COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (10/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (10/11)
• Ah ! ah ! ah !...........................
C’est ah ! ce sont ceux de ma jouissance lorsqu’en rentrant de chez les Lupin, je me suis masturbée après avoir pris un refus de rapports saphique par Christine la femme de mon commissaire.
• Ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! Oui………
C’est ha ! ponctué d’un oui trainant, ce sont ceux que j’émets après le retour de Jules et de mes enfants au foyer conjugal.
• Ma chérie, je suis heureux après dix ans que je te fasse prendre ton pied avec autant de plaisir !
Mais attention aux enfants, ils grandissent et ils pourraient nous poser des questions, si tu as eu mal quelque part pour hurler comme tu l’as fait.
Quels parents peuvent dire que cette question ils ont la chance de ne pas se la poser ?
Christine et Anatole, leur couple semble avoir été stérile, à moins que j’ignore qu’ils aient des enfants !
Est-ce dû à la confirmation qu’à demi-mot, Christine m’a fait entendre lorsqu’elle a évoqué son mariage un peu forcé et un détail dont elle a voulu me taire la réalité.
Est-ce être faux cul de lui avoir caché que je connaissais ce secret, en ce moment je suis dans les deuxièmes séries de ces « ha ! » après que j’ai sucé mon homme, qu’il en ait fait de même avec ma chatte et que je l’ai reçu en moi.
Suis-je rassuré dès que Jules m’a pris dans ses bras après avoir enlevé son pyjama me montrant son envie qu’il avait de moi ?
S’il avait eu une autre manière de se comporter aurais-je pensé qu’il m’avait trompé dans son périple japonais.
Mon mari aime-t-il faire l’amour à des femmes aux yeux bridés ?
C’est drôle, c’est la première fois que je me pose la question, ai-je peur que mes frasques débordent de son côté ?
Lorsque nous avons été ensemble à Tokyo comme je l’ai dit, nous avions été voir un spectacle de Geisha, sans la partie sexuelle du temps de leurs splendeurs.
J’ai décidé d’être franche, je me suis royalement emmerdée à les voir exécuter leurs danses traditionnelles et de jouer de leurs instruments d’époque.
Avec Jules avant les enfants, je suis allée passer une soirée à Pigalle, d’abord traditionnellement au moulin rouge et son célèbre French Cancan !
Mais après une boîte avec des effeuilleuses qui ont fait bander mon homme et m’ont fait mouiller la chatte.
De retour à notre hôtel, l’un et l’autre ont éteint le feu en nous en baisant avec les images de ses filles très bien foutues et sans pudeur lorsqu’elles nous montraient leur féminité.
Ce spectacle était vivant alors que les Geishas ressemblaient à ces images d’Épinal que je collectionnais dans ma jeunesse.
C’est plusieurs jours plus tard, que j’ai reçu un coup de téléphone sur mon portable.
J’ai décroché.
• Martine, c’est Marie, tu te souviens le proviseur du lycée.
Ça fait des jours que je regarde la presse régionale, vous avez trouvé l’assassin de Valentin sans que j’apparaisse, il me semble, dans ton enquête comme tu m’avais promis d’essayer de le faire.
Je t’en remercie, tu as sauvé ma situation et la réputation de mon lycée.
Si mes rapports avec mon élève s’étaient ébruités, c’est tout le collège qui se serait retrouvé au centre d’un scandale.
• Sans rancune, Marie, il faut bien s’entraider entre femmes, j’ai moi aussi des choses à me faire pardonner, suis-je toujours irréprochable dans mon comportement.
• Serais-tu libre samedi prochain ?
J’aurais voulu te remercier en t’invitant au restaurant, j’en connais un très bon à Chagny !
• Va pour un restaurant, malgré que ce soit Claude mon adjoint qui a tout fait en rédigeant son rapport, il ignorait la salope que tu es.
• Tu as raison de me traiter de salope, j’étais devenue folle après ma séparation avec mon militaire de mari et ça a faussé mon jugement.
