COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (3/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (3/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (3/11)
Dans quelle galère me suis-je encore fourré ?
Je vous rappelle que je suis l’inspecteur de police Martine Durand, rattachée au commissariat de Beaune en Côte d’Or.
Je suis mariée avec Jules depuis dix ans, nous avons deux enfants, cinq pour Sophie notre fille et sept pour Alexandre notre garçon.
Ils ont grandi d’une année depuis ma magnifique prestation dans l’affaire dite de l’hôtel restaurant « Les Grands Crus » sur la route des vins entre Beaune et Chagny en Saône et Loire.
Lorsque je parle de galère ou je me suis fourré, je devrais dire dans quelle galère Fred, mon ancien collègue ayant réussi par miracle le concours de commissaire de police, certainement un manque de candidats ayant le niveau et étant le moins con de tous ces postulants, m’a fourré.
C’est à Tourcoing dans le nord de la France qu’il a été nommé et ou il demande à mon propre commissaire de me faire venir soi-disant pour une affaire ou mes compétences peuvent l’aider.
Le commissaire Lupin me fait interrompt une deuxième magnifique affaire de meurtre pour aller l’aider dans les meilleurs délais dans sa ville.
Il semblerait que Lupin soit redevable à Fred sans qu’à aucun moment je sache de quoi il ressort.
Fred égale à lui-même malgré son poste de commissaire, a complètement détourné nos services pour des raisons personnelles.
Il souhaite briser le couple qu’il forme avec Lucie une jeune gendarmette travaillant sur son secteur.
Dès mon arrivée, il m’entraîne chez lui me fourrant dans son lit afin que nous soyons surpris par la jeune fille ce qui lui permettra enfin d’avoir le courage de rompre avec elle.
Le courage, on peut en parler, dès qu’elle arrive et qu’elle se dénude, c’est moi qu’il met en avant comme l’ayant contraint à venir dans son lit me faisant passer pour la salope de service, allant même jusqu’à l’appeler « Bibiche ».
La tournure prise par ces éléments me fait bien rire, de maîtresse attitrée de Fred, je deviens celle de Lucie, pour mon plus grand plaisir.
Empalé sur la verge de ce poltron, Lucie me fait lécher sa chatte écartant ses grandes lèvres pour m’aider à faire bander son clito.
J’ignorai, non pas ce que peut apporter une lesbienne à une autre lesbienne mais je suis obligée de constater que ma langue est capable de la faire jouir.
Le lit nous trouve dans divers mélanges au cours de ce début de soirée, comme en position 69.
Je suis sûr que tous connaissent à un détail près, Fred placé derrière Lucie, mes yeux voient sa verge rentrer dans l’anus de la petite.
Je repense à ma première tromperie de mon serment de fidélité à Jules.
Si Martha n’avait pas attiré mon attention dans la chambre voisine derrière la glace sans tain, aurions-nous remis le couvert et ma rosette aurait-elle eu droit au même traitement lorsque je vois le gros nœud de Fred l’écarter, forcer et finir par entrer par cette petite porte.

• Il est vingt heures, je viens de toucher ma prime d’engagement, je vous invite au restaurant avant de revenir continuer notre nuit et notre rencontre Martine.

Ce sont les propos de Lucie après cette première partie de jambes en l’air où je découvre le libertinage façon lesbienne.
Tourcoing, restaurant de la place, à quelques mètres de la mairie, ou nous mangeons avec bon appétit, baiser et jouirent sa creuse.
Il est vingt-deux heures, je dirais deuxième round, la chatte de Lucie est toujours aussi accueillante et mon cul aussi pour la verge de Fred.

• Bon retour Martine, je t’enverrais des invitations à notre mariage avec Fred, enfin je suis persuadée qu’avec ce qu’il m’a montré des perspectives un peu plus excitantes de notre couple, il me demandera rapidement en mariage.

Pour une opération foireuse et sans grand succès sauf pour mes connaissances en amour féminin, je roule sur l’autoroute.
Bien plus pénard qu’à l’aller, surtout que j’ai légèrement mal au cul revert de la sodomie que Fred m’a fait découvrir dans les deux jours que j’ai passés dans le Nord.
Lesbienne, sodomite, mon passage pendant deux jours auprès de ce couple atypique aura été un agréable divertissement pour une salope comme moi.
Coucou, merde, un motard qui vient de me rattraper et qui me fait signe de le suivre à hauteur de Joigny.

• Madame, vous avez été flaché à 150 au lieu de 130, veuillez montrer votre permis et les papiers du véhicule à la gendarmette devant vous !
• Bonjour mademoiselle, sont-ils roses ou bleus, voire écrus et ont-ils des froufrous ?
• De quoi parlez-vous, Stef, fait un Alcootest à madame, je crois qu’elle a dépassé la dose prescrite !
• Non, je m’excuse de cette question saugrenue, regardez ma carte et les papiers de mon véhicule, je suis de la maison poulaga comme vous !
• Stef as-tu entendu madame nous dire qu’elle est inspectrice de police, moi pas.
• Moi non plus Lucie, une voiture est passée en faisant énormément de bruit !
• Arrêter, je sais qu’entre la police nationale et la gendarmerie il y a souvent un peu de tension, mais je rentre à Beaune pour traiter une affaire de meurtre dans un de nos lycées.

