COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (10/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (10/11)
Comment me suis-je retrouvée à frapper sur la porte du major Williams alors que mon beau-père avait commandé sa voiture pour nous rendre au restaurant après l’arrachage d’un contrat avec lui ?
Je vais l’expliquer et surtout qu’elle est mon plan après avoir appris certains renseignements sur l’ennemie de Charles-Henri, mon beau-papa et amant.
Serge, son chauffeur, petit homme chauve et bedonnant, nous conduit en ville, dans le restaurant trois fourchettes que peu des habitants peuvent se payer.
Je découvre ce qu’est le tapis rouge, pour un homme aussi connu que mon beau-père.
Je remarque qu’ils nous donnent la table la mieux placée derrière la baie vitrée, mais aussi éloigné des autres tables préservant notre intimité.
• Lorsque l’on sert la famille positivement, je sais récompenser ceux qui le font.
Tu es à la meilleure table à 50 kilomètres à la ronde, je dois t’avouer que j’y mange régulièrement, mais Charles-Antoine est toujours resté à la porte de cet établissement.
Ma femme et sa maîtresse aussi, d’ailleurs !
Un repas succulant, bien sûr, je choisis mon repas sans voir les prix, classes et fourchettes obligent.
Et pendant que nous dégustons, surtout le sucré, malgré que je fasse attention à ma ligne, je lui expose l’idée qui m’est venue.
Comme dessert, fondant aux trois chocolats et aux fleurs d’orties adoucies à la crème d’orange.
Je me demande comment avoir de telle idée, bien que si je réfléchis bien, celle que je mets en place avec l’accord de mon amant, est aussi assez ambiguë.
Mais nous en reparlerons plus tard, le principal, c’est que j’ai son accord avec un peu de réticence au début.
Nous quittons le restaurant sous les courbettes du personnel, je sens que je viens de franchir une étape depuis que, j’ai quitté mon pensionnat.
• Manon que fais-tu là devant le restaurant où nous venons de déjeuner avec Charles-Henri.
• C’est moi qui l’ai appelé, mon chauffeur est allé la chercher pendant que nous déjeunions, nous allons avoir besoin d’elle.
• Merci monsieur, de me faire confiance, je vais essayer de vous servir comme vous aimez que cela soit fait.
• Serge conduit nous chez le concessionnaire de mes amis.
On dirait que Charles me cache quelque chose, chez quel concessionnaire et pourquoi y allons-nous ?
Quelques minutes et nous arrivons.
• Bonjour, Sylvain, la voiture est prête !
• À votre convenance monsieur le maire, nous nous sommes mis en quatre lorsque nous avons reçu votre coup de téléphone.
Pendant que vous êtes ici, nos équipes sont au château pour l’installation des bornes de chargement.
• Donnez les clefs à ma belle-fille, faite lui voir sa voiture.
Je sais, dans vos écoles pour jeunes filles de bonne famille, au programme, les leçons de conduite sont oubliées, mais dès la semaine prochaine, Manon te conduira pour des leçons de code et de conduites.
En attendant, Manon en plus d’être ta camériste te servira de chauffeur.
Je vois une voiture rouge arriver, amené par un employé.
Le moteur est silencieux alors que je m’attendais à ce qu’il rugisse.
• Je vois que vous êtes étonnée, madame, c’est notre modèle électrique dernière génération, vous êtes la première à en avoir une à 50 kilomètres à la ronde.
50 kilomètres comme la table ou nous avons mangé ce midi.
• Manon prend le volant et conduit Marie-Antoinette dans le centre-ville.
Garez-vous au parking de la mairie, j’y ai fait mettre des bornes, mais la voiture est en charge maxi, vous pourrez rentrer sans charger.
Marie-Antoinette, tu as ta carte bancaire que je t’ai fait porter.
C’est le moment de la faire chauffer, Manon, tu sais très bien faire de bonnes affaires et je connais ton bon jugement lorsqu’il s’agit de vêtements féminins.
