COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne sœur (3/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne sœur (3/11)
Grâce à Éric, le cousin de Charles-Antoine présent en tant que témoin à mon mariage, je visite le château ou je vais vivre.
Il faut savoir que c’est maman avec mes beaux-parents qui ont tout organisé.
Je suis arrivée 48 heures avant mes noces, tout était près, même ma robe de mariée.
Il y a plus de dix ans, j’étais toujours chez mes parents, quand j’ai vu un mariage expédié en très peu de temps.
J’étais jeune, mais un jour, j’ai entendu dire « ouf, on est sauvés ».
Il semblerait qu’une petite-cousine avait encouru les flammes de l’enfer de mon triptyque et qu’il avait fallu la marier en catastrophe pour l’honneur de sa famille.
Je pense qu’elle a fait ce que j’ai fait hier avec Charles-Antoine mais qu’Éric à omis de me faire en déviant son sexe dans mon cul afin d’être le premier à passer par mon anneau serré.
J’ai donc visité et bien visité avant de rejoindre ma chambre pour prendre un bain réparateur après ce que j’ai accepté contre mon gré que le cousin de mon mari me fasse.
Le repas a lieu en tête à tête avec mes beaux-parents.
Éric est absent, ma belle-mère demande à la servante qui nous apporte l’entrer le motif de son absence.
Elle lui dit qu’il a demandé un plateau dans sa chambre.
Ça m’arrange, ainsi j’évite de faire un imper sur ce que nous avons fait et qui me semble être mal.
En tout et pour tout, trois mots d’échangés, entre ce couple étrange.
La plus longue phrase a été prononcée par Charles-Henri, me signalant que mon mari était retenu au restaurant par le client qu’il allait rencontrer depuis tôt ce matin.
13 heures, je suis passée me changer et Manon me croisant dans le couloir vient s’excuser pour ce matin.
• Marie-Antoinette, je vois que tu as oublié que nous nous connaissons.
• Je dois reconnaitre que j’ignore ou et quand ?
• C’est normal, nous avions moins de dix ans et s’était à l’école du village avant que ta maman t’envoie dans cette école de bonnes sœurs.
Je suis contente que tu en sois sortie !
• Mon dieu, mais c’est vrai, la petite Manon avec ses couettes et ses taches de rousseur, « poil de carotte, » c’est ainsi que tous t’appelaient.
• Rousse et mes taches de rousseur sont toujours là, mais poil-de-carotte, c’est terminé depuis que je me suis mariée.
• Tu es mariée !
• Oui, depuis deux ans, mais tu le connais, lui aussi, c’est Romuald, le fils du garde chasse du domaine de tes beaux-parents.
Le dernier qui m’a donné ce surnom, ses pris un point dans la gueule, ça a dissuadé les autres de recommencer.
• Romuald, mais bien sûr à l’école il te défendait déjà.
• Oui, il m’a dit qu’il était amoureux de toi avant que tu deviennes bonne sœur.
Mais je m’excuse, je m’aperçois que je te manque de respect en te tutoyant.
• Aucun problème, à part que mon mariage m’a évité de finir bonne sœur, continue à me dire « tu ».
As-tu des enfants ?
• Surtout pas, Romuald dirige le chai de ton beau-père et nous économisons afin de pouvoir reprendre une vieille maison avec un vieux chai et quelques hectares de vignes.
Nous voulons devenir propriétaire et autonome.
• Je te laisse, je vais prendre un bain, j’ai rendez-vous dans son bureau à 14 heures avec mon beau-père.
• Un bain, ça fait partie de ma tache envers toi, je vais te le faire couler.
C’est ainsi que la baignoire étant pleine d’eau bien chaude, je me mets nue devant Manon.
Si je suis ignorante de bien des choses à cause de mes années de pensionnat entre jeunes filles.
Comme je l’ai dit dans les douches, si les hommes et leurs pratiques sexuelles m’étaient inconnus, une femme, je sais comment c’est fait.
J’allais pour me laver, mais c’est Manon, qui prend l’éponge naturelle et qui fait couler du savon liquide avant de me la passer sur le corps.
Elle monte les manches de sa blouse, autre genre d’uniforme que les quelques servantes attachées à notre service portent.
Seule, la dame de compagnie d’Élisabeth est habillée de façon classique, mais comme une vieille fille.
Sa main, non l’éponge, me savonne les seins, mes pointes se dressent.
Je sens mon corps m’échapper lorsque sa main descend jusqu’à ma chatte.
Est-ce fait volontairement afin de m’apporter des sensations ?
