COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (8/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (8/11)
Ces jeunes inspecteurs tout juste sortie de l’école qui les formes, ignore tout du respect que nous devons à ceux qu’entre nous, nous appelons « les baveux. »
Certes maître Durand, est l’un d’eux, mais un avocat vieillissant au bord de la retraite, mais en attendant il reste dans cette catégorie que l’on doit respecter.
Discrètement j’ouvre la porte.
Claude est appuyé à son bureau à côté d’une jeune femme elle, sur la chaise où il installe ses visiteurs.
Comme je l’ai fait, je vois nettement la caméra coupée, sinon le vert serait allumé.
• 06... j’ai notés, je t’appelle le plus vite possible et nous passerons un moment ensemble.
• Claude, où en es-tu de tes confrontations, je te rappelle que Lupin a la préfecture sur le dos et qu’il a toujours eu du mal à assumer.
• On a fini Martine, je libère cette jeune femme, elle a répondu à toutes mes questions et surtout à mes attentes.
Le jour du crime elle était à Paris au ministère de l’Éducation sur un colloque sur l’avenir de nos enfants.
Je vois très bien qu’il a plutôt dragué celle qui fait partie du personnel et s’appelle Lauriane.
Je suis magnanime, il l’a vu le premier et comme au fleuret pour les jeux olympiques, il a un droit à l’attaque prioritaire.
Où en suis-je dans mes façons de penser, j’ai tendance à tout ramener vers le sexe depuis que Lucie m’a fait découvrir l’homosexualité féminine.
Même les absences fréquentent de Jules mon mari, ne saurait être la cause de ces regards que je porte sur les femmes depuis cette expérience lesbienne dans le lit de Fred mon amant.
Amants, maîtresse, où en suis-je dans mes pensées depuis que des glaces m’ont fait connaître l’adultère après dix ans de fidélité absolue.
• Maître, mon collègue va vous recevoir, vous m’excusez !
Lors d’une audition surtout lorsque c’est filmé, il serait mal venu de dire.
« Excusez, j’ai de la cystite et je dois aller pisser. »
Mais là dans ce couloir à deux pas des toilettes, je me donne le droit de le laisser là et franchir la porte.
Je passe l’épisode ou je baisse mon pantalon et ma petite culotte, on sait ou je suis allée.
Un papier toilette, comme le font toutes les femmes propres sur elle, après s’être soulagé, sauf celle qui laisse partir la petite goutte dans sa petite culotte, celles en manque d’hygiène.
L’avocat est entré avec sa cliente, je retourne à mon bureau.
• Madame, laissez-moi partir, je vous en supplie, j’ai compris la leçon sinon je vais me faire arracher un œil si je la laisse sans nouvelles !
• Laurine ?
• Oui ?
• Entrez, êtes-vous seule ?
• Oui, je suis majeur et j’ignore pourquoi cette convocation ?
• Elle est malade, elle voit des assassins partout.
Méfie-toi, Laurine elle va te coller le meurtre de Valentin sur le dos comme elle essaye de le faire pour moi !
Je fais entrer Laurine, au passage je constate le parfum capiteux qu’elle porte, mais assez de référence à ce qui rend belles les femmes, même si celle-ci est majeure et plutôt sexy.
Si je devais choisir entre Lauriane et Laurine, je serais incapable de faire un choix.
Les deux en trio ?
Quelle horreur, Lucie m’aurait-elle lavée le cerveau ?
Je me reprends et je commence à poser les questions habituelles à cette jeune fille qui tire sur sa jupe pour essayer de cacher ses jolies cuisses.
Je dirais même ses très jolies cuisses.
Nom, prénom, adresse, 06... non, bande de vicieux, c’est le portable de Laurine que je rentre dans mon ordi en tout bien tout honneur.
C’est à ce moment que sans frapper, Claude entre dans mon bureau.
• Martine, on tient notre assassin, peux-tu venir.
Cette nouvelle devrait me combler de joie, mais elle m’empêche de mettre dans mon dossier l’adresse de cette jeune femme, je devrais dire jeune fille, ça aurait pu toujours servir, car à dix-huit ans, elles le sont quelquefois.
Certes le mariage, s’il a encore lieu, souvent remplacé par le pacs, laisse aux jeunes filles la possibilité de vivre leur vie avant engagement.
