COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (6/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (6/11)
« Une sacrée salope, » lorsque je regarde mon titre, je pensais certainement à Marie, la proviseure du lycée où Valentin est mort un tournevis planté dans sa poitrine, qui se faisait sauter sur un matelas dans la cave de son lycée par un autre de ses élèves.
J’aurais dû mettre « Deux sacrées salopes » quand je repense à la manière dont je manipule Jules mon mari pour cacher mon infidélité.
Tout est venu d’une chambre avec glace ou j’ai entrainé Fred mon adjoint de police à venir voir ce que ça faisait d’avoir l’impression que des milliers de bites vous défonçaient.
Je pensais mettre un terme définitivement à cette relation avec cet adjoint, amant encombrant pour mon couple lorsque contre toute attente il a réussi son examen de commissaire de police.
Comment un garçon, certes formidable baiseur de femmes en tout genre, a-t-il pu réussir cette épreuve et être nommé à Tourcoing où je me suis rendue afin de l’aider à se séparer d’une gendarmette Lucie, encombrante à ses dires ?
Tromper Lucie afin qu’elle prenne ses affaires et le quitte afin certainement qu’il continue à papillonner avec d’autres femmes de cette nouvelle région, c’était son idée lorsque Lupin m’a demandé d’aller le rejoindre.
Fred à cet instant ou Lucie est entré dans leur chambre et ou je suçais sa bite, nous a montré toute sa couardise en insinuant que c’était moi, était venu retrouver mon ancien amant lors de mon passage dans leur ville.
Lui était blanc comme neige.
Ce qu’ignorait Fred, c’est que de son côté, elle aussi avait fait le tour de sa relation avec lui et venait présentement lui signifier son congé.
La coquine profitant de la situation nous a rejoints et à cet instant a fait de moi une lesbienne.
Je suis repartie de Tourcoing après deux jours, mais avec une information importante dans un commissariat comme le nôtre.
Lupin, notre propre commissaire, trompait sa femme avec Yolande, l’une de nos secrétaires et Fred de retour un soir les avaient surpris et à ses dires il avait un tout petit kiki.
J’avais un frère hélas trop vite disparu à l’âge de vingt-huit ans, il était membre des forces spéciales et à ce titre il est mort au combat au Mali lors d’une mission contre les djihadistes d'Al-qaida.
Un jour dans son adolescence, mon père l’a surpris en train de se masturber, il commençait à devenir l’homme qu’il était devenu, trop tôt disparu, mais sa verge était juste en développement.
Notre père lui aurait dit qu’il était préférable d’en avoir une petite qu’une grande fainéante.
Le temps lui a donné raison, lors de ses permes avant sa disparition, je l’ai toujours vu avec un mannequin différent.
Je dis mannequin, ou poupée de play-boy, elles auraient pu faire la page centrale de » cette revue, un deuxième Fred, mais avec un cerveau, qui, hélas, avait sacrifié sa vie pour des raisons d’État.
Raison d’État, c’est pratique même pour moi, pour cacher à Lupin et à Jules les raisons de ce voyage de deux jours où Lucie m’a fait découvert ma bi-sexualité.
• Bonsoir commissaire, bonsoir madame.
• Martine, le monde est petit, lors de mon retour au commissariat, Claude votre jeune adjoint m’a dit que vous aviez avancé sur l’enquête dès votre retour et que vous aviez lancé des convocations pour demain matin.
Il m’a dit que vous étiez rentrée chez vous, vous avez bien fait de rentrer, pour une fois, plus tôt dans votre foyer.
Arrêtons de parler boutique, c’est un concours de circonstances qui nous font nous rencontrer dans ce restaurant.
Martine, vous êtes resplendissante, savez-vous que c’est la première fois que je vous vois habillée avec une robe !
Venez-vous souvent ?
• Non, commissaire, vous connaissez Jules mon mari, vous l’avez rencontré lors du pot de départ de Fred où il était venu.
• Mais, oui, à mon tour de vous présenter Christine mon épouse.
Elle était absente lors de ce pot de départ, elle prenait les eaux à Aix-les-Bains en Haute-Savoie.
• En Savoie, mon chéri, Aix est en Savoie !
Oui, j’y vais tous les ans pendant trois semaines, hélas seule, mon mari a peur de montrer ses poignées d’amour qui ont tendance à se développer.
