COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (1/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (1/11)
• Ma chérie, demain c’est le grand jour, nous t’avons sortie de ton institution pour jeunes filles pour que tu épouses Charles-Antoine de la pompe, le fils de Charles-Henri de la pompe, le plus gros propriétaire viticole de notre région.
50 hectares de vignes et le château centenaire où tu vivras et si tu sais y faire, tu en deviendras la pièce principale dès que tu auras donné une descendance à nos deux familles.
Par chance, Charles-Antoine est fils unique et avec nos 20 hectares, il devenait urgent de fusionner avec eux si nous voulions nous agrandir en mettant en commun nos frais fixes.
Les sœurs ont pris soin de toi et elles t’ont caché ce que tu devras faire demain soir lorsque celui qui sera devenu ton mari, t’emmènera dans votre chambre nuptiale.
Marie-Antoinette, dix-neuf ans, vierge bien sûre.
Depuis l’âge de dix ans, je suis enfermée 80 % de mon temps dans cet institut pour jeunes filles de bonne famille.
Les 20 % restants, je suis dans le petit castel familial près de notre chai où ma mère transforme notre raisin en vin rouge ou blanc et nous l’espérons pour des vignes moins intéressantes en vin rosé.
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours vu maman seule.
Ces 20 % j’aurais pu vivre plus librement, mais maman voulant me garder intact pour mon mariage me surveillait comme vous pouvez surveiller le lait que vous avez mis sur le feu.
Mariage au château, dans la petite chapelle où je vais pouvoir venir prier comme je le faisais tous les jours au pensionnat, là aussi dans la chapelle.
Je pensais que j’allais embrasser Jésus et qu’il allait me passer une bague au doigt lorsque l’on est venu me chercher.
J’ai été conduite près de maman et de ceux de celui qu’à 15 heures, je vais épouser.
Pétales de rose dans ce que je croyais être notre chambre à Charles-Antoine et à moi et un mari qui me sort de ma robe blanche.
En petite tenue, la plus belle que j’ai eu le plaisir de porter de toutes mes années, il me couche au milieu des pétales et sa bouche se retrouve, sur mon petit carré, là où je sais, se trouve mon hymen.
Gauchement, la sœur Marie de la Sainte-Trinité, était chargée de notre éducation sexuelle.
Entre nous nous l’appelions La Trinité s’était plus court.
Elle nous a fait voir sur des dessins au crayon en noir et blanc le mystère de la reproduction.
Je sais que les garçons ont un bâton comme elle disait et que moi j’ai un puits où le bâton doit entrer pour que je sois fécondée.
C’est donc avec des connaissances très limitées que j’aborde la nouvelle étape de ma vie, la rencontre entre mon puits et le bâton de Charles-Antoine.
• Suce ma bite, ma chère Marie-Antoinette, j’ai un peu bu au banquet et j’ai du mal à démarrer.
« Ma fille, tu suivras ce que te demandera ton mari », m’a dit, maman, je sais que Charles-Henri le père de Charles-Antoine lui aura appris la façon de nous donner rapidement une descendance.
J’apprends que les garçons ont remplacé le mot bâton par le mot bite, je vais retenir ce mot plus joli à mon oreille.
Bite et bouche, je suis innocente, mais bonne fille, je prends la bite de mon mari dans ma main et je la porte à ma bouche.
Je suis fière de la jeune pucelle que je suis, le bâton, pardon la bite de mon mari est bien droite et rigide.
• Mets-toi à quatre pattes, je vais te dépuceler en levrette.
Ça va trop vite, non pas mon dépucelage, mais les mots que mon mari emploi et que je découvre en même temps qu’il les prononce.
Quatre pattes, ça m’aide, on peut avoir des enfants dans diverses positions et celle où je me place, est appelée la levrette, qui a pu inventer un tel langage.
Chatte, c’est un mot que je connais, certaines jeunes élèves au pensionnat sous la douche en parlaient.
Charles-Antoine pousse, ça me fait un peu mal,mais il est bien callé au fond de moi.
