COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (5/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (5/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (5/11)
De retour de Tourcoing où j’ai retrouvé Fred, mon ancien copain devenu commissaire par l’opération du Saint-Esprit.
Il en fallait un sérieux, je parle du Saint-Esprit pour dire qu’il a réussi à pouvoir diriger un commissariat.
Pour preuve, les risques qu’il me fait prendre en mélangeant vie privée avec vie professionnelle.
Il n’hésite pas à demander à mon propre commissaire de me faire venir pour un pseudo enquête le visant personnellement s’avérant être la couardise de dire à la gendarmette qu’il a séduite comme il a séduit toutes les femmes du commissariat de Beaune en Bourgogne qu’avec elle s’est terminé.
Au milieu de ce fiasco, du moins si l’administration avait cherché à savoir l’urgence de ma présence dans le Nord de la France alors que je travaillais sur un meurtre bien réel dans un lycée de notre ville, mon commissaire Lupin et moi nous serions rapidement retrouvés dans la panade.
Par ce passage que je peux considérer comme deux jours de vacances, je découvre parallèlement à ces moments d’aide à un ami ma bi-sexualité, moi qui me pensais simple hétéro.
Je passe sous silence, ce que Fred m’apprend sur mon commissaire lorsqu’il l’a surpris en train de sauter Yolande l’une des secrétaires assistante et sans que je le voie, me fait savoir que Lupin en a une petite de cinq centimètres en pleine érection.

Ce matin je retourne prendre en main l’enquête que j’avais été obligé d’interrompre la confiant à mon nouvel adjoint Claude tous juste sortie de l’école de police où il a appris comme je l’ai fait il y a quelques années, notre métier d’enquêteur.
Dès ce matin Lupin m’a mis la pression, il semble que Valentin le jeune tué d’un coup de tournevis dans la cave de ce lycée serait le fils d’un ponte de la viticulture étant la prunelle de ses yeux pour l’avenir de leur domaine.
L’intervention du préfet demandant des résultats rapides en est la preuve.
Je viens de rencontrer Marie la proviseure ayant un peu entravé son enquête en refusant de lui avouer que le matelas c’était elle qui l’avait descendu dans cette cave afin de participer à des jeux érotiques avec un dénommé Laurent beau gosse blond qui dans quelques jours sera majeur.
Je comprends son inquiétude, pour sa réputation et son poste de proviseure, batifoler avec l’un de ses élèves au fond d’une cave, ça risque d’être plus que mal vue par les inspecteurs de l’Éducation nationale.
Je me vois dans l’obligation de reconnaitre, que depuis que Lucie la gendarmette de Fred m’a fait découvrir les amours consacrés à Saphos, je la regarde presque avec de la compassion.
Est-ce une envie d’aller voir sous son tailleur strict la salope qu’elle semble être en baisant avec l’un de ses élèves fût-il un cupidon.
Moi aussi, j’ai trahi moi-même Jules mon mari, à qui je suis loin d’avoir des choses à lui reprocher avec ce couillon de Fred.
Je me justifie par l’envie de connaitre les sensations que peuvent procurer le fait de baiser au milieu de ces glaces ou l’image de la bite de mon amant était reproduite en millier d’exemplaires.
Je quitte son bureau ayant une étrange impression, l’avenir me dira si ma confiance a été bafouée ou si cette femme mérite que je l’aide lors de ses débordements par manque de sexe, l’achat de gode en étant la meilleure preuve.

• J’ai la liste du personnel et celle des élèves de la totalité du lycée.
• Fais-moi voir, il me vient une idée.

Rencontrant Claude à la sortie du secrétariat du lycée, ce sont les mots que je lui prononce, regardant bêtement vers sa braguette pour avoir des informations sur la bite qu’il me cache.
Deviendrais-je une obsédée de la braguette et une femme du cul comme pouvais l’être Fred et sa boulimie de maîtresses ?

• Entre dans cette classe, elle est vide, nous allons examiner ces listes, commençons par le personnel.
Lorsque j’étais à l’école, dire les mots tout haut me permettait d’apprendre mieux et plus vite.

Nous sommes assis côte à côte, heureusement ces tables pour de jeunes futurs étudiants sont loin des bancs de l’école communale où nous étions assis côte à côte.
Pour le personnel, un nom attire mon attention.

• Redit-moi, Lauriane Dumoulin, secrétaire en CDI !

Ce nom énuméré dans la liste m’a semblé sans intérêt alors que l’œil de Claude s’allumait.
C’est lors de la liste des élèves qu’un détail m’est apparu en cinq exemplaires, six si je compte Lauriane la secrétaire.
Cinq élèves et une secrétaire ont des prénoms commençant par Laure, comme Laurent deux fois, Lauriane une fois, Laurentine, Laurine et Lorient.

• Et si Valentin était mort avant d’avoir intégralement dévoilé le nom de son agresseur, la proviseure vient de me parler de Laurent qui semblerait être le tombeur de ces dames du lycée.
• Ta thèse semble se tenir, que fait-on ?
• Tu me convoques tout ce petit monde au commissariat pour demain matin, nous allons les interroger dans nos bureaux au commissariat.
On a dû t’apprendre que sortir les suspects de leur cadre naturel, ça les déstabilise et on peut recevoir certains aveux.
Attention pour les mineurs, passes par les parents, ils peuvent venir avec un avocat, peux-tu me ramener au commissariat, mon voyage m’a un peu fatigué, ma voiture est au parking depuis mon voyage auprès de ton prédécesseur.