L’un de ses doigts vient toucher le haut de cette partie de mon corps dont j’ignorais à quoi cela servait, à part faire pipi, me chamboulant.
• Dis-moi Manon, je peux te poser des questions sans que tu te fiches de moi ?
Tu vois, chez les sœurs, ainsi que les rares fois où je venais à la maison, on me tenait éloigné des mystères de la vie, peux-tu m’aider à découvrir mon sexe.
• Rire de toi, tu es folle, pardon je suis à ton service et je dois peser mes mots.
• C’est la première fois qu’une fille touche ma chatte, ça m’a fait comme de l’électricité quand ton doigt m’a effleurée.
• Je m’excuse, j’ai dû te toucher ton clito, dit donc ma salope, tu es sensible du vagin, tu me diras, moi aussi.
• Tu vois, j’ignore le mot clito et vagin, salope je sais que ce sont des filles de petites vertus.
• Je constate que tes lacunes sont immenses, attend, je vais faire laisser échapper un peu d’eau pour que tes parties génitales soient visibles.
Je vais te paraître un peu trop entreprenante, mais je vais te montrer ce que je pense que les sœurs et ta mère t’ont caché.
Elle me pose le doigt en haut de ma chatte.
• Si on m’avait dit que je devrais donner un cours d’anomie à ma patronne, j’aurais traité la personne de folle.
• Oh ! ça recommence, j’ai eu l’impression que du courant électrique passait par ton bout de doigt.
• Je t’ai simplement effleuré ton clitoris ou clito comme tout le monde prononce.
Ce petit bouton plus ou moins gros est souvent caché sous un petit capuchon, il faut le faire sortir pour lui donner du plaisir.
Si tu avais été à l’école publique, tu aurais appris et vu sur des planches en couleur la chatte des filles et la verge des hommes.
Le prof t’aurait montré toutes les parties de la chatte d’une femme et pour la verge des garçons tu l’aurais vue, mais au repos.
J’espère qu’hier au soir la bite de Charles-Antoine a été assez tendue pour te pénétrer.
• Manon, pour nous aussi sœur Thérèse nous donnait des cours d’éducation sexuelle, mais tout était basé sur la simple reproduction des espèces.
Les planches qu’elle nous montrait en plus d’être en noir et blanc omettaient de nous signaler que nous avons un clitoris.
• Elle devait être mal à l’aise de vous dire que Dieu a créé Ève sur cette terre pour le plaisir d’Adam et que chez tous les mammifères, seule la femme et l’homme prennent du plaisir dans l’acte sexuel.
Je repense à mon taureau, c’est vrai, il m’a semblé que cet accouplement était loin de faire plaisir à la vache avec le poids du mâle qui se reposait sur son dos.
• Marie-Antoinette, tu as vu l’heure, on papote, on papote et l’heure tourne, tu as rendez-vous chez ton beau-père dans trente minutes, il a horreur des gens en retard.
Rince-toi, on aura bien l’occasion de reprendre cette conversation plus tard.
Pendant ce temps, je vais te sortir les vêtements que j’ai été chercher avant que tu viennes te mariée.
Ça va être coton, j’ai vu qu’ils te gardaient dans la pure tradition des jeunes filles de 1900, il va falloir que ton mari te refasse ta garde-robe.
Mais je crois avoir vu une ou deux petites choses qui vont aller en attendant mieux !
Je me rince, il faut que je me dépêche, la découverte de mon corps avec Ninon, risque de m’avoir mise en retard.
Je me rince, tiens c’est vrai lorsque les jets de la pomme de douche touchent mon clito, je suis obligée de fléchir mes jambes sous la décharge qui me traverse.
Il faut dire, qu’ici, l’eau sort d’une pomme de douche que je tiens en main, alors que là-bas elle tombait du haut de la tuyauterie.
Même si l’eau est capable de me donner du plaisir, pourquoi les sœurs qui sont au service du fils de Dieu se privent de ces plaisirs.
Je me sèche rapidement et je rejoins Manon, elle semble pensive devant ce qu’elle a sorti de mon armoire.
• Manon, tu veux que je mette ça, mais je vais être indécente devant mon beau-père !
• Si cette mini-jupe en jean est là, c’est qu’elle a été achetée par toi ou quelqu’un d’autre.
Elle était dans ton armoire dans ta chambre de pucelle chez ta mère.
• Je sais, c’est la plus grande honte de ma vie, je l’ai volé dans un magasin de notre ville.
• Toi, la none, pardon, c’est le surnom que les jeunes te donnaient lorsque tu venais en vacances et que tu sortais avec ton chaperon.
