectrice de police Martine.
• Tu pars d’un mauvais pied, Marc, inspecteur et non inspectrice, j’y tiens.
Et si tu m’invitais à boire un premier, dernier verre !

En prononçant ces mots, ma main sur son pantalon, est venue tâter la marchandise.
Il était métisse, car papa avait une bite plus noire que la sienne et sa maman aimait les hommes de couleur.
C’est la première moi aussi que je suce, mesdames vous qui fantasmez sur ces hommes à bite de couleur, après ma première fois, aucune différence avec celle de Jules ou Fred et consorts.
Un point de détail, ayant son importance, j’ai dit oui avec fidélité pour celle de Jules et d’infidélité, une de plus, pour celle de Marc.
Excusez, il veut me baiser en levrette le temps qu’il enfile sa capote.
Que la fête commence, hors d’une crypte où l’hôtel a été brisé en mille morceaux et l’entrée boucher par plusieurs tonnes de béton.
J’étais là avec Fred et Claude à regarder les toupies ce suivre les unes aux autres et déverser leur cargaison.
Je ne saurais jamais si le sperme de ces connards et mon sang l’aurait fait revenir.
Si d’autres veulent tenter l’affaire, ils pourront essayer, moi il m’en reste une grande cicatrice dans le dos avec quelques points de suture.
Les messes noires, j’ai donné.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très beau chapitre écriture claire et final qui sauve notre héroïne Martine qui se complet dans l’adultère pauvre Jules.



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Messe noire (4/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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