COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (7/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (7/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (7/11)
Quelle entrée dans ma nouvelle famille, dès ce premier soir, je réussis à diviser les présents entre modernisme et conservatisme.
Tout cela de la faute de Manon après qu’elle m’est fait mettre la mini cachée dans mon sac lors d’une visite en ville d’une boutique de vêtements.
Tout le repas, j’évite de regarder Éric ou mon beau-père, nous sommes dans le camp des joyeux donc des modernes.
Quant à Élisabeth, ma belle-mère, Marie-Pascale sa dame de compagnie, mais aussi Charles-Antoine, ont leurs nez piqués dans leur assiette, c’est le clan des conservateurs.
Pour mon mari, le regard qu’il porte sur ma mini dévoilant mes trésors semblent être plus son centre d’intérêt que la défense de sa mère et de sa lesbienne de dame de compagnie.
Du moins, j’ai envie de le croire.
La servante qui m’a offert mon petit déjeuner ce matin me mettant en présence d’Éric, la suite on la connaît, nous sert, sans un mot, l’atmosphère étant très pesante.
Lorsque le repas se termine, on dirait que Charles-Henri a encore envie de s’amuser de sa femme et de sa maîtresse.

• Mesdames, emmenez Marie-Antoinette dans le petit salon, pour boire votre verveine.
Avec mon fils et mon neveu, nous prendrons un café et un petit cognac dans cette salle avant d’aller nous coucher, je pense que vous avez beaucoup à vous dire.

Je me lève prestement, sous le regard noir des deux autres femmes.
Prestement pour que ma jupe retombe rapidement afin d’éviter un nouveau scandale dans la famille.
Je les suis au salon où j’ai fait la connaissance d’Éric.

• Vous êtes contente de vous, Marie-Antoinette, votre mère nous avait affirmé que vous étiez une jeune fille au niveau de la famille que vous rejoigniez.
Hélas, j’ai l’impression de m’être faite berner, j’espère que vous apporterez à votre mari la progéniture qui permettra la pérennité de notre famille comme j’ai su le faire.

Je bois ma tasse de verveine, bien que boire de l’eau chaude ma toujours rebutée, mais je veux éviter un nouveau clache avec belle-maman.

• Mère je vous laisse, je vais essayer de satisfaire votre envie de descendance.

J’évite deux choses, la vexer, mais aussi de lui dire que la pilule va la faire attendre longtemps avant que je lui ponde un rejeton.
Je rejoins ma chambre, je me rafraichis avant de me coucher en regardant un porno la jeune femme se faisant sodomiser.
Quand mon mari me rejoint, je suis bien au courant des levrettes, double pénétration, fellation, caresse buccale, je vois même un film où une autre jeune femme en laisse entrer deux dans sa chatte.
Ça s’appelle être prise en double vaginal, messieurs qui me lisez, êtes-vous prêt à me prendre en double vaginal, vous savez comment maintenant je sais que je coche la case salope.
Mon mari arrive, je coupe l’ordi.

• Tu apprends à te servir de ton ordinateur !
• Oui, je me suis connectée au réseau avec l’expert-comptable, ton père veut que je te remplace vu que tu prends un autre postes.
• Si tu as besoin de conseils, j’ai fait ce travail pendant ces dernières années, je pourrais t’aider.

J’ai envie de lui dire que son père m’a fait la même proposition, mais que j’adore sa queue plus grosse que la sienne et surtout que j’ai apprécié de me faire baiser autre part que dans un lit.
Il se dénude, fait mon devoir conjugal, si ce faire enculé fait partie de ce devoir, je le fais avec application.
Oui, je dois le reconnaître avec un brin de couardise lorsque je lui demande d’entrer très lentement.
Le plus drôle, c’est quand il avance sa bite pour me perforer, je lui demande.

• Peux-tu me mettre un doigt dans le cul pour me facilité l’introduction ?

J’ai lu un texte d’une salope qui avait ce qu’elle appelait « un vrai garage à bites ».
Mon cul est loin d’en être un, mais à la vitesse où je me fais sodomiser, je vais rapidement arriver à en avoir un.
Quelle heure est-il lorsqu’il me quitte, s’étant épanché dans mes intestins dans un grand cri de jouissance, je suis libérée des assauts de mon mari.
Je l’ignore ce que je peux dire, c'est qu’au moment où je me réveille sentant une verge se frayer un chemin par mes arrières, lorsque je lève la jambe, une verge entre dans ma chatte.

• Je suis venu te dire que je m’en vais !

Chanson connue, mais aussi départ d’Éric, mon amant, voyez que je suis une femme raisonnable, j’avais quitté la verge de mon mari me prenant par-derrière, pour retrouver une verge venue de l’arrière.
Comment aurais-je pu penser que mes partenaires ayant changé savoir, qu’Éric est entré dans mon vagin.
Je sais que c’est mon amant quand il me pilonne à me faire hurler de plaisir et à son souffle différent de celui de Charles-Antoine.
Dans ma tête, je reste une femme respectant mon serment de fidélité à son mari.
Seules les personnes malintentionnées peuvent penser voir la naissance d’une pute aimant le sexe sous toutes ses formes et la roublardise dont je fais preuve avec les hommes qui jalonnent ma nouvelle vie.