Laissez-vous séduire par des vêtements modernes, tu as compris lors de mes altercations avec Marie-Pascale que je voulais profiter de tous ces changements pour faire souffler un vent de fraicheur sur notre domaine, c’est bon pour les affaires.
Je vous laisse entre filles, Serge reconduisez-moi au château, petite clochette de muguet, je vais, de ce pas, mettre en place la première pierre au projet que tu m’as soumis.
Je saute au cou de mon beau-père, sans aller trop loin tout de même, inutiles devant ces inconnus de cette concession de leur faire voir le degré d’intimité ou beau-père et bru nous sommes arrivées.
Manon s’installe au volant, en bonne conductrice, elle règle son siège et ses rétroviseurs.
Après que je sois montée à son côté, elle démarre grâce au moteur électrique presque silencieux et tout en douceur.
• C’est drôle, j’étais réticente à apprendre à conduire, je manquais de confiance en moi.
C’est Romuald qui a insisté en vue de nos futures démarches que nous aurons à faire, quand nous nous installerons.
Si j’avais su que j’aurais à conduire une telle merveille, j’y serais allée en courant et j’aurais bien mieux révisé le code que j’ai dû repasser quatre fois.
Je regarde Manon, on dirait une enfant à qui l’on a donné un roudoudou.
Je suis à deux doigts de lui dire pour Romuald et mon mari...
Comme je l’ai dit, j’ai été élevé dans la peur du cachot et de toute ma vie, j’ai toujours dit la vérité aux gens, surtout aux bonnes sœurs.
Elle est si rayonnante avec ses cheveux roux que j’apprends à me taire au lieu de lui faire mal.
Je lui passe ma main dans ses cheveux, les ébouriffants, presque jalouse qu’il soit si beau.
• Arrête Marie-Antoinette, laisse-moi me concentrer, j’ai vu le même modèle en gris dans la concession, cette SQ8 vaux plus de 110 000 €.
Je me vois mal dire au patron que je l’ai défoncé autant que lui nous défonce avec sa bite.
Merde, pardon mince, moi qui pensais que le cadeau que me faisait Charles était inférieur à 30 000 €.
Il m’en aurait fait cadeau pour cacher les mœurs de mon mari, j’aurais pu penser qu’il m’achetait.
Mais là, je dois reconnaitre que c’est plus mon petit cul, mais plutôt ma jolie bouche qui a su le satisfaire quand je l’ai sucé et aussi depuis avec le major William.
La voiture était prête, la commande devait être passée avant l’épisode de la sodomie que faisait subir Charles-Antoine à Romuald.
Que dire de nos emplettes, pour chauffer, ma carte chauffe ?
Je refais intégralement ma garde-robe ajoutant quelques petits vêtements tendance à mon chauffeur et amie.
Sylvaine de service au château, la jeune femme s’occupant d’Élisabeth et Marie-Pascale va avoir de nombreux pas à faire pour monter dans ma chambre tous ces paquets que je fais livrer.
J’ai compris les avantages d’être encore à cette heure la femme de mon mari.
• Marie-Antoinette, petite salope, j’ignorais que nous avons accueilli une vipère dans notre maison.
• Pourquoi me dite vous ça belle-maman ?
• Mon fils est venu me dire qu’il avait décidé de partir pour les Amériques plus tôt que je l’avais prévu.
Son père lui a dit de faire sa valise et de prendre les billets d’avion qui l’attendait à l’aéroport, ce soir il couche à Orly avant de décoller pour les États-Unis.
Nous vous avions sous-estimée lorsque j’ai accepté que vous épousiez mon fils, mon petit ange.
• Votre petit ange, belle maman, un gros pédé, je l’ai vu se faire enculer par...
L’un des employés de votre mari en haut des cuves où l’on met le vin avant la mise en tonneau.
J’ai été à deux doigts de dire à ma belle-mère que c’était Romuald qui enculait son fils.
Le petit blanc que ma bouche fait, passe inaperçue, certes, je m’en serais sortie en prétextant le peu de temps que je suis ici et qu’un bon nombre d’employés me sont inconnus.