Nous savions tous que le reste du temps tu étais dans une école de bonne sœur, nous pensions que tu allais rentrer dans les ordres, tu as donc volé cette mini-jupe !
• Volé, pas tout à fait, comme tu l’as dit, j’étais avec maman, elle m’a dit de regarder si quelque chose me plaisait pendant qu’elle allait voir la vendeuse ou la patronne dans son bureau.
Elles sont ressorties, maman semblait remettre sa coiffure.
• C’est normal, t’as ton appris ce que sont des lesbiennes ou gouines si tu préfères !
• Maman est une gouine, comme ma belle-mère avec Marie-Pascale !
• Je vois que l’on t’a mise au courant pour notre patronne, certainement Éric le beau gosse, fait gaffe, il a les mains baladeuses.
Inutile qu’elle me prévienne, avec Éric, j’ai largement dépassé le stade des mains baladeuses, mais je suis en retard pour lui en dire plus.
• Simone, la proprio du magasin où vous vous trouviez est son amie, mais pas que.
Ce « pas que » m’interpelle, mais vite, en même temps que je vais pour mettre un de mes sous-vêtements, je finis de lui expliquer pourquoi j’ai pris cette jupe.
• Quand maman est sortie du bureau, j’avais cette jupe dans ma main, j’ai eu peur de la fâcher, sans penser plus loin, je l’ai mis dans mon sac à main.
• Ça tombe bien, tu vas la mettre avec cette blouse, mais il y a un problème, enlève-moi cette culotte en coton.
Merde, ta jupe est vraiment mini, il est impossible que tu gardes cette horreur, enlève là !
J’ignore pourquoi je fais confiance à Manon qui semble avoir des centaines de longueurs d’avance sur moi sur la connaissance du sexe, j’ai été bridée, elle pas !
Je fais glisser ma culotte, je la vois en faire de même en enlevant la sienne.
Lorsqu’elle m’a demandé d’enlever ma culotte, une fraction de seconde, j’ai eu peur d’être obligée de me rendre dans le bureau de Charles-Henri, la chatte à l’air.
Me voilà rassuré, même si au change, le léger voile odorant et chaud est loin de me rassurer sur la protection qu’elle m’apporte.
Allez, Marie-Antoinette dans cette tenue légèrement indécente, en route pour l’échafaud comme mon illustre prédécesseure...
Il faut savoir que c’est maman avec mes beaux-parents qui ont tout organisé.
Je suis arrivée 48 heures avant mes noces, tout était près, même ma robe de mariée.
Il y a plus de dix ans, j’étais toujours chez mes parents, quand j’ai vu un mariage expédié en très peu de temps.
J’étais jeune, mais un jour, j’ai entendu dire « ouf, on est sauvés ».
Il semblerait qu’une petite-cousine avait encouru les flammes de l’enfer de mon triptyque et qu’il avait fallu la marier en catastrophe pour l’honneur de sa famille.
Je pense qu’elle a fait ce que j’ai fait hier avec Charles-Antoine mais qu’Éric à omis de me faire en déviant son sexe dans mon cul afin d’être le premier à passer par mon anneau serré.
J’ai donc visité et bien visité avant de rejoindre ma chambre pour prendre un bain réparateur après ce que j’ai accepté contre mon gré que le cousin de mon mari me fasse.
Le repas a lieu en tête à tête avec mes beaux-parents.
Éric est absent, ma belle-mère demande à la servante qui nous apporte l’entrer le motif de son absence.
Elle lui dit qu’il a demandé un plateau dans sa chambre.
Ça m’arrange, ainsi j’évite de faire un imper sur ce que nous avons fait et qui me semble être mal.
En tout et pour tout, trois mots d’échangés, entre ce couple étrange.
La plus longue phrase a été prononcée par Charles-Henri, me signalant que mon mari était retenu au restaurant par le client qu’il allait rencontrer depuis tôt ce matin.
13 heures, je suis passée me changer et Manon me croisant dans le couloir vient s’excuser pour ce matin.
• Marie-Antoinette, je vois que tu as oublié que nous nous connaissons.
• Je dois reconnaitre que j’ignore ou et quand ?
• C’est normal, nous avions moins de dix ans et s’était à l’école du village avant que ta maman t’envoie dans cette école de bonnes sœurs.
Je suis contente que tu en sois sortie !
• Mon dieu, mais c’est vrai, la petite Manon avec ses couettes et ses taches de rousseur, « poil de carotte, » c’est ainsi que tous t’appelaient.
