COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (9/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (9/11)
Peut-être que Charles-Antoine sait où est son père, agile sur mes escarpins.
J’arrive sur un plancher en ferraille ajourée, j’entends du bruit sur l’arrière des cuves.
Incroyable, est-ce possible de voir ce que je vois ?
Est-ce possible que ce soit mon mari qui soit là dans une posture sans équivoque possible.
Je vais pour hurler en voyant ce que je vois devant mes yeux.
C’est à ce moment qu’une main venue par-derrière moi, me bâillonne, un bras entourant ma poitrine me soulevant et me ramenant vers le bas au milieu du chai.
La charge est puissance et j’entends murmurer à mon oreille.
• C’est moi, c’est Charles, je te lâche si tu me promets d’éviter de crier et que tu me suives dans mon bureau.
Je me calme et je fais ce qu’il me dit, sa présence me rassure.
Il va à son bureau et passe sa main sous son bureau, nous isolant, comme Manon me l’avait dit.
Il s’assoit dans son fauteuil et me tant les bras.
• Viens, ma petite fleur, tu as vu ce que nous voulions éviter que tu voies, concernant ton mari !
Mon fils est la honte de notre famille et nous avons essayé de faire taire les rumeurs sur son homosexualité.
Je m’assois sur ses genoux et je me mets à pleurer en lui passant les bras autour du cou.
Larmes non feintes, tellement mon cœur a mal.
• Mon poussin, tu as vu ce que nous voulions te cacher, ton mari est homosexuel et aime les garçons.
Un soir, je sortais du restaurant dans la grande ville voisine, j’avais rencontré le maire pour une affaire touchant notre agglomération.
J’ai vu Charles-Antoine entrer dans un hôtel avec un autre homme, j’ai vite compris que c’était autre chose que des perles qu’ils allaient enfiler.
Il y avait longtemps que ses manières légèrement efféminées m’avaient interpellé, surtout après un jour où se croyant seul, je l’ai vu entrer dans la chambre de sa mère.
Je savais qu’elle était partie avec ce que j’aurais la décence d’appeler sa dame de compagnie, s’était donc bizarre.
Nos chambres ayant une porte de communication, je l’ai entrouverte.
Charles-Antoine avait passé une robe de cette grande salope qui vit avec ma femme et se regardait dans une glace en faisant des minauderies.
J’ai reculé, comme tu connais les relations que j’ai avec ma femme, pour une fois, la situation m’échappait moi qui sais toujours aplanir les choses.
Tu sais que je travaille avec ta mère sur un projet de vin rosé, j’avais rendez-vous avec elle.
Elle de son côté en avait un avec toi, elle sentait que l’éducation très strique qu’elle t’avait donné te conduisait à prendre le voile et ça elle voulait à tout prix l’éviter.
Comme moi, elle veut que tu lui apportes une descendance.
Je voulais que mon fils ait un enfant pour la succession du domaine, ta mère voulait que tu enfantes, toi aussi pour la succession du vôtre.
J’étais un peu retissant, mais c’est elle qui a parlé à mon fils et qu’il a accepté de t’épouser et te faire cet enfant que nous espérons tant, elle et moi.
• Je pense qu’il y a une contrepartie pour lui pour qu’il accepte !
• J’aime ta pertinence, nous sommes faits du même bois, je l’ai pressenti dès que nous avons échangé le jour de ton mariage.
Tu vas me donner un petit-fils, mais après le départ de ton mari tu me seconderas, d’ailleurs tu as déjà très bien commencé hier.
En me disant cela il me caresse la cuisse, remontant jusqu’à mon entrejambe.
• Le départ de votre fils, je voudrais comprendre ce que l’on a prévu pour moi !
• J’avais contacté une agence privée pour savoir avec qui couchait mon fils, c’est un américain.
Une véritable montagne, il était là pour le congrès de la viticulture mondiale et il possède un domaine en Californie deux fois plus grand que les nôtres réuni.
Dès que tu aurais été enceinte, il doit le rejoindre et vivre avec lui.
• Et Romuald, qui était en train de l’enculer, est-il aussi pédé et va-t-il partir avec eux, Manon sait-elle pour son mari ?
• Non, Romuald est un opportuniste, ta dame de compagnie t’a-t-elle dit qu’ils souhaitaient reprendre un vieux domaine pour être autonome ?
• Oui, on en a parlé, mais accepterez-vous un nouveau concurrent ?
• Dans les diverses régions viticoles de France, dans les domaines viticoles, comme dans d’autres secteurs économiques, nos jeunes ont du mal avec la dureté de notre métier.
