COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Début de la saison II (4/6)
Véronique dans la saison I se croyait rebelle à sa classe sociale, mais la vie la rattrape.
Nous poursuivons ses aventures dans les trois derniers épisodes de cette histoire.
Nous sommes nus toutes les deux, Jennifer et moi quand nous nous retrouvons sur la peau de loup devant la fausse cheminée à nous brouter les chattes épilées l’une comme l’autre.
Incroyable, la secrétaire de feu mon père a joui comme j’ai joui, entrant dans le monde des amours féminins.
Je la serre sur mon cœur quand reprenant mes esprits, mes yeux se portent sur le coffre qui me tend les bras.
Vais-je trouver les réponses à mes questions ?
Mieux, que vais-je trouver d’autre ?
• Et si nous ouvrions ce coffre• Tu as trouvé que j’étais mauvaise !
Je vais m’améliorer si tu acceptes que l’on recommence.
• Je viens de comprendre deux choses.
La première, c’est pourquoi tu tombes en larmes, montrant tes sentiments trop facilement.
• Tu vois, j’ai été mauvaise.
• Et c’est reparti, voilà les larmes.
Tu m’as fait jouir alors que mes quelques amants m’ont laissé au bord du chemin.
La deuxième, c’est que j’aime aussi bien les bites que les chattes.
En quelques mots, je suis une gouine et une hétéro.
• Une copine d’enfance m’avait dit que je finirais bisexuelle, car je refusais de coucher avec elle.
J’ai failli lui arracher les yeux.
Elle avait raison, je suis bisexuelle.
Nous sommes bisexuelles.
• Embrasse-moi, je t’adore.
Le coffre peut attendre, mes doigts croches dans son sexe, les siens en faisant autant.
Nos bouches soudées, nos sexes masturbés, nous avons une nouvelle jouissance simultanée, nous sommes faites pour nous entendre.
• Voyons voir, les titres de propriété sont là, tu aimes la neige, ces titres prouvent que nous avons un chalet à Megève avec un grand terrain.
• C’est aussi ton oncle, ta mère et indirectement toi qui le possédé.
Je connais ce chalet, c’est là que ton père m’a dépucelé.
Il venait de m’embaucher quand j’ai compris que c’était pour mes seins dont il était amoureux et qu’il m’avait signé un CDD me promettant un CDI.
Dans ce chalet, il devait rencontrer une personne importante pour lui à ce qu’il m’a dit !
Chaque fois qu’il me faisait écarter les cuisses, j’ai compris que la personne importante s’était moi.
• Et tu as décidé de te faire baiser pour garder ton emploi et avoir ton CDI !
• L’emploi, oui, le CDI, il devait me le signer après m’avoir sucé les seins et m’avoir prise sur son bureau le jour fatidique.
Il est mort alors que sa queue était en moi.
Ça été atroce.
• Redonne-moi tes seins que je les suces.
C’est vrai, mon père avait raison, ils sont magnifiques.
Quant à votre CDI mademoiselle, vous passez à mon bureau demain, je vous le signerais.
• As votre bureau ou sous votre bureau, madame la directrice.
• Quand je vois, ce je trouve dans cette chemise, il se pourrait que, rapidement je m’assoie dans le fauteuil de papa.
Mieux même, regarde ce papier, Rodolphe mon oncle qui comme toi pour papa me baise, pensant que je vais lui apporter la majorité au conseil, va tomber de haut.
Pour ça tu vas m’aider.
Je vais l’appeler.
Mais avant, finissons de regarder les quelques documents qui sont à ma disposition.
Tient le contrat de la garçonnière où nous sommes.
• Sais-tu pourquoi ce titre est ici ?
• Je pense que s’il l’avait mis dans sa succession, il faisait voir à maman qu’il avait une maîtresse.
• C’est ça, il m’a dit que ce studio, il me le mettrait à mon nom.
Mais je refuse quoi que ce soit, qui pourrait te faire croire que je faisais ça pour avoir des cadeaux.
Il est hors de question que je sois considérée comme une pute.
• On en reparlera, de toute façon par la loi, c’est maman qui possède tout ça.
Voyons voir au fond.
Tiens des liasses de billets de 100 et 200 €.
Comptons !
45 000, 50 000 €, nets d’impôt.
• C’est la première fois que je vois autant d’argent.
• Ils sont à toi, moi j’ai largement de quoi vivre.
• C’est ça tu veux que je sois ta pute.
• Non , mon cœur, quoique à la vue de certains papiers, il se pourrait que nous ayons des rapports avec mon oncle Rodolphe toi et moi.
