COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Début de la saison I (1/3)
• Christophe, j’ai une demande un peu spéciale à te faire.
• Venant de ta part Clarisse, rien pour m’étonner !
• Saurais-tu me dire, comment je pourrais trouver l’adresse d’une prostituée ?
• J’ai la tête d’un mec qui se tape des putes, si c’est comme ça que tu me vois, je suis fortement déçu ?
• La tête non, mais tes envies de mâles lubriques depuis le temps que tu essayes de me sauter m’a fait penser que tu pourrais avoir été tenté une ou deux fois !
• Tu en veux une qui soit une gouine et qui te bouffe la chatte.
Financièrement, je te croyais juste avec ton petit travail de caissière dans un super-marcher les dimanches matin pour te payer tes études.
• Fiche-toi de moi, j’ai décidé pour mon examen final de mes études de faire une thèse sur la prostitution et surtout l’importance que le fric peut avoir pour qu’une fille accepte de coucher avec des inconnus ?
• Tu découvriras peut-être que certaines font ça pour le plaisir en plus de l’argent bien sûr.
D’autres par perversité, voire plus pour certaines, le fric est loin d’être le moteur que certaines femmes recherche !
Essaye les blogs, Violette, Christina, Laurence avec le nom de notre ville, tu trouveras peut-être chaussure à ton pied.
Par sa réponse, je venais de comprendre, que ce fils à Papa, son père est chirurgien et lui-même fait des études de médecine, connais et pratique les putes.
Douglas, son père possède une clinique privée dans Paris où il pratique la chirurgie esthétique.
C’est une sommité dans son domaine, même si certains disent que c’est un homme un peu étrange depuis le décès de sa femme.
Je dois reconnaître que moi, petite orpheline de banlieue j’aimerais bien m’élever dans l’échelle sociale en épousant ce genre de garçon !
Je vais sur les blogs, Violette existe bien me confortant que Christophe connaît ce milieu.
Violette puis Christina, toutes deux m’éconduisent lorsque je le parle de thèse sur la prostitution.
Toutes les deux refusent de s’allonger sur mon canapé, pour elle se serait une perte d’argent.
Je me rends compte d’entrée de jeu que le fric semble être leur moteur principal.
Je décide d’appeler Laurence elle aussi bien présente en appelant son 06.
Sur son site, il est dit, hommes ou femmes.
• Laurence, j’aimerais vous rencontrer, seriez-vous libre ?
• Oui, ce soir 17 heures, c’est 300 € la demi-heure.
Je suis très douée avec les femmes, au demeurant, je suis lesbienne.
Quel sujet intéressant comment une gouine peut-elle accepter les bites des hommes en elle, alors qu’elle préfère les femmes ?
De plus, elle a tout de suite avancé ses tarifs, l’argent une nouvelle fois semble être sa motivation.
Parlons de moi, 1 mètre 76, pour 60 kilos.
Je suis blonde aux yeux verts, deux ou trois amants, tous garçons de bonne famille, mais plus prêts à s’amuser sans penser à plus.
J’ai peu d’argent et je préfère me priver de nourriture que d’être mal fringué, alors je saute un repas de temps en temps, me rattrapant chaque fois que l’on m’invite.
Dernièrement, je suis allée à une fête, avec mon troisième amant, au début de la soirée, j’ai fait la connaissance de Jacques, son père, personnage bien connu dans les hauts milieux parisiens, je dirais même Français !
Avec mes études, je regarde peu la télé, mais je sais qu’il y passe fréquemment.
J’ai passé mon temps près du buffet.
Je suis à l’heure au rendez-vous avec Laurence pute de son état.
• Bonjours Laurence, vous êtes fidèle aux photos de votre blog.
• Entre, tu es plus jeune que moi, je me permets de te tutoyer !
Tu es très belle, pourquoi payes-tu pour avoir des rapports avec des femmes, il te suffirait d’aller dans des bars lesbiens à Paris.