• Bibiche, arrête de me reprendre, tu vas gâcher notre repas, oui, nous fêtons nos trente ans de mariage, tu connais mes responsabilités.
À cette date, il m’est impossible de me libérer, ce sont les ventes aux Hospices et je dois assurer la sécurité des personnalités de passage ces jours-là.
Je regarde subrepticement la braguette de Lupin, lorsque Fred m’a dévoilé sa tromperie avec Yolande, les dates sont concordantes.
Mon patron, préfère la chatte de Yolande semblant se contenter de sa petite bite comme Christine semble s’en contenter depuis trente ans.
Quant à « bibiche, » j’espère que Jules oubliera à tout jamais de m’affubler de ce petit nom ringard, Fred et maintenant Anatole l’employant dès qu’il se sent pris en faute.
• Et vous, nous c’est notre repas pour nos trente ans de mariage !
Je suis à deux doigts de lui dire, que mon mari m’a proposé d’appeler la baby-sitteuse que nous employons lorsque lui comme moi, sommes pris par nos différents métiers.
Ludivine est la fille d’une voisine qui veut faire des études de médecine et a besoin de mise de fonds pour y arriver.
Il l’a appelé dès qu’il a fini de me baiser alors que j’étais empalée sur sa bite alors qu’il était assis en train de préparer une facture d’une grosse vente à des Japonais.
Près des hospices où nous résidons, dès que j’ai été prête, un bon bain m’ayant été nécessaire surtout ma chatte que Jules a éclatée, nous avons embrassé enfants et baby-sitteuse avant de nous éclipser.
• Anatole, laisse nos amis, ils sont ici pour être entre eux, tu côtoies Martine tous les jours, laisse là dîner avec son mari en tête à tête.
• Pardon bibiche, tu as raison allons à notre table.
Encore, cette bibiche, comme Fred a affublé Lucie lorsqu’il a été pris en faute et qu’il a voulu faire retomber sur moi ce que nous faisions dans son lit.
Il est vrai que j’appelle Jules « bouchon » dans l’intimité.
C’est venu de son métier, un jour nous parlions bouteilles et « bouchons », c’est aussi simple que ça.
Ouf, lorsque Jules m’a proposé un resto après nos ébats et je pense pour nos retrouvailles après ces quelques jours de séparation, il a téléphoné pour réserver sans savoir qu’Anatole et Christine serait là.
Par chance, Anaïs la patronne nous a placés à l’autre bout de la salle, comme je suis assise, je vois principalement Christine, son mari étant légèrement de dos.
Nous parlons de l’avenir d’Alexandre et Charlotte, mais je jète un œil discrètement de temps en temps vers elle.
Grande femme élégante, lui étant plutôt petit et rond.
Ils sont comme l’on dit, mal assortis.
Je dois reconnaitre que je découvre que mon commissaire s’appelle Anatole, j’ai toujours parlé de sa fonction en m’adressant à lui et Lupin en parlant à mes collèges.
Je tiens la conversation avec Jules, mais cette femme m’intrigue de plus en plus, l’aurais-je fait il y a peu avant que je découvre mon plaisir de sucer la chatte d’une autre femme, sans oublié le moment où Lucie a croisé mes jambes avec les siennes et que nous avons frotté nos clitos pour leur plus grand plaisir.
Dans son tailleur strict de femme BCBG, Christine cache-t-elle d’aussi beau sein que ceux de Lucie cachaient derrière sa chemise de gendarmette.
Ils étaient fripons et réagissaient à la moindre sollicitation de mes bouts de doigts ou de ma langue lorsqu’elle était libre d’autres endroits de son corps.
• Êtes-vous libre samedi soir ?
Nous réunissons quelques amis pour nos trente ans de mariage et les cinquante ans d’Anatole !
Je les ai vus se lever, passer au comptoir payer à Anaïs et faire un détour pour venir à notre table.
Lupin est très prévenant, il s’est levé le premier, est venu reculer la chaise de sa femme avant de passer à la caisse payez alors que je sais que c’est moi qui irais faire la même chose lorsque nous aurons fini nos cafés.
• Pour ma part, non, je pars au Japon livrer le vin d’une commande qu’ils m’ont fait, mais je pense que Martine saura bien nous représenter.
Elle déposera nos enfants à Chaudenay pour le week-end chez mes parents, ils sont toujours partants pour les avoir.
Jules voudrait que je sache qui se cache réellement derrière Christine, il s’y prendrait de la même manière.