Je passe au bureau de Lupin, il est absent et Sylvie, la collègue de Yolande qui m’avait ouvert les yeux sur les dessins de Fred que j’ai fini par occulter en lui cédant dans la chambre des glaces.
J’arrive, devant chez nous, Claude m’a déposé et je stationne devant la porte de notre immeuble un peu retiré de l’agglomération en direction de Dijon.
Notre Peugeot 3 800 de Jules est là, je suis un peu étonnée.
Un instant, je me demande même si comme je l’ai fait, des cornes seraient elles poussées sur ma tête, ne les aurais-je pas largement méritées ?

• Jules, mon amour tu es là, je suis contente de te voir, tu m’as manqué !

En prononçant cette phrase rassurée de le trouver seul derrière son bureau, je pense à celles qui vont me lire et qui diront, « dommage » cette salope aurait bien mérité de porter des cornes.

• Je prépare la facture de la vente que j’ai faite aux hospices de 10 000 bouteilles de leur grand cru à une société japonaise.

Le vin et moi ça fait deux, je bois exclusivement de l’eau, mais je m’intéresse tout de même aux affaires de mon mari, ce sont elles qui nous permettent de vivre une vie de nanti.
Si je devais compter sur mon salaire d’inspecteur, tiens, c’est bizarre, je me vois mal écrire « salaire d’inspectrice, » je me croirais revenue du temps ou j’étais encore dans ces écoles.
Pour preuves, j’enjambe Jules qui est assis sur son fauteuil et je l’embrasse goulument comme il aime que je l’embrasse.

• Ma chérie, j’ai quelques minutes de libre, tu sens sous tes jolies fesses, ma bite qui a envie de ta petite chatte.

Je suis doublement rassurée, sentant ce qu’il me propose bien présent comme il vient de le dire.

• À moins que lors de ton voyage, tu en aies rencontré d’autres !

Et voilà, on croit être rassurée et on tombe de haut, votre mari vous ramène ç la case départ, je réfléchis vite sur mon mot déposé avant mon voyage à Tourcoing, qu’ai-je mis.
Ouf, juste que Lupin m’envoie en mission dans le Nord de la France, aucube allusions à Fred mon amant.

• Mais pour quoi me prends-tu, une marie-salope, tu mériterais que je te laisse tomber avec ta bosse dans ton pantalon.

J’aurais dû être actrice, je simule relativement bien le courroux que toute femme fidèle a, lorsque son intégrité est mise en difficulté.

• Bouchon, calme toi, je plaisantais, mais dis-moi, c’est vrai, pourquoi c’est toi qui as dû aller dans le Nord de la France ?

Là, comme avec Lupin, je sais m’en sortir les cuisses propres.

• Là, si je t’expliquais, tu rentrerais dans un secret d’État, veux-tu prendre des risques pour toi et nos enfants ?
• Car toi ce secret pourrait t’emmener dans ta tombe !
• Non, je suis policier, ça me protège dans le milieu où j’ai été obligé de me plonger, on fait attention aux bavures avec la police.

Eh ! oui, mes salopes, en me lisant vous espériez que j’avoue mon infidélité à mon époux, le courroux et détourner les doutes à mon profit, j’ai aussi appris ça des quelques confrontations que j’ai eu avec les gens du milieu.
Chez nous, en Bourgogne, ce sont surtout les gens du voyage que j’ai à interroger après des vols de poules ou équivalent.

• Je veux bien te pardonner, surtout que ta bite m’ait mis le feu aux poudres.
• Au cul, bouchon !

C’est vrai, j’ai laissé passer le petit nom de « bouchon » lors de nos premiers rapports et depuis il est devenu courant entre nous, surtout lorsqu’un léger désaccord s’installe entre nous.
Profitant de mon changement de position, je défais mon ceinturon ayant déjà mis mon arme dans la petite armoire forte que j’ai fait installer dans le placard de l’entrée, il faut être très prudente lorsque l’on a des enfants en bas âge.
Jules profitant de mon rapproché ayant failli tomber, il m’attrape et colle sa bouche à la chatte.
Ma petite culotte devient translucide, faisant apparaître ma toison brune.
Je crois avoir répondu à Fred dans un chapitre de mon premier meurtre celui de Solange dans l’hôtel de la chambre des glaces, qu’il aille se faire foutre lorsqu’il m’a demandé si j’étais rasée.
Je suis brune, entretenant moi-même ma chatte avec des rasoirs à mains identiques à ceux dont se sert Jules.
J’aime tailler ma toison le plus souvent en triangle, m’étant même un jour faire un carré du plus bel effet, mais très difficile à réaliser.
J’enjambe de nouveau mon homme, j’ai encore besoin de sa buche et de ses seins sur mes seins avant que je descende à la cave le sucer comme il aime.
Ouf, Bouchon, avec un « B » majuscule, une nouvelle fois s’en sort bien, surtout lorsque je me revoie sucer la chatte de Lucie...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je suis toujours aussi fan de tes narrations...
J'aime l'image des salopes qui t'en voudraient...

Cyrille



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Histoire sexe : Une rose rouge
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