Le samedi suivant, je passe devant l’hôtel restaurant « Les Grands Crus, » il y a un calicot avec marquer « Changement de propriétaire, » mais surtout l’établissement a été rebaptisé « Hôtel restaurant de la route des vins ».
Nul doute que cet hôtel a dû perdre de son charme, ce nouveau propriétaire ayant certainement supprimé les glaces dans la chambre de mes premiers débordements, sinon pourquoi en changer de nom.
Je me gare non loin du restaurant « Lameloise » trois étoiles bien connues en Bourgogne, du moins connu de Jules qui m’a promis de m’y emmener un jour.
C’est dans une petite salle que je retrouve Marie.
Le restaurant est comble malgré le prix des repas, mais la façon dont le restaurant composé de plusieurs salles comme la nôtre nous permet une certaine intimité.
• Prendrez-vous du vin mesdames ?
Marie a devant elle la carte des vins.
Le cadre, les étoiles et les plats succulant avec en plat principal un chapon de Bresse, le prix de la bouteille de « pommard, le château, grande réserve » doit lui coûter un bras.
Chagny, secteur gendarmerie, mon aventure au retour de Tourcoing me dissuade malgré mon appartenance à la grande maison d’avoir affaire à eux à mon retour à Beaune.
Marie qui au cours du repas me prend la main sous couvert de continuer à me remercier, mais de l’autre vide la bouteille de vin.
• Martine, j’ai eu si peur de tout perdre à cause de ma légèreté, je sens que j’ai trop bu.
Je suis incapable de rentrer, peux-tu me raccompagner, je m’arrangerais pour revenir récupérer ma voiture !
Elle passe payer, titubant légèrement, elle doit sentir la douloureuse, surtout qu’après le dessert elle a commandé une poire en verre dégustation.
Moi je me suis contentée du dessert.
• Mesdames, revenez quand vous voulez, vous serez toujours les biens venus.
Comme je l’ai dit, j’ignore l’addition qu’elle a règlée, mais on peut nous dérouler le tapis rouge afin que nous revenions.
J’arrive non moins du restaurant changeant de proprio, lorsqu’une gendarmette me demande de me garer.
Ford de mon expérience et sur de mon alcoolémie, je me gare sans moufter qui je suis.
• Martine, c’est toi, si j’avais su, je t’aurais laissé passer, nous faisons des contrôles de permis et d’assurance.
Des gendarmeries différentes et des attitudes aussi différentes, Georgette je la connais, elle vient de temps en temps au commissariat.
• Ben dit donc, ta voisine à l’air bien amoché, tu sais que je devrais te verbaliser, elle devrait être à l’arrière, mais comme c’est toi, va et fait attention.
Arrivé devant le lycéen, je réveille ma passagère.
• Veux-tu m’aider à rentrer, mes jambes sont lourdes.
Embrasse-moi, je suis seule chez moi !
Qui pourrait dire que j’ai dragué Marie, volontairement pour la mettre dans mon lit.
C’est dans son lit que je la conduis ayant récupérée ses clefs dans son sac à main.
Je vois la note qu’elle a payée, j’avais raison, mon aide lui a coûté un bras et même une jambe.
C’est à mon cou, qu’elle s’accroche, je la déshabille, lorsqu’elle est nue, la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre.
Je laisse Marie quelques instants, qui peut lui rendre visite ?
• Laurent, que faite-vous là ?
• Encore vous, je venais simplement m’excuser de mon comportement !
• Je lui dirais, merci de votre démarche.
Et je lui claque la porte au nez, retournant vers Marie, je crains qu’elle ne soit malade et que je sois obligée de changer les draps.
Il m’est arrivé de me cuiter, je me souviens de la réussite à mon examen de police.
Rentrée chez mes parents, plutôt comme je viens de le faire, raccompagnée chez moi.
Jules étant encore un inconnu pour moi, ma mère m’avait mis un saladier près de moi.