• Ma femme a raison, Martine, je pense que d’ici là vous aurez découvert l’énigme de notre meurtre et que nous pourrons passer un moment agréable hors des murs du commissariat.
C’est en quittant le resto que Christine est venue vers nous.
Son œil pétillant m’a semblé briller lorsque Jules a décliné son invitation, proposant la solution pour que je sois libre, d’aller retrouver celle qui me facine depuis que j’ai fait sa rencontre.
Comme je l’ai dit, dix minutes que ce couple plus vieux que le nôtre est parti et je me lève comme une grande, c’est-à-dire seule, avant de passer vers Anaïs régler notre repas.
Nous retrouvons Ludivine qui travaille studieusement dans notre canapé, Alexandre et Charlotte étant déjà couchés.
Jules comme il le fait chaque fois, passe dans leurs chambres leur déposer un baiser avant d’éteindre les veilleuses.
Pour ma part, je sors mon portefeuille et je paye Ludivine comme je le fais chaque fois que l’on fait appel à elle.
Je vous vois venir, une découverte ressente de ma bi-sexualité, une jeune fille en fleur, qui plus ait, résidant de façon très rapprochée.
Bande de vicieuses, Ludivine a à peine cinq ans de plus qu’Alexandre et je me vois mal venir m’arrêter pour détournement de mineur, même si à l’âge qu’elle a, elle est majeure sexuellement.
Je rejoins Jules sous la douche, j’ai ri lorsque j’ai enlevé ma robe, il est vrai que pour non travail, je suis plutôt jeans basket pour jouer aux gendarmes et aux voleurs.
Sous cette douche, j’ai pris du savon liquide dans mes mains et je lui caresse la verge doucement.
Deux fois dans la même journée, même s’il est bientôt minuit.
En sortant du restaurant nous sommes allés faire une promenade à pied, c’est si rare d’être seules tous les deux.
Sur la place à la terrasse d’un café nous avons pris un dernier verre avant de rentrer.
Une voiture de police est passée, nos collègues ont dû me reconnaitre, ils ont klaxonné, au risque de réveiller la populace.
Une bite, ça se rince, une femme ou tout autre être humain ça s’agenouille et une fois qu’elle est bien propre, ça l’a de nouveau raidie et c’est une fellation que je pratique, sexuellement Jules et moi nous sommes très libre.
• Monsieur, l’avocat vous pouvez entrer !...
J’aurais dû mettre « Deux sacrées salopes » quand je repense à la manière dont je manipule Jules mon mari pour cacher mon infidélité.
Tout est venu d’une chambre avec glace ou j’ai entrainé Fred mon adjoint de police à venir voir ce que ça faisait d’avoir l’impression que des milliers de bites vous défonçaient.
Je pensais mettre un terme définitivement à cette relation avec cet adjoint, amant encombrant pour mon couple lorsque contre toute attente il a réussi son examen de commissaire de police.
Comment un garçon, certes formidable baiseur de femmes en tout genre, a-t-il pu réussir cette épreuve et être nommé à Tourcoing où je me suis rendue afin de l’aider à se séparer d’une gendarmette Lucie, encombrante à ses dires ?
Tromper Lucie afin qu’elle prenne ses affaires et le quitte afin certainement qu’il continue à papillonner avec d’autres femmes de cette nouvelle région, c’était son idée lorsque Lupin m’a demandé d’aller le rejoindre.
Fred à cet instant ou Lucie est entré dans leur chambre et ou je suçais sa bite, nous a montré toute sa couardise en insinuant que c’était moi, était venu retrouver mon ancien amant lors de mon passage dans leur ville.
Lui était blanc comme neige.
Ce qu’ignorait Fred, c’est que de son côté, elle aussi avait fait le tour de sa relation avec lui et venait présentement lui signifier son congé.
La coquine profitant de la situation nous a rejoints et à cet instant a fait de moi une lesbienne.
Je suis repartie de Tourcoing après deux jours, mais avec une information importante dans un commissariat comme le nôtre.
Lupin, notre propre commissaire, trompait sa femme avec Yolande, l’une de nos secrétaires et Fred de retour un soir les avaient surpris et à ses dires il avait un tout petit kiki.
J’avais un frère hélas trop vite disparu à l’âge de vingt-huit ans, il était membre des forces spéciales et à ce titre il est mort au combat au Mali lors d’une mission contre les djihadistes d'Al-qaida.