Lors de mes interrogatoires avec de vieilles femmes mariées, j’ai très nettement compris la différence de génération.
Nos grand-mères devaient gagner leur robe blanche, ou sinon, dans leurs villages, elles passaient pour être des « marie-couche-toi-là, » en un mot des putes.
Ma grand-mère a été rosière de son village, à ce qu’elle m’a dit, les maires ont été obligés de mettre aux oubliettes, cette fête traditionnelle, souvent le 15 août, faute de filles dites « vertueuses ».
Pour sa part, ma grand-mère fautait avec le maire qui pour gagner son impunité personnelle, l’a imposée comme rosière à son conseil municipal.
Aucun de ses membres, tous des hommes à cette époque étant dupe.
• Mademoiselle Laurine, vous pouvez partir, je vous convoquerais si c’est nécessaire après le rebondissement que vous venez d’entendre.
• Madame Laurine, je me suis mariée la semaine dernière.
Hélas pour mon alliance, elle est tombée dans les toilettes de notre appartement, Yann mon époux m'en a recommandé une autre identique mais pour moi, sa valeur sera toujours inférieure.
Dire que je viens de penser que les traditions se perdait, dans mon métier les jugements hâtifs sont mal venus.
J’entre dans le bureau de Claude, la jeune femme avec sa maman et maître Durand sont là, la jeune fille pleure dans les bras de sa maman.
• Mademoiselle devant moi, votre maman et votre avocat et maintenant ma supérieure chargée de l’enquête sur le meurtre de Valentin, pouvez-vous me redire ce que vous venez de me révéler ?
La jeune fille me regarde les yeux pleins de larmes.
• C’est-moi qui es...
• Pouvez-vous parler clairement, qui es... ?
• Pardon, c’est moi, qui ai planté accidentellement le tournevis dans la poitrine de Valentin.
• Vous dite, bien « accidentellement », dite m’en plus, comment peut-on panter accidentellement un tournevis dans la poitrine d’un jeune homme allongé sur un matelas ?
• Je vais tout vous dire !
• J’y compte bien, comment tout ceci c’est passé ?
• Je suis amoureuse de Valentin depuis plus de trois mois.
Nous nous embrassions régulièrement et depuis quelque temps il voulait que je fasse comme mes copines et que je sois à lui.
Ce jour-là, il m’a demandé de venir avec lui, il avait découvert quelque chose pouvant nous être utile, il m’a emmené dans la chaufferie du lycée avant d’ouvrir une porte où se trouvait un matelas.
Il m’a demandé de le sucer, Laurine, une copine m’avait dit que sucer c’était bon pour satisfaire un garçon, c’est ce qu’elle avait fait avec Yann avant de l’épouser.
• Ma fille dit à l’inspectrice ce qu’il t’a forcé à faire après cette fellation !
• Inspecteur, pardon, vous pouvez continuer mademoiselle !
• Il s’était allongé et il a voulu que je vienne sur lui !
• Est-ce normal qu’un jeune homme demande une telle chose à une jeune fille ?
• Madame, votre jugement reste le vôtre à ses dires votre fille a fait l’amour avec ce garçon de façon consentante.
Laisser votre fille parler, sinon je serais obligée à vous demander de retourner dans le couloir !
• Excusez ma cliente, elle est bouleversée d’apprendre que sa fille avait perdu sa virginité.
De quoi parlais-je prématurément tout à l’heure, oui, « virginité » des jeunes filles de bonne famille.
• Madame, laissez-moi vous dire que ma fille a eu très mal lors de ce rapport imposé presque de force !
• Maman, Valentin a été loin de me violer, j’ai été en grande partie consentante, mais dès qu’il a déchargé dans la capote qu’il avait placée sur sa verge, les choses ont mal tourné.
Je lui ai dit qu’il fallait qu’il fasse comme Yann l’avait fait pour Laurine et qu’il vienne te voir maman pour me demander en mariage, il m’avait dit qu’il m’épouserait si je lui appartenais.
• Et il s’est moqué de vous !
• Oui, il m’a dit qu’il avait parié avec des copains qu’il aurait ma vertu et qu’il ferait de moi une salope.
• Il y avait un tournevis sur le sol, vous l’avez pris et par dépit, vous lui avez planté dans le cœur que vous avez légèrement loupé.
• Pas tout à fait, je me suis levée, j’ai remis ma petite culotte, du sang est tombé sur le matelas et j’ai quitté la pièce.