• Je ferais tout ce que tu souhaites que je fasse.
Nous nous embrassons après avoir remis les papiers et refermé le coffre, replaçant la boîte dans la cheminée.
• Rodolphe, je suis au studio, j’ai une surprise pour toi.
Sa petite salope l’appel, malgré que ce soit pendant les heures de boulot, il débarque rapidement.
• Que fait Jennifer ici et nue comme toi dans notre lit, je vous ai cherché au bureau pour que vous deveniez ma secrétaire !
• Nous avons changé les draps, ça m’évite de penser que mon père la baisait avant que ce soit moi qui la baise.
Si tu es partant, tu auras deux femmes à ta disposition, je t’ai mâché le travail.
Ça te dit, deux petites salopes, Jennifer écarte tes cuisses !
• Bien sûr, je suis partant.
• Tu l’auras et tu m’auras seulement si demain au conseil où je sais que tu veux prendre la direction de la banque, c’est moi que tu nommes !
• Tu es comme toutes les femmes, incapable de gérer notre groupe, la concurrence nous lamineraient.
• Tu vois nos chattes, elles sont à toi, évitent de m’énerver, nous pourrions parler de certains papiers que nous avons découverts.
As son regard, je vois qu’il sait que j’en sais plus officiellement que j’en dis.
Le lendemain, c’est dans un tailleur Channel acheté avec l’aide de Jennifer portant le même de couleur différente que je fais mon entrée au conseil.
Maman est là.
• Bonjour à tous, l’ordre du jour concerne celui ou celle qui va diriger notre banque.
• Peut-on me dire ce que fait cette petite pute ici.
• Maman, Jennifer cette pute comme tu le dis, est mon amie et a toute sa place près de moi.
• Rodolphe, tu es mon frère, à nous deux nous sommes majoritaires, je te confie la direction.
Tu es celui qui travaillait avec mon mari et qui était au fait de nos affaires.
• Ma chère sœur, je dois t’avouer quelque chose.
Je suis atteint par la maladie d’Horton.
Mes artères allant au cerveau sont atteintes.
J’ai réussi à le cacher sauf à ton mari qui possédait un document du diagnostic.
J’ai perdu l’œil gauche, sans que ça se voie, mais le droit tien.
Je suis sous cortisone, ayant le risque de perdre l’autre et de devenir aveugle à tout moment.
Je soutiens Véronique ta fille pour ce poste.
• Je t’interdis de donner à ma fille la primauté du groupe.
Remettons à quelques jours, la décision, je vais me remarier, même si ça vous choque si rapidement et mon mari prendra la direction, il sait gérer des affaires lui !
• Maman, j’ai rencontré ton amant, maître Albert, le notaire de papa, je sais que tu es sa maîtresse, il me l’a dit.
S’il t’a fait voir la lettre qu’il a dans son coffre, c’est parce qu’il a enfreint les règles de sa profession et qu’il te l’a montré.
Je l’ai moi-même sucé et il l’a décacheté ce con avec un coupe-papier au lieu de le faire à la vapeur comme il a dû le faire pour toi.
En plus, j’ai d’autres atouts dans mes manches que je préfère taire.
Tu es d’accord mon cher tonton Rodolphe !
Voici mes premières décisions.
Jennifer qui était la maîtresse de papa et comme tu l’as dit, maman, tu le savais, je la nomme au sein du comité de gestion avec comme titre directrice et mon bras droit.
Rodolphe, je sais que tu sais que je peux te mettre plus bas que terre.
Tu peux garder ton appartement de fonction à l’étage au-dessus du nôtre ainsi que ta voiture.
Pour ton salaire, je te dirais qu’elles en sont les dispositions dans les heures prochaines.
Fini de taper dans la caisse.
Maman, je récupère le logement où nous logeons, tu as huit jours pour te faire admettre chez maître Albert sinon c’est la rue.
Ça sera dur pour toi, bourgeoise comme tu l’es.
Je rigole, je sais que tu as tes parts et que tu auras tes revenus propres, sinon ton notaire connaîtra le froid des geôles françaises pour abus de confiance.
Ma mère se lève et veut quitter la salle du conseil.
• Assied toi, j’ai un autre point à l’ordre du jour.
L’argent planqué en Suisse.
J’ai chargé Jennifer de joindre Bercy.
Je les rencontre demain pour faire revenir cet argent dans le cadre de la loi contre toute poursuite si l’argent rentre et que nous payions nos impôts.
Ça, j’approuve, quand ton père m’en a parlé, je lui ai dit que c’était une connerie.
C’est à ce moment que l’on frappe à la porte de la salle.
