COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (2/3)
• Ma chérie, prenons-nous un taxi où rentrons-nous à l’hôtel à pied ?
C’est par ces mots que j’ai invité Sophie mon épouse de rentrer vers notre hôtel après un dîner en amoureux dans un resto à quelques centaines de mètres de là.
Nous étions presque arrivés en coupant par la plage où Sophie avait enfin prévu de se donner à moi, des règles intempestives ayant gâché le début de notre voyage de noces.
Lorsqu’une première voiture nous est littéralement tombé dessus, deux hommes encapuchonnés nous sont littéralement tombés dessus et voulant forcer Sophie à monter avec eux.
Opportunément, une seconde voiture est survenue et le chauffeur avec des prises d’arts martiaux nous est venu en aide sans que l’on puisse penser à un coup monté.
C’est dans sa villa, je dirais plutôt sa magnifique villa où il nous a fait rentrer sans la moindre effraction que Sophie s’est donnée à lui pendant que je regardais sans beaucoup réagir.
Il connaissait les codes d’accès du portail et il nous a offert à boire du vin blanc venant soi-disant du domaine de son père près de sa piscine.
Le vin bu, c’est là que nageant nu, j’ai vu ma femme se mettre à danser avec ce beau gosse, les regardants sans la moindre envie d’arrêter ce jeu entre eux.
Mieux, je suis sortie de l’eau et Sophie nous a fait une magnifique fellation avant que Pedro nous entraîne dans sa chambre et que nous baisions ma femme.
Au matin nous nous sommes réveillés avec une sérieuse gueule de bois, mais c’était courant après avoir bu du vin blanc le soir.
Nous avions repris notre séjour lorsque deux jours plus tard la veille de notre retour en France, nous avons décidé de rentrer par le même chemin surtout ayant devant nous un couple d’amoureux comme nous le sommes, nous-mêmes.
Même trajet et même punition, voiture arrivant et assayant de tirer la jeune femme devant nous à l’intérieur de leur voiture.
J’avais l’impression d’un remake « d’un jour sans fin. »
Ce que ces agresseurs ignoraient c’est qu’après la première attaque nous avions acheté des bombes aveuglantes défensives.
J’ai saisi celle que j’avais dans ma poche et arrivant sur ces hommes qui semblaient ne pas nous avoir vus, j’ai pulvérisé dans les yeux du premier encapuchonné le contenu de ma bombe.
En même temps, j’ai essayé d’en faire de même avec l’autre.
Dans le mouvement sa capuche s’est défaite et dans la lumière d’un lampadaire, j’ai reconnu Pedro soi-disant parti en voyage.
Voyant que nous sommes intervenus, Pedro a attrapé son complice et ils ont détaillé.
• Et vous dite, que vous aviez subi la même agression l’autre soir et que l’homme que vous appelez Pedro a fait l’amour à votre femme sans que vous soyez en état de l’en empêcher !
Je suis infirmière à Paris et nous voyons souvent des jeunes femmes victimes d’agression au GHB, la drogue des violeurs.
Votre Pedro avait dû en mettre dans ses bouteilles de vin blanc et ainsi abuser de toi Sophie, sans que Jean soit en état de réagir
Il faut dénoncer ces violeurs à la police, nous venons tous les ans depuis de nombreuses années, il y a un commissariat ouvert la nuit à droite deux rues plus loin, allons porter plainte !
Nous suivons ce couple, la quarantaine certainement l’un et l’autre, mais un couple sachant bien se tenir, l’homme du peu que je le vois, a les tempes grisonnantes.
Un planton nous reçoit chez les carabiniers.
Paola parlant leur langue, c’est elle qui lui demande ce que nous désirons.
Elle parle de « spector » ou un mot comme ça et le planton se lève pour aller derrière vers des bureaux.
Paola parle à ce qui doit être un « inspecteur, » la conversation est assez longue, je saisi « spector Luigi » qui doit être son nom, avant de finir par revenir vers nous.
• Voilà, je vais vous résumer, l’inspecteur Luigi connaît Pedro, ils l’ont surnommé « l’anguille. »
J’avais compris qu’il parlait d’aiguilla, certains mots ou noms étant près de ceux de notre langue.
• Il s’appelle réellement Pedro et il est bien le fils d’un propriétaire de domaine de vin.