• Il était donc vivant, pourtant vous avez dit au début que c’était vous !
• Oui lorsque je suis sortie, il y avait une caisse à outils ouverte d’où dépassait un tournevis.
Je l’ai pris dans ma main et je suis retournée auprès de Valentin.
Il m’a dit, tu as enfin compris et tu veux recommencer une petite partie de jambes en l’air.
Il m’a demandé de recommencer de le sucer que j’étais très douée, ses copains seraient satisfaits qu’ils aient une nouvelle salope à baiser.
• Et c’est à ce moment que tu l’as frappé !
• Non, j’ai mis le tournevis sur ma gorge et que j’allais me tuer s’il refusait de tenir sa promesse.
Il a rit et c’est là que le drame a eu lieu, j’ai repris conscience, il geignait et le tournevis sortait de sa poitrine.
• Tu me confirmes que tu aurais perdu connaissance et que tu étais pourtant seule avec lui lorsque tu as vu le tournevis sortir de sa poitrine.
Voilà une affaire rondement menée, surtout sans aucun surcout pour l’administration.
Nous appelons Lupin, qui constate les aveux de la jeune fille.
Il la fait incarcérer à Dijon pour la présenter à un juge d’instruction, c’est la justice qui saturât sur d’éventuelles circonstances atténuantes
• Claude tape le rapport clôturant notre affaire.
• Oui, Martine, merci d’avoir évité que je fasse un imper en dilapidant l’argent des Français dans des tests se trouvant inutile.
En lui confiant ce travail, comme il ignore pourquoi ce matelas était là, ça m’évite de faire un faux en écriture et ainsi de protéger Marie la proviseure de ses fantaisies sexuelles avec Laurent ce petit con...
Certes maître Durand, est l’un d’eux, mais un avocat vieillissant au bord de la retraite, mais en attendant il reste dans cette catégorie que l’on doit respecter.
Discrètement j’ouvre la porte.
Claude est appuyé à son bureau à côté d’une jeune femme elle, sur la chaise où il installe ses visiteurs.
Comme je l’ai fait, je vois nettement la caméra coupée, sinon le vert serait allumé.
• 06... j’ai notés, je t’appelle le plus vite possible et nous passerons un moment ensemble.
• Claude, où en es-tu de tes confrontations, je te rappelle que Lupin a la préfecture sur le dos et qu’il a toujours eu du mal à assumer.
• On a fini Martine, je libère cette jeune femme, elle a répondu à toutes mes questions et surtout à mes attentes.
Le jour du crime elle était à Paris au ministère de l’Éducation sur un colloque sur l’avenir de nos enfants.
Je vois très bien qu’il a plutôt dragué celle qui fait partie du personnel et s’appelle Lauriane.
Je suis magnanime, il l’a vu le premier et comme au fleuret pour les jeux olympiques, il a un droit à l’attaque prioritaire.
Où en suis-je dans mes façons de penser, j’ai tendance à tout ramener vers le sexe depuis que Lucie m’a fait découvrir l’homosexualité féminine.
Même les absences fréquentent de Jules mon mari, ne saurait être la cause de ces regards que je porte sur les femmes depuis cette expérience lesbienne dans le lit de Fred mon amant.
Amants, maîtresse, où en suis-je dans mes pensées depuis que des glaces m’ont fait connaître l’adultère après dix ans de fidélité absolue.
• Maître, mon collègue va vous recevoir, vous m’excusez !
Lors d’une audition surtout lorsque c’est filmé, il serait mal venu de dire.
« Excusez, j’ai de la cystite et je dois aller pisser. »
Mais là dans ce couloir à deux pas des toilettes, je me donne le droit de le laisser là et franchir la porte.
Je passe l’épisode ou je baisse mon pantalon et ma petite culotte, on sait ou je suis allée.
Un papier toilette, comme le font toutes les femmes propres sur elle, après s’être soulagé, sauf celle qui laisse partir la petite goutte dans sa petite culotte, celles en manque d’hygiène.
L’avocat est entré avec sa cliente, je retourne à mon bureau.
• Madame, laissez-moi partir, je vous en supplie, j’ai compris la leçon sinon je vais me faire arracher un œil si je la laisse sans nouvelles !
• Laurine ?
• Oui ?
• Entrez, êtes-vous seule ?
