COLLECTION ZONE ROUGE. Johnny belle gueule (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Johnny belle gueule (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Johnny belle gueule (1/1)
- Tient, tient, prends ça salope.
Tu aimes ça ?
- Oui Johnny, j’aime que tu me baise.
- Johnny ?
- Pardon, monsieur Johnny.
- Tu as compris tu es une bonne pute, va gagner du fric avec ton cul pour que je soi satisfaite de toi.
- Oui, monsieur Johnny avec ma chatte pour satisfaire le plus de client et ainsi vous apporter une belle vie.
- C’est bien, tient prend ça dans ta chatte de salope.

Je décharge dans son vagin près à servir nos intérêts, mais surtout ceux de mon patron car dans notre organisation je peux dire que je suis un faciliteur ou un pacificateur.

- Jules, viens dans mon bureau, Gladys est prête elle a compris pourquoi sa maman l’avais mis sur terre.

Deux minutes et ma porte s’ouvre.
Jules mon principal lieutenant entre pour venir chercher ma dernière conquête et la nouvelle pute qui va rejoindre notre cheptel.

- Emmène Gladys faire sa valise et conduit là à Anvers au Watt-Watt, ils ont besoin d’une fille supplémentaire.
Attention, tu peux jouer un peu avec mais fait gaffe à la préserver pour nos clients.
- Oui, Johnny la dernière fois c’est la fille qui a voulu me mordre la queue, je l’ai un peu dérouillé.
- Et ça nous a coûter plusieurs centaines d’euros pour la réparer et qu’enfin elle nous rapporte notre mise de fond.

Johnny belle gueule, c’est le nom que l’on ma donné dès que j’ai rejoint Hugo notre patron le plus grand propriétaire de bar à pute de Belgique.
Je suis le croisement d’une pute blonde finlandaise et d’un commissaire de police un peu et même beaucoup véreux.
Dans ces années là, les putes travaillaient dans les rues et maman on la trouvait dans le quartier du port d’Ostende.
C'est ma grand-mère paternelle à Bruxelles qui m'a élevé et c’est là que le jeune homme a compris le pouvoir qu’il avait sur les filles grâce à sa blondeur.
Culturisme pour palier le garçon que j’étais et première séduction à 17 ans sans gloire, c’était une grosse repoussée par les autres hommes.
Olga coiffeuse de son état avait une fille, bien plus bandante et pendant que sa mère coiffait ses clients je sautais sa progéniture.
Un jour, elle est montée chercher de la monnaie et nous a foutu à la porte.
Nous avons erré dormant à la cloche.
J’ignore comment Hugo a su notre galère et m'a contacté.
Vicky ma première conquête entrant dans un de ses bars.
Vicky à Charleroi et moi allant d’endroit en endroit pour former les poulettes.
On frappe à ma porte.

- Johnny, avant de te rendre à Lille, il faut que tu passe à la cave à Bruxelles, Inès a encore essayé de s’échapper, ils l’ont rattrapé elle t’attend là-bas.

Ça c’est le mauvais côté de mon travail, la qualité du produit.
Inès est parfaite du moins son cul, mais quand je l’ai levé elle était en couple avec un gars qu’elle a dans la peau et souhaite le retrouver alors dès qu’elle peut, elle fugue.
Elle a du mal à comprendre que son mec il a refait sa vie depuis trois ans qu’elle tapine.
Prévoyant une rechute, j’ai fait enquêter et j’ai dans mon sac de quoi la pousser à continuer le métier.
La cave est sous un des bars d’Hugo où j’ai une de mes filles Radia, petite marocaine travaillant et travaillant bien car elle est très gironde.
Elle était en vacances en France à l’île d’Oléron chez un oncle.
J’étais en repérage pour une autre fille, elle m’est tombée toute cuite sur ma queue.
Son père voulait la marier avec un vague cousin de plus de 60 ans alors quand je l’ai faite monter sur ma Harley, dès la chambre prise à Paris ce soir là elle s’est donnée à moi et je l’ai dépucelée.
Radia par rapport à mes autres filles tapine par amour pour moi.
À ce titre, c’est la seule qui peut m’appeler Johnny en oubliant le monsieur.
Chaque fois que je passe à Bruxelles, je vais dans la chambre où elle vit entre ses moments de repos.
Officiellement nos filles sont des indépendantes mais comme je l’ai dit, cette indépendance a des limites que nous leurs interdisons de franchir.
C’était le cas d’Inès qui avait le droit de naviguer que de sa chambre au bar pour faire ses passes vu ces antécédents.
Pour elle interdiction de sortir, c’est ce qu’elle a enfreint.

