COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (7/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (7/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (7/11)
• Monsieur, l’avocat, vous pouvez entrer !...

Hier, pour la première fois depuis longtemps nous avons fait deux fois l’amour avec Jules mon mari.
Rentré plus tôt de mon commissariat après avoir rendu un service à Anatole Lupin notre commissaire, j’ai eu le plaisir de trouver mon mari venu préparer la facture d’une commande de vin pour le Japon.
J’ai appris lors de la soirée qui s’en est suivi après le premier round de nos ébats alors qu’il m’avait invité au restaurant qu’il partait le week-end prochain certainement à Tokyo pour une vente de vin des hospices de Beaune en Côte d’Or.
C’est toujours à Tokyo qu’il se rend, j’ai même eu l’occasion de voyager avec lui, une fois, une seule fois en dix ans de mariage.
Certaines épouses sont suspicieuses des déplacements de leur mari, ce qui est loin d’être le cas pour moi.
Certaines de vous vont dire que j’ai écorné mon contrat de mariage de nombreuses fois et même avec des femmes depuis mon dernier voyage à Tourcoing où j’avais été convoqué en accord avec mon commissaire par Fred le premier d’entre eux.
Je parle de femmes, je devrais dire une, Lucie, la copine du moment de Fred devenu contre toute attente commissaire alors que lorsqu’il était inspecteur comme moi, c’était loin d’être une lumière.
Est-ce la rencontre avec Christine, la femme de Lupin au restaurant où Jules m’a emmené après ce que j’appelle le premier round, qui me fait les mettre aux pluriels ?
Le regard puis l’invitation que Christine me lance tout le repas présagerait-elle une rencontre plus intime ?
Ça pourrait être le cas samedi soir prochain lorsqu’elle revient vers notre table et qu’elle nous invite Jules et moi à les rejoindre pour fêter leurs trente ans de mariage avec quelques amis.
C’est à ce moment que je découvre ce nouveau voyage vers les filles aux yeux bridés.
J’ai un avantage sur bien des femmes, mon manque de jalousie.
Est-ce pour autant que j’en profite depuis quelque temps, non, ce sont les circonstances qui ont amené mon infidélité et les conneries de Fred voulant se servir de moi pour casser avec sa petite amie.
Christine et Anatole fêtent leurs trente ans de mariage, nous venons de passer le cap dès dix ans.
Mais revenons à notre affaire, je sens bien que d’ici samedi çà soulagerait Lupin que nous élucidions le meurtre de Valentin élève de terminal du lycée de notre ville dans une cave un peu lugubre de cet établissement.
Première constatation faite avant mon voyage à Tourcoing, il y a bien eu meurtre, mourir un tournevis dans la poitrine, couché sur le dos relève de l’exploit s’il en était autrement.
Il aurait été retrouvé par le responsable de l’entretien.
Face contre le sol, nous aurions pu conclure à un accident en tombant et par un malencontreux concours de circonstances s’étant empalé sur le tournevis qu’il avait préalablement pris en main.
Mais là, les photos que j’ai devant moi, me le montrent bien couché sur le dos le tournevis planté dans sa poitrine.

• Qui représentez-vous, maître ?
• Laurent Sausset, ses parents m’ont joint suite à votre convocation.

Hier avant de rentrer chez moi pour récupérer de mon voyage à Tourcoing, j’avais regardé la liste des personnes de l’établissement ayant un nom commençant par « Laure » nom qu’aurait murmuré Valentin avant de mourir et que Claude mon nouvel adjoint avait été récolté auprès du secrétariat du lycée.
Six au total, deux s’appelant Laurent, une Lauriane, faisant partie du personnel, Laurentine et une Laurine, élèves comme Lorient le dernier nous sont apparues.
En arrivant ce matin, avec Claude, nous nous sommes partagés les convoquer.
Trois chacun, je voulais que nous nous partagions les Laurent, mais il a voulu à toute force interroger Lauriane sous couvert que c’est elle qui lui avait fourni la liste des personnes ayant « Laure » dans son nom.
J’ai très vite vu son jeu, la coquine avait dû lui taper dans l’œil et il espérait un rapprochement si elle était étrangère au coup de tournevis mortel.
J’ai donc hérité des deux Laurent et de Laurine, lui Lauriane, Laurentine et Lorient.

Je me souviens de ma non-promesse d’essayer de sortir Marie la proviseure du caca où elle s’est mise par amour pour l’autre Laurent.
Pas celui représenté par maître Benoit de la Raperière, mais celui dont Marie m’a donné le nom de sa famille.
Je prends note de la demande de cet avocat très connu dans la région à qui l’on prédit une grande carrière à Paris.

• Laurent, entre, assieds-toi dans ce fauteuil, décline-moi ton nom et ton prénom.
• Et toi, comment tu t’appelles ?
Je suis con, c’est écrit devant moi sur cette plaque, « Martine, » quel prénom ringard.
• Jeune homme un peu de respect, je pourrais être votre mère !
• Je te respect si tu me respectes, j’entre tu me dis-tu et tu voudrais que je te donne du Martine grand comme le bras.

Comment Marie, proviseure aguerrie a-t-elle pu flacher sur ce jeune homme certes ayant une belle gueule, n’est ce pas son cupidon, mais très froid dans la manière dont il me dévisage ?
Je pourrais même dire, qu’il me déshabille.

