COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Fin de la saison I (3/3)
La perte de l’honneur, d’un homme, même d’un notaire est fonction du prix qu’on est prête à y mettre.
Pour maître Albert, une maîtresse attitrée dans une garçonnière est de ce niveau-là.
Il tranche d’une main ferme, l’enveloppe pourtant devant rester inviolée jusqu’à la mort de maman.
• Pose l’enveloppe sur ton bureau, tu viens de gagner une petite sucette.
Pour ma chatte, j’aime mes aises et ce sera dans mon studio à deux pas d’ici.
Je m’agenouille, j’ouvre sa braguette et je sors sa petite verge.
Je l’aurais espéré massive, mais je dois être attitré à des verges lilliputiennes.
Quelques minutes et pendant qu’il se rajuste, je m’assieds dans un des fauteuils, me léchant les babines de son jus, hélas, fade.
Ce que je découvre est bien loin des simples parts dans la société.
La garçonnière 100 % à mon père suite à une perte faramineuse aux jeux par Tonton.
Idem pour la Ferrari.
Un chalet à Megève que mon père avait achetée avec de l’argent caché par son beau-père et qu’il cachait à maman.
Sans compter les parts dans différentes sociétés qu’il fraudait au fisc grâce à un compte en Suisse très bien rémunéré.
Indirectement, j’étais riche à millions.
À la fin, il précisait que si sa veuve se remariait, tous ses biens reviendraient à sa fille unique prunelle de ses yeux, seule digne de lui succéder par son caractère.
Que disais-je plus tôt, c’était un rebelle comme moi je le suis ?
Megève, qui en a les clefs et les actes de propriété ?
À part tonton, ou le notaire, qui d’autre ?
Maman, ce serait trop gros.
• Merci Albert, tu peux la remettre dans ton coffre et ta bite dans ton pantalon.
• Merci, à quelle adresse et à quelle heure se retrouve-t-on dans ton studio.
• Jamais, je t’ai sucé, as-tu une preuve de ce que je t’ai promis, à qui vas-tu te plaindre ?
• Au fisc en dévoilant que vous avez un compte en Suisse.
• Appelle les, je leur dirais que le notaire de notre ville échange un coup de bite contre des informations que ses clients lui confient.
• Je vais en parler à votre mère, de toute façon elle est déjà au courant de cette lettre et ce qu’elle renferme.
• Tu aggraves ton cas, à quel titre maman as pu apprendre ces informations !
Je comprends trop bien, tu la sautes sur le coin de ce bureau.
Je vois à ton regard que je vois juste.
Papa devait le savoir et s’en fichait royalement, il a simplement mis une barrière entre ton appétit et moi, en prenant des précautions si elle se remariait.
Tu le faisais cocu, mais c’est lui qui vous la mise bien profond.
Aussi fière que lorsque j’ai quitté l’accueil de la banque de papa, je prends le chemin de la sortie, la tête remplie d’information et d’interrogation sur certains documents.
De retour dans le studio dont Rodolphe m’a donné les clefs, j’ai la surprise d’y trouver Jennifer, la jeune secrétaire qui a dû entraîner la mort de mon père.
Elle sursaute.
• Excusez, ce sont des affaires personnelles que je suis venue chercher !
Loin de moi l’idée de voler quoi que ce soit.
• Jennifer, vous étiez bien la maîtresse de papa !
• Euh !
• Ce euh est une réponse en lui-même, on est sensiblement du même âge.
Tu peux tout me dire, si tu savais qu’elle a été ma vie dans cette famille de malades.
Elle éclate en sanglots, je la prends dans mes bras pour la consoler.
• Je voulais arriver, dans la vie par les chemins les plus courts, être la maîtresse de ce vieux débris, c’est tout ce que j’ai trouvé.
• Dis-moi, tu as vu, naturellement, je te tutoie, fait en de même !
Sais-tu si à la banque, papa avait un endroit où il pouvait cacher des documents ?
• C’est plus près que tu le cois, c’est derrière ce tableau.
Je m’approche, il pivote et scellé dans le mur il y a un coffre-fort.
• Il est dommage que la clef et la combinaison m’empêche de l’ouvrir.
• Tu vas croire, que c’était pour ce coffre que j’étais ici.
Je sais où ton père cachait la clef et le code.
Elle va vers la cheminée insolite dans cette pièce et passant sa main entre le faux âtre et le bois de décoration, en sort une boîte ayant contenu des galettes bretonnes.