Je suis femme, alors que si j’avais donné ma vie à Jésus, je serais restée vierge comme Marie toute ma vie.
Charles-Antoine me met une main sur mon fessier et !
• Au chéri, pourquoi ce doigt dans le cul.
• Ce soir, je viens de te dépuceler, je te prépare pour demain, je t’enculerais.
Que dois-je comprendre à ce que viens de me dire mon mari, je verrais ça demain car poussant un cri, il me remplit le sexe d’un liquide chaud ?
Il a fini et me quitte, je comprends que c’est ma chambre et qu’il a la voisine dans leur château.
Lorsque je me suis préparée, je me suis servie de la salle de bains attenante à ma chambre.
Je vais me faire couler un bain me lavant la chatte en y mettant mes doigts, c’est la première fois que je me pénètre personnellement.
Ça me fait du bien, ça calme la légère douleur et avant que la mousse me cache ma chatte blonde, je vois un petit filet de sang.
Au matin, plutôt vers 9 heures, je me réveille, je suis seule, j’ai faim, je passe mon peignoir sans penser à mettre ma petite chemise de nuit.
Je descends au niveau de la salle à manger, de nombreuses personnes s’affairent à ranger le jardin où je me suis mariée.
• Bonjour madame, vous voulez que l’on vous serve votre petit déjeuner !
• Oui, café noir et biscote.
• Allez au petit salon, le cousin de votre mari y est déjà, il déjeune, lui aussi, je vous amène un plateau.
Éric est là, c’est le neveu de Charles-Henri.
Il a échappé au prénom à rallonges, c’était le témoin de Charles-Antoine et je sais qu’il a couché au château, car il venait de Paris ou il est étudiant en médecine.
C’est la branche de la famille qui a dû quitter la viticulture pour garder l’intégralité du domaine revenant à son aîné.
Le frère de Charles-Henri est devenu banquier à Paris avec l’aide de sa famille, mais il est mort d’un infarctus.
Avant de mourir, il avait amassé ce qu’il faut pour permettre à sa famille de vivre aisément et à son fils de faire ses études.
• Bonjour Marie-Antoinette, je suis content de te voir, ton mari est parti en ville, il avait un contrat à signer.
Ta nuit de noces, j’espère qu’il a su te donner du plaisir.
• Tu me mets mal à l’aise, tu sais, j’ai vécu dans un endroit où la sexualité était taboue, je découvre les choses au fur et à mesure.
Éric est beau gosse, on m’a marié, j’aurais pu choisir, je lui aurais dit oui avant mon mari, mais les domaines primes.
La servante m’amène mon café, je déjeune rapidement.
• Tes beaux-parents ou ton mari, t’ont-ils proposé de visiter le château, sinon je vais le faire.
• Je suis en peignoir.
• Il est fermé, tu es présentable, viens.
Il me prend la main et m’entraîne vers le couloir ou ma chambre se trouve.
• Ici, c’est la chambre de ton beau-père Charles-Henri, à cette heure, il doit être dans son bureau dans le vieux chai où les vins sont élaborés et stockés.
Dans ce chai sont entreposés les tonneaux de vins les plus rares donc les plus chères, le reste dans le nouveau chai plus moderne et plus fonctionnel.
À côté, ta belle-mère, Élisabeth, c’est la fille du vieux notaire de la région.
Il est mort et c’est son frère qui a repris l’étude, ils ont apporté à Charles-Henri, bien des aides pour qu’il devienne le plus gros propriétaire du coin.
• Ma belle-mère doit avoir des problèmes, je viens de l’entendre crier.
• Pas d’énervement Marie-Antoinette, c’est Marie-Pascale, sa dame de compagnie qui suce la chatte, ta belle-mère.
• Elle lui suce la chatte, comme moi j’en ai une, c’est une chose qui se fait ?
• Plus souvent que tu crois, ta belle-mère, est une lesbienne qui aime lécher la chatte de sa dame de compagnie, mais toi chez les bonnes sœurs, les léchais-tu aussi ?
