COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (2/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (2/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (2/11)
Je suis ce que l’on appelle une oie blanche, lorsque mes parents me sortent de mon école gérée par des bonnes sœurs.
C’est quelques jours avant mon mariage arrangé avec Charles-Antoine, le fils de Charles-Henri et d’Élisabeth propriétaire d’un château et d’une propriété viticole.
Leur domaine est deux fois plus grand que celui géré par ma maman et je comprends très vite que ce sera ma chatte qui fera trait d’union entre nos deux domaines.
Oie blanche, car question sexuelle, je suis limité aux quelques planches de dessins en noir et blanc qui nous ont été proposés par la sœur nous faisant des cours d’éducation sexuelle.
Dans ma nuit de noces, fidèle à nos familles, Charles-Antoine me met un doigt dans le cul en me prenant mon hymen.

• Éric arrête, je te dis que je suis mariée !

Éric, c’est le cousin de mon mari, le fils du frère de Charles-Henri habitant à Paris et faisant des études de médecine.
C’était le témoin de mon mari.
C’est en venant prendre mon petit déjeuner ayant bien récupéré de ma nuit de noces, que je le retrouve dans un petit salon alors que je me suis recouverte d’un simple peignoir en soie.
Nous partons visiter le château méconnu de moi à cet instant.
C’est lorsqu’il me fait visiter sa chambre dans l’aile opposée à celle où je suis logée qu’elle se trouve que ce que je pourrais prendre comme une agression a lieu.
Il est légèrement derrière moi lorsque je sens sa main se glisser dans l’échancrure de mon vêtement.
Vêtement, je devrais dire léger voile qui grâce à ma blondeur évite de montrer les poils de mon pubis.

• Lorsque ton mari sera là, c’est moi qui lui dirais que je t’ai fait ce qu’il me demandait de faire dans ma jeunesse lorsqu’il me faisait draguer des filles étant incapables de le faire lui-même.

Cette main, mais plutôt le bout de ses doigts ont saisi ma pointe de sein et la titillent agréablement.
Pour le réprimander, je tourne ma tête, je jure que ses lèvres sur mes lèvres étaient totalement fortuites.
Il est vrai que c’est moi qui ai ouvert ma bouche le laissant passer sa langue, ce qui achève de me rapprocher de ma déchéance de femme mariée.
J’ai beau recherché dans les recommandations de maman à la veille de mon mariage, nulle trace dans ces explications que je dois suivre les envies du cousin de Charles-Antoine.
Depuis que j’ai quitté mon couvent des oiseaux, je découvre tellement de choses nouvelles que les doigts de mon suborneur dans ma chatte me font défaillir.

• Tu sais Éric, je t’aime bien, mais j’ai encore un peu mal de la pénétration du sexe de mon mari hier au soir.
Mais dit moi, lorsque nous faisions l’amour, par mon manque des rapports entre homme et femmes, il m’a fait mettre dans une position que j’ignorais.
La levrette m’a-t-il dit et c’est comme ça qu’il m’a enlevé mon hymen.
C’est une façon de faire l’amour parfaitement normal !

L’hymen, c’est le nom que j’ai vu sur les planches en noires et blancs de La Trinité.
Elle a insisté que cette membrane était la propriété de nos maris le soir de nos noces et que si on nous l’enlevait avant ce jour, nous irions brûler dans les flammes de l’enfer.
Dans la chapelle du pensionnat, lorsque j’allais prier, devant moi se trouvait un triptyque avec les divers endroits où nous serions propulsés si un autre que notre mari nous l’enlevait.
Je voyais les flammes de l’enfer ou étais jeté ceux qui avaient transgressé les règles élaborées par nos bons curés.
Quand Éric m’a fait tomber sur son lit, j’étais rassurée, aucune sœur pour nous dire que, ce qui était interdit avant mariage, l’était toujours après.
Si les flammes nous étant prédit si nous perdions notre hymen avant, nous tomberions dans ces flammes, avoir la bouche du cousin sur ma chatte m’en préserve.
Je sais je me donne bonne conscience, mais ce putain de corps si sage jusqu’à ce jour m’échappe complètement.

• Prends ma queue en main et branle moi avant que je te prenne.
• Ta queue, de quoi veux-tu parler ?
• Charles-Antoine m’avait dit qu’il épousait une oie blanche, il était en dessous de la vérité.
Ma queue, ma bite, mon braquemard, mon bâton, ou encore ma verge.

Enfin, un mot que la sœur nous a appris « bâton » donc mon vocabulaire une nouvelle fois s’enrichit de quatre mots, cinq avec le bâton.
Une nouvelle fois, je suis partagée, j’ignore si je fais bien.

• Je bande comme un taureau, petite Marie-Antoinette.

Quand Éric parle de « bander comme un taureau, » ça me rappelle une sortie champêtre des jeunes filles du pensionnat afin de découvrir la nature.
Nous marchions en rang par deux et je fermais la marche.
Près de l’école, se trouvait une forêt où nous étions partis ramasser diverses feuilles des arbres pour en faire un herbier.
Avant cette forêt, il y avait un pré ou un taureau et des vaches, paissaient.
Le taureau avait deux grosses, tient le mot me manque, ça pendait sous son ventre.
Mon mari et Éric ont les mêmes mais en bien plus petites.

• C’est bien, maintenant tu vois ma paire de boules sous ma verge !
Suce mes couilles, j’adore ça, les hommes adorent ça.