Tu serais rapidement embarquée vers des lieux de plaisirs saphiques.
• Justement, voici vos 300 €, mais c’est simplement pour évoquer vos motivations de rentrer dans la prostitution.
J’ai contacté deux autres escortes en leur disant que je souhaitais les interviewer, toutes deux m’ont éconduite !
• Je comprends, garde ton argent, tu dois en avoir besoin plus que moi, même si tu es très élégante et jolie, je t’aurais bien croqué.
Je pense que tu es une pure hétéro et que c’est mon blog parlant d’homme ou femme qui t’a fait m’appeler.
• Non, garde-les, il est vrai que je galère un peu, mais chaque travail mérite salaire.
• J’ai une idée, je me change, je sors rarement avec mes habits de travail et je t’emmène au restaurant.
Comme je te l’ai dit, tu es jolie comme un cœur, pour recevoir mes clients, je mets des effets bien plus provocants.
J’assiste à la transformation assise dans son salon pendant qu’elle part vers sa chambre.
• Je suis prête, viens, j’ai une ou deux courses à faire avant d’aller dîner.
Nous rejoignons sa voiture, une mini Cooper bleue, si j’avais rencontré Laurence, je l’aurais prise pour une parfaite bourgeoise la trentaine, la chevelure rousse en mini comme sa voiture.
Elle a des cuissardes et un chemisier crème avec un imper crème lui aussi.
Lorsque je suis entrée dans son logement dans le 16e, c’est une tout autre femme que j’avais devant moi.
Lorsqu’elle s’assoit, sa mini remonte, me montrant qu’elle conduit sa chatte épilée sans protection, alors que je suis classiquement couverte d’une petite culotte rose avec une fleur sur le devant.
Elle se gare, met le parcmètre en marche et nous entrons dans une parfumerie.
• Je voudrais ce parfum pour mademoiselle, faite moi un joli paquet.
Mettez cette écharpe en soie en plus sur ma note.
J’ai le temps de voir que le parfum est de chez Yves Saint-Laurent à plus de 400 € sans voir le prix de l’écharpe.
Certainement plus que ce que j’ai pour vivre un mois.
Nous remontons l’avenue près de l’Arc de Triomphe, ou nous entrons dans un resto où elle semble avoir ses habitudes.
• Dit-moi, que veux-tu savoir sur mon travail de prostituer ?
• Tu prends les rapports sexuels comme un travail.
• Oui, mais j’ai une proposition à te faire !
• Laquelle ?
• Es-tu vierge ?
• Non, j’ai eu trois amants.
• Pour comprendre les motivations d’une pute, le mieux, c’est de faire une passe avec un client.
Demain, j’en ai un de prévu à 14 heures, c’est toi qui le reçois et qui t’occupes de lui.
Tu verras, c’est un client sans problème.
• Je serais dans l’impossibilité de savoir comment faire, même si c’est tentant d’essayer une seule fois !
De plus, je vais rentrer, j’ai un amphi demain matin.
• Hors de question, as-tu déjà eu des rapports féminins ?
• Oui et non, oui parce que j’ai embrassé une copine au collège avec des caresses sur nos minous, mais au travers de nos culottes.
Une élève est entrée et nous nous sommes séparés.
Cette nuit-là, ayant rejoint son domicile, c’est dans son lit que j’ai fini lui broutant sa chatte épilée pendant qu’elle en faisait de même avec moi.
C’est devant un café chaud servit avec croissant au lit, que j’ai vu au réveil que j’avais loupé mon cours.
De plus, j’avais progressé dans les rapports lesbiens, sans pour autant en avoir appris plus sur la prostitution et ses motivations.
• Alors Clarisse, as-tu réfléchi à ma proposition de préparer ta thèse à l’intérieur du monde de la prostitution.
Tu fais un essai, je te rappelle que le client que je te propose est un garçon très gentil.
La réflexion que je viens de faire emporte ma décision, si j’accepte rien qu’une fois, je puisse avoir rapidement de bonnes bases pour commencer ma thèse.