Il a largement les moyens de se payer toutes les filles les plus belles, mais il semble que ce soit en faisant un simulacre d’enlèvement et en les droguant qu’il trouve son plaisir.
Il est très fort pour pirater les codes de sécurité de villas où les proprios sont absents pour longtemps et d’y emmener ses victimes comme s’il était chez lui.
• Il va nous emmener à la villa qu’il s’est servie et nous pourrons le confondre grâce aux empreintes digitales, il n’avait pas de gant et il a touché partout.
• C’est déjà fait, ce matin un propriétaire, revenant de Tahiti a appelé la police afin de leur signaler une effraction, ils y sont allés et faits toutes les constatations.
Nous pouvons partir !
• Et ou signe-t-on pour notre plainte pour abus ?
• Sophie, vous partez demain et nous dans trois jours, voulez-vous rester un nombre incalculable de jours si j’avais demandé de porter plainte ?
Nous aurions été obligés de rester jusqu’à la fin de leur enquête, mais surement jusqu’à ce qu’ils l’aient l’avoir attrapé.
L’inspecteur Luigi m’a dit que la dernière fois ça avait pris presque un mois.
Rentrons à l’hôtel, Charles, je pense que tu vas pouvoir inviter nos amis dans notre suite et leur offrir une bonne bouteille de champagne français, ils ont dû souper du vin de mon pays.
Grâce à eux, nous avons évité de nous retrouver dans la même situation qu’eux.
Leur suite, nous avons une chambre spacieuse, mais eux ont un coin salon où nous nous installons.
• À la nôtre, aux Français, Jean, puis-je te poser une question ?
• Il va de soi, si je peux te répondre !
• Hormis le fait que tu devais certainement avoir été drogué, après coup, que penses-tu, à ce que vous nous avez expliqué, d’avoir regardé Sophie faire des actes sexuels avec un autre homme que toi avant que tu participes !
• La question est difficile, ce qui est certain, c’est que comme nous avons été drogués, j’ai complètement sorti de mon esprit que Sophie, m’a trompé délibérément.
• Et si par un grand hasard, un immense hasard, tu voyais Sophie recommencer délibérément à faire l’amour avec un autre homme, mieux une femme !
• Grave dilemme, mais comme cela n’est que supposition, je crois qu’au fond de moi, en ayant déjà émis l’idée avec elle, mais pour le futur, je pourrais l’accepter.
• Et moi dans l’affaire je suis une quantité à négliger, Charles, oui nous avions émis l’idée de pimenter les jeux de notre couple, mais dans plusieurs années.
Quant aux femmes, l’idée même m’est toujours passée par-dessus la tête, bien que les lesbiennes, m’indiffèrent dans leur sexualité.
• Sophie, et si je te disais que je suis l’une de ces femmes, aimant les femmes autant que j’aime Charles mon mari et que j’aurais grand plaisir à te conduire dans le secteur des plaisirs féminins !
Charles et moi à Paris, sommes des libertins et il m’arrive fréquemment d’avoir des rapports avec d’autres femmes et d’autres hommes.
Permet moi de te le démontrer.
Paola, se lève d’un des quatre fauteuils où nos amis nous ont installés et sans attendre que Sophie n’en dise plus, vient s’asseoir sur l’accoudoir de celui où elle se trouve.
Elle se penche et lui donne un baiser loin d’être chaste.
Ma femme aurait pu refuser, mais contre toute attente, elle ouvre sa bouche à la langue que je vois très nettement prendre possession de la sienne.
Un instant je regarde la bouteille aux frais dans son seau, Charles voit mon regard se poser dessus.
• Eh ! non, Jean, aucune drogue du violeur dans la bouteille de champagne que je nous ai fait monter par le roomservice.
Juste deux femmes, que j’espère tu vas avoir autant de plaisir que moi à les voir se donner du plaisir, comme moi j’en prends chaque fois que Paola a des rapports avec ses amies.
Sans que leurs bouches ne se séparent, Paola fait se relever Sophie et lui défait les boutons de sa robe, faisant apparaitre ma femme dans sa parfaite nudité.
Je savais Sophie nu lorsque nous nous sommes préparés dans notre chambre, bien moins spécieuse que celle ou nous nous trouvons.