Un jour dans son adolescence, mon père l’a surpris en train de se masturber, il commençait à devenir l’homme qu’il était devenu, trop tôt disparu, mais sa verge était juste en développement.
Notre père lui aurait dit qu’il était préférable d’en avoir une petite qu’une grande fainéante.
Le temps lui a donné raison, lors de ses permes avant sa disparition, je l’ai toujours vu avec un mannequin différent.
Je dis mannequin, ou poupée de play-boy, elles auraient pu faire la page centrale de » cette revue, un deuxième Fred, mais avec un cerveau, qui, hélas, avait sacrifié sa vie pour des raisons d’État.
Raison d’État, c’est pratique même pour moi, pour cacher à Lupin et à Jules les raisons de ce voyage de deux jours où Lucie m’a fait découvert ma bi-sexualité.
• Bonsoir commissaire, bonsoir madame.
• Martine, le monde est petit, lors de mon retour au commissariat, Claude votre jeune adjoint m’a dit que vous aviez avancé sur l’enquête dès votre retour et que vous aviez lancé des convocations pour demain matin.
Il m’a dit que vous étiez rentrée chez vous, vous avez bien fait de rentrer, pour une fois, plus tôt dans votre foyer.
Arrêtons de parler boutique, c’est un concours de circonstances qui nous font nous rencontrer dans ce restaurant.
Martine, vous êtes resplendissante, savez-vous que c’est la première fois que je vous vois habillée avec une robe !
Venez-vous souvent ?
• Non, commissaire, vous connaissez Jules mon mari, vous l’avez rencontré lors du pot de départ de Fred où il était venu.
• Mais, oui, à mon tour de vous présenter Christine mon épouse.
Elle était absente lors de ce pot de départ, elle prenait les eaux à Aix-les-Bains en Haute-Savoie.
• En Savoie, mon chéri, Aix est en Savoie !
Oui, j’y vais tous les ans pendant trois semaines, hélas seule, mon mari a peur de montrer ses poignées d’amour qui ont tendance à se développer.
• Bibiche, arrête de me reprendre, tu vas gâcher notre repas, oui, nous fêtons nos trente ans de mariage, tu connais mes responsabilités.
À cette date, il m’est impossible de me libérer, ce sont les ventes aux Hospices et je dois assurer la sécurité des personnalités de passage ces jours-là.
Je regarde subrepticement la braguette de Lupin, lorsque Fred m’a dévoilé sa tromperie avec Yolande, les dates sont concordantes.
Mon patron, préfère la chatte de Yolande semblant se contenter de sa petite bite comme Christine semble s’en contenter depuis trente ans.
Quant à « bibiche, » j’espère que Jules oubliera à tout jamais de m’affubler de ce petit nom ringard, Fred et maintenant Anatole l’employant dès qu’il se sent pris en faute.
• Et vous, nous c’est notre repas pour nos trente ans de mariage !
Je suis à deux doigts de lui dire, que mon mari m’a proposé d’appeler la baby-sitteuse que nous employons lorsque lui comme moi, sommes pris par nos différents métiers.
Ludivine est la fille d’une voisine qui veut faire des études de médecine et a besoin de mise de fonds pour y arriver.
Il l’a appelé dès qu’il a fini de me baiser alors que j’étais empalée sur sa bite alors qu’il était assis en train de préparer une facture d’une grosse vente à des Japonais.
Près des hospices où nous résidons, dès que j’ai été prête, un bon bain m’ayant été nécessaire surtout ma chatte que Jules a éclatée, nous avons embrassé enfants et baby-sitteuse avant de nous éclipser.
• Anatole, laisse nos amis, ils sont ici pour être entre eux, tu côtoies Martine tous les jours, laisse là dîner avec son mari en tête à tête.
• Pardon bibiche, tu as raison allons à notre table.
Encore, cette bibiche, comme Fred a affublé Lucie lorsqu’il a été pris en faute et qu’il a voulu faire retomber sur moi ce que nous faisions dans son lit.
Il est vrai que j’appelle Jules « bouchon » dans l’intimité.
C’est venu de son métier, un jour nous parlions bouteilles et « bouchons », c’est aussi simple que ça.
Ouf, lorsque Jules m’a proposé un resto après nos ébats et je pense pour nos retrouvailles après ces quelques jours de séparation, il a téléphoné pour réserver sans savoir qu’Anatole et Christine serait là.