• Je veux bien essayer, mais une seule fois rien que pour voir.
Sans le savoir, je venais de rentrer dans un monde étrange, faite de clichés et de situations insolites.
• Laurence m’a prévenu que ce serait une de ses élèves qui s’occuperait de moi aujourd’hui !
Clarisse je crois, joli prénom et jolie frimousse, tient ça c’est ce que tu attends !
Je venais de prendre dans ma main une liasse de billets de 100 €.
Laurence cachée dans sa chambre, m’ayant installé dans une deuxième chambre de son appartement, m’a dit de recompter.
Un, deux, trois quatre et cinq, 500 pour un simple petit coup de queue, j’ai une drôle de sensation en ayant les billets dans ma main, mais c’est tout autre chose lorsque Cyprien sort sa queue.
• Viens me sucer petite salope, tu as une grande bouche, tu vas me faire une gorge profonde.
Je m’agenouille, la prenant dans ma main, j’ai fait de même avec le fils de monsieur Jacques.
C’est à ce moment que je me suis réveillée de ce que j’étais en train de faire.
Même si j’ai peu de moyens, je suis une fille honnête et j’allais me vendre pour obtenir de simples bouts de papier.
Je vais changer le sujet de ma thèse, même si je sais maintenant qu’elle jouissance j’ai ressenti lorsque les billets ont changé de main.
• Non, reprenez votre argent, même s’il avait pu m’être bien utile, je refuse de me vendre.
Cyprien a une réaction super, reprenant son argent, il remonte son pantalon, remet sa veste et me quitte.
Je saute sur le lit, enfonçant ma tête dans l’oreillé, fondant en larmes.
C’est là que me rejoint Laurence, me prenant dans ses bras et me cajolant.
• Soit sans crainte, moi aussi la première fois j’ai reculé, c’est dur de franchir le pas !
Clarisse, va-t-elle se prostituer dans le cadre de ses études, nous le saurons demain dans la suite de cette histoire de la Collection Zone rouge...
• Venant de ta part Clarisse, rien pour m’étonner !
• Saurais-tu me dire, comment je pourrais trouver l’adresse d’une prostituée ?
• J’ai la tête d’un mec qui se tape des putes, si c’est comme ça que tu me vois, je suis fortement déçu ?
• La tête non, mais tes envies de mâles lubriques depuis le temps que tu essayes de me sauter m’a fait penser que tu pourrais avoir été tenté une ou deux fois !
• Tu en veux une qui soit une gouine et qui te bouffe la chatte.
Financièrement, je te croyais juste avec ton petit travail de caissière dans un super-marcher les dimanches matin pour te payer tes études.
• Fiche-toi de moi, j’ai décidé pour mon examen final de mes études de faire une thèse sur la prostitution et surtout l’importance que le fric peut avoir pour qu’une fille accepte de coucher avec des inconnus ?
• Tu découvriras peut-être que certaines font ça pour le plaisir en plus de l’argent bien sûr.
D’autres par perversité, voire plus pour certaines, le fric est loin d’être le moteur que certaines femmes recherche !
Essaye les blogs, Violette, Christina, Laurence avec le nom de notre ville, tu trouveras peut-être chaussure à ton pied.
Par sa réponse, je venais de comprendre, que ce fils à Papa, son père est chirurgien et lui-même fait des études de médecine, connais et pratique les putes.
Douglas, son père possède une clinique privée dans Paris où il pratique la chirurgie esthétique.
C’est une sommité dans son domaine, même si certains disent que c’est un homme un peu étrange depuis le décès de sa femme.
Je dois reconnaître que moi, petite orpheline de banlieue j’aimerais bien m’élever dans l’échelle sociale en épousant ce genre de garçon !
Je vais sur les blogs, Violette existe bien me confortant que Christophe connaît ce milieu.
Violette puis Christina, toutes deux m’éconduisent lorsque je le parle de thèse sur la prostitution.