Je sais que mon père en raffolait.
Ils les faisaient venir par cartons entiers d’un petit fabriquant breton.
C’est pendant son service qu’il y avait pris goût étant allé visiter l’atelier de fabrication.
• Mon père t’avait dit où tout cela était !
Il avait sérieusement confiance en toi !
• Non, un soir où nous avions fait l’amour, il a reçu un coup de téléphone.
Il s’est levé et quand il a attrapé la boîte, j’ai entendu la clef sur la ferraille.
Au téléphone celui où celle avec qui il conversait à dû lui dire une chose le faisant changer d’avis, car tout en regardant si je continuais à dormir, il l’a replacé.
• L’as-tu ouverte une autre fois, car j’ai constaté qu’une femme devait faire le ménage vu l’état de propreté.
À la maison, papa était bordélique, c’est la bonne qui rangeait tous.
Elle repart en sanglots.
• Arrête, je sais que tu es une fille bien, si tu savais ce que j’ai fait pour apprendre certains renseignements sur ma famille et leurs affaires.
Sans penser à ce que nous faisons, je lui relève le visage, j’essuie ses larmes et je lui embrasse le bout du nez.
Ce sont nos lèvres qui se trouvent, sans que nous l’ayons cherché.
C’est la première fois que j’embrasse une jeune femme.
Au lycée jusqu’à la fac, les gouines m’ont toujours débecté.
Il faut reconnaître ses torts, contrairement aux garçons, c’est doux et c’est tendre.
• Jennifer, c’est bon, pourquoi ta chatte dégouline et qu’elle est libre de toute culotte ?
Elle recommence à pleurer.
• Si tu tombes en larmes chaque fois que je te demande quelque chose, on va finir noyés et dans deux heures on y est encore.
Elle renifle un coup.
• Tu as raison, mais c’est la première fois que j’embrasse une fille, les lesbiennes me débectaient jusqu’à maintenant.
Si ma chatte est libre de toute entrave, moi qui possède de bien jolie dessous, dont certains que je venais récupérer, c’est parce que ton père m’empêchait d’en porter depuis quelque temps.
• Je vois, quand tu es sortie de l’ascenseur au-devant des pompiers, il te passait la main aux fesses où ailleurs plus facilement !
Elle renifle de nouveau, à deux doigts de repartir dans ses grandes fontaines.
• Oui, nous venions faire l’amour ici très souvent.
• Non, il venait te baiser très souvent.
Crois en ma jeune expérience, ces hommes sautent des jeunes comme nous en profitant de leur position dominante.
Ils font ça à tous les niveaux sociaux, même chez nous les bourgeois !
Je refusais de devenir une jeune bourge.
L’amour tout au long de leur vie, ils en sont réfractaires.
Je me trompe, tu venais de te faire baiser !
J’ai toujours ma main sur sa chatte que je trouve libre de toute pilosité.
• Oui, souvent ici, mais suivant ses rendez-vous, s’était sur son bureau.
C’était le cas ce jour-là.
Après le départ de son corps et des pompiers, je me suis aperçue que j’avais attaché mon chemisier mardi avec mercredi.
• Tu en es sûr, moi j’avais remarqué lundi avec mardi.
Nous éclatons de rire et recommençons à nous embrasser.
Mes doigts se remplissent de sa cyprine tellement elle coule.
Je la pousse jusque devant la cheminée où se trouve une peau de bête, certainement un loup.
Le lit nous tendant les bras, des rares meubles présents.
On voit le côté pratique de ce lieu tourner vers des parties de sexe.
Faire l’amour à Jennifer dans les draps où papa la baisait et où Rodolphe m’a prise est au-dessus de mes forces, cette pauvre bête fera l’affaire.
Elle soulève sa jupe au moment où mes lèvres s’avancent et comme je l’ai dit, les lesbiennes, terme plus approprié, comparer au mot gouine que j’ai employé sont loin dans mes pensées.
J’avais eu une impression de saveur salée de ma propre cyprine après avoir baisé et sucer Rodolphe.
Jennifer est plus poivrée que salée, on dit que les rousses ont aussi des saveurs poivrées, il faudra que j’essaye.
Je suis folle, moi qui disais ce que je pensais des amours féminins, deviendrais-je gouine à mon tour !...
Voilà la saison I se termine.