Par chance, Anaïs la patronne nous a placés à l’autre bout de la salle, comme je suis assise, je vois principalement Christine, son mari étant légèrement de dos.
Nous parlons de l’avenir d’Alexandre et Charlotte, mais je jète un œil discrètement de temps en temps vers elle.
Grande femme élégante, lui étant plutôt petit et rond.
Ils sont comme l’on dit, mal assortis.
Je dois reconnaitre que je découvre que mon commissaire s’appelle Anatole, j’ai toujours parlé de sa fonction en m’adressant à lui et Lupin en parlant à mes collèges.
Je tiens la conversation avec Jules, mais cette femme m’intrigue de plus en plus, l’aurais-je fait il y a peu avant que je découvre mon plaisir de sucer la chatte d’une autre femme, sans oublié le moment où Lucie a croisé mes jambes avec les siennes et que nous avons frotté nos clitos pour leur plus grand plaisir.
Dans son tailleur strict de femme BCBG, Christine cache-t-elle d’aussi beau sein que ceux de Lucie cachaient derrière sa chemise de gendarmette.
Ils étaient fripons et réagissaient à la moindre sollicitation de mes bouts de doigts ou de ma langue lorsqu’elle était libre d’autres endroits de son corps.
• Êtes-vous libre samedi soir ?
Nous réunissons quelques amis pour nos trente ans de mariage et les cinquante ans d’Anatole !
Je les ai vus se lever, passer au comptoir payer à Anaïs et faire un détour pour venir à notre table.
Lupin est très prévenant, il s’est levé le premier, est venu reculer la chaise de sa femme avant de passer à la caisse payez alors que je sais que c’est moi qui irais faire la même chose lorsque nous aurons fini nos cafés.
• Pour ma part, non, je pars au Japon livrer le vin d’une commande qu’ils m’ont fait, mais je pense que Martine saura bien nous représenter.
Elle déposera nos enfants à Chaudenay pour le week-end chez mes parents, ils sont toujours partants pour les avoir.
Jules voudrait que je sache qui se cache réellement derrière Christine, il s’y prendrait de la même manière.
• Ma femme a raison, Martine, je pense que d’ici là vous aurez découvert l’énigme de notre meurtre et que nous pourrons passer un moment agréable hors des murs du commissariat.
C’est en quittant le resto que Christine est venue vers nous.
Son œil pétillant m’a semblé briller lorsque Jules a décliné son invitation, proposant la solution pour que je sois libre, d’aller retrouver celle qui me facine depuis que j’ai fait sa rencontre.
Comme je l’ai dit, dix minutes que ce couple plus vieux que le nôtre est parti et je me lève comme une grande, c’est-à-dire seule, avant de passer vers Anaïs régler notre repas.
Nous retrouvons Ludivine qui travaille studieusement dans notre canapé, Alexandre et Charlotte étant déjà couchés.
Jules comme il le fait chaque fois, passe dans leurs chambres leur déposer un baiser avant d’éteindre les veilleuses.
Pour ma part, je sors mon portefeuille et je paye Ludivine comme je le fais chaque fois que l’on fait appel à elle.
Je vous vois venir, une découverte ressente de ma bi-sexualité, une jeune fille en fleur, qui plus ait, résidant de façon très rapprochée.
Bande de vicieuses, Ludivine a à peine cinq ans de plus qu’Alexandre et je me vois mal venir m’arrêter pour détournement de mineur, même si à l’âge qu’elle a, elle est majeure sexuellement.
Je rejoins Jules sous la douche, j’ai ri lorsque j’ai enlevé ma robe, il est vrai que pour non travail, je suis plutôt jeans basket pour jouer aux gendarmes et aux voleurs.
Sous cette douche, j’ai pris du savon liquide dans mes mains et je lui caresse la verge doucement.
Deux fois dans la même journée, même s’il est bientôt minuit.
En sortant du restaurant nous sommes allés faire une promenade à pied, c’est si rare d’être seules tous les deux.
Sur la place à la terrasse d’un café nous avons pris un dernier verre avant de rentrer.
Une voiture de police est passée, nos collègues ont dû me reconnaitre, ils ont klaxonné, au risque de réveiller la populace.
Une bite, ça se rince, une femme ou tout autre être humain ça s’agenouille et une fois qu’elle est bien propre, ça l’a de nouveau raidie et c’est une fellation que je pratique, sexuellement Jules et moi nous sommes très libre.
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