Toutes les deux refusent de s’allonger sur mon canapé, pour elle se serait une perte d’argent.
Je me rends compte d’entrée de jeu que le fric semble être leur moteur principal.
Je décide d’appeler Laurence elle aussi bien présente en appelant son 06.
Sur son site, il est dit, hommes ou femmes.
• Laurence, j’aimerais vous rencontrer, seriez-vous libre ?
• Oui, ce soir 17 heures, c’est 300 € la demi-heure.
Je suis très douée avec les femmes, au demeurant, je suis lesbienne.
Quel sujet intéressant comment une gouine peut-elle accepter les bites des hommes en elle, alors qu’elle préfère les femmes ?
De plus, elle a tout de suite avancé ses tarifs, l’argent une nouvelle fois semble être sa motivation.
Parlons de moi, 1 mètre 76, pour 60 kilos.
Je suis blonde aux yeux verts, deux ou trois amants, tous garçons de bonne famille, mais plus prêts à s’amuser sans penser à plus.
J’ai peu d’argent et je préfère me priver de nourriture que d’être mal fringué, alors je saute un repas de temps en temps, me rattrapant chaque fois que l’on m’invite.
Dernièrement, je suis allée à une fête, avec mon troisième amant, au début de la soirée, j’ai fait la connaissance de Jacques, son père, personnage bien connu dans les hauts milieux parisiens, je dirais même Français !
Avec mes études, je regarde peu la télé, mais je sais qu’il y passe fréquemment.
J’ai passé mon temps près du buffet.
Je suis à l’heure au rendez-vous avec Laurence pute de son état.
• Bonjours Laurence, vous êtes fidèle aux photos de votre blog.
• Entre, tu es plus jeune que moi, je me permets de te tutoyer !
Tu es très belle, pourquoi payes-tu pour avoir des rapports avec des femmes, il te suffirait d’aller dans des bars lesbiens à Paris.
Tu serais rapidement embarquée vers des lieux de plaisirs saphiques.
• Justement, voici vos 300 €, mais c’est simplement pour évoquer vos motivations de rentrer dans la prostitution.
J’ai contacté deux autres escortes en leur disant que je souhaitais les interviewer, toutes deux m’ont éconduite !
• Je comprends, garde ton argent, tu dois en avoir besoin plus que moi, même si tu es très élégante et jolie, je t’aurais bien croqué.
Je pense que tu es une pure hétéro et que c’est mon blog parlant d’homme ou femme qui t’a fait m’appeler.
• Non, garde-les, il est vrai que je galère un peu, mais chaque travail mérite salaire.
• J’ai une idée, je me change, je sors rarement avec mes habits de travail et je t’emmène au restaurant.
Comme je te l’ai dit, tu es jolie comme un cœur, pour recevoir mes clients, je mets des effets bien plus provocants.
J’assiste à la transformation assise dans son salon pendant qu’elle part vers sa chambre.
• Je suis prête, viens, j’ai une ou deux courses à faire avant d’aller dîner.
Nous rejoignons sa voiture, une mini Cooper bleue, si j’avais rencontré Laurence, je l’aurais prise pour une parfaite bourgeoise la trentaine, la chevelure rousse en mini comme sa voiture.
Elle a des cuissardes et un chemisier crème avec un imper crème lui aussi.
Lorsque je suis entrée dans son logement dans le 16e, c’est une tout autre femme que j’avais devant moi.
Lorsqu’elle s’assoit, sa mini remonte, me montrant qu’elle conduit sa chatte épilée sans protection, alors que je suis classiquement couverte d’une petite culotte rose avec une fleur sur le devant.
Elle se gare, met le parcmètre en marche et nous entrons dans une parfumerie.
• Je voudrais ce parfum pour mademoiselle, faite moi un joli paquet.
Mettez cette écharpe en soie en plus sur ma note.
J’ai le temps de voir que le parfum est de chez Yves Saint-Laurent à plus de 400 € sans voir le prix de l’écharpe.