Le froid l’hiver, les grandes chaleurs l’été, jusqu’à la sécheresse qui brûle les ceps de nos vignes, les dissuadent de reprendre les vignes familiales.
Souvent ce sont des Chinois qui rachètent les vignes délaissant notre patrimoine que sont nos habitations ancestrales.
Ce qu’ils veulent c’est des chais flambant neuf ou les hectos de vin sont fabriqués comme le sont les produites industrielles, à la chaîne.
C’est pour lutter contre ça qu’avec ta mère nous voulons construire une station de vin rosé très prisés pendant les grandes chaleurs et nous permettant les risques d’invendus.
Mon voisin, William, l’a bien compris, lui aussi et malgré des ennuis de santé, il a démarré la fabrication de ses produits dès la saison dernière.
C’est en partie sur certaines façons de procéder, je dois t’avouer, d’où viens notre amniotisée.
Je sens la main se promener dans mon entrecuisse, au rythme de ses confidences. Charles doit le sentir, car je sens qu’il commence à bander.
Mais au fil de son histoire, dans ma tête un plan commence à murir et si...
• Lors des dernières élections, il a voulu me ravir la mairie, comme je viens de te le dire, il est proche de la fin, mais il voulait se foutre de moi.
Il lui était impossible de se présenter au poste de maire, vu qu’il a gardé sa nationalité, mais il s’est acoquiné avec le notaire qui est le frère de ma femme.
Je sais tous ça, c’est bien compliqué, mais c’est la réalité.
Il a financé la campagne de Grégoire, mais j’ai eu les reins assez solides pour les battre dès le premier tour.
Alors et toi pourquoi cherchais-tu à me voir.
L’employé qui portait une caisse m’a croisé et c’est pour cela que je t’ai suivi au-dessus des cuves et que tu venais de découvrir ce que nous voulions te cacher, je m’en excuse encore.
• Tenez, lisez ça, ça va vous mettre du baume au cœur.
Il prend ses lunettes et le document récupéré dans mon sac à dos avant de venir le voir au bureau.
• Tu as réussi, je vais éviter de te demander comment tu as fait, je pourrais être jaloux.
• C’est simple, je suis passée par ma chambre et me suis brossé les dents.
• Petite coquine, mais dis-moi, je sens que ça chauffe là où j’ai ma main ?
Je l’ai embrassé, il m’a embrassé me montrant que le dentifrice et mes dents blanches avaient effacé toute trace de la fellation que j’avais dû pratiquer sur le major pour le faire signer.
Il m’a fait relever, il s’est relevé, j’ai baissé pantalon et petite culotte, pendant qu’il baissait pantalon et caleçon.
Je me suis assise sur le bureau, mes fesses sur le contrat qu’il avait posé là et son sexe est venu en moi pour notre plus grand plaisir.
Grâce à Manon m’ayant prévenu pour l’insonorisation de la pièce et de la porte hermétiquement close, après qu’elles aller et retour, j’ai pu hurler mon plaisir apporté par mon beau-père.
C’est en parfaite osmose que nos deux cris sortent de nos bouches, lorsqu’il se déverse en moi alors que je suis rattrapée par un très bel orgasme.
Il allait falloir que je revoie ma stratégie de pilule si je veux me débarrasser de mon mari dans les plus brefs délais.
Nous nous rajustions quand j’ai entièrement compris les insinuations du major William me demandant de faire attention à mes arrières.
Il devait faire allusion à Charles-Antoine dont il connaissait certainement les penchant homos.
Charles a repris son portable et a appelé son chauffeur.
• Serge, pouvez vous venir me prendre avec ma belle-fille, nous allons en ville faire des courses cet après-midi.
Je pense qu’il a répondu oui, je suis intriguée, de quelles courses parle-t-il ?
• J’ai une demande à te faire, car nous allons aller déjeuner.
Pas un mot à ma femme et sa salope ainsi qu’à mon fils de ce que tu as découvert, je préfère que nous gardions la maîtrise de la situation.
Tu apprendras très vite, que dans les affaires, comme aux échecs, celui qui gagne est toujours celui qui a un coup d’avance.
Lorsque nous quittons le bureau et le chai, les mots de mon beau-père, comment dois-je dire, mon beau-père, mon amant sur le coup d’avance font que demain, c’est moi qui aurais un coup d’avance en mettant mon plan à exécution.
Nous entrons dans la salle à manger, mari, le mien, Charles-Antoine, belle-mère et sa salope sont là.