• Jennifer va voir qui nous dérange et pourquoi ?
Elle se lève et va ouvrir...
Nous poursuivons ses aventures dans les trois derniers épisodes de cette histoire.
Nous sommes nus toutes les deux, Jennifer et moi quand nous nous retrouvons sur la peau de loup devant la fausse cheminée à nous brouter les chattes épilées l’une comme l’autre.
Incroyable, la secrétaire de feu mon père a joui comme j’ai joui, entrant dans le monde des amours féminins.
Je la serre sur mon cœur quand reprenant mes esprits, mes yeux se portent sur le coffre qui me tend les bras.
Vais-je trouver les réponses à mes questions ?
Mieux, que vais-je trouver d’autre ?
• Et si nous ouvrions ce coffre• Tu as trouvé que j’étais mauvaise !
Je vais m’améliorer si tu acceptes que l’on recommence.
• Je viens de comprendre deux choses.
La première, c’est pourquoi tu tombes en larmes, montrant tes sentiments trop facilement.
• Tu vois, j’ai été mauvaise.
• Et c’est reparti, voilà les larmes.
Tu m’as fait jouir alors que mes quelques amants m’ont laissé au bord du chemin.
La deuxième, c’est que j’aime aussi bien les bites que les chattes.
En quelques mots, je suis une gouine et une hétéro.
• Une copine d’enfance m’avait dit que je finirais bisexuelle, car je refusais de coucher avec elle.
J’ai failli lui arracher les yeux.
Elle avait raison, je suis bisexuelle.
Nous sommes bisexuelles.
• Embrasse-moi, je t’adore.
Le coffre peut attendre, mes doigts croches dans son sexe, les siens en faisant autant.
Nos bouches soudées, nos sexes masturbés, nous avons une nouvelle jouissance simultanée, nous sommes faites pour nous entendre.
• Voyons voir, les titres de propriété sont là, tu aimes la neige, ces titres prouvent que nous avons un chalet à Megève avec un grand terrain.
• C’est aussi ton oncle, ta mère et indirectement toi qui le possédé.
Je connais ce chalet, c’est là que ton père m’a dépucelé.
Il venait de m’embaucher quand j’ai compris que c’était pour mes seins dont il était amoureux et qu’il m’avait signé un CDD me promettant un CDI.
Dans ce chalet, il devait rencontrer une personne importante pour lui à ce qu’il m’a dit !
Chaque fois qu’il me faisait écarter les cuisses, j’ai compris que la personne importante s’était moi.
• Et tu as décidé de te faire baiser pour garder ton emploi et avoir ton CDI !
• L’emploi, oui, le CDI, il devait me le signer après m’avoir sucé les seins et m’avoir prise sur son bureau le jour fatidique.
Il est mort alors que sa queue était en moi.
Ça été atroce.
• Redonne-moi tes seins que je les suces.
C’est vrai, mon père avait raison, ils sont magnifiques.
Quant à votre CDI mademoiselle, vous passez à mon bureau demain, je vous le signerais.
• As votre bureau ou sous votre bureau, madame la directrice.
• Quand je vois, ce je trouve dans cette chemise, il se pourrait que, rapidement je m’assoie dans le fauteuil de papa.
Mieux même, regarde ce papier, Rodolphe mon oncle qui comme toi pour papa me baise, pensant que je vais lui apporter la majorité au conseil, va tomber de haut.
Pour ça tu vas m’aider.
Je vais l’appeler.
Mais avant, finissons de regarder les quelques documents qui sont à ma disposition.
Tient le contrat de la garçonnière où nous sommes.
• Sais-tu pourquoi ce titre est ici ?
• Je pense que s’il l’avait mis dans sa succession, il faisait voir à maman qu’il avait une maîtresse.
• C’est ça, il m’a dit que ce studio, il me le mettrait à mon nom.
Mais je refuse quoi que ce soit, qui pourrait te faire croire que je faisais ça pour avoir des cadeaux.
Il est hors de question que je sois considérée comme une pute.
• On en reparlera, de toute façon par la loi, c’est maman qui possède tout ça.
Voyons voir au fond.
Tiens des liasses de billets de 100 et 200 €.
Comptons !
45 000, 50 000 €, nets d’impôt.
• C’est la première fois que je vois autant d’argent.
• Ils sont à toi, moi j’ai largement de quoi vivre.
• C’est ça tu veux que je sois ta pute.
• Non , mon cœur, quoique à la vue de certains papiers, il se pourrait que nous ayons des rapports avec mon oncle Rodolphe toi et moi.
• Je ferais tout ce que tu souhaites que je fasse.
