COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (5/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (5/11)
De retour dans ma chambre avec mon ordinateur, je vais voir des sites avec des films pornos en tout genre.
Rapidement je fais mon éducation sexuelle.
Je tombe sur un site d’histoire érotique HDS ou des gens racontent leurs aventures les plus intimes.
Bon nombre d’entre eux racontent leurs fantasmes, je m’aperçois qu’en 21 heures depuis que j’ai dit oui, j’en ai réalisé un bon nombre sans savoir que je les faisais, alors qu’avant dans mon pensionnat ces pratiques m’était inconnu.
Mon Dieu, bon nombre des lecteurs et de lectrices laissant des commentaires doivent se dire que les quatre premiers chapitres ou je raconte ma propre expérience au 21e siècle est complètement irrationnelle.
Et pourtant ce que je raconte est l’exacte vérité et mon manque de repère m’entraîne à accepter des situations que 99 % des jeunes filles refuseraient avec fermentée.
Je dois faire partie du 1 % restant.
Ça a été le cas avec mon mari, Éric son cousin et maintenant Charles-Henri mon beau-père.
Lorsqu’il m’attaque me mettant un doigt dans la chatte, la douleur de la veille par mon dépucelage se transforme en un début de plaisir.
Charles-Henri écarte l’ordinateur.
• Petite colombe vient t’assoir sur mon bureau et repose tes pieds sur les accoudoirs de mon fauteuil !
Comme je viens de le dire, je devrais me rebeller, mais ce que maman m’a dit, puis-je l’appliquer à mon beau-père.
C’est tout de même grâce à lui que sa famille, dont je commence à faire partie, a les moyens de vivre une vie de château.
Je me retrouve assise, les fesses au bord du bureau, en appui sur mes avants bras.
Ma jupe s’est tirebouchonnée autour de ma taille et ma culotte rose est entièrement apparente.
Il avance ses lèvres et s’approche de ma chatte, orpheline du doigt qui m’a quitté.
Il commence par me lécher sans ôter ma culotte, mais rapidement je m’enflamme.
Il finit par l’écarter et pour la première fois sa langue vient caresser mon clito ou clitoris suivant les uns ou les autres.
Je sens qu’il déboutonne son pantalon et qu’il sort sa verge.
Mais avant je lui applique sa tête sur ma fente qui est éclatée rapidement par le plaisir qui la submerge.
En deux jours, Charles-Antoine mon mari m’a dépucelé, Éric son cousin, ma défoncé le cul là où mon mari avait mis le doigt et maintenant Charles-Henri m’apporte ma première jouissance.
Et c’est un début, sa queue sortie, il me fait glisser et ma chatte vient s’emboiter parfaitement sur sa queue.
• Charles, vous êtes dans ma chatte, votre bite est en moi sans protection et moi sans contraception.
Je croyais que seule mon mari avait le droit de m’enfiler par là.
Et si vous me fait un enfant que dira mon mari.
• Mon bouton d’or, lorsque je parlais d’interdiction, c’est pour les autres.
Si je te fais un enfant, il aura le même ADN que celui de mon fils et moi j’aurais un fils, certainement plus malin que celui que ma femme m’a donné et que tu as épousé.
En venant dans ta petite tenue affriolante pour un vieux mâle comme moi, tu me montres que tu es le maillon qui manquait à cette famille, surtout après la franchise que tu as affichée.
Ma chatte part en feu, je pense que dans le chai tous ceux qui sont là doivent ce dire...
Si l’on m’entend que peuvent-ils dire, je le saurai après avoir lu des histoires aussi salace que celle qui m’arrive.
Avant d’emporter mon ordi dans ma chambre, il me faut finir ce que j’ai commencé grâce à Manon, qui a transformé l’affreux petit canard en ce beau cygne blond en le faisant m’habiller de manière assez suggestive.
L’histoire de ce bébé canard couvé par sa maman et qui s’avère être un beau cygne, c’est le genre d’histoire que nous racontaient les sœurs nous laissant dans l’ignorance des plaisirs de la vie.