En prononçant « salope », je prends exemple sur mon beau-père et amant qui emploie ce mot à chaque fois qu’il parle de la dame de compagnie de sa femme.
Mon mari égal à lui-même a le nez dans son assiette et une énorme surprise, nous attend du côté de Marie Pascale.
Je dois écarquiller mes yeux pour être sur de ce que je vois.
On dirait qu’une tornade blanche est passée sur le château balayant la vieille fille que Marie Pascale représentait.
Robe ample blanche, escarpin blanc, devant de robe, assez ouverte pour nous montrer une partie de ses seins, semblant magnifique, ma belle-maman se les étaient bien gardés pour elle seule.
Mais aussi, ses cheveux toujours en chignon depuis la première fois ou je l’ai vu, flottent sur ses épaules, elle a dû passer chez le coiffeur.
Plutôt notre coiffeuse, celle qui s’est occupée de moi le jour de mon mariage.
C’est en pleurant qu’elle s’exprime.
• Charles-Henri, fais-je assez pute comme ça ?
• Élisabeth console ta compagne, j’ai horreur des grandes manières et surtout des grandes eaux de Versailles.
Marie-Pascale, si tu veux que je te dise que tu es une pute, passe dans mon bureau, je te confirmerais que tu en es une si tu trompes ma femme !
Sinon, tu es seulement une jolie femme qui est belle pour la séduire ce qui me fait des vacances.
Continue à être habillée comme aujourd’hui, soyez heureuse puisque moi avec ma bite, je suis dans l’incapacité de le faire.
Beau-papa me regarde et me fait, un clin d’œil échappant à tous les autres ayant replongé dans leur assiette.
• Bonjour Sylvestre, votre patron est-il là ?
• Entrez, Marie-Antoinette, le major vous attendait, il était sûr que vous alliez revenir le voir, il m’a dit de vous faire entrer si vous vous présentiez au château.
J’avais compris que je faisais de l’effet, mais là cela dépasse tous les entendements...
J’arrive sur un plancher en ferraille ajourée, j’entends du bruit sur l’arrière des cuves.
Incroyable, est-ce possible de voir ce que je vois ?
Est-ce possible que ce soit mon mari qui soit là dans une posture sans équivoque possible.
Je vais pour hurler en voyant ce que je vois devant mes yeux.
C’est à ce moment qu’une main venue par-derrière moi, me bâillonne, un bras entourant ma poitrine me soulevant et me ramenant vers le bas au milieu du chai.
La charge est puissance et j’entends murmurer à mon oreille.
• C’est moi, c’est Charles, je te lâche si tu me promets d’éviter de crier et que tu me suives dans mon bureau.
Je me calme et je fais ce qu’il me dit, sa présence me rassure.
Il va à son bureau et passe sa main sous son bureau, nous isolant, comme Manon me l’avait dit.
Il s’assoit dans son fauteuil et me tant les bras.
• Viens, ma petite fleur, tu as vu ce que nous voulions éviter que tu voies, concernant ton mari !
Mon fils est la honte de notre famille et nous avons essayé de faire taire les rumeurs sur son homosexualité.
Je m’assois sur ses genoux et je me mets à pleurer en lui passant les bras autour du cou.
Larmes non feintes, tellement mon cœur a mal.
• Mon poussin, tu as vu ce que nous voulions te cacher, ton mari est homosexuel et aime les garçons.
Un soir, je sortais du restaurant dans la grande ville voisine, j’avais rencontré le maire pour une affaire touchant notre agglomération.
J’ai vu Charles-Antoine entrer dans un hôtel avec un autre homme, j’ai vite compris que c’était autre chose que des perles qu’ils allaient enfiler.
Il y avait longtemps que ses manières légèrement efféminées m’avaient interpellé, surtout après un jour où se croyant seul, je l’ai vu entrer dans la chambre de sa mère.
Je savais qu’elle était partie avec ce que j’aurais la décence d’appeler sa dame de compagnie, s’était donc bizarre.
Nos chambres ayant une porte de communication, je l’ai entrouverte.
Charles-Antoine avait passé une robe de cette grande salope qui vit avec ma femme et se regardait dans une glace en faisant des minauderies.
J’ai reculé, comme tu connais les relations que j’ai avec ma femme, pour une fois, la situation m’échappait moi qui sais toujours aplanir les choses.
Tu sais que je travaille avec ta mère sur un projet de vin rosé, j’avais rendez-vous avec elle.