Nous nous embrassons après avoir remis les papiers et refermé le coffre, replaçant la boîte dans la cheminée.
• Rodolphe, je suis au studio, j’ai une surprise pour toi.
Sa petite salope l’appel, malgré que ce soit pendant les heures de boulot, il débarque rapidement.
• Que fait Jennifer ici et nue comme toi dans notre lit, je vous ai cherché au bureau pour que vous deveniez ma secrétaire !
• Nous avons changé les draps, ça m’évite de penser que mon père la baisait avant que ce soit moi qui la baise.
Si tu es partant, tu auras deux femmes à ta disposition, je t’ai mâché le travail.
Ça te dit, deux petites salopes, Jennifer écarte tes cuisses !
• Bien sûr, je suis partant.
• Tu l’auras et tu m’auras seulement si demain au conseil où je sais que tu veux prendre la direction de la banque, c’est moi que tu nommes !
• Tu es comme toutes les femmes, incapable de gérer notre groupe, la concurrence nous lamineraient.
• Tu vois nos chattes, elles sont à toi, évitent de m’énerver, nous pourrions parler de certains papiers que nous avons découverts.
As son regard, je vois qu’il sait que j’en sais plus officiellement que j’en dis.
Le lendemain, c’est dans un tailleur Channel acheté avec l’aide de Jennifer portant le même de couleur différente que je fais mon entrée au conseil.
Maman est là.
• Bonjour à tous, l’ordre du jour concerne celui ou celle qui va diriger notre banque.
• Peut-on me dire ce que fait cette petite pute ici.
• Maman, Jennifer cette pute comme tu le dis, est mon amie et a toute sa place près de moi.
• Rodolphe, tu es mon frère, à nous deux nous sommes majoritaires, je te confie la direction.
Tu es celui qui travaillait avec mon mari et qui était au fait de nos affaires.
• Ma chère sœur, je dois t’avouer quelque chose.
Je suis atteint par la maladie d’Horton.
Mes artères allant au cerveau sont atteintes.
J’ai réussi à le cacher sauf à ton mari qui possédait un document du diagnostic.
J’ai perdu l’œil gauche, sans que ça se voie, mais le droit tien.
Je suis sous cortisone, ayant le risque de perdre l’autre et de devenir aveugle à tout moment.
Je soutiens Véronique ta fille pour ce poste.
• Je t’interdis de donner à ma fille la primauté du groupe.
Remettons à quelques jours, la décision, je vais me remarier, même si ça vous choque si rapidement et mon mari prendra la direction, il sait gérer des affaires lui !
• Maman, j’ai rencontré ton amant, maître Albert, le notaire de papa, je sais que tu es sa maîtresse, il me l’a dit.
S’il t’a fait voir la lettre qu’il a dans son coffre, c’est parce qu’il a enfreint les règles de sa profession et qu’il te l’a montré.
Je l’ai moi-même sucé et il l’a décacheté ce con avec un coupe-papier au lieu de le faire à la vapeur comme il a dû le faire pour toi.
En plus, j’ai d’autres atouts dans mes manches que je préfère taire.
Tu es d’accord mon cher tonton Rodolphe !
Voici mes premières décisions.
Jennifer qui était la maîtresse de papa et comme tu l’as dit, maman, tu le savais, je la nomme au sein du comité de gestion avec comme titre directrice et mon bras droit.
Rodolphe, je sais que tu sais que je peux te mettre plus bas que terre.
Tu peux garder ton appartement de fonction à l’étage au-dessus du nôtre ainsi que ta voiture.
Pour ton salaire, je te dirais qu’elles en sont les dispositions dans les heures prochaines.
Fini de taper dans la caisse.
Maman, je récupère le logement où nous logeons, tu as huit jours pour te faire admettre chez maître Albert sinon c’est la rue.
Ça sera dur pour toi, bourgeoise comme tu l’es.
Je rigole, je sais que tu as tes parts et que tu auras tes revenus propres, sinon ton notaire connaîtra le froid des geôles françaises pour abus de confiance.
Ma mère se lève et veut quitter la salle du conseil.
• Assied toi, j’ai un autre point à l’ordre du jour.
L’argent planqué en Suisse.
J’ai chargé Jennifer de joindre Bercy.
Je les rencontre demain pour faire revenir cet argent dans le cadre de la loi contre toute poursuite si l’argent rentre et que nous payions nos impôts.
Ça, j’approuve, quand ton père m’en a parlé, je lui ai dit que c’était une connerie.
C’est à ce moment que l’on frappe à la porte de la salle.
• Jennifer va voir qui nous dérange et pourquoi ?
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