Je passe vers la cuisine impeccablement rangée et après quelques recherches j’en trouve un.
Je suis à deux pas de la porte d’entrée me dirigeant vers la chambre de ma poivrote à quelques milliers d’euros, lorsque la sonnette se fait de nouveau entendre.
• Je t’ai dit de laisser Marie tranquille, oh ! pardon, qui êtes-vous et que me voulez-vous ?
• Je me demandais comment j’allais être reçu, mais là je dois reconnaitre que la façon que vous avez de m’agresser, j’étais loin de l’avoir imaginé.
Je m’appelle Luc et je suis le mari de Marie, la proviseure du lycée voisin.
• Luc, entrez, vous allez m’aider à remettre sur pied mon amie qui a un peu abusé de la bouteille de pommard.
• Marie a toujours eu des goûts de luxe lors de ses cuites lorsqu’un malaise la frappe.
Allons lui porter ce saladier, un instant j’ai pensé que vous étiez en train de préparer des crêpes, j’adore les crêpes !
Nous retournons dans la chambre, Marie dort, je lui pose le saladier à sers côtés.
• Elle m’a dit que vous habitiez à Chalon à la caserne Carnot et qu’elle a fait croire à tous que vous étiez au Mali alors que ce n’était pas vrai !
• D’abord, à qui ai-je l’honneur et que faite vous auprès de ma femme, sa nounou, elle est un peu vieille pour en avoir une ?
• C’est vrai, je me nomme Martine et c’est moi qui ai été chargé de l’enquête après un meurtre ayant eu lieu dans son collège.
• Un moment vous l’avez cru coupable, je connais ma femme et la déontologie qui est la sienne, j’ai lu que c’était un élève qui avait été poignardé avec un tournevis.
Une nouvelle fois, je me retrouve en terrain glissant, dois-je en dire plus au risque de compromettre de nouveau Marie ayant été légère avec ce petit con de Laurent...
C’est ah ! ce sont ceux de ma jouissance lorsqu’en rentrant de chez les Lupin, je me suis masturbée après avoir pris un refus de rapports saphique par Christine la femme de mon commissaire.
• Ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! Oui………
C’est ha ! ponctué d’un oui trainant, ce sont ceux que j’émets après le retour de Jules et de mes enfants au foyer conjugal.
• Ma chérie, je suis heureux après dix ans que je te fasse prendre ton pied avec autant de plaisir !
Mais attention aux enfants, ils grandissent et ils pourraient nous poser des questions, si tu as eu mal quelque part pour hurler comme tu l’as fait.
Quels parents peuvent dire que cette question ils ont la chance de ne pas se la poser ?
Christine et Anatole, leur couple semble avoir été stérile, à moins que j’ignore qu’ils aient des enfants !
Est-ce dû à la confirmation qu’à demi-mot, Christine m’a fait entendre lorsqu’elle a évoqué son mariage un peu forcé et un détail dont elle a voulu me taire la réalité.
Est-ce être faux cul de lui avoir caché que je connaissais ce secret, en ce moment je suis dans les deuxièmes séries de ces « ha ! » après que j’ai sucé mon homme, qu’il en ait fait de même avec ma chatte et que je l’ai reçu en moi.
Suis-je rassuré dès que Jules m’a pris dans ses bras après avoir enlevé son pyjama me montrant son envie qu’il avait de moi ?
S’il avait eu une autre manière de se comporter aurais-je pensé qu’il m’avait trompé dans son périple japonais.
Mon mari aime-t-il faire l’amour à des femmes aux yeux bridés ?
C’est drôle, c’est la première fois que je me pose la question, ai-je peur que mes frasques débordent de son côté ?
Lorsque nous avons été ensemble à Tokyo comme je l’ai dit, nous avions été voir un spectacle de Geisha, sans la partie sexuelle du temps de leurs splendeurs.
J’ai décidé d’être franche, je me suis royalement emmerdée à les voir exécuter leurs danses traditionnelles et de jouer de leurs instruments d’époque.