J’ai envie de lui crier quelle horreur, mais je garde cette réflexion pour moi, je verrais bien par la suite.
Il est vrai qu’hier, Élisabeth était toute la journée avec cette grande femme élancée, elle a même dansé avec elle, collé comme le sont les sardines dans leur boîte.
• La porte en face, c’est celle de ton mari et celle à côté, c’est la tienne.
Enfin cette porte au bout du couloir, conduit aux dépendances comme la cuisine.
La porte de ma chambre s’ouvre, une jeune femme ayant environ mon âge en sort avec un plateau, elle est rousse.
• Madame, je suis Manon, j’ai été affecté à votre service, je venais vous apporter votre petit déjeuner.
• Je m’excuse, Manon, j’ignorais que j’avais une servante attitrée et j’ai déjà été servi par une jeune femme au salon avec Éric, notre cousin.
Tous les matins, je déjeune à 8 heures avant d’aller courir pendant une heure.
Je vais y aller dès qu’Éric aura fini de me faire découvrir le château.
Nous faisons demi-tour et revenons vers l’escalier central.
• De l’autre côté, il y a les mêmes chambres, vide jusqu’à ce que tu donnes un fils à notre famille, il aura sa chambre et la nurse qu’ils embaucheront aura la sienne à son côté.
Je vois Éric ouvrir une porte et rentrer dans une chambre de célibataire, quel bordel.
• C’est ma chambre, je rentre à Paris demain matin, je viens quand je le désir.
J’ai un droit écrit de venir quand je le veux, c’est ma tante qui a ajouté cette clause lors de ma naissance.
• Éric, que fais-tu, enlève cette main de sous mon peignoir !
• Elle si trouve bien ce qui est à Charles-Antoine et un peu à moi.
Nous partagions les filles lorsque nous étions jeunes, pourquoi pas sa femme.
Il a sa main sur ma chatte, il me caresse et je sens que la douleur s’est plus qu’atténuée.
Lorsque sa bouche se porte sur la mienne, je l’ouvre et sa langue vient trouver la mienne.
Je sens qu’il est trop tard...
50 hectares de vignes et le château centenaire où tu vivras et si tu sais y faire, tu en deviendras la pièce principale dès que tu auras donné une descendance à nos deux familles.
Par chance, Charles-Antoine est fils unique et avec nos 20 hectares, il devenait urgent de fusionner avec eux si nous voulions nous agrandir en mettant en commun nos frais fixes.
Les sœurs ont pris soin de toi et elles t’ont caché ce que tu devras faire demain soir lorsque celui qui sera devenu ton mari, t’emmènera dans votre chambre nuptiale.
Marie-Antoinette, dix-neuf ans, vierge bien sûre.
Depuis l’âge de dix ans, je suis enfermée 80 % de mon temps dans cet institut pour jeunes filles de bonne famille.
Les 20 % restants, je suis dans le petit castel familial près de notre chai où ma mère transforme notre raisin en vin rouge ou blanc et nous l’espérons pour des vignes moins intéressantes en vin rosé.
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours vu maman seule.
Ces 20 % j’aurais pu vivre plus librement, mais maman voulant me garder intact pour mon mariage me surveillait comme vous pouvez surveiller le lait que vous avez mis sur le feu.
Mariage au château, dans la petite chapelle où je vais pouvoir venir prier comme je le faisais tous les jours au pensionnat, là aussi dans la chapelle.
Je pensais que j’allais embrasser Jésus et qu’il allait me passer une bague au doigt lorsque l’on est venu me chercher.
J’ai été conduite près de maman et de ceux de celui qu’à 15 heures, je vais épouser.
Pétales de rose dans ce que je croyais être notre chambre à Charles-Antoine et à moi et un mari qui me sort de ma robe blanche.
En petite tenue, la plus belle que j’ai eu le plaisir de porter de toutes mes années, il me couche au milieu des pétales et sa bouche se retrouve, sur mon petit carré, là où je sais, se trouve mon hymen.