Certainement plus que ce que j’ai pour vivre un mois.
Nous remontons l’avenue près de l’Arc de Triomphe, ou nous entrons dans un resto où elle semble avoir ses habitudes.
• Dit-moi, que veux-tu savoir sur mon travail de prostituer ?
• Tu prends les rapports sexuels comme un travail.
• Oui, mais j’ai une proposition à te faire !
• Laquelle ?
• Es-tu vierge ?
• Non, j’ai eu trois amants.
• Pour comprendre les motivations d’une pute, le mieux, c’est de faire une passe avec un client.
Demain, j’en ai un de prévu à 14 heures, c’est toi qui le reçois et qui t’occupes de lui.
Tu verras, c’est un client sans problème.
• Je serais dans l’impossibilité de savoir comment faire, même si c’est tentant d’essayer une seule fois !
De plus, je vais rentrer, j’ai un amphi demain matin.
• Hors de question, as-tu déjà eu des rapports féminins ?
• Oui et non, oui parce que j’ai embrassé une copine au collège avec des caresses sur nos minous, mais au travers de nos culottes.
Une élève est entrée et nous nous sommes séparés.
Cette nuit-là, ayant rejoint son domicile, c’est dans son lit que j’ai fini lui broutant sa chatte épilée pendant qu’elle en faisait de même avec moi.
C’est devant un café chaud servit avec croissant au lit, que j’ai vu au réveil que j’avais loupé mon cours.
De plus, j’avais progressé dans les rapports lesbiens, sans pour autant en avoir appris plus sur la prostitution et ses motivations.
• Alors Clarisse, as-tu réfléchi à ma proposition de préparer ta thèse à l’intérieur du monde de la prostitution.
Tu fais un essai, je te rappelle que le client que je te propose est un garçon très gentil.
La réflexion que je viens de faire emporte ma décision, si j’accepte rien qu’une fois, je puisse avoir rapidement de bonnes bases pour commencer ma thèse.
• Je veux bien essayer, mais une seule fois rien que pour voir.
Sans le savoir, je venais de rentrer dans un monde étrange, faite de clichés et de situations insolites.
• Laurence m’a prévenu que ce serait une de ses élèves qui s’occuperait de moi aujourd’hui !
Clarisse je crois, joli prénom et jolie frimousse, tient ça c’est ce que tu attends !
Je venais de prendre dans ma main une liasse de billets de 100 €.
Laurence cachée dans sa chambre, m’ayant installé dans une deuxième chambre de son appartement, m’a dit de recompter.
Un, deux, trois quatre et cinq, 500 pour un simple petit coup de queue, j’ai une drôle de sensation en ayant les billets dans ma main, mais c’est tout autre chose lorsque Cyprien sort sa queue.
• Viens me sucer petite salope, tu as une grande bouche, tu vas me faire une gorge profonde.
Je m’agenouille, la prenant dans ma main, j’ai fait de même avec le fils de monsieur Jacques.
C’est à ce moment que je me suis réveillée de ce que j’étais en train de faire.
Même si j’ai peu de moyens, je suis une fille honnête et j’allais me vendre pour obtenir de simples bouts de papier.
Je vais changer le sujet de ma thèse, même si je sais maintenant qu’elle jouissance j’ai ressenti lorsque les billets ont changé de main.
• Non, reprenez votre argent, même s’il avait pu m’être bien utile, je refuse de me vendre.
Cyprien a une réaction super, reprenant son argent, il remonte son pantalon, remet sa veste et me quitte.
Je saute sur le lit, enfonçant ma tête dans l’oreillé, fondant en larmes.
C’est là que me rejoint Laurence, me prenant dans ses bras et me cajolant.
• Soit sans crainte, moi aussi la première fois j’ai reculé, c’est dur de franchir le pas !
Clarisse, va-t-elle se prostituer dans le cadre de ses études, nous le saurons demain dans la suite de cette histoire de la Collection Zone rouge...
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