• Oui, je suis majeur et j’ignore pourquoi cette convocation ?
• Elle est malade, elle voit des assassins partout.
Méfie-toi, Laurine elle va te coller le meurtre de Valentin sur le dos comme elle essaye de le faire pour moi !
Je fais entrer Laurine, au passage je constate le parfum capiteux qu’elle porte, mais assez de référence à ce qui rend belles les femmes, même si celle-ci est majeure et plutôt sexy.
Si je devais choisir entre Lauriane et Laurine, je serais incapable de faire un choix.
Les deux en trio ?
Quelle horreur, Lucie m’aurait-elle lavée le cerveau ?
Je me reprends et je commence à poser les questions habituelles à cette jeune fille qui tire sur sa jupe pour essayer de cacher ses jolies cuisses.
Je dirais même ses très jolies cuisses.
Nom, prénom, adresse, 06... non, bande de vicieux, c’est le portable de Laurine que je rentre dans mon ordi en tout bien tout honneur.
C’est à ce moment que sans frapper, Claude entre dans mon bureau.
• Martine, on tient notre assassin, peux-tu venir.
Cette nouvelle devrait me combler de joie, mais elle m’empêche de mettre dans mon dossier l’adresse de cette jeune femme, je devrais dire jeune fille, ça aurait pu toujours servir, car à dix-huit ans, elles le sont quelquefois.
Certes le mariage, s’il a encore lieu, souvent remplacé par le pacs, laisse aux jeunes filles la possibilité de vivre leur vie avant engagement.
Lors de mes interrogatoires avec de vieilles femmes mariées, j’ai très nettement compris la différence de génération.
Nos grand-mères devaient gagner leur robe blanche, ou sinon, dans leurs villages, elles passaient pour être des « marie-couche-toi-là, » en un mot des putes.
Ma grand-mère a été rosière de son village, à ce qu’elle m’a dit, les maires ont été obligés de mettre aux oubliettes, cette fête traditionnelle, souvent le 15 août, faute de filles dites « vertueuses ».
Pour sa part, ma grand-mère fautait avec le maire qui pour gagner son impunité personnelle, l’a imposée comme rosière à son conseil municipal.
Aucun de ses membres, tous des hommes à cette époque étant dupe.
• Mademoiselle Laurine, vous pouvez partir, je vous convoquerais si c’est nécessaire après le rebondissement que vous venez d’entendre.
• Madame Laurine, je me suis mariée la semaine dernière.
Hélas pour mon alliance, elle est tombée dans les toilettes de notre appartement, Yann mon époux m'en a recommandé une autre identique mais pour moi, sa valeur sera toujours inférieure.
Dire que je viens de penser que les traditions se perdait, dans mon métier les jugements hâtifs sont mal venus.
J’entre dans le bureau de Claude, la jeune femme avec sa maman et maître Durand sont là, la jeune fille pleure dans les bras de sa maman.
• Mademoiselle devant moi, votre maman et votre avocat et maintenant ma supérieure chargée de l’enquête sur le meurtre de Valentin, pouvez-vous me redire ce que vous venez de me révéler ?
La jeune fille me regarde les yeux pleins de larmes.
• C’est-moi qui es...
• Pouvez-vous parler clairement, qui es... ?
• Pardon, c’est moi, qui ai planté accidentellement le tournevis dans la poitrine de Valentin.
• Vous dite, bien « accidentellement », dite m’en plus, comment peut-on panter accidentellement un tournevis dans la poitrine d’un jeune homme allongé sur un matelas ?
• Je vais tout vous dire !
• J’y compte bien, comment tout ceci c’est passé ?
• Je suis amoureuse de Valentin depuis plus de trois mois.
Nous nous embrassions régulièrement et depuis quelque temps il voulait que je fasse comme mes copines et que je sois à lui.
Ce jour-là, il m’a demandé de venir avec lui, il avait découvert quelque chose pouvant nous être utile, il m’a emmené dans la chaufferie du lycée avant d’ouvrir une porte où se trouvait un matelas.
Il m’a demandé de le sucer, Laurine, une copine m’avait dit que sucer c’était bon pour satisfaire un garçon, c’est ce qu’elle avait fait avec Yann avant de l’épouser.
• Ma fille dit à l’inspectrice ce qu’il t’a forcé à faire après cette fellation !
• Inspecteur, pardon, vous pouvez continuer mademoiselle !