Gauchement, la sœur Marie de la Sainte-Trinité, était chargée de notre éducation sexuelle.
Entre nous nous l’appelions La Trinité s’était plus court.
Elle nous a fait voir sur des dessins au crayon en noir et blanc le mystère de la reproduction.
Je sais que les garçons ont un bâton comme elle disait et que moi j’ai un puits où le bâton doit entrer pour que je sois fécondée.
C’est donc avec des connaissances très limitées que j’aborde la nouvelle étape de ma vie, la rencontre entre mon puits et le bâton de Charles-Antoine.
• Suce ma bite, ma chère Marie-Antoinette, j’ai un peu bu au banquet et j’ai du mal à démarrer.
« Ma fille, tu suivras ce que te demandera ton mari », m’a dit, maman, je sais que Charles-Henri le père de Charles-Antoine lui aura appris la façon de nous donner rapidement une descendance.
J’apprends que les garçons ont remplacé le mot bâton par le mot bite, je vais retenir ce mot plus joli à mon oreille.
Bite et bouche, je suis innocente, mais bonne fille, je prends la bite de mon mari dans ma main et je la porte à ma bouche.
Je suis fière de la jeune pucelle que je suis, le bâton, pardon la bite de mon mari est bien droite et rigide.
• Mets-toi à quatre pattes, je vais te dépuceler en levrette.
Ça va trop vite, non pas mon dépucelage, mais les mots que mon mari emploi et que je découvre en même temps qu’il les prononce.
Quatre pattes, ça m’aide, on peut avoir des enfants dans diverses positions et celle où je me place, est appelée la levrette, qui a pu inventer un tel langage.
Chatte, c’est un mot que je connais, certaines jeunes élèves au pensionnat sous la douche en parlaient.
Charles-Antoine pousse, ça me fait un peu mal,mais il est bien callé au fond de moi.
Je suis femme, alors que si j’avais donné ma vie à Jésus, je serais restée vierge comme Marie toute ma vie.
Charles-Antoine me met une main sur mon fessier et !
• Au chéri, pourquoi ce doigt dans le cul.
• Ce soir, je viens de te dépuceler, je te prépare pour demain, je t’enculerais.
Que dois-je comprendre à ce que viens de me dire mon mari, je verrais ça demain car poussant un cri, il me remplit le sexe d’un liquide chaud ?
Il a fini et me quitte, je comprends que c’est ma chambre et qu’il a la voisine dans leur château.
Lorsque je me suis préparée, je me suis servie de la salle de bains attenante à ma chambre.
Je vais me faire couler un bain me lavant la chatte en y mettant mes doigts, c’est la première fois que je me pénètre personnellement.
Ça me fait du bien, ça calme la légère douleur et avant que la mousse me cache ma chatte blonde, je vois un petit filet de sang.
Au matin, plutôt vers 9 heures, je me réveille, je suis seule, j’ai faim, je passe mon peignoir sans penser à mettre ma petite chemise de nuit.
Je descends au niveau de la salle à manger, de nombreuses personnes s’affairent à ranger le jardin où je me suis mariée.
• Bonjour madame, vous voulez que l’on vous serve votre petit déjeuner !
• Oui, café noir et biscote.
• Allez au petit salon, le cousin de votre mari y est déjà, il déjeune, lui aussi, je vous amène un plateau.
Éric est là, c’est le neveu de Charles-Henri.
Il a échappé au prénom à rallonges, c’était le témoin de Charles-Antoine et je sais qu’il a couché au château, car il venait de Paris ou il est étudiant en médecine.
C’est la branche de la famille qui a dû quitter la viticulture pour garder l’intégralité du domaine revenant à son aîné.
Le frère de Charles-Henri est devenu banquier à Paris avec l’aide de sa famille, mais il est mort d’un infarctus.
Avant de mourir, il avait amassé ce qu’il faut pour permettre à sa famille de vivre aisément et à son fils de faire ses études.
• Bonjour Marie-Antoinette, je suis content de te voir, ton mari est parti en ville, il avait un contrat à signer.
