COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (1/3)
• Ma chérie, prenons-nous un taxi où rentrons-nous à l’hôtel à pied ?
• À pied mon chéri, longeons le parc et prenons par la plage, je te réserve une surprise.

Ma femme, s’appelle Sophie et moi Jean.
J’ai vingt-neuf ans, ma femme depuis huit jours vingt-deux.
Nous sommes parisiens tous les deux et nous nous sommes mariées avant de partir pour une île paradisiaque à quelques encablures de la Sicile.
Ce soir, comme depuis que nous sommes arrivées, nous allons dîner en ville à quelques encablures de notre chambre d’hôtel, ou depuis notre arrivée, c’est le calme plat.
Sophie, est-ce l’avion ou tous autres problèmes psychologiques, bien que nous ayons des rapports sexuels depuis notre rencontre il y a neuf mois à déclencher ses règles au plus mauvais moment.
Ce soir, elle porte sa jolie robe aux fleurs d’été acheté spécialement pour ce voyage et qu’il m’empresse de déboutonner pour lui faire l’amour.
Repas dit, en amoureux, j’ai passé mon temps à lui prendre la main par-dessus la table sentant le courant passer entre nous.
Secrètement, j’espère que ces règles inopportunes soient terminées et que je puisse la prendre dans mes bras pour la baiser comme une bête.
Sophie dans l’acte d’amour aime que je la baise avec virilité.

D’un coup, une voiture arrive à grande vitesse, s’arrête près de nous, deux hommes en sweat avec une capuche sur la tête en descendent et empoignent Sophie.
Je suis sportif, mais l’attaque est si soudaine qu’il la tire vers la voiture sans que je n’aie le temps de régir.
Sophie se met à hurler, mais est à deux doigts d’être jetée à l’arrière de la voiture lorsqu’un autre véhicule arrive, s’arrête, un homme en descend.
Avant que je n’aie le temps là encore de réagir par quelques coups de pied genre taekwondo libère Sophie.
Les deux agresseurs prennent la fuite en remontant dans leur voiture et redémarrent aussi vite qu’ils sont arrivés.
Le jeune homme qui est venu nous aider nous parle, mais sans que nous comprenions, je l’interpelle dans notre langue.

• Merci, mais nous ne comprenons pas ce que vous dites !
• Pardon, vous êtes français, je suis doublement heureux d’être venu à votre secours contre ces voyous qui semblaient en vouloir à votre très jolie femme.
Avant de revenir au pays, j’ai vécu cinq ans en France plus précisément à Marseille où je suivais son équipe.
• Comme vous le dite, merci d’être venu à notre secours, mais nous aurons là un point d’achoppement avec Marseille, car nous sommes parisiens et je supporte l’équipe de la capitale.
• Je comprends, je vous propose d’éviter de parler foot dans le temps que nous allons passer ensemble.
Je réside à quelques maisons d’ici, je rentrais chez moi après mon travail.
Si vous avez le temps, je vous invite à prendre un verre de vin blanc de mon village, plus précisément du domaine de mon père !
• Chérie qu’en penses-tu, acceptons-nous cette proposition ?
• Mais oui, mon chéri, mais avant présentons-nous, je m’appelle Sophie et mon mari Jean, nous sommes en voyage de noces dans votre belle île.
• Pedro, mon père m’a appelé Pedro comme lui, à votre réponse, je suis heureux de vous conduire jusque chez moi, montez !

Comment se méfier d’un homme si serviable et prévenant, venant de vous sauver, au moins votre femme, de malandrins ayant des visées malsaines sur elle ?
Que lui auraient-ils fait s’ils avaient réussi à la faire monter dans leur voiture ?
Dans celle de Pedro elle est à l’arrière avec moi blotti dans mes bras.
Il est vrai qu’il habite tout près, il s’arrête devant un portail et déclenche l’ouverture.
Elle coulisse et nous montre une très belle villa devant laquelle étant rentré il gare son véhicule.
Pedro nous fait entrer et nous entraine vers l’arrière où un jardin avec piscine nous tend les bras.

• Mettez-vous à l’aise, je vais chercher la bouteille que je vous ai promis qui se trouve aux frais dans la cuisine.
J’en ai toujours quelques bouteilles aux frais au cas où !
Ce soir, elles vont nous être bien utiles.

Les choses évoluent vite, d’abord le verre en parlant de l’île qui est merveilleuse puis un deuxième, je me sens de plus en plus euphorique.

• Va te baigner Jean, à moins que Sophie tienne à t’accompagner, je sais, tu vas me dire que tu es en slip sans maillot, ici on est libre va y nu.