Les trois prochains chapitres se terminent et je les enverrais chez HDS après un ou deux chapitres d’autres aventures.
Pour maître Albert, une maîtresse attitrée dans une garçonnière est de ce niveau-là.
Il tranche d’une main ferme, l’enveloppe pourtant devant rester inviolée jusqu’à la mort de maman.
• Pose l’enveloppe sur ton bureau, tu viens de gagner une petite sucette.
Pour ma chatte, j’aime mes aises et ce sera dans mon studio à deux pas d’ici.
Je m’agenouille, j’ouvre sa braguette et je sors sa petite verge.
Je l’aurais espéré massive, mais je dois être attitré à des verges lilliputiennes.
Quelques minutes et pendant qu’il se rajuste, je m’assieds dans un des fauteuils, me léchant les babines de son jus, hélas, fade.
Ce que je découvre est bien loin des simples parts dans la société.
La garçonnière 100 % à mon père suite à une perte faramineuse aux jeux par Tonton.
Idem pour la Ferrari.
Un chalet à Megève que mon père avait achetée avec de l’argent caché par son beau-père et qu’il cachait à maman.
Sans compter les parts dans différentes sociétés qu’il fraudait au fisc grâce à un compte en Suisse très bien rémunéré.
Indirectement, j’étais riche à millions.
À la fin, il précisait que si sa veuve se remariait, tous ses biens reviendraient à sa fille unique prunelle de ses yeux, seule digne de lui succéder par son caractère.
Que disais-je plus tôt, c’était un rebelle comme moi je le suis ?
Megève, qui en a les clefs et les actes de propriété ?
À part tonton, ou le notaire, qui d’autre ?
Maman, ce serait trop gros.
• Merci Albert, tu peux la remettre dans ton coffre et ta bite dans ton pantalon.
• Merci, à quelle adresse et à quelle heure se retrouve-t-on dans ton studio.
• Jamais, je t’ai sucé, as-tu une preuve de ce que je t’ai promis, à qui vas-tu te plaindre ?
• Au fisc en dévoilant que vous avez un compte en Suisse.
• Appelle les, je leur dirais que le notaire de notre ville échange un coup de bite contre des informations que ses clients lui confient.
• Je vais en parler à votre mère, de toute façon elle est déjà au courant de cette lettre et ce qu’elle renferme.
• Tu aggraves ton cas, à quel titre maman as pu apprendre ces informations !
Je comprends trop bien, tu la sautes sur le coin de ce bureau.
Je vois à ton regard que je vois juste.
Papa devait le savoir et s’en fichait royalement, il a simplement mis une barrière entre ton appétit et moi, en prenant des précautions si elle se remariait.
Tu le faisais cocu, mais c’est lui qui vous la mise bien profond.
Aussi fière que lorsque j’ai quitté l’accueil de la banque de papa, je prends le chemin de la sortie, la tête remplie d’information et d’interrogation sur certains documents.
De retour dans le studio dont Rodolphe m’a donné les clefs, j’ai la surprise d’y trouver Jennifer, la jeune secrétaire qui a dû entraîner la mort de mon père.
Elle sursaute.
• Excusez, ce sont des affaires personnelles que je suis venue chercher !
Loin de moi l’idée de voler quoi que ce soit.
• Jennifer, vous étiez bien la maîtresse de papa !
• Euh !
• Ce euh est une réponse en lui-même, on est sensiblement du même âge.
Tu peux tout me dire, si tu savais qu’elle a été ma vie dans cette famille de malades.
Elle éclate en sanglots, je la prends dans mes bras pour la consoler.
• Je voulais arriver, dans la vie par les chemins les plus courts, être la maîtresse de ce vieux débris, c’est tout ce que j’ai trouvé.
• Dis-moi, tu as vu, naturellement, je te tutoie, fait en de même !
Sais-tu si à la banque, papa avait un endroit où il pouvait cacher des documents ?
• C’est plus près que tu le cois, c’est derrière ce tableau.
Je m’approche, il pivote et scellé dans le mur il y a un coffre-fort.
• Il est dommage que la clef et la combinaison m’empêche de l’ouvrir.
• Tu vas croire, que c’était pour ce coffre que j’étais ici.
Je sais où ton père cachait la clef et le code.
Elle va vers la cheminée insolite dans cette pièce et passant sa main entre le faux âtre et le bois de décoration, en sort une boîte ayant contenu des galettes bretonnes.