Si j’avais mis les vêtements que je porte d’habitude serais-je en train de quitter la bite de mon beau-père ma chatte étant rassasiée ?
Je repousse le fauteuil de Charles pour prestement m’agenouiller et prendre sa bite en main.
Sucer, j’ai appris rapidement à le faire et je commence par la nettoyer en partant du gland jusqu’à ses couilles.
Lorsque ma jouissance a explosé, on en a mis partout, du moins moi, car mon beau-père a gardé son sperme que j’espère goutter lorsque lui aussi fera sortir sa petite graine.
Petite graine comme l’a dit la soeur Marie de la Sainte-Trinité dans ce que je croyais être des cours d’éducations sexuelles.
C’est à ce moment que le portable de Charles sonne.
• Que me veux-tu encore, espèce de rosbif délabré, pourquoi m’appelles-tu avec ton Français aux intonations de chiotte ?
Je suis interloqué, qui est ce rosbif auquel il parle en des termes maltapropos.
J’avais arrêté de le sucer de peur de le déranger dans sa conversation.
Il m’appuie sur la tête, je comprends que je dois continuer, mais je voudrais comprendre cette nouvelle facette que me montre Charles envers celui qui l’a appelé.
• Bien sûr qu’il est prêt, ça fait deux fois que je viens chez toi et une fois mon fils pour que tu nous prennes pour des cons en te demandant encore un peu de temps de réflexion.
Va te faire foutre, ça fait trente ans que tu nous balades.
L’autre doit lui répondre ou est-ce ma bouche qui l’amène près de l’explosion de son sperme.
• Tu me fais chier, pourquoi viendrais-je chez toi alors que j’ai une jolie blonde qui me suce la queue et qui...
Il s’appuie sur son accoudoir se relevant légèrement, sa verge entre bien au fond de ma bouche.
• Va me faire éjaculerrrer...
Je reçois son sperme, de trait nombreux jets que j’avale, finissant par nettoyer la queue et de me relever.
• Merci Marie-Antoinette, tu m’as fait énormément jouir surtout alors que j’avais William au téléphone.
• Suis-je indiscrète si je vous demande de le dire pourquoi vous insultiez cet homme qui si je l’ai compris est un anglais ?
En me parlant, Charles prend la pochette, certainement en soie, sur sa veste se nettoie la verge avant de me la passer entre mes cuisses.
La douceur de la soie sur mon clito le fait réagir, je fléchis légèrement les jambes en m’appuyant les fesses sur le bureau.
• Toi, tu méritais d’être connu, un simple effleurement et ta chatte en redemande.
Tu m’excuses, j’ai eu ma dose, tu as été parfaite en plus dans dix minutes il faut que je parte, j’ai rendez-vous à la mairie.
Pour le fumier qui m’a appelé, si j’ai été insultant avec notre voisin, c’est que ça fait vingt ans qu’un litige nous oppose.
Il a un domaine plus petit que le nôtre, mais avec de magnifique parcelles avec de grands crus, l’une d’elles est mitoyenne avec l’une des nôtres.
Un de ses employés pour s’amuser ou nous emmerder, a déplacé une borne, nous volant un hectare.
L’un des nôtres s’en est aperçu, j’ai été rencontrer ce pourri de couille molle et il s’est foutu de ma gueule.
• Vous auriez dû vous défendre et porter plainte, vous étiez dans votre bon droit !
• J’aurais pu, mais j’ai accepté de le laisser remettre les choses en l’état et j’ai pu vendanger croyant être dans mon bon droit.
Il y a eu un remembrement sur quelques parcelles, ce secteur en a fait partie.
Nous devons parafer un compromis reconnaissant le droit de propriété de l’autre.
Depuis comme tu l’as entendu, simplement pour s’amuser, il me fait mariner.
• Où est ce document à signer ?
• Sous ton ordi, dans la chemise bleue.
Je récupère le dossier, je le regarde.
• Vous me dite que c’est votre voisin, comme notre manoir à maman et à moi !
• Oui, mais à droite, en prenant par la forêt du bois menant.