• Bon allons droit au but, regarde, j’ai un maillot de Marseille, je suis innocent et j’ai un appui dans ce lycée que je pense, tu es incapable de savoir qui elle est.
J’ai même une vidéo qui atteste mes dires, si je te la montrais, tu tomberais sur le cul, mais j’ai juré de la garder pour moi !
• Une vidéo montrant cette personne te suçant la queue, je sais déjà qu’elle existe et qu’elle est sur ton portable qui dépasse de la poche de ton jean.
Donne-la-moi et fait là moi voir !

À ce moment je sais que ce que je fais est hors procédure, bien que je lui aie demandé si ses parents ou un avocat allaient arriver.
Ai-je délibérément, dès que Laurent est rentré et m’a apostrophé à juste titre, il était inconvenant que je le tutoie, surtout que sur ma fiche, sa date de naissance me saute aux yeux ?
Il a dix-huit ans pas plus tard qu’aujourd’hui.
Ce garçon effronté est venu seul sans avocat, je devrais démarrer la caméra comme nous devons systématiquement le faire lorsque l’on démarre un interrogatoire.
Il hésite et finit par me céder, il me regarde de façon hautaine et le sort en se relevant légèrement.
Je sais me servir d’un portable et je fais défiler les images montrant la proviseure suçant la queue de ce garçon irrespectueux envers celle qui le suce avec des yeux plus qu’amoureux.

• Laurent, vous êtes majeur aujourd’hui, vous venez de sortir de l’adolescence qui vous donne des droits supplémentaires, je saisis ce portable et je le verse dans le dossier que je suis en train de constituer pour le juge d’instruction qui s’occupe du meurtre de votre copain.
S’il existe des copies de cet enregistrement où l’on voit clairement le matelas qui est au centre de mon enquête ainsi que le tournevis, vous êtes passif de divulgation d'acte de soumission envers la personne qui vous suce sur cette vidéo.
Vous risquez dix ans de prison et une amende assez conséquente, si vous persistez à compromette cette dame.
• Je vous arrête tout de suite, pourquoi aurais-je fait une copie l’original suffit à faire d’elle la salope qu’elle aspirait à le devenir lorsqu’elle m’a invité à venir la rencontrer.
J’en fais ce que je veux, dommage que tout tombe à l’eau après ce qu’il vient de se passer, car à la prochaine rencontre que nous devions avoir, elle devait se percer les seins.
• Continuez de jouer avec elle si vous le désirez et elle aussi, mais je vous aurais prévenue des risques que vous prenez !
• Eh ! pas de connerie, Natacha ma copine me quitterait, alors que Marie s’était une opportunité de passer de bons moments à peu de frais.

Avais-je tords ou raison de conseiller à Claude que son idée de test ADN était couteuse et inutile, en saisissant le portable de ce grand couillon, cela me permettait de protéger provisoirement Marie ?
Je sens que ce matelas a servi à d’autres que cette foldingue du cul de proviseure et de ce garçon se prenant pour un cador.

• C’est tout ce que vous avez à me dire sur l’affaire qui m’intéresse ?
• Oui, rien de plus à part si vous acceptez de me revoir après avoir découvert l’assassin de ce grand con de Valentin.
Je l’exécrais, il se prenait pour le nombril du monde car ses parents possèdent un des plus grands domaines viticoles de notre région.

Cette façon de traiter un mort me sont suffisantes afin de me donner prétexte pour l’humilier à son tour.

• Sortez et retournez dans le couloir, je suis loin d’en avoir fini avec vous !
• Vous déconnez, donnez-moi au moins mon portable que j’appelle Natacha, elle va m’arracher les yeux si dans une heure elle est sans nouvelles !
• Le couloir et fissa, sinon j’appelle le planton pour qu’il te menotte sur ton siège à l’extérieur de ce bureau.

Revanche du fort sur le faible, je pourrais le laisser repartir, mais je sens qu’il a les pétoches de sa copine que doit faire partie d’une ligue féministe quelconques qui fleurisse de partout depuis quelque temps.
C’est la queue entre les jambes qu’il se lève et exécute mon ordre, moins fringant que lors de son arrivée.
Avant de prendre la déposition suivante, je vais vers les toilettes, un inspecteur de police à besoin comme tout le monde de s’isoler un moment dans sa journée.
Devant mon bureau une autre jeune fille est arrivée avec un homme dont j’ignore si c’est un avocat ou un père.
Une nouvelle fois, je regarde plus précisément ce monsieur, surtout son pantalon à la hauteur de sa braguette, depuis les révélations sur la bite de Lupin, je semble devenir une obsédée.
Je passe devant une jeune fille pleurant sur l’épaule de celle qui doit être sa maman.
À son côté, maître Durand, Serge si je me souviens bien, j’ai eu affaire à lui lors d’une enquête de vol de poulet où tout comme, c’est loin d’être le cador que représentait Laurent Sausset.
Trop jeune pour être la jeune femme faisant partie du personnel, sa maman m’apostrophe.

• Ça va durer longtemps, ça fait un temps fou que l’inspecteur a fait entrer une jeune femme dans son bureau !
• Maître, étiez-vous là lorsque mon collège a fait entrer une autre personne avant vous ?
• Oui, mais j’ai le temps, cette affaire est là seule dont j’ai à m’occuper, maître Benoit de la Raperière truste toutes les affaires depuis qu’il a installé ses bureaux dans notre ville !
• Attendez, je vais rappeler à mon jeune collège, que malgré ce que vous me dites sur votre emploi du temps, il doit vous recevoir en premier.

J’ouvre discrètement la porte du bureau de Claude...

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Cyrille



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