• Que faisiez-vous au-dessus des cuves, moi-même le chai m’est inconnu, j’ai essayé d’y pénétrer une fois, c’est sale et sa pu !
J’allais répondre lorsque Charles arrive.
• Excusez mon retard, je réceptionnais les bornes pour les voitures électriques.
Ma chère, j’ai entendu depuis le couloir vos cris envers mon petit bouchon.
Vous et votre grande sauterelle, je vous propose de faire vos bagages et vous arranger une petite traversée afin de le rejoindre.
Lorsque vous m’avez proposé de marier notre fils pour cacher le scandale qu’il avait provoqué en s’exhibant avec son Américain, j’aurais dû le renvoyer au lieu de suivre votre idée stupide.
Nous en sommes revenus au même point.
• Et notre descendance, as-tu pensé à notre descendance ?
• Avec Marie-Antoinette on s’y attelle, partez et laissez nous faire, contentez-vous de sucer la chatte avec votre vieille serpillière.
• Ça y est, c’est encore moi qui prends, pourtant j’ai fait des efforts vestimentaires afin, afin de vous êtes agréable.
C’est en pleurs que Marie-Pascale jette sa serviette sur la table et quitte la pièce, quelques minutes après, nous entendons une porte claquer et une voiture démarrée.
• Bon débarras, cette gougnotte commençait à me courir sur le haricot.
• Charles-Henri, je me retire, vous finirez seul dans votre château, c’est vrai, vous avez votre petite pute pour vous tenir compagnie !
• La petite pute, elle vous dit merde.
• Sucre d’orge, laisse-la partir, je sais que demain Élisabeth va se faire conduire jusqu’à l’hôtel de la place face à mon bureau et je les verrais se réconcilier sur l’un des lits.
Du moins, je les imaginerais, car elles ferment la porte, bien que beaucoup de nos administrés connaissent notre situation.
Viens sur mes genoux, cette journée a été épuisante.
• Charles, tu sais ce que tu as accepté et que tu as commencé à mettre en œuvre en renvoyant ton fils vers les Amériques !
• Oui, mais en attendant une petite sucette serait la bienvenue...
Je vais l’expliquer et surtout qu’elle est mon plan après avoir appris certains renseignements sur l’ennemie de Charles-Henri, mon beau-papa et amant.
Serge, son chauffeur, petit homme chauve et bedonnant, nous conduit en ville, dans le restaurant trois fourchettes que peu des habitants peuvent se payer.
Je découvre ce qu’est le tapis rouge, pour un homme aussi connu que mon beau-père.
Je remarque qu’ils nous donnent la table la mieux placée derrière la baie vitrée, mais aussi éloigné des autres tables préservant notre intimité.
• Lorsque l’on sert la famille positivement, je sais récompenser ceux qui le font.
Tu es à la meilleure table à 50 kilomètres à la ronde, je dois t’avouer que j’y mange régulièrement, mais Charles-Antoine est toujours resté à la porte de cet établissement.
Ma femme et sa maîtresse aussi, d’ailleurs !
Un repas succulant, bien sûr, je choisis mon repas sans voir les prix, classes et fourchettes obligent.
Et pendant que nous dégustons, surtout le sucré, malgré que je fasse attention à ma ligne, je lui expose l’idée qui m’est venue.
Comme dessert, fondant aux trois chocolats et aux fleurs d’orties adoucies à la crème d’orange.
Je me demande comment avoir de telle idée, bien que si je réfléchis bien, celle que je mets en place avec l’accord de mon amant, est aussi assez ambiguë.
Mais nous en reparlerons plus tard, le principal, c’est que j’ai son accord avec un peu de réticence au début.
Nous quittons le restaurant sous les courbettes du personnel, je sens que je viens de franchir une étape depuis que, j’ai quitté mon pensionnat.
• Manon que fais-tu là devant le restaurant où nous venons de déjeuner avec Charles-Henri.
• C’est moi qui l’ai appelé, mon chauffeur est allé la chercher pendant que nous déjeunions, nous allons avoir besoin d’elle.
• Merci monsieur, de me faire confiance, je vais essayer de vous servir comme vous aimez que cela soit fait.