Une nouvelle fois, sans lui dire, je savais qu’elle projetait de passer par la plage comme nous l’avions fait la veille de cette deuxième attaque de Pedro.
Baiser, la baiser au clair de lune, pleine en ce moment, quelle douce façon de faire l’amour avec celle qui est la prunelle de mes yeux.
Nos femmes s’allongent devant nous et c’est dans un très beau 69 que l’une comme l’autre se donnent du plaisir, leurs langues ayant changé de cavité.
Une blonde, je l’ai dit, Sophie, sa chatte ornée de sa touffe blonde et Paola, fille du sud avec une chatte recouverte d’une toison noire bien taillée mais assez conséquente.
• Je vois que tu regardes, la toison de Paola, j’ai horreur des chattes épilées, je tolère juste qu’à son institut on lui enlève une grande partie de son tablier de sapeur que la nature lui a procuré.
Sophie est blonde, et j’adore voir sa petite touffe à la tienne.
Nous trinquons, Charles bois une gorgé et de sa main libre ouvre son pantalon sortant sa verge sans plus de pudeur devant un autre homme.
Nos femmes semblent prendre bien du plaisir et leur vision me sert là où ça se développe, je la sors comme la fait Charles.
• Tu permets Jean, Sophie, tu as assez fait jouir ma femme, vient me montrer tes dons de suceuse, Paola va montrer la grande suceuse qu’elle est à Jean.
Comme si c’était naturel, les deux femmes se séparent et comme deux félines qu’elles sont viennent à quatre pattes chacune dans la fourche de nos jambes, saisissant nos pieux qui rapidement sont aspirés dans leur bouche.
Du moins, c’est le cas pour moi, la grande bouche de Paola lui permettant de m’aspirer jusqu’aux couilles en même temps qu’avec sa main elle me masturbe.
À peu près le même scénario que dans la villa squattée par Pedro, à la différence que Charles sort une capote de sa poche alors que Paola me prend par la main et me fait me relever pour aller jusqu’au lit.
Je comprends la manoeuvre, après avoir ouvert l’un des tiroirs d’une table de nuit, elle en sort une capote, d’une boîte en comprenant une grande quantité.
C’est avec ses doigts, qu’elle me la déroule...
C’est par ces mots que j’ai invité Sophie mon épouse de rentrer vers notre hôtel après un dîner en amoureux dans un resto à quelques centaines de mètres de là.
Nous étions presque arrivés en coupant par la plage où Sophie avait enfin prévu de se donner à moi, des règles intempestives ayant gâché le début de notre voyage de noces.
Lorsqu’une première voiture nous est littéralement tombé dessus, deux hommes encapuchonnés nous sont littéralement tombés dessus et voulant forcer Sophie à monter avec eux.
Opportunément, une seconde voiture est survenue et le chauffeur avec des prises d’arts martiaux nous est venu en aide sans que l’on puisse penser à un coup monté.
C’est dans sa villa, je dirais plutôt sa magnifique villa où il nous a fait rentrer sans la moindre effraction que Sophie s’est donnée à lui pendant que je regardais sans beaucoup réagir.
Il connaissait les codes d’accès du portail et il nous a offert à boire du vin blanc venant soi-disant du domaine de son père près de sa piscine.
Le vin bu, c’est là que nageant nu, j’ai vu ma femme se mettre à danser avec ce beau gosse, les regardants sans la moindre envie d’arrêter ce jeu entre eux.
Mieux, je suis sortie de l’eau et Sophie nous a fait une magnifique fellation avant que Pedro nous entraîne dans sa chambre et que nous baisions ma femme.
Au matin nous nous sommes réveillés avec une sérieuse gueule de bois, mais c’était courant après avoir bu du vin blanc le soir.
Nous avions repris notre séjour lorsque deux jours plus tard la veille de notre retour en France, nous avons décidé de rentrer par le même chemin surtout ayant devant nous un couple d’amoureux comme nous le sommes, nous-mêmes.
Même trajet et même punition, voiture arrivant et assayant de tirer la jeune femme devant nous à l’intérieur de leur voiture.
J’avais l’impression d’un remake « d’un jour sans fin. »
Ce que ces agresseurs ignoraient c’est qu’après la première attaque nous avions acheté des bombes aveuglantes défensives.