Quatre à cinq kilomètres.
• Si vous me le permettez, demain matin, je vais faire mon jogging, à cause de mon mariage, j’ai eu peu de temps et ça me manque, la distance aller et retour me convient très bien.
J’irais le voir, une femme, ça évitera vos égos et j’obtiendrais peut-être la signature de ce document.
• Tu peux y aller, je te souhaite bien du plaisir avec ce vieil empaffé.
Je récupère mon portable avec le dossier et je quitte Charles, un peu ennuyé d’avoir fait l’amour avec le père de mon mari, mais satisfaite d’avoir un portable.
J’arrive dans ma chambre, bien décidé à aller découvrir ce que l’on m’a caché depuis des années et que je commence à découvrir par moi-même.
• Alors, Marie-Antoinette, je vois que ton entrevu avec beau-papa a été fructueux, il t’a donné un ordinateur.
Qu’a-t-il pensé de ma petite culotte ?
• De quoi parles-tu, c’est mon beau-père, quelle horreur.
• Ton nez bouge et ton visage montre le plaisir qu’il a su te donner.
Que croix-tu lorsque j’ai choisi tes vêtements, je savais que tu ouvrirais la lubricité de notre patron.
Tu as plus à gagner à être la maîtresse de Charles que d’attendre une hypothétique marque de respect de ton mari.
Ces mots sont énigmatiques et j’ai besoin d’un bon bain.
• Un bon bain te ferait du bien, je suis sûr que si je vais voir du côté de ma petite culotte ça doit sentir le foutre et le sperme.
Manon lit-elle dans mes pensées, j’accepte le bain bien que j’aie hâte de découvrir « maman cette salope. »
Non, maman, ça serait déplacé, « mon beau-papa m’a pris par la chatte. »
La baignoire pleine, je me dénude, Manon en fait de même.
Elle est sans sa culotte, une grande partie de l’après-midi elle a dû se promener dans le château la chatte à l’air.
Je voudrais voir des pornos, mais je sens qu’en entrant dans mon bain, nous allons en tourner un elle et moi...
Rapidement je fais mon éducation sexuelle.
Je tombe sur un site d’histoire érotique HDS ou des gens racontent leurs aventures les plus intimes.
Bon nombre d’entre eux racontent leurs fantasmes, je m’aperçois qu’en 21 heures depuis que j’ai dit oui, j’en ai réalisé un bon nombre sans savoir que je les faisais, alors qu’avant dans mon pensionnat ces pratiques m’était inconnu.
Mon Dieu, bon nombre des lecteurs et de lectrices laissant des commentaires doivent se dire que les quatre premiers chapitres ou je raconte ma propre expérience au 21e siècle est complètement irrationnelle.
Et pourtant ce que je raconte est l’exacte vérité et mon manque de repère m’entraîne à accepter des situations que 99 % des jeunes filles refuseraient avec fermentée.
Je dois faire partie du 1 % restant.
Ça a été le cas avec mon mari, Éric son cousin et maintenant Charles-Henri mon beau-père.
Lorsqu’il m’attaque me mettant un doigt dans la chatte, la douleur de la veille par mon dépucelage se transforme en un début de plaisir.
Charles-Henri écarte l’ordinateur.
• Petite colombe vient t’assoir sur mon bureau et repose tes pieds sur les accoudoirs de mon fauteuil !
Comme je viens de le dire, je devrais me rebeller, mais ce que maman m’a dit, puis-je l’appliquer à mon beau-père.
C’est tout de même grâce à lui que sa famille, dont je commence à faire partie, a les moyens de vivre une vie de château.
Je me retrouve assise, les fesses au bord du bureau, en appui sur mes avants bras.
Ma jupe s’est tirebouchonnée autour de ma taille et ma culotte rose est entièrement apparente.
Il avance ses lèvres et s’approche de ma chatte, orpheline du doigt qui m’a quitté.
Il commence par me lécher sans ôter ma culotte, mais rapidement je m’enflamme.
Il finit par l’écarter et pour la première fois sa langue vient caresser mon clito ou clitoris suivant les uns ou les autres.