• Rousse et mes taches de rousseur sont toujours là, mais poil-de-carotte, c’est terminé depuis que je me suis mariée.
• Tu es mariée !
• Oui, depuis deux ans, mais tu le connais, lui aussi, c’est Romuald, le fils du garde chasse du domaine de tes beaux-parents.
Le dernier qui m’a donné ce surnom, ses pris un point dans la gueule, ça a dissuadé les autres de recommencer.
• Romuald, mais bien sûr à l’école il te défendait déjà.
• Oui, il m’a dit qu’il était amoureux de toi avant que tu deviennes bonne sœur.
Mais je m’excuse, je m’aperçois que je te manque de respect en te tutoyant.
• Aucun problème, à part que mon mariage m’a évité de finir bonne sœur, continue à me dire « tu ».
As-tu des enfants ?
• Surtout pas, Romuald dirige le chai de ton beau-père et nous économisons afin de pouvoir reprendre une vieille maison avec un vieux chai et quelques hectares de vignes.
Nous voulons devenir propriétaire et autonome.
• Je te laisse, je vais prendre un bain, j’ai rendez-vous dans son bureau à 14 heures avec mon beau-père.
• Un bain, ça fait partie de ma tache envers toi, je vais te le faire couler.
C’est ainsi que la baignoire étant pleine d’eau bien chaude, je me mets nue devant Manon.
Si je suis ignorante de bien des choses à cause de mes années de pensionnat entre jeunes filles.
Comme je l’ai dit dans les douches, si les hommes et leurs pratiques sexuelles m’étaient inconnus, une femme, je sais comment c’est fait.
J’allais pour me laver, mais c’est Manon, qui prend l’éponge naturelle et qui fait couler du savon liquide avant de me la passer sur le corps.
Elle monte les manches de sa blouse, autre genre d’uniforme que les quelques servantes attachées à notre service portent.
Seule, la dame de compagnie d’Élisabeth est habillée de façon classique, mais comme une vieille fille.
Sa main, non l’éponge, me savonne les seins, mes pointes se dressent.
Je sens mon corps m’échapper lorsque sa main descend jusqu’à ma chatte.
Est-ce fait volontairement afin de m’apporter des sensations ?
L’un de ses doigts vient toucher le haut de cette partie de mon corps dont j’ignorais à quoi cela servait, à part faire pipi, me chamboulant.
• Dis-moi Manon, je peux te poser des questions sans que tu te fiches de moi ?
Tu vois, chez les sœurs, ainsi que les rares fois où je venais à la maison, on me tenait éloigné des mystères de la vie, peux-tu m’aider à découvrir mon sexe.
• Rire de toi, tu es folle, pardon je suis à ton service et je dois peser mes mots.
• C’est la première fois qu’une fille touche ma chatte, ça m’a fait comme de l’électricité quand ton doigt m’a effleurée.
• Je m’excuse, j’ai dû te toucher ton clito, dit donc ma salope, tu es sensible du vagin, tu me diras, moi aussi.
• Tu vois, j’ignore le mot clito et vagin, salope je sais que ce sont des filles de petites vertus.
• Je constate que tes lacunes sont immenses, attend, je vais faire laisser échapper un peu d’eau pour que tes parties génitales soient visibles.
Je vais te paraître un peu trop entreprenante, mais je vais te montrer ce que je pense que les sœurs et ta mère t’ont caché.
Elle me pose le doigt en haut de ma chatte.
• Si on m’avait dit que je devrais donner un cours d’anomie à ma patronne, j’aurais traité la personne de folle.
• Oh ! ça recommence, j’ai eu l’impression que du courant électrique passait par ton bout de doigt.
• Je t’ai simplement effleuré ton clitoris ou clito comme tout le monde prononce.
Ce petit bouton plus ou moins gros est souvent caché sous un petit capuchon, il faut le faire sortir pour lui donner du plaisir.
Si tu avais été à l’école publique, tu aurais appris et vu sur des planches en couleur la chatte des filles et la verge des hommes.
Le prof t’aurait montré toutes les parties de la chatte d’une femme et pour la verge des garçons tu l’aurais vue, mais au repos.
J’espère qu’hier au soir la bite de Charles-Antoine a été assez tendue pour te pénétrer.
• Manon, pour nous aussi sœur Thérèse nous donnait des cours d’éducation sexuelle, mais tout était basé sur la simple reproduction des espèces.
Les planches qu’elle nous montrait en plus d’être en noir et blanc omettaient de nous signaler que nous avons un clitoris.