• Il s’était allongé et il a voulu que je vienne sur lui !
• Est-ce normal qu’un jeune homme demande une telle chose à une jeune fille ?
• Madame, votre jugement reste le vôtre à ses dires votre fille a fait l’amour avec ce garçon de façon consentante.
Laisser votre fille parler, sinon je serais obligée à vous demander de retourner dans le couloir !
• Excusez ma cliente, elle est bouleversée d’apprendre que sa fille avait perdu sa virginité.
De quoi parlais-je prématurément tout à l’heure, oui, « virginité » des jeunes filles de bonne famille.
• Madame, laissez-moi vous dire que ma fille a eu très mal lors de ce rapport imposé presque de force !
• Maman, Valentin a été loin de me violer, j’ai été en grande partie consentante, mais dès qu’il a déchargé dans la capote qu’il avait placée sur sa verge, les choses ont mal tourné.
Je lui ai dit qu’il fallait qu’il fasse comme Yann l’avait fait pour Laurine et qu’il vienne te voir maman pour me demander en mariage, il m’avait dit qu’il m’épouserait si je lui appartenais.
• Et il s’est moqué de vous !
• Oui, il m’a dit qu’il avait parié avec des copains qu’il aurait ma vertu et qu’il ferait de moi une salope.
• Il y avait un tournevis sur le sol, vous l’avez pris et par dépit, vous lui avez planté dans le cœur que vous avez légèrement loupé.
• Pas tout à fait, je me suis levée, j’ai remis ma petite culotte, du sang est tombé sur le matelas et j’ai quitté la pièce.
• Il était donc vivant, pourtant vous avez dit au début que c’était vous !
• Oui lorsque je suis sortie, il y avait une caisse à outils ouverte d’où dépassait un tournevis.
Je l’ai pris dans ma main et je suis retournée auprès de Valentin.
Il m’a dit, tu as enfin compris et tu veux recommencer une petite partie de jambes en l’air.
Il m’a demandé de recommencer de le sucer que j’étais très douée, ses copains seraient satisfaits qu’ils aient une nouvelle salope à baiser.
• Et c’est à ce moment que tu l’as frappé !
• Non, j’ai mis le tournevis sur ma gorge et que j’allais me tuer s’il refusait de tenir sa promesse.
Il a rit et c’est là que le drame a eu lieu, j’ai repris conscience, il geignait et le tournevis sortait de sa poitrine.
• Tu me confirmes que tu aurais perdu connaissance et que tu étais pourtant seule avec lui lorsque tu as vu le tournevis sortir de sa poitrine.
Voilà une affaire rondement menée, surtout sans aucun surcout pour l’administration.
Nous appelons Lupin, qui constate les aveux de la jeune fille.
Il la fait incarcérer à Dijon pour la présenter à un juge d’instruction, c’est la justice qui saturât sur d’éventuelles circonstances atténuantes
• Claude tape le rapport clôturant notre affaire.
• Oui, Martine, merci d’avoir évité que je fasse un imper en dilapidant l’argent des Français dans des tests se trouvant inutile.
En lui confiant ce travail, comme il ignore pourquoi ce matelas était là, ça m’évite de faire un faux en écriture et ainsi de protéger Marie la proviseure de ses fantaisies sexuelles avec Laurent ce petit con...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Alex, j'essaye d'innové mais qui a essayé décrie un policier sait la difficulté
En deux points, la crédibilité de l'histoire et la découverte de l'ADN qui permet de résoudre facilement de grand nombre de cas.
Martine, un peu salope m'aide car chaque fois qu'elle se fait baiser, ça m'évite de parler de l'affaire qu'elle a à traiter.
J'ai déjà la trame de deux nouvelles histoires dont l'une ayant une base réelle, dans ce que j'ai connu dans ma vie, et qui va me servir de trame de départ...
En deux points, la crédibilité de l'histoire et la découverte de l'ADN qui permet de résoudre facilement de grand nombre de cas.
Martine, un peu salope m'aide car chaque fois qu'elle se fait baiser, ça m'évite de parler de l'affaire qu'elle a à traiter.
J'ai déjà la trame de deux nouvelles histoires dont l'une ayant une base réelle, dans ce que j'ai connu dans ma vie, et qui va me servir de trame de départ...
J'ai adoré cette histoire... elle est très originale ! Merci de l'avoir partagée !