Je sens qu’il déboutonne son pantalon et qu’il sort sa verge.
Mais avant je lui applique sa tête sur ma fente qui est éclatée rapidement par le plaisir qui la submerge.
En deux jours, Charles-Antoine mon mari m’a dépucelé, Éric son cousin, ma défoncé le cul là où mon mari avait mis le doigt et maintenant Charles-Henri m’apporte ma première jouissance.
Et c’est un début, sa queue sortie, il me fait glisser et ma chatte vient s’emboiter parfaitement sur sa queue.
• Charles, vous êtes dans ma chatte, votre bite est en moi sans protection et moi sans contraception.
Je croyais que seule mon mari avait le droit de m’enfiler par là.
Et si vous me fait un enfant que dira mon mari.
• Mon bouton d’or, lorsque je parlais d’interdiction, c’est pour les autres.
Si je te fais un enfant, il aura le même ADN que celui de mon fils et moi j’aurais un fils, certainement plus malin que celui que ma femme m’a donné et que tu as épousé.
En venant dans ta petite tenue affriolante pour un vieux mâle comme moi, tu me montres que tu es le maillon qui manquait à cette famille, surtout après la franchise que tu as affichée.
Ma chatte part en feu, je pense que dans le chai tous ceux qui sont là doivent ce dire...
Si l’on m’entend que peuvent-ils dire, je le saurai après avoir lu des histoires aussi salace que celle qui m’arrive.
Avant d’emporter mon ordi dans ma chambre, il me faut finir ce que j’ai commencé grâce à Manon, qui a transformé l’affreux petit canard en ce beau cygne blond en le faisant m’habiller de manière assez suggestive.
L’histoire de ce bébé canard couvé par sa maman et qui s’avère être un beau cygne, c’est le genre d’histoire que nous racontaient les sœurs nous laissant dans l’ignorance des plaisirs de la vie.
Si j’avais mis les vêtements que je porte d’habitude serais-je en train de quitter la bite de mon beau-père ma chatte étant rassasiée ?
Je repousse le fauteuil de Charles pour prestement m’agenouiller et prendre sa bite en main.
Sucer, j’ai appris rapidement à le faire et je commence par la nettoyer en partant du gland jusqu’à ses couilles.
Lorsque ma jouissance a explosé, on en a mis partout, du moins moi, car mon beau-père a gardé son sperme que j’espère goutter lorsque lui aussi fera sortir sa petite graine.
Petite graine comme l’a dit la soeur Marie de la Sainte-Trinité dans ce que je croyais être des cours d’éducations sexuelles.
C’est à ce moment que le portable de Charles sonne.
• Que me veux-tu encore, espèce de rosbif délabré, pourquoi m’appelles-tu avec ton Français aux intonations de chiotte ?
Je suis interloqué, qui est ce rosbif auquel il parle en des termes maltapropos.
J’avais arrêté de le sucer de peur de le déranger dans sa conversation.
Il m’appuie sur la tête, je comprends que je dois continuer, mais je voudrais comprendre cette nouvelle facette que me montre Charles envers celui qui l’a appelé.
• Bien sûr qu’il est prêt, ça fait deux fois que je viens chez toi et une fois mon fils pour que tu nous prennes pour des cons en te demandant encore un peu de temps de réflexion.
Va te faire foutre, ça fait trente ans que tu nous balades.
L’autre doit lui répondre ou est-ce ma bouche qui l’amène près de l’explosion de son sperme.
• Tu me fais chier, pourquoi viendrais-je chez toi alors que j’ai une jolie blonde qui me suce la queue et qui...
Il s’appuie sur son accoudoir se relevant légèrement, sa verge entre bien au fond de ma bouche.
• Va me faire éjaculerrrer...
Je reçois son sperme, de trait nombreux jets que j’avale, finissant par nettoyer la queue et de me relever.
• Merci Marie-Antoinette, tu m’as fait énormément jouir surtout alors que j’avais William au téléphone.
• Suis-je indiscrète si je vous demande de le dire pourquoi vous insultiez cet homme qui si je l’ai compris est un anglais ?