• Elle devait être mal à l’aise de vous dire que Dieu a créé Ève sur cette terre pour le plaisir d’Adam et que chez tous les mammifères, seule la femme et l’homme prennent du plaisir dans l’acte sexuel.
Je repense à mon taureau, c’est vrai, il m’a semblé que cet accouplement était loin de faire plaisir à la vache avec le poids du mâle qui se reposait sur son dos.
• Marie-Antoinette, tu as vu l’heure, on papote, on papote et l’heure tourne, tu as rendez-vous chez ton beau-père dans trente minutes, il a horreur des gens en retard.
Rince-toi, on aura bien l’occasion de reprendre cette conversation plus tard.
Pendant ce temps, je vais te sortir les vêtements que j’ai été chercher avant que tu viennes te mariée.
Ça va être coton, j’ai vu qu’ils te gardaient dans la pure tradition des jeunes filles de 1900, il va falloir que ton mari te refasse ta garde-robe.
Mais je crois avoir vu une ou deux petites choses qui vont aller en attendant mieux !
Je me rince, il faut que je me dépêche, la découverte de mon corps avec Ninon, risque de m’avoir mise en retard.
Je me rince, tiens c’est vrai lorsque les jets de la pomme de douche touchent mon clito, je suis obligée de fléchir mes jambes sous la décharge qui me traverse.
Il faut dire, qu’ici, l’eau sort d’une pomme de douche que je tiens en main, alors que là-bas elle tombait du haut de la tuyauterie.
Même si l’eau est capable de me donner du plaisir, pourquoi les sœurs qui sont au service du fils de Dieu se privent de ces plaisirs.
Je me sèche rapidement et je rejoins Manon, elle semble pensive devant ce qu’elle a sorti de mon armoire.
• Manon, tu veux que je mette ça, mais je vais être indécente devant mon beau-père !
• Si cette mini-jupe en jean est là, c’est qu’elle a été achetée par toi ou quelqu’un d’autre.
Elle était dans ton armoire dans ta chambre de pucelle chez ta mère.
• Je sais, c’est la plus grande honte de ma vie, je l’ai volé dans un magasin de notre ville.
• Toi, la none, pardon, c’est le surnom que les jeunes te donnaient lorsque tu venais en vacances et que tu sortais avec ton chaperon.
Nous savions tous que le reste du temps tu étais dans une école de bonne sœur, nous pensions que tu allais rentrer dans les ordres, tu as donc volé cette mini-jupe !
• Volé, pas tout à fait, comme tu l’as dit, j’étais avec maman, elle m’a dit de regarder si quelque chose me plaisait pendant qu’elle allait voir la vendeuse ou la patronne dans son bureau.
Elles sont ressorties, maman semblait remettre sa coiffure.
• C’est normal, t’as ton appris ce que sont des lesbiennes ou gouines si tu préfères !
• Maman est une gouine, comme ma belle-mère avec Marie-Pascale !
• Je vois que l’on t’a mise au courant pour notre patronne, certainement Éric le beau gosse, fait gaffe, il a les mains baladeuses.
Inutile qu’elle me prévienne, avec Éric, j’ai largement dépassé le stade des mains baladeuses, mais je suis en retard pour lui en dire plus.
• Simone, la proprio du magasin où vous vous trouviez est son amie, mais pas que.
Ce « pas que » m’interpelle, mais vite, en même temps que je vais pour mettre un de mes sous-vêtements, je finis de lui expliquer pourquoi j’ai pris cette jupe.
• Quand maman est sortie du bureau, j’avais cette jupe dans ma main, j’ai eu peur de la fâcher, sans penser plus loin, je l’ai mis dans mon sac à main.
• Ça tombe bien, tu vas la mettre avec cette blouse, mais il y a un problème, enlève-moi cette culotte en coton.
Merde, ta jupe est vraiment mini, il est impossible que tu gardes cette horreur, enlève là !
J’ignore pourquoi je fais confiance à Manon qui semble avoir des centaines de longueurs d’avance sur moi sur la connaissance du sexe, j’ai été bridée, elle pas !
Je fais glisser ma culotte, je la vois en faire de même en enlevant la sienne.
Lorsqu’elle m’a demandé d’enlever ma culotte, une fraction de seconde, j’ai eu peur d’être obligée de me rendre dans le bureau de Charles-Henri, la chatte à l’air.
Me voilà rassuré, même si au change, le léger voile odorant et chaud est loin de me rassurer sur la protection qu’elle m’apporte.
Allez, Marie-Antoinette dans cette tenue légèrement indécente, en route pour l’échafaud comme mon illustre prédécesseure...
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