Elle de son côté en avait un avec toi, elle sentait que l’éducation très strique qu’elle t’avait donné te conduisait à prendre le voile et ça elle voulait à tout prix l’éviter.
Comme moi, elle veut que tu lui apportes une descendance.
Je voulais que mon fils ait un enfant pour la succession du domaine, ta mère voulait que tu enfantes, toi aussi pour la succession du vôtre.
J’étais un peu retissant, mais c’est elle qui a parlé à mon fils et qu’il a accepté de t’épouser et te faire cet enfant que nous espérons tant, elle et moi.
• Je pense qu’il y a une contrepartie pour lui pour qu’il accepte !
• J’aime ta pertinence, nous sommes faits du même bois, je l’ai pressenti dès que nous avons échangé le jour de ton mariage.
Tu vas me donner un petit-fils, mais après le départ de ton mari tu me seconderas, d’ailleurs tu as déjà très bien commencé hier.
En me disant cela il me caresse la cuisse, remontant jusqu’à mon entrejambe.
• Le départ de votre fils, je voudrais comprendre ce que l’on a prévu pour moi !
• J’avais contacté une agence privée pour savoir avec qui couchait mon fils, c’est un américain.
Une véritable montagne, il était là pour le congrès de la viticulture mondiale et il possède un domaine en Californie deux fois plus grand que les nôtres réuni.
Dès que tu aurais été enceinte, il doit le rejoindre et vivre avec lui.
• Et Romuald, qui était en train de l’enculer, est-il aussi pédé et va-t-il partir avec eux, Manon sait-elle pour son mari ?
• Non, Romuald est un opportuniste, ta dame de compagnie t’a-t-elle dit qu’ils souhaitaient reprendre un vieux domaine pour être autonome ?
• Oui, on en a parlé, mais accepterez-vous un nouveau concurrent ?
• Dans les diverses régions viticoles de France, dans les domaines viticoles, comme dans d’autres secteurs économiques, nos jeunes ont du mal avec la dureté de notre métier.
Le froid l’hiver, les grandes chaleurs l’été, jusqu’à la sécheresse qui brûle les ceps de nos vignes, les dissuadent de reprendre les vignes familiales.
Souvent ce sont des Chinois qui rachètent les vignes délaissant notre patrimoine que sont nos habitations ancestrales.
Ce qu’ils veulent c’est des chais flambant neuf ou les hectos de vin sont fabriqués comme le sont les produites industrielles, à la chaîne.
C’est pour lutter contre ça qu’avec ta mère nous voulons construire une station de vin rosé très prisés pendant les grandes chaleurs et nous permettant les risques d’invendus.
Mon voisin, William, l’a bien compris, lui aussi et malgré des ennuis de santé, il a démarré la fabrication de ses produits dès la saison dernière.
C’est en partie sur certaines façons de procéder, je dois t’avouer, d’où viens notre amniotisée.
Je sens la main se promener dans mon entrecuisse, au rythme de ses confidences. Charles doit le sentir, car je sens qu’il commence à bander.
Mais au fil de son histoire, dans ma tête un plan commence à murir et si...
• Lors des dernières élections, il a voulu me ravir la mairie, comme je viens de te le dire, il est proche de la fin, mais il voulait se foutre de moi.
Il lui était impossible de se présenter au poste de maire, vu qu’il a gardé sa nationalité, mais il s’est acoquiné avec le notaire qui est le frère de ma femme.
Je sais tous ça, c’est bien compliqué, mais c’est la réalité.
Il a financé la campagne de Grégoire, mais j’ai eu les reins assez solides pour les battre dès le premier tour.
Alors et toi pourquoi cherchais-tu à me voir.
L’employé qui portait une caisse m’a croisé et c’est pour cela que je t’ai suivi au-dessus des cuves et que tu venais de découvrir ce que nous voulions te cacher, je m’en excuse encore.
• Tenez, lisez ça, ça va vous mettre du baume au cœur.
Il prend ses lunettes et le document récupéré dans mon sac à dos avant de venir le voir au bureau.
• Tu as réussi, je vais éviter de te demander comment tu as fait, je pourrais être jaloux.
• C’est simple, je suis passée par ma chambre et me suis brossé les dents.
• Petite coquine, mais dis-moi, je sens que ça chauffe là où j’ai ma main ?
Je l’ai embrassé, il m’a embrassé me montrant que le dentifrice et mes dents blanches avaient effacé toute trace de la fellation que j’avais dû pratiquer sur le major pour le faire signer.