Ta nuit de noces, j’espère qu’il a su te donner du plaisir.
• Tu me mets mal à l’aise, tu sais, j’ai vécu dans un endroit où la sexualité était taboue, je découvre les choses au fur et à mesure.
Éric est beau gosse, on m’a marié, j’aurais pu choisir, je lui aurais dit oui avant mon mari, mais les domaines primes.
La servante m’amène mon café, je déjeune rapidement.
• Tes beaux-parents ou ton mari, t’ont-ils proposé de visiter le château, sinon je vais le faire.
• Je suis en peignoir.
• Il est fermé, tu es présentable, viens.
Il me prend la main et m’entraîne vers le couloir ou ma chambre se trouve.
• Ici, c’est la chambre de ton beau-père Charles-Henri, à cette heure, il doit être dans son bureau dans le vieux chai où les vins sont élaborés et stockés.
Dans ce chai sont entreposés les tonneaux de vins les plus rares donc les plus chères, le reste dans le nouveau chai plus moderne et plus fonctionnel.
À côté, ta belle-mère, Élisabeth, c’est la fille du vieux notaire de la région.
Il est mort et c’est son frère qui a repris l’étude, ils ont apporté à Charles-Henri, bien des aides pour qu’il devienne le plus gros propriétaire du coin.
• Ma belle-mère doit avoir des problèmes, je viens de l’entendre crier.
• Pas d’énervement Marie-Antoinette, c’est Marie-Pascale, sa dame de compagnie qui suce la chatte, ta belle-mère.
• Elle lui suce la chatte, comme moi j’en ai une, c’est une chose qui se fait ?
• Plus souvent que tu crois, ta belle-mère, est une lesbienne qui aime lécher la chatte de sa dame de compagnie, mais toi chez les bonnes sœurs, les léchais-tu aussi ?
J’ai envie de lui crier quelle horreur, mais je garde cette réflexion pour moi, je verrais bien par la suite.
Il est vrai qu’hier, Élisabeth était toute la journée avec cette grande femme élancée, elle a même dansé avec elle, collé comme le sont les sardines dans leur boîte.
• La porte en face, c’est celle de ton mari et celle à côté, c’est la tienne.
Enfin cette porte au bout du couloir, conduit aux dépendances comme la cuisine.
La porte de ma chambre s’ouvre, une jeune femme ayant environ mon âge en sort avec un plateau, elle est rousse.
• Madame, je suis Manon, j’ai été affecté à votre service, je venais vous apporter votre petit déjeuner.
• Je m’excuse, Manon, j’ignorais que j’avais une servante attitrée et j’ai déjà été servi par une jeune femme au salon avec Éric, notre cousin.
Tous les matins, je déjeune à 8 heures avant d’aller courir pendant une heure.
Je vais y aller dès qu’Éric aura fini de me faire découvrir le château.
Nous faisons demi-tour et revenons vers l’escalier central.
• De l’autre côté, il y a les mêmes chambres, vide jusqu’à ce que tu donnes un fils à notre famille, il aura sa chambre et la nurse qu’ils embaucheront aura la sienne à son côté.
Je vois Éric ouvrir une porte et rentrer dans une chambre de célibataire, quel bordel.
• C’est ma chambre, je rentre à Paris demain matin, je viens quand je le désir.
J’ai un droit écrit de venir quand je le veux, c’est ma tante qui a ajouté cette clause lors de ma naissance.
• Éric, que fais-tu, enlève cette main de sous mon peignoir !
• Elle si trouve bien ce qui est à Charles-Antoine et un peu à moi.
Nous partagions les filles lorsque nous étions jeunes, pourquoi pas sa femme.
Il a sa main sur ma chatte, il me caresse et je sens que la douleur s’est plus qu’atténuée.
Lorsque sa bouche se porte sur la mienne, je l’ouvre et sa langue vient trouver la mienne.
Je sens qu’il est trop tard...
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Les avis des lecteurs
Tous les deux jours un chapitre il y en a 11
Vite la suite svp