- Johnny tu es là ?
- Oui BB une affaire dans le coin et tu sais que j’ai toujours plaisir à venir passer un petit moment avec toi mon BB.

BB c’est comme ça que je l’ai appelé à Paris et ça lui est restée bien que j’aime bien son nom Radia.
Elle travaille beaucoup car le bar est proche d’un quartier où les hommes seuls ayant ses origines sont légions.
Dès qu’ils ont touché leur paye, ils viennent en dépenser une partie avec cette fille de leur pays.

- Johnny, j’espérais que tu viendrais tu me manquais.

En me tenant ces propos d’amour elle me saute sur le paf le sortant de mon jeans.
Je m’aperçois que ma pute de mère m’a bien pourvu.

- BB, tu sais que j’aimerais bien passer plus de temps avec toi, mais vous me donnez un travail de dingue.

Je dis ça, mais ce sont des mots, ce qui m’importe c'est mon compte en banque et aussi me vider les couilles au moindre frais.
Dans tous les bordels qu’Hugo possède j’ai au moins une tapineuse pour me satisfaire.
Ici à Bruxelles, avec Radia, j’aime ses yeux remplis d’amour qu’elle lève vers moi quand je la regarde avec ma bite qu’elle pompe allègrement.
Savoir que ce que tous ces hommes lui font c’est moi qui lui aie tout appris me fait redoubler d’ardeur quand je la prends en levrette et que je lui décharge mes giclés pendant qu’elle joui.

- Adieu BB à la prochaine.
- Tu reviens vite.

Un bon mac sait le moment de les dédaigner c'est ce que je fais quand je remonte mon jeans et que je quitte sa chambre sans autre marque de sentiment.
Direction la cave.
Inès est assise sur une chaise les bras attachés derrière son dos.

- Inès, il a fallu une nouvelle fois que tu cherche à nous échapper.
Regarde-moi quand je te parle.
Combien de fois devrais-je t’expliquer que ton Valentin il a épouser une autre femme que toi quand tu lui as fait savoir par une lettre que tu le quittais.
C’est vrai cette lettre ces moi qui l’ai écrite mais comment pouvais-il le savoir.
Regarde j’ai fait prendre des photos.
Regarde, il l’embrasse, dommage que ton Valentin lui ait fait des gosses, j’irai la lever pour qu’elle travaille avec toi.

Ça s’était la première chose sortie de mon sac à dos.
La deuxième c’est mon surin que je sors de ma poche faisant claquer le cran d’arrêt pour l’amener sur son sein dénudé.
Sans avoir prononcé le moindre mot elle tombe en sanglot.
C’est là qu’il faut être fort avec ces femelles, elles vous ferraient avoir du sentiment.
Comme je l’ai dit plus tôt, seul le pognon que mes putes m’apportent a de l’importance pour moi.
Je sais que si je perds Inès ce sont de beaux billets de 100 qui s’envole.
Alors quand la lame effilée fait apparaitre une goutte de sang sur la fraise de son mamelon j’évite de la mutiler.

- Inès, dernier avertissement, la prochaine fois cette lame c’est là qu’elle entrera et c’est sur les bords du canal qu’on te retrouvera.
Évite de renifler, je sais ce que je vais faire, tu vas aller à Amsterdam dans une vitrine je vais te vendre à un mac de mes amis, tu vas voir avec lui tu as fini de manger ton pain blanc.

Je quitte la cave, au bar je vois le gérant à qui je donne mes ordres pour qu’il contact mon copain de ma part et qu’il lui vende ma pute même si dans la transaction je vais perdre du fric.
Cette fille qui va partir dans une vitrine fera réfléchir les autres, tout se sais dans nos bordels.

Je vais reprendre ma Harley direction Lille, j’ignore comment je vais procéder avec cette petite salope mais sachez qu’aucune fille me résiste quand j’ai décidé de la mettre dans mon lit.
Un jour je vous promets de vous raconter ce qui m’est arrivé et combien de clients cette nouvelle pute se fait par mois.
Je sors du bar à pute.
Je me trouve encadré par quatre représentants des forces de l’ordres.
Je crois que je vais mettre un peu de temps pour lever cette petite salope.
Inès recouverte d’une couverture sort du bar encadrée par d’autres policiers et monte dans la voiture de police.
Elle les mains libres, moi dans une autre voiture mes mains menottées.

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