En me parlant, Charles prend la pochette, certainement en soie, sur sa veste se nettoie la verge avant de me la passer entre mes cuisses.
La douceur de la soie sur mon clito le fait réagir, je fléchis légèrement les jambes en m’appuyant les fesses sur le bureau.
• Toi, tu méritais d’être connu, un simple effleurement et ta chatte en redemande.
Tu m’excuses, j’ai eu ma dose, tu as été parfaite en plus dans dix minutes il faut que je parte, j’ai rendez-vous à la mairie.
Pour le fumier qui m’a appelé, si j’ai été insultant avec notre voisin, c’est que ça fait vingt ans qu’un litige nous oppose.
Il a un domaine plus petit que le nôtre, mais avec de magnifique parcelles avec de grands crus, l’une d’elles est mitoyenne avec l’une des nôtres.
Un de ses employés pour s’amuser ou nous emmerder, a déplacé une borne, nous volant un hectare.
L’un des nôtres s’en est aperçu, j’ai été rencontrer ce pourri de couille molle et il s’est foutu de ma gueule.
• Vous auriez dû vous défendre et porter plainte, vous étiez dans votre bon droit !
• J’aurais pu, mais j’ai accepté de le laisser remettre les choses en l’état et j’ai pu vendanger croyant être dans mon bon droit.
Il y a eu un remembrement sur quelques parcelles, ce secteur en a fait partie.
Nous devons parafer un compromis reconnaissant le droit de propriété de l’autre.
Depuis comme tu l’as entendu, simplement pour s’amuser, il me fait mariner.
• Où est ce document à signer ?
• Sous ton ordi, dans la chemise bleue.
Je récupère le dossier, je le regarde.
• Vous me dite que c’est votre voisin, comme notre manoir à maman et à moi !
• Oui, mais à droite, en prenant par la forêt du bois menant.
Quatre à cinq kilomètres.
• Si vous me le permettez, demain matin, je vais faire mon jogging, à cause de mon mariage, j’ai eu peu de temps et ça me manque, la distance aller et retour me convient très bien.
J’irais le voir, une femme, ça évitera vos égos et j’obtiendrais peut-être la signature de ce document.
• Tu peux y aller, je te souhaite bien du plaisir avec ce vieil empaffé.
Je récupère mon portable avec le dossier et je quitte Charles, un peu ennuyé d’avoir fait l’amour avec le père de mon mari, mais satisfaite d’avoir un portable.
J’arrive dans ma chambre, bien décidé à aller découvrir ce que l’on m’a caché depuis des années et que je commence à découvrir par moi-même.
• Alors, Marie-Antoinette, je vois que ton entrevu avec beau-papa a été fructueux, il t’a donné un ordinateur.
Qu’a-t-il pensé de ma petite culotte ?
• De quoi parles-tu, c’est mon beau-père, quelle horreur.
• Ton nez bouge et ton visage montre le plaisir qu’il a su te donner.
Que croix-tu lorsque j’ai choisi tes vêtements, je savais que tu ouvrirais la lubricité de notre patron.
Tu as plus à gagner à être la maîtresse de Charles que d’attendre une hypothétique marque de respect de ton mari.
Ces mots sont énigmatiques et j’ai besoin d’un bon bain.
• Un bon bain te ferait du bien, je suis sûr que si je vais voir du côté de ma petite culotte ça doit sentir le foutre et le sperme.
Manon lit-elle dans mes pensées, j’accepte le bain bien que j’aie hâte de découvrir « maman cette salope. »
Non, maman, ça serait déplacé, « mon beau-papa m’a pris par la chatte. »
La baignoire pleine, je me dénude, Manon en fait de même.
Elle est sans sa culotte, une grande partie de l’après-midi elle a dû se promener dans le château la chatte à l’air.
Je voudrais voir des pornos, mais je sens qu’en entrant dans mon bain, nous allons en tourner un elle et moi...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime beaucoup tes écrits entre passé et présent,réel et virtuel
Cyrille
Cyrille