Il m’a fait relever, il s’est relevé, j’ai baissé pantalon et petite culotte, pendant qu’il baissait pantalon et caleçon.
Je me suis assise sur le bureau, mes fesses sur le contrat qu’il avait posé là et son sexe est venu en moi pour notre plus grand plaisir.
Grâce à Manon m’ayant prévenu pour l’insonorisation de la pièce et de la porte hermétiquement close, après qu’elles aller et retour, j’ai pu hurler mon plaisir apporté par mon beau-père.
C’est en parfaite osmose que nos deux cris sortent de nos bouches, lorsqu’il se déverse en moi alors que je suis rattrapée par un très bel orgasme.
Il allait falloir que je revoie ma stratégie de pilule si je veux me débarrasser de mon mari dans les plus brefs délais.
Nous nous rajustions quand j’ai entièrement compris les insinuations du major William me demandant de faire attention à mes arrières.
Il devait faire allusion à Charles-Antoine dont il connaissait certainement les penchant homos.
Charles a repris son portable et a appelé son chauffeur.
• Serge, pouvez vous venir me prendre avec ma belle-fille, nous allons en ville faire des courses cet après-midi.
Je pense qu’il a répondu oui, je suis intriguée, de quelles courses parle-t-il ?
• J’ai une demande à te faire, car nous allons aller déjeuner.
Pas un mot à ma femme et sa salope ainsi qu’à mon fils de ce que tu as découvert, je préfère que nous gardions la maîtrise de la situation.
Tu apprendras très vite, que dans les affaires, comme aux échecs, celui qui gagne est toujours celui qui a un coup d’avance.
Lorsque nous quittons le bureau et le chai, les mots de mon beau-père, comment dois-je dire, mon beau-père, mon amant sur le coup d’avance font que demain, c’est moi qui aurais un coup d’avance en mettant mon plan à exécution.
Nous entrons dans la salle à manger, mari, le mien, Charles-Antoine, belle-mère et sa salope sont là.
En prononçant « salope », je prends exemple sur mon beau-père et amant qui emploie ce mot à chaque fois qu’il parle de la dame de compagnie de sa femme.
Mon mari égal à lui-même a le nez dans son assiette et une énorme surprise, nous attend du côté de Marie Pascale.
Je dois écarquiller mes yeux pour être sur de ce que je vois.
On dirait qu’une tornade blanche est passée sur le château balayant la vieille fille que Marie Pascale représentait.
Robe ample blanche, escarpin blanc, devant de robe, assez ouverte pour nous montrer une partie de ses seins, semblant magnifique, ma belle-maman se les étaient bien gardés pour elle seule.
Mais aussi, ses cheveux toujours en chignon depuis la première fois ou je l’ai vu, flottent sur ses épaules, elle a dû passer chez le coiffeur.
Plutôt notre coiffeuse, celle qui s’est occupée de moi le jour de mon mariage.
C’est en pleurant qu’elle s’exprime.
• Charles-Henri, fais-je assez pute comme ça ?
• Élisabeth console ta compagne, j’ai horreur des grandes manières et surtout des grandes eaux de Versailles.
Marie-Pascale, si tu veux que je te dise que tu es une pute, passe dans mon bureau, je te confirmerais que tu en es une si tu trompes ma femme !
Sinon, tu es seulement une jolie femme qui est belle pour la séduire ce qui me fait des vacances.
Continue à être habillée comme aujourd’hui, soyez heureuse puisque moi avec ma bite, je suis dans l’incapacité de le faire.
Beau-papa me regarde et me fait, un clin d’œil échappant à tous les autres ayant replongé dans leur assiette.
• Bonjour Sylvestre, votre patron est-il là ?
• Entrez, Marie-Antoinette, le major vous attendait, il était sûr que vous alliez revenir le voir, il m’a dit de vous faire entrer si vous vous présentiez au château.
J’avais compris que je faisais de l’effet, mais là cela dépasse tous les entendements...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
oui, merci Cyrille, j'ai un format d'écriture par chapitres de quatre page et de temps en temps le sexe est moin présent mais il faut y passer pour la comprehension de l'histoire
Il se peut que je ne l'ai pas vu car si je le vois j'arrive toujours a arranger une situation qui contient du sexe
Il se peut que je ne l'ai pas vu car si je le vois j'arrive toujours a arranger une situation qui contient du sexe
Un peu moins sexe mais une plume que je déguste à chaque fois...
Ce mélange du temps, j'adore
Merci Chris
Cyrille
Ce mélange du temps, j'adore
Merci Chris
Cyrille