Avec Jules avant les enfants, je suis allée passer une soirée à Pigalle, d’abord traditionnellement au moulin rouge et son célèbre French Cancan !
Mais après une boîte avec des effeuilleuses qui ont fait bander mon homme et m’ont fait mouiller la chatte.
De retour à notre hôtel, l’un et l’autre ont éteint le feu en nous en baisant avec les images de ses filles très bien foutues et sans pudeur lorsqu’elles nous montraient leur féminité.
Ce spectacle était vivant alors que les Geishas ressemblaient à ces images d’Épinal que je collectionnais dans ma jeunesse.
C’est plusieurs jours plus tard, que j’ai reçu un coup de téléphone sur mon portable.
J’ai décroché.
• Martine, c’est Marie, tu te souviens le proviseur du lycée.
Ça fait des jours que je regarde la presse régionale, vous avez trouvé l’assassin de Valentin sans que j’apparaisse, il me semble, dans ton enquête comme tu m’avais promis d’essayer de le faire.
Je t’en remercie, tu as sauvé ma situation et la réputation de mon lycée.
Si mes rapports avec mon élève s’étaient ébruités, c’est tout le collège qui se serait retrouvé au centre d’un scandale.
• Sans rancune, Marie, il faut bien s’entraider entre femmes, j’ai moi aussi des choses à me faire pardonner, suis-je toujours irréprochable dans mon comportement.
• Serais-tu libre samedi prochain ?
J’aurais voulu te remercier en t’invitant au restaurant, j’en connais un très bon à Chagny !
• Va pour un restaurant, malgré que ce soit Claude mon adjoint qui a tout fait en rédigeant son rapport, il ignorait la salope que tu es.
• Tu as raison de me traiter de salope, j’étais devenue folle après ma séparation avec mon militaire de mari et ça a faussé mon jugement.
Le samedi suivant, je passe devant l’hôtel restaurant « Les Grands Crus, » il y a un calicot avec marquer « Changement de propriétaire, » mais surtout l’établissement a été rebaptisé « Hôtel restaurant de la route des vins ».
Nul doute que cet hôtel a dû perdre de son charme, ce nouveau propriétaire ayant certainement supprimé les glaces dans la chambre de mes premiers débordements, sinon pourquoi en changer de nom.
Je me gare non loin du restaurant « Lameloise » trois étoiles bien connues en Bourgogne, du moins connu de Jules qui m’a promis de m’y emmener un jour.
C’est dans une petite salle que je retrouve Marie.
Le restaurant est comble malgré le prix des repas, mais la façon dont le restaurant composé de plusieurs salles comme la nôtre nous permet une certaine intimité.
• Prendrez-vous du vin mesdames ?
Marie a devant elle la carte des vins.
Le cadre, les étoiles et les plats succulant avec en plat principal un chapon de Bresse, le prix de la bouteille de « pommard, le château, grande réserve » doit lui coûter un bras.
Chagny, secteur gendarmerie, mon aventure au retour de Tourcoing me dissuade malgré mon appartenance à la grande maison d’avoir affaire à eux à mon retour à Beaune.
Marie qui au cours du repas me prend la main sous couvert de continuer à me remercier, mais de l’autre vide la bouteille de vin.
• Martine, j’ai eu si peur de tout perdre à cause de ma légèreté, je sens que j’ai trop bu.
Je suis incapable de rentrer, peux-tu me raccompagner, je m’arrangerais pour revenir récupérer ma voiture !
Elle passe payer, titubant légèrement, elle doit sentir la douloureuse, surtout qu’après le dessert elle a commandé une poire en verre dégustation.
Moi je me suis contentée du dessert.
• Mesdames, revenez quand vous voulez, vous serez toujours les biens venus.
Comme je l’ai dit, j’ignore l’addition qu’elle a règlée, mais on peut nous dérouler le tapis rouge afin que nous revenions.