Voilà comment je me retrouve dans une cellule pendant six heures avant que Stef et Lucie bien moins baisable que la Lucie de Fred avant que le commissaire Lupin débrouille mon affaire et me permet que l’on me laisse repartir.
Il est vingt-deux heures lorsque j’arrive chez moi, Jules et les enfants sont déjà couchés.
Je mange un reste de quiche lorraine que mon mari a dû faire pour les enfants, je me douche avant de me blottir le long de son corps ou je m’endors instantanément.
Le lendemain, Jules m’embrasse, il m’a préparé mon petit déjeuner, tartines beurrées avec de la baguette fraiche.
Oui, pourquoi je trompe Jules alors que c’est un amour de mari, il s’est levé avant moi et le chou est descendu à la boulangerie, certes au bas du petit immeuble où nous habitons.
Un aller-retour prenant cinq minutes, mais un aller-retour tout de même.
Je prends du thé qui infuse dans la théière, avant je prenais du café, mais je suis assez speed dès que j’ai décoincé alors j’ai arrêté.
Un baiser, un baiser à Sophie et Alexandre et je suis fin prête à affronter le commissaire Lupin suite à son intervention auprès de la gendarmerie de Joigny.
Les enfants, c’est lui qui va les déposer à l’école, tous les matins, Jules travaille dans le négoce de vin, ça lui donne une certaine liberté dans ses horaires et sa disponibilité, ce que je n’ai pas, comme l’on sait mon métier étant assez astreignant.
Quant à Lupin, j’ai un avantage sur lui, hier avant de partir, je me suis retrouvée là aussi seule avec Fred quelques minutes, Lucie la sympa adepte de ma chatte étant sous la douche.
Je lui ai posé la question s’il pouvait me dire, pourquoi notre commissaire lui était redevable cz qui lui avait permis de me faire venir pour son affaire foireuse ?.
On commence à connaitre Fred, plus près de sa queue que de son QI très proche de zéro, je sais, il a été reçu à son examen de commissaire, sa réponse a été la suivante.

• C’est simple, tu connais Yolande, tu as dû savoir qu’elle fait partie de mes ex !
• Dis-moi qui ne fais pas partie de tes ex au commissariat de Beaune ?
• C’est vrai, tu as été la plus difficile à séduire, j’ai même eu de la peine pour Jules lorsque tu t’es donné dans la chambre des glaces.
Pour Yolande, la secrétaire, c’est la première qui m’a sucé la queue dès que j’ai débarqué comme jeune inspecteur.

Yolande, la grande rousse qui m’avait permis de résister à l’attaque de Fred en venant dans les toilettes avec Sylvie fumer une cigarette ce qui est interdit à l’intérieur du commissariat et parlé de leur expérience avec Fred.

• En début de soirée, j’étais parti intervenir dans une affaire de tapage dans un couple.
Je te passe les détails, ça serait mal venu après ce que nous avons fait dans la chambre aux glaces et depuis deux jours avec Lucie.
Ce que je peux te dire, c’est que le mari était parti et que sa femme se trouvait seule, ça a été facile de passer un moment auprès d’elle.
Je l’ai consolé d’avoir un mari colérique en la baisant dans sa cuisine.
Je te passe les détails, lorsqu’elle s’est couchée les seins sur la table et que je l’ai fait jour comme toi et Lucie.

Quel salopard, mais quelle belle bite, ça lui donne un avantage sur sa bêtise, j’aurais pu dire sa connerie, mais je suis une femme ayant quelques principes.
Je sais, depuis que j’ai vu la chambre aux glaces, j’ai très largement écorché ces principes surtout ceux pris devant monsieur le maire et le curé dans ma robe blanche.

• Lorsque je suis revenu, Lupin se croyant seul, se faisait sucer par cette salope.
Je les ai regardé faire, je me suis remis à bander.
Il l’a aidé à se relever et il l’a couché sur son bureau avant de lui ôter sa petite culotte.
As-tu déjà vu la queue de Lupin ?
• Pour qui me prends-tu, tu es le seul avec qui j’ai trompé mon mari et à cause des glaces, tu me prends pour une salope ?
• Plutôt deux fois qu’une quant à tes tromperies avec Jules, je fais partie du nombre, mais Lucie aussi, quand tu lui bouffais la chatte, tu étais loin de penser à ton mari, tu dois la prendre en considération.

Je dois reconnaitre qu’il avait raison, je fini mon séjour à Tourcoing passant de femme infidèle à femme bi-sexuelle infidèle.

• Lupin a une queue dépassant à peine les cinq centimètres, je me suis avancé la mienne en main et je l’ai fourré dans la bouche de cette salope.

J’ai éclaté de rire, faisant réagir Lucie sortant de la douche en prenant une serviette et s’essuyant les cheveux.

• Vous avez l’air encore très en forme, qu’est-ce qui vous rend si joyeux ?
• La queue du commissaire de police de mon ancien commissariat, bébé, elle était si petite que j’en ai eu honte pour lui.
• Et toi Martine tu l’as vue aussi, il te l’a fourré dans la chatte !
• Non, Fred t’as dit que j’étais mariée et seulement lui et toi aurait été un agréable moment mettant un coup d’arrêt à ma fidélité envers mon époux.

Lucie encore toute mouillée est venue se coller à moi, m’embrassant à pleine bouche, c’est drôle comment ses lèvres sur les miennes étaient douces en ce matin de départ vers un criminel dont j’espère que Claude a fait avancer l’enquête pendant que je me divertissais dans le Nord de la France.

• Bonjours commissaire opération accomplit auprès de Fred !

Je suis à deux doigts d’éclater de rire, mes yeux viennent de se porter sur sa braguette, la vision de ses cinq petits centimètres, vient d’arriver à mon cerveau...

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