• Serge conduit nous chez le concessionnaire de mes amis.
On dirait que Charles me cache quelque chose, chez quel concessionnaire et pourquoi y allons-nous ?
Quelques minutes et nous arrivons.
• Bonjour, Sylvain, la voiture est prête !
• À votre convenance monsieur le maire, nous nous sommes mis en quatre lorsque nous avons reçu votre coup de téléphone.
Pendant que vous êtes ici, nos équipes sont au château pour l’installation des bornes de chargement.
• Donnez les clefs à ma belle-fille, faite lui voir sa voiture.
Je sais, dans vos écoles pour jeunes filles de bonne famille, au programme, les leçons de conduite sont oubliées, mais dès la semaine prochaine, Manon te conduira pour des leçons de code et de conduites.
En attendant, Manon en plus d’être ta camériste te servira de chauffeur.
Je vois une voiture rouge arriver, amené par un employé.
Le moteur est silencieux alors que je m’attendais à ce qu’il rugisse.
• Je vois que vous êtes étonnée, madame, c’est notre modèle électrique dernière génération, vous êtes la première à en avoir une à 50 kilomètres à la ronde.
50 kilomètres comme la table ou nous avons mangé ce midi.
• Manon prend le volant et conduit Marie-Antoinette dans le centre-ville.
Garez-vous au parking de la mairie, j’y ai fait mettre des bornes, mais la voiture est en charge maxi, vous pourrez rentrer sans charger.
Marie-Antoinette, tu as ta carte bancaire que je t’ai fait porter.
C’est le moment de la faire chauffer, Manon, tu sais très bien faire de bonnes affaires et je connais ton bon jugement lorsqu’il s’agit de vêtements féminins.
Laissez-vous séduire par des vêtements modernes, tu as compris lors de mes altercations avec Marie-Pascale que je voulais profiter de tous ces changements pour faire souffler un vent de fraicheur sur notre domaine, c’est bon pour les affaires.
Je vous laisse entre filles, Serge reconduisez-moi au château, petite clochette de muguet, je vais, de ce pas, mettre en place la première pierre au projet que tu m’as soumis.
Je saute au cou de mon beau-père, sans aller trop loin tout de même, inutiles devant ces inconnus de cette concession de leur faire voir le degré d’intimité ou beau-père et bru nous sommes arrivées.
Manon s’installe au volant, en bonne conductrice, elle règle son siège et ses rétroviseurs.
Après que je sois montée à son côté, elle démarre grâce au moteur électrique presque silencieux et tout en douceur.
• C’est drôle, j’étais réticente à apprendre à conduire, je manquais de confiance en moi.
C’est Romuald qui a insisté en vue de nos futures démarches que nous aurons à faire, quand nous nous installerons.
Si j’avais su que j’aurais à conduire une telle merveille, j’y serais allée en courant et j’aurais bien mieux révisé le code que j’ai dû repasser quatre fois.
Je regarde Manon, on dirait une enfant à qui l’on a donné un roudoudou.
Je suis à deux doigts de lui dire pour Romuald et mon mari...
Comme je l’ai dit, j’ai été élevé dans la peur du cachot et de toute ma vie, j’ai toujours dit la vérité aux gens, surtout aux bonnes sœurs.
Elle est si rayonnante avec ses cheveux roux que j’apprends à me taire au lieu de lui faire mal.
Je lui passe ma main dans ses cheveux, les ébouriffants, presque jalouse qu’il soit si beau.
• Arrête Marie-Antoinette, laisse-moi me concentrer, j’ai vu le même modèle en gris dans la concession, cette SQ8 vaux plus de 110 000 €.
Je me vois mal dire au patron que je l’ai défoncé autant que lui nous défonce avec sa bite.
Merde, pardon mince, moi qui pensais que le cadeau que me faisait Charles était inférieur à 30 000 €.
Il m’en aurait fait cadeau pour cacher les mœurs de mon mari, j’aurais pu penser qu’il m’achetait.