J’aurais dû réagir à cette proposition, comment Pedro pouvait-il savoir que Sophie avait ses règles et que j’étais le seul à pouvoir me baigner.
Mais comme je l’ai dit, après les deux verres je suis euphorique et l’eau par cette chaleur est tentante.
Au moment de piquer une tête, j’ai le temps d’entendre la musique démarrer et Pedro inviter Sophie à danser, ce qu’elle semble faire avec envie.
Je nage tout en observant le comportement du couple qu’ils forment.
Avant notre mariage, nous regardions un film érotique, non porno, il y avait des scènes poussées et assez suggestives, sans queue, n’y chatte que l’on aurait pu voir se faire défoncer.
Un moment l’un des hommes proposait sa femme à un autre qui s’empressait d’accepter.
À la fin de ce film, avec Sophie, nous avions parlé d’échangistes et du candaulisme du mari qui prenait plaisir de voir sa femme dans les bras d’un autre, surtout l’étalon qui lui était proposé.
Du moins dans le dialogue, à un moment elle disait « elle est grosse, plus grosse que la tienne mon chéri. »
Lorsqu’elle se laisse embrasser par Pedro, je repense à notre conversation d’après film et comme je me sens bien dans cette eau me rafraichissant, je me dis qu’elle a décidé d’anticiper cette première fois.
Dans notre conversation elle s’était déclarée intéressée, mais lorsque nous serions vieux, pas quelques mois seulement après notre mariage.
Du côté du couple, que Pedro et Sophie forme, la situation évolue vite, Sophie a ouvert la braguette du Tergal et en a sorti une verge d’où je suis, semble de bonne proportion, mais sans plus.
Sophie adore sucer, j’en fais fréquemment l’expérience, à Paris il lui arrive de me sucer dans notre voiture, dans les embouteillages.
Un soir que nous rentrions d’une soirée théâtre, elle me suçait lorsque je me suis arrêté le long d’un car de touristes japonais.
Les flashs crépitaient au-dessus de nous et de retour chez eux, ces touristes ont dû montrer Sophie, petite femme de Pigalle en pleine action.
Je lui avais déchargé dans la bouche et de retour chez nous, nous avions baisé sous la douche, ce coup-là sa chatte ayant reçu ma décharge avant de partir vers le tout-à-l’égout.
Je ressors de l’eau, dégoulinant d’eau, je m’approche et tour à tour elle nous suce divinement.

• Mes amis, venez dans ma chambre, je vois que vous aimez autant l’un comme l’autre baiser, comme moi j’aime le faire avec une aussi jolie femme que toi Sophie.
J’aurais à ma disposition des capotes qui sont sur ma table de nuit !

Une fois dans la chambre, nous découvrons un lit d’au moins deux mètres de long et de large.
Là encore, Sophie l’aide avec sa bouche à l’en couvrir, elle le faisait fréquemment dans les premiers jours de notre liaison avant que nous nous testions et décidions de vivre ensemble.
Une fois couvert, il lui écarte les cuisses et ayant repris un verre de vin, l’euphorie me reprenant je vois la verge de Pedro pénétrer ma femme.
Nous la baisons à tour de rôle, lui apportant tour à tour plusieurs orgasmes dévastateurs.
Un moment où elle s’est empalée sur Pedro, je suis à deux doigts de la sodomiser et de la prendre tous les deux en même temps.
Mais me souvenant de son refus que je la sodomise dans les premiers jours de notre rencontre, je m’abstiens de peur de casser l’enchantement de ce moment.
Un moment avant l’attaque, Sophie avait parlé de surprise, si nous rentrions par le parc, puis la plage.
Lorsque Pedro est arrivé dans sa chambre la tenant par la main, il l’a dénudé.
La surprise devait être là, la robe à fleurs ôtées, elle nous est apparue nue sans culotte et encore moins de soutiens-gorge, dans toute sa splendeur de jeune fille blonde.
Elle avait dû prévoir de baiser sur la plage, ses règles étant terminées.

Au matin, plutôt vers midi à la cloche d’une église voisine, nous nous sommes réveillés avec la gueule de bois, nous étions seules dans la chambre.
Dans la cuisine du café avait été préparé avec des viennoiseries locales et à côté de la cafetière un mot.

« Mes amis merci pour cette merveilleuse soirée et encore plus cette nuit, surtout toi Sophie tu es divine.
Je vous quitte, vous laissant dormir, hélas le travail m’appelle avant de m’envoler vers les USA pour plusieurs jours où je dois régler mes affaires.
Bonne continuation à vous jusqu’à la fin de votre séjour et bon retour à Paris, allez les Marseillais, aux chiotes Paris.
Votre ami Pedro. »

En rentrant à l’hôtel, nous avons bien ri du mot trouvé sans pour autant reparler des débordements qui avaient suivi l’attaque, ça nous ferait un souvenir de notre voyage de noces.
Deux soirs plus tard nous faisons le même chemin rassuré par un couple de jeunes amoureux marchant devant nous.
Qui pourrait penser qu’à peu près au même endroit une voiture s’arrêterait et que deux gars en descendent et tireraient la jeune femme vers la voiture ?
Là, je réagis, j’empoigne la bombe défensive acheter le lendemain de notre agression, je m’approche et j’en mets dans les yeux du plus proche de moi tout en saisissant la capuche du deuxième.

• Pedro, c’est toi !

C’est tout ce que j’ai le temps de dire, il entraine son complice et file avec sa voiture, suivi rapidement par une autre ressemblant étrangement à celle dans laquelle notre pseudo sauveur nous avait emmenés.
Je comprends tout, les trois agissent ensemble.

• Merci, d’avoir défendu ma femme, nous vous serons éternellement reconnaissants.
• Vous êtes français, nous aussi, êtes-vous à l’hôtel Rosario ?
• Oui, nous rentrions après avoir dîner en ville, Paola et moi, je me nomme Charles.

Nous parlons un moment et je leur explique ce que nous avons subi deux jours plus tôt.

• Vous avez eux affaire à un gars qui se sert de GHB, la drogue des violeurs.
Votre dénommé Pedro avait dû la mettre en piquant avec une seringue dans le bouchon dans ses bouteilles de vin blanc qu’il vous a offertes.
• Vous devez avoir raison, il a bu un verre lui aussi, mais un qu’il avait amené de la cuisine avec la bouteille qu’il avait soi-disant ouverte avant de nous rejoindre.
• C’est pour cela que toi, comme Sophie vous êtes restées sans réaction...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire j’attends une suite



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (1/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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