Eh bien, voilà sans avoir besoin de commander, tout vient à point à qui sait attendre.
Le taureau avait deux grosses couilles qui pendaient et un « bâton » dont maintenant que je connais l’un des nouveaux mots, une verge démesurée qui pendait sous son ventre.
Les sœurs nous ont fait accélérer, mais étant la dernière, j’ai nettement vu le mâle monté difficilement sur une vache et entré sa verge dans la femelle.
J’avais douze à treize ans, c’est aujourd’hui à l’évocation du mot « taureau » que je prends conscience que j’avais assistée à l’accouplement de deux mammifères cherchant à se reproduire.
Lors de notre nuit de noces, en me prenant en levrette, Charles-Antoine m’avait fait tenir le rôle qui ce jour-là était dévolu à la vache.
Maintenant, je vais recommencer avec Éric le cycle de la reproduction, sa bite est entièrement prête.

• Place toi en levrette, si tu fermes les yeux tu pourras avoir l’impression que c’est Charles-Antoine qui te donne du plaisir.
• Tu me mettras un doigt dans le cul comme l’a fait mon mari hier au soir !
• Dis-moi qu’il t’a dépucelé en te mettant un doigt dans le cul !
• Oui, il m’a dit que, ce soir il m’enculerait et qu’il préparait le terrain.

Éric me met un doigt puis deux, ma chatte est en feu, alors quand ses doigts sont remplacés par le bout de sa verge...

• Ma salope, ton cul, c’est moi qui vais te le dépuceler, ce soir il rentrera plus facilement.
Mon gland est déjà passé, c’est le plus difficile.

Mon éducation avance, le bout de sa verge que j’ai eu plaisir de sucer, ils appellent ça un gland.

• Le reste va te pénétrer plus facilement.
Lorsque Charles-Antoine te fera pareil, tu apprécieras plus facilement.
Je vais te demander un instant de concentration, autour de ton anus se trouvent de petits muscles qui te permettent d’expulser tes excréments lorsque tu vas sur les toilettes.
Essaye de les faire marcher autour de ma verge, ça double l’excitation que l’homme ressent quand il t’encule.
Tu es doué Marie-Antoinette, tu arrives à les faire fonctionner du premier coup.
• C’est facile Éric, j’étais la première dans la plupart des matières, même en sport dans la course à pied.

Comment répercuté dans mon récit ce que je ressens et certainement lui aussi ?

• Ah, ah, ah... ?

Pour la première fois, je jouis et lui aussi, ça gicle tout autour de moi, tellement les jets qu’il expulse sont nombreux et puissants.

• Tu partiras demain !
• Hélas, oui, tous les plaisirs ont une fin, je suis heureux d’avoir été le témoin de ton mariage.
Je viendrais discrètement dans ta chambre demain matin avant mon départ.
• Mais mon mari, j’aimerais bien recommencer, tu m’apprends bien des choses que les sœurs avaient oubliées de nous avertir, il sera là !
• Ce matin était-il là ?
• J’étais seule.
• Pourquoi t’as ton attribué une chambre et ton mari une autre ?
Sache que ta belle-mère a la sienne et ton beau-père une autre !
En passant devant la chambre d’Élizabeth, tu l’as entendu s’envoyer en l’air avec sa dame de compagnie, le pourrait-elle dans le lit conjugal ?
Pour Charles-Henri, je sais qu’il a une maîtresse...
• Une maîtresse ?
• Mon dieu, je vais être obligé de rester, tes lacunes en amour sont abyssales, sais-tu te servir d’un ordinateur !
• Oui, nous en avions au pensionnat dans une salle fermant à clef, j’étais la meilleure sur Word, Excel et Publisher.
• Et le web, les mails, le reste d’Internet ?
• Je comprends si ces systèmes existent pourquoi Carinne et Solange ont été au cachot, car elles avaient réussi à piquer la clef de sœur Thérèse qui était chargé des cours d’informatiques.
Un soir, j’ai été aux toilettes, j’avais mes règles, nous avions des tampons dans un placard à notre disposition, j’ai vu la sœur entrer en regardant si quelqu’un la voyait.
Elle était en chemise de nuit sa clef à la main.
• Elle devait aller voir des films pornographiques et se masturber en les regardant !
• Tu vas trop vite, des films sexuels pour se masturber.
• Marie-Antoinette, je t’adore, fait ce que je te dis, demande un ordinateur le château à un réseau Wi-fi, regarde, mon portable.

Il récupère son ordi sur sa table de nuit.

• « Google », tu tapes un mot, celui que tu veux !
• « Maman. »
• Je vais t’aider, « porno maman », si tu tapes seulement « maman » tu en auras des pages sur la maman de Jésus.

La maman de Jésus, celle qui contrairement à moi a fini vierge, il me faut un ordinateur, la liste est longue.

- Maman fait du porno !
- Maman va se faire enculer !
- La bite de papa dans le cul de maman.

Aucun souci, il me faut un ordinateur, je sens que je vais rattraper rapidement mes lacunes en matière de sexe.
Je retourne dans ma chambre rapidement et le plus discrètement possible ayant remis mon peignoir.

• Bonjour, Marie-Antoinette, nous dinons dans 30 minutes, mon fils m’a dit que votre nuit s’était merveilleusement passée.
Vous êtes une épouse parfaite.
À oui, Charles-Henri vient de rentrer de son bureau, cet après-midi, vous le rejoindrez.
Il veut vous montrer la comptabilité, votre maman nous a dit que vous étiez très doué pour travailler sur ce qu’ils appellent des tableurs.
Pour moi tous ces engins, j’ignore même, comment il faut les mettre en fonction.

Un tableur Excel, et, et, ça me donne des idées...

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