J’ai saisi celle que j’avais dans ma poche et arrivant sur ces hommes qui semblaient ne pas nous avoir vus, j’ai pulvérisé dans les yeux du premier encapuchonné le contenu de ma bombe.
En même temps, j’ai essayé d’en faire de même avec l’autre.
Dans le mouvement sa capuche s’est défaite et dans la lumière d’un lampadaire, j’ai reconnu Pedro soi-disant parti en voyage.
Voyant que nous sommes intervenus, Pedro a attrapé son complice et ils ont détaillé.
• Et vous dite, que vous aviez subi la même agression l’autre soir et que l’homme que vous appelez Pedro a fait l’amour à votre femme sans que vous soyez en état de l’en empêcher !
Je suis infirmière à Paris et nous voyons souvent des jeunes femmes victimes d’agression au GHB, la drogue des violeurs.
Votre Pedro avait dû en mettre dans ses bouteilles de vin blanc et ainsi abuser de toi Sophie, sans que Jean soit en état de réagir
Il faut dénoncer ces violeurs à la police, nous venons tous les ans depuis de nombreuses années, il y a un commissariat ouvert la nuit à droite deux rues plus loin, allons porter plainte !
Nous suivons ce couple, la quarantaine certainement l’un et l’autre, mais un couple sachant bien se tenir, l’homme du peu que je le vois, a les tempes grisonnantes.
Un planton nous reçoit chez les carabiniers.
Paola parlant leur langue, c’est elle qui lui demande ce que nous désirons.
Elle parle de « spector » ou un mot comme ça et le planton se lève pour aller derrière vers des bureaux.
Paola parle à ce qui doit être un « inspecteur, » la conversation est assez longue, je saisi « spector Luigi » qui doit être son nom, avant de finir par revenir vers nous.
• Voilà, je vais vous résumer, l’inspecteur Luigi connaît Pedro, ils l’ont surnommé « l’anguille. »
J’avais compris qu’il parlait d’aiguilla, certains mots ou noms étant près de ceux de notre langue.
• Il s’appelle réellement Pedro et il est bien le fils d’un propriétaire de domaine de vin.
Il a largement les moyens de se payer toutes les filles les plus belles, mais il semble que ce soit en faisant un simulacre d’enlèvement et en les droguant qu’il trouve son plaisir.
Il est très fort pour pirater les codes de sécurité de villas où les proprios sont absents pour longtemps et d’y emmener ses victimes comme s’il était chez lui.
• Il va nous emmener à la villa qu’il s’est servie et nous pourrons le confondre grâce aux empreintes digitales, il n’avait pas de gant et il a touché partout.
• C’est déjà fait, ce matin un propriétaire, revenant de Tahiti a appelé la police afin de leur signaler une effraction, ils y sont allés et faits toutes les constatations.
Nous pouvons partir !
• Et ou signe-t-on pour notre plainte pour abus ?
• Sophie, vous partez demain et nous dans trois jours, voulez-vous rester un nombre incalculable de jours si j’avais demandé de porter plainte ?
Nous aurions été obligés de rester jusqu’à la fin de leur enquête, mais surement jusqu’à ce qu’ils l’aient l’avoir attrapé.
L’inspecteur Luigi m’a dit que la dernière fois ça avait pris presque un mois.
Rentrons à l’hôtel, Charles, je pense que tu vas pouvoir inviter nos amis dans notre suite et leur offrir une bonne bouteille de champagne français, ils ont dû souper du vin de mon pays.
Grâce à eux, nous avons évité de nous retrouver dans la même situation qu’eux.
Leur suite, nous avons une chambre spacieuse, mais eux ont un coin salon où nous nous installons.
• À la nôtre, aux Français, Jean, puis-je te poser une question ?
• Il va de soi, si je peux te répondre !
• Hormis le fait que tu devais certainement avoir été drogué, après coup, que penses-tu, à ce que vous nous avez expliqué, d’avoir regardé Sophie faire des actes sexuels avec un autre homme que toi avant que tu participes !
• La question est difficile, ce qui est certain, c’est que comme nous avons été drogués, j’ai complètement sorti de mon esprit que Sophie, m’a trompé délibérément.
• Et si par un grand hasard, un immense hasard, tu voyais Sophie recommencer délibérément à faire l’amour avec un autre homme, mieux une femme !