Mais là, je dois reconnaitre que c’est plus mon petit cul, mais plutôt ma jolie bouche qui a su le satisfaire quand je l’ai sucé et aussi depuis avec le major William.
La voiture était prête, la commande devait être passée avant l’épisode de la sodomie que faisait subir Charles-Antoine à Romuald.
Que dire de nos emplettes, pour chauffer, ma carte chauffe ?
Je refais intégralement ma garde-robe ajoutant quelques petits vêtements tendance à mon chauffeur et amie.
Sylvaine de service au château, la jeune femme s’occupant d’Élisabeth et Marie-Pascale va avoir de nombreux pas à faire pour monter dans ma chambre tous ces paquets que je fais livrer.
J’ai compris les avantages d’être encore à cette heure la femme de mon mari.
• Marie-Antoinette, petite salope, j’ignorais que nous avons accueilli une vipère dans notre maison.
• Pourquoi me dite vous ça belle-maman ?
• Mon fils est venu me dire qu’il avait décidé de partir pour les Amériques plus tôt que je l’avais prévu.
Son père lui a dit de faire sa valise et de prendre les billets d’avion qui l’attendait à l’aéroport, ce soir il couche à Orly avant de décoller pour les États-Unis.
Nous vous avions sous-estimée lorsque j’ai accepté que vous épousiez mon fils, mon petit ange.
• Votre petit ange, belle maman, un gros pédé, je l’ai vu se faire enculer par...
L’un des employés de votre mari en haut des cuves où l’on met le vin avant la mise en tonneau.
J’ai été à deux doigts de dire à ma belle-mère que c’était Romuald qui enculait son fils.
Le petit blanc que ma bouche fait, passe inaperçue, certes, je m’en serais sortie en prétextant le peu de temps que je suis ici et qu’un bon nombre d’employés me sont inconnus.
• Que faisiez-vous au-dessus des cuves, moi-même le chai m’est inconnu, j’ai essayé d’y pénétrer une fois, c’est sale et sa pu !
J’allais répondre lorsque Charles arrive.
• Excusez mon retard, je réceptionnais les bornes pour les voitures électriques.
Ma chère, j’ai entendu depuis le couloir vos cris envers mon petit bouchon.
Vous et votre grande sauterelle, je vous propose de faire vos bagages et vous arranger une petite traversée afin de le rejoindre.
Lorsque vous m’avez proposé de marier notre fils pour cacher le scandale qu’il avait provoqué en s’exhibant avec son Américain, j’aurais dû le renvoyer au lieu de suivre votre idée stupide.
Nous en sommes revenus au même point.
• Et notre descendance, as-tu pensé à notre descendance ?
• Avec Marie-Antoinette on s’y attelle, partez et laissez nous faire, contentez-vous de sucer la chatte avec votre vieille serpillière.
• Ça y est, c’est encore moi qui prends, pourtant j’ai fait des efforts vestimentaires afin, afin de vous êtes agréable.
C’est en pleurs que Marie-Pascale jette sa serviette sur la table et quitte la pièce, quelques minutes après, nous entendons une porte claquer et une voiture démarrée.
• Bon débarras, cette gougnotte commençait à me courir sur le haricot.
• Charles-Henri, je me retire, vous finirez seul dans votre château, c’est vrai, vous avez votre petite pute pour vous tenir compagnie !
• La petite pute, elle vous dit merde.
• Sucre d’orge, laisse-la partir, je sais que demain Élisabeth va se faire conduire jusqu’à l’hôtel de la place face à mon bureau et je les verrais se réconcilier sur l’un des lits.
Du moins, je les imaginerais, car elles ferment la porte, bien que beaucoup de nos administrés connaissent notre situation.
Viens sur mes genoux, cette journée a été épuisante.
• Charles, tu sais ce que tu as accepté et que tu as commencé à mettre en œuvre en renvoyant ton fils vers les Amériques !
• Oui, mais en attendant une petite sucette serait la bienvenue...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci oui quand je le peux j'adore le suspense
Tu aimes nous tenir en haleine 🔥🔥
Cyrille
Cyrille