Je sais que mon père en raffolait.
Ils les faisaient venir par cartons entiers d’un petit fabriquant breton.
C’est pendant son service qu’il y avait pris goût étant allé visiter l’atelier de fabrication.
• Mon père t’avait dit où tout cela était !
Il avait sérieusement confiance en toi !
• Non, un soir où nous avions fait l’amour, il a reçu un coup de téléphone.
Il s’est levé et quand il a attrapé la boîte, j’ai entendu la clef sur la ferraille.
Au téléphone celui où celle avec qui il conversait à dû lui dire une chose le faisant changer d’avis, car tout en regardant si je continuais à dormir, il l’a replacé.
• L’as-tu ouverte une autre fois, car j’ai constaté qu’une femme devait faire le ménage vu l’état de propreté.
À la maison, papa était bordélique, c’est la bonne qui rangeait tous.
Elle repart en sanglots.
• Arrête, je sais que tu es une fille bien, si tu savais ce que j’ai fait pour apprendre certains renseignements sur ma famille et leurs affaires.
Sans penser à ce que nous faisons, je lui relève le visage, j’essuie ses larmes et je lui embrasse le bout du nez.
Ce sont nos lèvres qui se trouvent, sans que nous l’ayons cherché.
C’est la première fois que j’embrasse une jeune femme.
Au lycée jusqu’à la fac, les gouines m’ont toujours débecté.
Il faut reconnaître ses torts, contrairement aux garçons, c’est doux et c’est tendre.
• Jennifer, c’est bon, pourquoi ta chatte dégouline et qu’elle est libre de toute culotte ?
Elle recommence à pleurer.
• Si tu tombes en larmes chaque fois que je te demande quelque chose, on va finir noyés et dans deux heures on y est encore.
Elle renifle un coup.
• Tu as raison, mais c’est la première fois que j’embrasse une fille, les lesbiennes me débectaient jusqu’à maintenant.
Si ma chatte est libre de toute entrave, moi qui possède de bien jolie dessous, dont certains que je venais récupérer, c’est parce que ton père m’empêchait d’en porter depuis quelque temps.
• Je vois, quand tu es sortie de l’ascenseur au-devant des pompiers, il te passait la main aux fesses où ailleurs plus facilement !
Elle renifle de nouveau, à deux doigts de repartir dans ses grandes fontaines.
• Oui, nous venions faire l’amour ici très souvent.
• Non, il venait te baiser très souvent.
Crois en ma jeune expérience, ces hommes sautent des jeunes comme nous en profitant de leur position dominante.
Ils font ça à tous les niveaux sociaux, même chez nous les bourgeois !
Je refusais de devenir une jeune bourge.
L’amour tout au long de leur vie, ils en sont réfractaires.
Je me trompe, tu venais de te faire baiser !
J’ai toujours ma main sur sa chatte que je trouve libre de toute pilosité.
• Oui, souvent ici, mais suivant ses rendez-vous, s’était sur son bureau.
C’était le cas ce jour-là.
Après le départ de son corps et des pompiers, je me suis aperçue que j’avais attaché mon chemisier mardi avec mercredi.
• Tu en es sûr, moi j’avais remarqué lundi avec mardi.
Nous éclatons de rire et recommençons à nous embrasser.
Mes doigts se remplissent de sa cyprine tellement elle coule.
Je la pousse jusque devant la cheminée où se trouve une peau de bête, certainement un loup.
Le lit nous tendant les bras, des rares meubles présents.
On voit le côté pratique de ce lieu tourner vers des parties de sexe.
Faire l’amour à Jennifer dans les draps où papa la baisait et où Rodolphe m’a prise est au-dessus de mes forces, cette pauvre bête fera l’affaire.
Elle soulève sa jupe au moment où mes lèvres s’avancent et comme je l’ai dit, les lesbiennes, terme plus approprié, comparer au mot gouine que j’ai employé sont loin dans mes pensées.
J’avais eu une impression de saveur salée de ma propre cyprine après avoir baisé et sucer Rodolphe.
Jennifer est plus poivrée que salée, on dit que les rousses ont aussi des saveurs poivrées, il faudra que j’essaye.
Je suis folle, moi qui disais ce que je pensais des amours féminins, deviendrais-je gouine à mon tour !...
Voilà la saison I se termine.
Les trois prochains chapitres se terminent et je les enverrais chez HDS après un ou deux chapitres d’autres aventures.
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