J’arrive non moins du restaurant changeant de proprio, lorsqu’une gendarmette me demande de me garer.
Ford de mon expérience et sur de mon alcoolémie, je me gare sans moufter qui je suis.
• Martine, c’est toi, si j’avais su, je t’aurais laissé passer, nous faisons des contrôles de permis et d’assurance.
Des gendarmeries différentes et des attitudes aussi différentes, Georgette je la connais, elle vient de temps en temps au commissariat.
• Ben dit donc, ta voisine à l’air bien amoché, tu sais que je devrais te verbaliser, elle devrait être à l’arrière, mais comme c’est toi, va et fait attention.
Arrivé devant le lycéen, je réveille ma passagère.
• Veux-tu m’aider à rentrer, mes jambes sont lourdes.
Embrasse-moi, je suis seule chez moi !
Qui pourrait dire que j’ai dragué Marie, volontairement pour la mettre dans mon lit.
C’est dans son lit que je la conduis ayant récupérée ses clefs dans son sac à main.
Je vois la note qu’elle a payée, j’avais raison, mon aide lui a coûté un bras et même une jambe.
C’est à mon cou, qu’elle s’accroche, je la déshabille, lorsqu’elle est nue, la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre.
Je laisse Marie quelques instants, qui peut lui rendre visite ?
• Laurent, que faite-vous là ?
• Encore vous, je venais simplement m’excuser de mon comportement !
• Je lui dirais, merci de votre démarche.
Et je lui claque la porte au nez, retournant vers Marie, je crains qu’elle ne soit malade et que je sois obligée de changer les draps.
Il m’est arrivé de me cuiter, je me souviens de la réussite à mon examen de police.
Rentrée chez mes parents, plutôt comme je viens de le faire, raccompagnée chez moi.
Jules étant encore un inconnu pour moi, ma mère m’avait mis un saladier près de moi.
Je passe vers la cuisine impeccablement rangée et après quelques recherches j’en trouve un.
Je suis à deux pas de la porte d’entrée me dirigeant vers la chambre de ma poivrote à quelques milliers d’euros, lorsque la sonnette se fait de nouveau entendre.
• Je t’ai dit de laisser Marie tranquille, oh ! pardon, qui êtes-vous et que me voulez-vous ?
• Je me demandais comment j’allais être reçu, mais là je dois reconnaitre que la façon que vous avez de m’agresser, j’étais loin de l’avoir imaginé.
Je m’appelle Luc et je suis le mari de Marie, la proviseure du lycée voisin.
• Luc, entrez, vous allez m’aider à remettre sur pied mon amie qui a un peu abusé de la bouteille de pommard.
• Marie a toujours eu des goûts de luxe lors de ses cuites lorsqu’un malaise la frappe.
Allons lui porter ce saladier, un instant j’ai pensé que vous étiez en train de préparer des crêpes, j’adore les crêpes !
Nous retournons dans la chambre, Marie dort, je lui pose le saladier à sers côtés.
• Elle m’a dit que vous habitiez à Chalon à la caserne Carnot et qu’elle a fait croire à tous que vous étiez au Mali alors que ce n’était pas vrai !
• D’abord, à qui ai-je l’honneur et que faite vous auprès de ma femme, sa nounou, elle est un peu vieille pour en avoir une ?
• C’est vrai, je me nomme Martine et c’est moi qui ai été chargé de l’enquête après un meurtre ayant eu lieu dans son collège.
• Un moment vous l’avez cru coupable, je connais ma femme et la déontologie qui est la sienne, j’ai lu que c’était un élève qui avait été poignardé avec un tournevis.
Une nouvelle fois, je me retrouve en terrain glissant, dois-je en dire plus au risque de compromettre de nouveau Marie ayant été légère avec ce petit con de Laurent...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille j'en écrit une nouvelle en ce moment qui sera publier dans quelques jours
Toujours aussi improbable tes scénarios mon cher Chris.......
Cyrille
Cyrille