Éric vient de me quitter dans un dernier baiser, dans les films vus hier, les femmes se faisant filmer embrassant rarement leurs partenaires.
Est-ce qu’embrasser, c’est trompé, étant sans réponse à cette question, je me pame sous la langue de celui qui aura été l’initiateur d’une grande partie de mes connaissances sur la sexualité hommes et femmes ?
Un petit coup de corne, je cours à ma fenêtre.
Le beau gosse est dans sa voiture et lorsqu’il démarre, je lui fais signe en même temps qu’il en fait de même.
Dommage, je sais que je vais le revoir, mais c’est autant de petits coups de bite qui m’échappe.
On frappe à ma porte, je me rue dans mon lit, pour me couvrir d’un drap.
Je fais entrer.
Manon arrive avec un plateau et mon petit déjeuner, sur le plateau des petits bouts de tissu.

• Hier, dans le linge propre, j’ais récupéré ma culotte, je me suis arrêté dans un magasin de lingerie, j’en ai acheté trois, tu iras en acheter d’autres dès que tu le pourras.

Je mange, mes biscottes sans beurre et sans confiture, Manon m’aide à revêtir ma tenue de jogging.
Chez les sœurs nous courrions tous les matins, je place mon cardiofréquencemètre sur mon bras.
Je place le contrat dont je dois essayer de le faire signer à notre voisin anglais dans mon petit sac à dos où se trouve une petite réserve d’eau.
Sous les applaudissements de Manon, je me mets en marche.
Les cinq cents premiers mètres, je suis un peu carbonisé, les agapes et les débordements depuis ma nuit de noces se faisant sentir.
Je sors de la forêt avec soulagement, je dois reconnaitre que j’ai une sainte frousse des sangliers et maman m’ai dit qu’il pullulait dans notre région.
Je vois le castel du même genre que celui ou j’habitais avant de venir au château.
Je monte les marches en courant et je tape le point en fer sur la porte, quelle petite attente, elle s’ouvre.

• Mademoiselle, vous êtes la personne que mon patron attend.
• Ça m’étonnerait, mais je voudrais le voir, je viens de chez votre voisin.
• Et vous désirez.
• C’est à votre patron que je souhaite exposer ce que j’ai à lui dire, aller le prévenir.
• Mademoiselle, je dois savoir pourquoi vous voulez déranger le major William !
• Pour commencer, c’est madame, je suis la belle-fille de vos voisins et j’ai besoin de le rencontrer pour une affaire urgente.
• Je vais voir si monsieur accepte de vous recevoir !

La porte se referme avant que j’aie le temps de réagir, le débris devant moi m’a piégé, j’attends, plus de quatre à cinq minutes, j’entends les pas de l’homme d’un âge certain.
La porte s’ouvre, ce vieil homme doit être anglais lui aussi vu son accent.

• Le major attend quelqu’un, il dit que vous reveniez demain.
• Demain, il se fiche de moi, demain ce sera après-demain et comme cela tous les jours, j’ai autre chose à faire que de revenir ici, j’ai un travail, moi.

Je me mets rarement en colère, une fois au pensionnat, ça m’est arrivé, j’ai même été à deux doigts de me retrouver au cachot.
Je pousse la porte manquant de renverser le serviteur du major William et j’entre sans qu’il arrive à m’attraper.
Je suis dans un hall du même genre que le nôtre.
Un escalier, le temps qu’il a mis pour aller et revenir à la vitesse d’un escargot, impossible qu’il soit allé dans les étages.
Quatre portes, c’est à la troisième que je trouve ce monsieur prenant mon beau-père pour un con.
Merde.

• Bonjour monsieur, je m’excuse d’avoir forcé votre porte, mais je suis pressée.

J’ai dit merde, ce qui est impoli, mais c’était dans ma tête, l’honneur est sauf.
Dans cette pièce, un homme assis devant une table semblant lire un livre.
À mon intrusion, il fait pivoter son fauteuil roulant dans lequel il est assis me montrant qu’il lui manque les jambes coupées en dessous des genoux.

• Laissez Sylvestre, je vais recevoir mademoiselle.
Si la personne que j’attends arrive, faite là patienter dans le hall, je pense que tout va bien se passer.
Que me vaut votre visite, pour que vous soyez si véhémente.
• Comme je viens de dire à votre serviteur, je suis la femme de Charles-Antoine et c’est mon beau-père qui m’envoie.
• Ce vieux con de Charles-Henri, il a le culot d’envoyer sa belle-fille faire ses commissions.
On m’avait dit que Charles-Antoine avait convolé, j’avais du mal à le croire.
Je sais que vous vous appelez Marie-Antoinette, toute une page de l’histoire de France.

Je me calme.
En plus de son accent typiquement anglais, le major a aussi l’allure d’un anglais.
Veste d’officier, short colonial montrant que ses moignons sont recouverts d’un tissu adapté les protégeants et une magnifique paire de moustaches à bout recourbé.

• Votre beau-père croit que je vais finir de m’amuser avec lui, en m’envoyant sa belle-fille, même une magnifique belle fille, il est puéril.
Quant à vous, madame, nous serions sur un champ de bataille, je vous dirais de protéger vos arrières...

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