• Grave dilemme, mais comme cela n’est que supposition, je crois qu’au fond de moi, en ayant déjà émis l’idée avec elle, mais pour le futur, je pourrais l’accepter.
• Et moi dans l’affaire je suis une quantité à négliger, Charles, oui nous avions émis l’idée de pimenter les jeux de notre couple, mais dans plusieurs années.
Quant aux femmes, l’idée même m’est toujours passée par-dessus la tête, bien que les lesbiennes, m’indiffèrent dans leur sexualité.
• Sophie, et si je te disais que je suis l’une de ces femmes, aimant les femmes autant que j’aime Charles mon mari et que j’aurais grand plaisir à te conduire dans le secteur des plaisirs féminins !
Charles et moi à Paris, sommes des libertins et il m’arrive fréquemment d’avoir des rapports avec d’autres femmes et d’autres hommes.
Permet moi de te le démontrer.
Paola, se lève d’un des quatre fauteuils où nos amis nous ont installés et sans attendre que Sophie n’en dise plus, vient s’asseoir sur l’accoudoir de celui où elle se trouve.
Elle se penche et lui donne un baiser loin d’être chaste.
Ma femme aurait pu refuser, mais contre toute attente, elle ouvre sa bouche à la langue que je vois très nettement prendre possession de la sienne.
Un instant je regarde la bouteille aux frais dans son seau, Charles voit mon regard se poser dessus.
• Eh ! non, Jean, aucune drogue du violeur dans la bouteille de champagne que je nous ai fait monter par le roomservice.
Juste deux femmes, que j’espère tu vas avoir autant de plaisir que moi à les voir se donner du plaisir, comme moi j’en prends chaque fois que Paola a des rapports avec ses amies.
Sans que leurs bouches ne se séparent, Paola fait se relever Sophie et lui défait les boutons de sa robe, faisant apparaitre ma femme dans sa parfaite nudité.
Je savais Sophie nu lorsque nous nous sommes préparés dans notre chambre, bien moins spécieuse que celle ou nous nous trouvons.
Une nouvelle fois, sans lui dire, je savais qu’elle projetait de passer par la plage comme nous l’avions fait la veille de cette deuxième attaque de Pedro.
Baiser, la baiser au clair de lune, pleine en ce moment, quelle douce façon de faire l’amour avec celle qui est la prunelle de mes yeux.
Nos femmes s’allongent devant nous et c’est dans un très beau 69 que l’une comme l’autre se donnent du plaisir, leurs langues ayant changé de cavité.
Une blonde, je l’ai dit, Sophie, sa chatte ornée de sa touffe blonde et Paola, fille du sud avec une chatte recouverte d’une toison noire bien taillée mais assez conséquente.
• Je vois que tu regardes, la toison de Paola, j’ai horreur des chattes épilées, je tolère juste qu’à son institut on lui enlève une grande partie de son tablier de sapeur que la nature lui a procuré.
Sophie est blonde, et j’adore voir sa petite touffe à la tienne.
Nous trinquons, Charles bois une gorgé et de sa main libre ouvre son pantalon sortant sa verge sans plus de pudeur devant un autre homme.
Nos femmes semblent prendre bien du plaisir et leur vision me sert là où ça se développe, je la sors comme la fait Charles.
• Tu permets Jean, Sophie, tu as assez fait jouir ma femme, vient me montrer tes dons de suceuse, Paola va montrer la grande suceuse qu’elle est à Jean.
Comme si c’était naturel, les deux femmes se séparent et comme deux félines qu’elles sont viennent à quatre pattes chacune dans la fourche de nos jambes, saisissant nos pieux qui rapidement sont aspirés dans leur bouche.
Du moins, c’est le cas pour moi, la grande bouche de Paola lui permettant de m’aspirer jusqu’aux couilles en même temps qu’avec sa main elle me masturbe.
À peu près le même scénario que dans la villa squattée par Pedro, à la différence que Charles sort une capote de sa poche alors que Paola me prend par la main et me fait me relever pour aller jusqu’au lit.
Je comprends la manoeuvre, après avoir ouvert l’un des tiroirs d’une table de nuit, elle en sort une capote, d’une boîte en comprenant une grande quantité.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ok diffusé dès demain
Très belle suite on attend le troisième épisode